Disclaimer : Le monde d'Harry Potter appartient à JK Rowling sauf Emy, Nicole, Jill et Sally-Anne.
Note : Je m'excuse pour mon retard, j'essaierai d'être plus rapide pour le prochain chapitre, mais je suis revenue de vacances, il y a même pas une semaine et je n'ai récupéré mon ordi que mardi, il m'a fallu du temps pour taper le texte et le faire corriger (sachant que j'avais d'autres choses à faire) dont une nouvelle fic HP (mais pas SBRL). Je me rends compte que certain(e)s doivent commencer à trouver que ça prend du temps à venir leur relation mais je suis ainsi faite, j'aime prendre mon temps et faire ramer mes personnages (j'suis sadique jusqu'au bout des ongles).
Je tiens aussi à excuser les nombreuses fautes de mon précédent texte. Ma correctrice et moi étions bien crevées et beaucoup nous ont échappés (dont qqs horribles pas belles). Si j'ai un jour le courage, j'éditerai le texte en enlevant les fautes.
Je suis désolée, le chapitre n'est pas long mais il m'a semblé nécessaire de me débarrasser d'une situation que j'avais créé pour pouvoir continuer.
J'espère que ça vous plaira quand même et patiente vous serez bientôt récompensés pour votre attente.
Enjoy !
Treizième chapitre :
« - Tu veux rompre ?
Oui… Enfin… Non… Enfin pas réellement… Tu vois, nous ne sommes pas vraiment ensemble donc on ne peut pas parler d'une vraie rupture… Tu comprends ? »
Remus regarda son amie, perplexe. Il se demandait ce qui lui arrivait depuis quelques temps. Elle était de plus en plus pensive, passait beaucoup de temps dans la bibliothèque avec ou sans Snape et retrouvait souvent Nicole pour des conciliabules assez secrets. Aujourd'hui, elle l'avait entraîné sans un mot dans leur salle. Et maintenant, elle lui apprenait qu'elle ne voulait plus être avec lui. Une petite boule de douleur obstruait sa gorge.
« Est-ce que j'ai dit ou fait quelque chose de mal ? Si je t'ai blessée d'une quelconque manière, je m'en excuse… Ou est-ce à cause de ce qui s'est passé pendant la pleine lune… »
Emy, qui avait continuellement hoché négativement la tête pendant le court monologue de son ami, s'arrêta subitement et l'air blessé et furieux, l'interrompit :
« - Ne finis pas cette phrase, Remus ! Cela n'a rien à voir avec la pleine lune ou ta lycanthropie. Tu ne m'as rien fait de mal, ni rien dit qui aurait pu me blesser. Je ne t'en veux d'aucune façon. »
Elle soupira doucement et fixa son interlocuteur dans les yeux.
« - Nous avons fait croire à tout le monde que nous étions un couple à cause de Sirius et de Jill. C'était une manière de te protéger. Mais maintenant qu'ils ont rompu, tu n'as plus rien à craindre. Ce mensonge me pèse un peu, Rem's. Est-ce que tu peux comprendre ça ? Bien que je sois fière d'être ton amie et que ça ne me dérange pas de me comporter comme ta petite amie, j'en ai marre de mentir à tout le monde. Je ne te parle pas des pimbêches de mon dortoir ou de tout autre élève. Cela me dérange de devoir mentir à ceux que j'estime, qui sont devenus mes amis : Lily surtout, James, Peter, Severus… Sirius… Cela m'ennuie. Je sais que l'on ne peut pas leur dire que nous leur avons menti tout ce temps mais… on peut remédier à cela quand même…
En rompant ?
Oui. » Répondit doucement Emy.
Remus ne savait pas ce qu'il devait dire à son amie. Il comprenait ce qu'elle voulait lui expliquer. Lui-même se sentait coupable de jouer un rôle devant ses amis et à chaque fois qu'un des Maraudeurs ou que Lily lui parlait d'Emy comme de sa petite amie, il essayait d'oublier qu'il était en train de les tromper. Mais il avait tellement pris l'habitude de l'avoir près de lui, de pouvoir la prendre dans ses bras ou de la toucher quand il en avait besoin, de se sentir en sécurité grâce à elle, qu'il ne pouvait s'empêcher d'être triste. Il avait l'impression qu'il pourrait la perdre ainsi.
Emy attendait patiemment que son ami lui donne une réponse.
« - Je… je crois que tu as raison… Je ne veux juste pas te perdre… Mais je ne peux pas te refuser cela ! Je t'ai déjà demandé tant !
Et tu pourrais me demander encore plus ! Je ferai tout pour toi. Et ôte-toi l'idée que tu vas perdre mon amitié. Tu es mon meilleur ami et il est hors de question que je te quitte ! Maintenant que je t'ai trouvé, je ne te lâche plus ! Tu vas voir d'ici quelques temps, c'est toi qui voudra te débarrasser de moi (Ils rirent tous les deux). Il faut juste qu'on mette fin à cette fausse relation sinon, sans qu'on ne sache comment, on va se retrouver mariés ! »
Le Préfet éclata à nouveau de rire.
« - Je ne pourrai trouver plus jolie épouse ! » la complimenta-t-il, ce qui fit rougir la jeune fille. Il reprit :
« -Dis-moi, m'aurais-tu trouvée un remplaçant ? Tu es si pressée de rompre ? (L'image de Snape passa dans sa tête mais il la chassa rapidement).
Non, bien sûr que non ! » Rit-elle « Qui voudrait sortir avec moi ? »
Le visage de Remus se durcit un peu.
« - Emy !
Ce n'est rien Remy. »
Le silence les recouvrit. Le jeune homme finit par prendre Emy par un bras et l'entraîna vers lui, la faisant s'asseoir sur ses genoux. Ils restèrent ainsi, les fronts l'un contre l'autre. La Gryffondor rompit le silence :
« - Avec notre « rupture » et vu que Sirius est célibataire, peut-être que tu pourrais… Je ne sais pas… Essayer quelque chose… »
Remus regarda la jeune fille, surpris, et lui demanda :
« - Essayer quoi ?
Je ne sais pas… le séduire… »
Son ton était incertain. Remus pouffa de rire.
« - Emy ?
Quoi ?
Tu rigoles, n'est-ce pas ? Dois-je te rappeler que Sirius est hétérosexuel ! Tu comprends ce que ça veut dire ? Il n'aime que ce qu'on appelle le « beau sexe » : les jolies filles avec de longs cheveux, des grands yeux aguicheurs, des jambes qui n'en finissent pas et une belle poitrine ! Tout le contraire de moi !
Mais Rém's, peut-être que tu pourrais tenter quelque chose ? Qui sait, il pourrait te surprendre ?
Emy ! » Gronda Remus.
Il se leva de sa chaise, obligeant son amie à faire de même. Il se dirigea vers la fenêtre et s'appuya au rebord.
« - Remy, tu ne l'as pas vu à l'infirmerie. Il était extrêmement inquiet pour toi. Il …
Comme toi, ou James ou Peter ! C'est tout à fait normal, c'est l'un de mes meilleurs amis !
Non, ce n'est pas ça. Quand tu étais endormi, il t'a soigné et …
Arrête ! » Cria le lycanthrope.
Il s'était complètement retourné vers son amie. Celle-ci avait sursauté en entendant le ton brusque du Préfet. Il avait l'air bouleversé, elle voyait de la douleur dans ses yeux ambre.
« Arrête, s'il te plaît ! Ne me donne pas de faux espoirs ! Je peux vivre avec le fait qu'il ne m'aimera jamais comme je le voudrai, qu'il ne connaîtra jamais mes vrais sentiments pour lui, que nous n'irons jamais plus loin qu'une profonde amitié. Mais ne me fait pas souffrir en m'insufflant ne serait-ce qu'une parcelle de vaine espérance. Je n'y survivrai pas. S'il te plaît ! »
La jeune fille fut touchée par la peine qu'il laissait transparaître dans ses paroles. Silencieusement, elle acquiesça. Elle alla vers son ami, le prit dans ses bras pour le réconforter.
Elle avait vu juste : il n'accepterait jamais la simple vérité. Il avait besoin de plus que quelques mots. Elle devait trouver un moyen pour que Sirius prouve à Remus qu'il l'aimait aussi.
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Sirius passa une tête, intrigué, par la porte à double battant. Lentement, il en passa le seuil et étudia ce territoire qui était presque vierge pour lui. Il avait à peine commencé son inspection qu'il fut la cible du regard noir et perçant de Madame Pince. Il préféra se déplacer, essayant de passer inaperçu. Quand il passa devant la bibliothécaire, il lui lança un sourire ravageur… qui ne reçut aucun écho.
Refroidi par cet accueil, il regarda autour de lui. Ce n'était pas la première fois qu'il entrait dans la bibliothèque, quoi qu'en dise Moony, mais quand il venait, c'était toujours de nuit, avec Padfoot et ils ne visitaient que la réserve, les autres livres leur étant inutiles. Il regarda les rangées d'étagères et remarqua pour la première fois qu'elles étaient classées par matière.
Il fronça les sourcils. Où pouvait-il la trouver ?
Un éclair de génie le traversa : les Potions, bien entendu !
Après s'être perdu plusieurs fois dans les dédales des rayons (ce qu'il n'admettrait jamais), il tomba par hasard dans la bonne section. Au détour d'une étagère, il entra en collision avec une personne plongée dans un livre. L'objet échappa des mains de son lecteur qui grommela. Sirius, promptement, ramassa le livre et s'apprêtait à le rendre quand il entendit :
« Black ? Par Merlin, que fais-tu dans la bibliothèque ? Laisse-moi deviner ? Tu cherchais la salle commune de ta maison mais à cause de ton sens de l'orientation déplorable combiné au pois-chiche qui te sert de cerveau, tu t'es trompé d'endroit ! Attention, tu ne devrais pas demeurer ici trop longtemps, cet amas de savoir pourrait te faire griller l'unique neurone lobotomisé qu'il te reste ! Bien que ce ne serait pas une perte pour l'humanité… »
Sirius, devant l'air suffisant et satisfait du Serpentard, crispa les poings et serra les dents. Il allait répliquer quand il remarqua le titre du livre qu'il avait encore entre les mains.
« - De la magie noire, Snivellus ? Pourquoi est-ce que ça ne m'étonne pas ? Comment as-tu eu ce livre ? Je ne suis pas sûre que la dragonne à l'entrée serait heureuse de savoir que tu lui as dérobé un livre de la réserve !
Je ne suis pas un Maraudeur, ne m'insulte pas ! J'ai eu une autorisation pour sortir ce livre.
Une autorisation ? De Loveheart je présume. Il est vrai que tu en es son chouchou !
Je te signale que je ne suis pas le seul à être dans les petits papiers du Professeurs Loveheart et que l'autre est une Gryffondor. »
Padfoot s'approcha de Severus menaçant. Il siffla entre ses lèvres :
« Et de qui d'autre es-tu le toutou Snivellus ? De Voldemort peut-être ? Je suis sûr que tu portes déjà la marque sur ton bras ! »
Le Serpentard allait se jeter sur lui quand une voix féminine retentit :
« Mais qu'est-ce qui se passe encore ? Vous ne pouvez pas être seuls deux minutes sans que vous soyez prêt à vous entretuer ! »
Profitant de la diversion inattendue provoquée par Emy, Severus reprit son livre des mains du jeune Black. Celui-ci retroussa ses lèvres en une grimace menaçante.
« - Perks, tu devrais te méfier de certaines de tes connaissances ! » Lui lança le Serpentard en s'éloignant.
« - C'est plutôt à moi de lui dire ça ! » Répliqua le Gryffondor.
Il ne se retourna que lorsque Severus tourna dans une nouvelle rangée. Emy le regarda et roula des yeux. Elle se dirigea vers sa droite. Ils se retrouvèrent dans une petite salle créée par des étagères où trônait une large table. Dessus, il y avait des livres, du parchemin, de l'encre et des plumes. La jeune fille s'installa à la table et fit mine de reprendre son travail. Elle attendait que Padfoot se décidât à lui parler. Ce dernier semblait fasciné par les livres se trouvant dans les rayons. Ils étaient très vieux, écrits dans différents langages. Quand il se lassa des ouvrages, il s'assit lui aussi à la table et contempla un moment la jeune Gryffondor étudier. Il s'éclaircit la gorge :
« - Hum, hum… Emy ? Je pourrai te parler deux minutes ? »
Doucement, son amie posa sa plume et replia son parchemin. Elle leva les yeux vers lui.
« - Enfin ! J'ai cru que tu n'allais jamais te décider à me dire pourquoi tu es ici ! »
Sirius rit, imité par Emy.
« - C'est au sujet de Remus… »
Son visage était redevenu sérieux. La Gryffy hocha la tête.
« - Depuis que vous avez rompu, il paraît plus triste. Je ne sais pas ce qui a entraîné votre rupture et ce ne sont pas mes affaires mais… Je sais que c'est toi qui a voulu cette séparation… Emy… Il t'aime encore, beaucoup… Tu devrais peut-être reconsidérer ta décision parce qu'il est si malheureux en ce moment et… »
La jeune fille posa sa main sur celle de Sirius pour l'interrompre.
« - Padfoot, ne t'en fais pas pour Remus. Il est triste mais ça va lui passer. (Le jeune homme secoua la tête, incrédule) Si je t'assure ! Tout va aller pour le mieux. Je sais qu'il m'aime encore mais pas de la façon à laquelle tu penses. Pour lui, je suis une amie, la meilleure, une sorte de petite soeur. On ne peut pas continuer une histoire basée juste sur de l'amitié, il faut plus et il n'y avait pas ça entre nous. Il y a de la tendresse, de la confiance et même de l'amour mais pas de l'amour amoureux, juste un amour fraternel, sans passion et sans désirs. S'il est malheureux, c'est que c'est la fin d'une aventure. Notre relation a quand même duré quelques mois et il a l'impression d'avoir perdu un lien, quelque chose entre nous mais il se rendra vite compte que je suis toujours là pour lui et que l'on pourra débuter une nouvelle histoire, une belle histoire d'amitié. Et pour lui changer les idées, je sais ce qu'il lui faut ! Un ami à ses côtés, qui soit là pour l'épauler, pour l'écouter ou même une présence silencieuse et rassurante. (Emy avait dit cette dernière phrase en fixant intensément le jeune homme) Puis, d'ici, quelques temps, il aura compris tout seul ce que j'ai essayé de lui expliquer en rompant et il ira beaucoup mieux, tu verras ! »
Sirius avait écouté attentivement les propos d'Emy. D'une certaine manière, il était rassuré. La jeune fille, bien qu'elle ne voulait plus sortir avec Moony, semblait être toujours attachée à lui. Au moins, Remus pouvait être garanti d'être toujours son ami. Et il dut s'avouer qu'il était heureux de savoir qu'entre son meilleur ami et la jeune fille, il n'y avait plus rien. La seule chose qui le chagrinait était l'état un brin dépressif de son meilleur ami. Il aurait voulu pouvoir l'aider mais il avait pensé que seul Emy pourrait le sortir de sa dépression. Il se rendait compte que pour la jeune fille, leur relation était du passé, et qu'elle ne voyait plus Moony que comme son meilleur ami. Il soupira. Il espérait qu'il arriverait à rendre le sourire à Remus et que celui-ci comprenne que maintenant il ne pouvait attendre de la Gryffondor qu'une solide amitié. Il se leva.
« - Je vais… Je vais aller le retrouver…
Vas-y. Il a besoin de toi… »
Siry sourit à Emy avant de partir. Les yeux de la jeune fille pétillaient quand elle le regarda sortir de la pièce.
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La surface du lac opaque était calme. Le printemps commençait à montrer timidement le bout de son nez, la nature retrouvait quelques touches de couleur et on entendait le piaillement des oiseaux. Remus, assis par terre, les jambes repliés contre son torse, laissait ses pensées voguer. Il repensait à sa conversation avec sa meilleure amie. Elle avait raison de ne plus vouloir de cette mascarade de couple. Il savait qu'il n'avait plus le droit de lui imposer cela. Mais, d'une certaine manière, cette idée l'attristait ou l'avait attristé. Il ne savait plus trop où il en était.
C'était bizarre parce que quand ils « sortaient » ensemble, il n'avait jamais réellement considéré Emy comme sa petite amie ni le fait qu'ils étaient un vrai couple. Mais maintenant, qu'ils avaient « rompu » officiellement, il sentait comme s'il y avait une place de vide en lui, alors qu'il savait que son amie serait toujours là pour lui. Elle ne cessait de lui répéter, lui prouvant par milles et un gestes qui avaient d'ailleurs fait se poser bien des questions à Lily et à James.
Il sentit l'arrivée d'une personne. Se retournant légèrement, il aperçut Padfoot et lui sourit automatiquement. Il sentait son cœur battre à la chamade, comme à chaque fois que son ami était près de lui. Sirius vint s'asseoir à ses côtés silencieusement, contemplant l'étendue d'eau. Puis il reporta ses yeux gris sur lui et le fixa intensément.
« - Si tu veux que je te laisse seul…
Non, reste avec moi. » Murmura le loup-garou.
Padfoot sourit à son ami et partit à la recherche de sa main qu'il serra brièvement. Le contact des doigts de Sirius sur sa peau fit frissonner Remus et gonfla sa poitrine de bonheur. Il se rendit compte que la décision d'Emy le délivrait en fait d'un énorme poids. Il se sentait libre. Et il n'avait plus à mentir à ses amis et surtout à Paddy. D'un seul coup, toute sa tristesse disparut et se rapprochant de son meilleur ami, il posa sa tête sur son épaule. Sirius, d'abord étonné, l'aida à se caler. Ils restèrent un long moment silencieux dans cette position. Puis Remus se leva, résolut à profiter du beau temps, et proposa à Sirius une promenade dans le Parc. Ils discutèrent, s'amusèrent à des jeux d'associations et finirent par rentrer au château, arborant de grands sourires.
Emy rejoignit sa cousine dans une petite salle dont l'une des fenêtres donnait sur le Parc. Nicole regardait les deux jeunes hommes se courser près des arbres, elle fut bientôt imitée par sa parente. Elles s'entreregardèrent et se sourirent.
Réponses aux reviews :
Nardy : Merci ma maman pour ce message qui m'a fait bien sourire ! Heureuse que ce morceau t'ait plu parce que moi j'ai pris plaisir à écrire la déclaration de Sirius.
Fanli : Oui mais si Remus s'était réveille, l'auteure sadique n'aurait pas pu les garder dans la même situation et continuer cette fic ! LOL ! Merci pour les compliments.
Gaelle Gryffondor : Merci !
Ellie351 : Je m'excuse de t'avoir fait pleurer. Je suis un fan de moments un peu dramatique mais qui immanquablement finissent bien ! J'espère que ce petit chapitre t'aura plue aussi.
Caliméra : J'espère que tu te reposes bien et que tu vas pour le mieux. Ton mot m'a fait plaisir. Tu as su voir ce que j'ai voulu transmettre, en particulier pour Emy et Nicole (enfin pas tout mais ça je le garde pour moi ! lol). Quant à Severus, j'aime bcp ce perso (j'suis déjà une inconditionnelle des Snarry), tant dans les slashs, que dans les gens. C'est un perso mystérieux, assez ambigu, qui a encore bcp à nous apprendre. Mais il est tellement complexe que je n'oserai pas me lancer dans une fic sur lui mm si je rêve d'écrire une Snarry. Merci encore et n'hésite pas à me contacter (si tu le souhaites vraiment…). Poutoux.
Alana : Merci ! Contente que la déclaration ait plu !
Jenny : Comme tu as pu le constater, Emy a bien essayé de tout déballer mais Remus ne va pas entendre ! Mais ne t'inquiète pas, Emy a plus d'un tour dans son sac ! Le bisou… tu verras… s'éloigne en sifflotant
Oxaline : Tu ne peux pas savoir combien je suis contente de voir que le moment avec Severus plaît parce que j'avais peur que vous ne le trouviez pas intéressant ! J'espère que ce chapitre t'a plue aussi. Poutoux.