Disclaimer : Rien ne m'appartient et je ne gagne pas d'argent avec cette histoire. J'ai inventé les perso de Emy, Nicole et Jill.
Ma petite note d'auteur habituelle se trouve à la fin de la page.
Dix-neuvième chapitre :
Couché à même le sol, les genoux repliés blottis contre son torse, Sirius gémissait. Il avait erré toute la nuit dans la Forêt Interdite, espérant secrètement trouver une bête à la recherche d'une proie. Il avait même cherché le territoire des Centaures car il connaissait le sort que ces créatures réservaient aux humains assez fous pour se risquer dans leurs terres, mais cela devait être visiblement son jour de chance, car il n'avait réussi qu'à attraper un rhume.
Sirius rit de l'ironie de la situation. Combien de fois étaient-ils tombés, les Maraudeurs et lui, sur des bêtes peu recommandables dans la Forêt, alors qu'ils auraient préféré éviter ces rencontres ?
Un nouveau frisson le prit et il serra les dents. Il avait trouvé refuge dans le Cabane Hurlante.
C'était là qu'on enfermait les bêtes dangereuses. Celles qui représentaient une menace pour ses congénères. Et Sirius en était une de menace : il avait fait du mal à Moony.
Il entendait sa mère l'appeler, se moquer de lui. Et à son rire s'ajoutaient ceux de son père et de son frère.
« Tu n'es qu'un monstre, un bâtard ! Tu as vraiment cru que tu pourrais intéresser quelqu'un ! Même un être aussi dépravé que ce-ce loup-garou sait ! Il sait que tu ne vaux rien ! Sale engeance ! Crève ! »
Sa mère l'entourait de sa présence malfaisante, lui crachant milles insultes, l'empoisonnant de ses remarques insultantes… l'enjoignant à se tuer.
« Tu n'es qu'un faible… Mon pauvre petit Sirius… Le beau Sirius… Tu t'es cru irrésistible… »
Ses paroles se terminèrent dans un rire cruel qui résonnait dans la tête de Padfoot. Sa mère se transformait sous ses yeux pour prendre l'apparence de son père, puis de Regulus, de Jill, de Bellatrix, de Narcissa, de Snape… de Remus…
« Tu n'es qu'un monstre ! »
Il plaqua ses mains sur ses oreilles, il voulait que tout cela cesse…
Il vit non loin de lui, un morceau de bois, un pied de chaise que Remus avait dû casser pendant une des nuits de pleine lune. Il connaissait un sort qui métamorphosait le bois en lame… Il prit sa baguette de sa poche et la pointa sur la baguette. De sa voix éraillée et basse, il prononça le sort…
Remus sortit du tunnel et se trouva à l'intérieur de la maison. Une envie de fuir le prit aux trippes. Il voulait partir, déguerpir, s'éloigner de cette cabane qu'il haïssait et qui le lui rendait bien. Mais il ne pouvait pas laisser son ami.
« Sirius… » Murmura-t-il.
Il monta aussi rapidement qu'il put les marches qui menaçaient de s'effondrer à chacun de ses pas. Il arriva sur un long couloir. Tout au bout, il y avait une porte à moitié fermée. Il n'y avait aucun bruit humain. On n'entendait que la maison qui gémissait dans des craquements lugubres. Le chemin jusqu'à la porte lui sembla durer une éternité.
Quand il arriva devant, il leva doucement une main et poussa le battant, qui grinça légèrement.
La lumière du jour emplissait la pièce, sortant de chaque fenêtre mais aussi de tous les trous que comptaient les murs. Il avança dans la pièce et réprima un haut-le-cœur. Plus que tout le reste de la maison, il haïssait cette pièce où on l'enfermait.
Là dans un coin, près du lit, il fit une forme allongée. Son cœur manqua un battement, puis deux. Il s'arrêta un long moment. Un effroi glacé avait pris possession de lui. C'était Sirius couché là… et il ne bougeait pas… Une larme solitaire coula le long de sa joue.
Puis, il frémit. Il avait cru entendre quelque chose. Ca recommençait. Il marcha lentement pour ne pas brusquer son ami. Il tendait l'oreille pour entendre ce qu'il disait. Quand il ne fut qu'à quelques pas de lui, il s'immobilisa à nouveau glacé.
« Tu n'es qu'un monstre. »
Voici ce que Padfoot répétait.
Le disait-il à lui ? Savait-il qu'il se trouvait ici ? Essayait-il de lui dire qu'il le maudissait, qu'il le haïssait ?
Sirius rit, d'un rire dément et froid qui pétrifia de terreur son meilleur ami.
« Je sais maman, je ne suis qu'un monstre ! »
Remus resta immobile pendant plusieurs minutes. Il pensait que ça en était fini, que Sirius ne pensait plus à ça. Mais il s'était trompé. Ils s'étaient tous les deux trompés, James et lui. Il recommençait, comme après sa fugue.
« Je l'aime tant… Mais je ne suis qu'un monstre… »
Remus ferma les yeux. Il ne voulait pas entendre parler de Jill, il ne voulait p…
« Moony, mon Moony, je ne suis qu'un monstre. Je ne te mérite pas… »
Le loup-garou fixait incrédule son ami. Il secoua la tête, il ne pouvait pas… « Non, c'est faux. Il délire, c'est tout ! » Toujours la même petite voix, la pernicieuse. Mais elle faiblissait, remplacée par celle de Emy. Remus, tu devrais le voir quand il te regarde ! On dirait que des petites étoiles éclairent son regard. Il tient tellement à toi. Crois en lui… Toutes ces fois où Emy lui parlaient de Sirius… Serait-ce possible que…
Il s'approcha doucement de son ami et s'assit à ses côtés. Avec lenteur, il vint enserrer ses épaules et il l'appela :
« Siry ! »
D'abord, l'animagus ne réagit pas, continuant à gémir et à se balancer. Puis en sentant la main descendre et monter sur son bras, il se redressa vivement. Voyant son ami, il écarquilla les yeux puis se recula pour se retrouver le dos contre le mur. Ses bras entourèrent ses jambes, il rongeait ses ongles, sans oser lever les yeux vers le Préfet.
« Sirius… »
Quand Moony essaya de l'approcher, ce dernier recula.
« Rem's, va-t-en… Sinon, je vais te faire du mal. Je ne suis pas digne de toi. Tu es-tu es si… »
Le loup-garou en entendant ses mots secoua la tête et voulut prendre la main de son ami mais ce dernier le repoussa. Les larmes coulaient le long des joues du Préfet. Il avait mal de voir son ami ainsi, de savoir que c'était sa faute. Il s'approcha à genoux vers l'animagus, qui recula encore mais qui fut vite bloqué par le lit. Un bout de bois traînait au sol. Machinalement, le châtain le saisit pour le jeter un peu plus loin. Mais il le lâcha prestement quand il se coupa. Il regarda l'entaille dans sa main puis le morceau par terre. Il remarqua alors que ce qu'il avait pris pour un pied de chaise était un fourreau. Il en sortit un long poignard. Il mit du temps à comprendre à quoi cette lame aurait pu servir à son meilleur ami. Il jeta au loin le poignard et se tourna rempli de colère vers l'animagus, recroquevillé entre le lit et le mur.
« Je t'interdis ! Tu m'entends, je t'interdis de me quitter ! »
Il avait crié avec une telle force que Sirius prit encore plus peur. Voyant la réaction du brun, l'autre se calma instantanément. Doucement, pour ne pas l'effrayer davantage, il se plaça à ses côtés et caressa ses jambes, tout en lui murmurant des paroles réconfortantes.
« Siry, c'est moi. C'est Moony. Regarde-moi. Je ne te veux aucun mal. Regarde. Il n'y a pas de problèmes, c'est juste moi. Viens. Mon ami. Viens. »
Les paroles et le ton employé hypnotisèrent Sirius qui se laissa aller contre le torse du lycanthrope. Il cala sa tête dans un creux de sa gorge et huma son odeur. Les bras de Remus l'entourèrent rapidement. Il voulut se dégager mais le Préfet était plus fort que lui et il réussit à le faire rester à sa place. Il ne sut combien de temps ils restèrent dans cette position. Il sentait contre son torse les battements affolés du cœur de son ami. Puis ils se calmèrent. Finalement, Sirius s'endormit, fatigué par tant de tourments. Moony le souleva dans ses bras et le coucha sur le lit. Il attrapa une couverture et la posa sur le corps endormi. Il s'allongea auprès de lui et veilla son sommeil, le consolant dès qu'il faisait un cauchemar.
Le soleil déclinait quand Sirius se réveilla. Il cligna plusieurs fois des yeux avant de les ouvrir complètement. Quand il vit Remus penché au-dessus de lui, il lui sourit tendrement. En le voyant ainsi, le Préfet sut que son Siry était revenu. Mais très vite le sourire de l'animagus disparut quand il se rendit compte où ils étaient. Il se leva brutalement en se rappelant ce qu'il avait fait. Il vit au loin le poignard. Il fut tenté d'aller le ramasser mais il avait assez fui. Il resta assis sur le bord du lit, la tête baissée, les mains croisées entre ses cuisses, attendant la sentence.
Doucement, il sentit Remus bouger derrière lui. Il aurait voulu que son ami se dépêche, qu'il lui dise ce qu'il avait à lui dire, qu'il lui brise le cœur pour ne plus avoir ce stupide espoir au fond de lui… Il est venu te chercher…
Et alors qu'il s'attendait à ce que le Préfet se lève du lit pour lui parler, il sentit deux jambes se placer de part et d'autre de son corps puis deux bras lui enserrer la taille pendant que le visage de Moony se cachait dans sa nuque. Il n'osa pas faire un mouvement, de peur de briser cette étreinte, de le voir s'éloigner et disparaître. Le châtain poussa une profonde inspiration.
« Je… je ne sais pas… Merlin… si tu t'étais… Je t'aurai rejoint. Tu sais ça Siry. Je ne pourrai pas vivre sans toi… Ce n'est pas poss… (Il fit une longue pause puis déposa un baiser léger sur le cou de Black) Je m'excuse, je n'avais pas compris … je ne savais pas que tu… que tu… »
Il s'arrêta ne sachant pas ce qu'il devait dire. Sirius souleva une de ses mains et pressa un bras passé autour de son ventre pour l'encourager.
« Paddy, dis-le moi ! Dis-moi… Est-ce que… est-ce que tu… est-ce que tu m'aimes ? »
Le brun ouvrit la bouche mais il n'arrivait pas à parler. Il ne savait plus ce qu'il devait dire.
« S'il-te-plaît Paddy, réponds-moi. J'ai besoin de l'entendre de ta bouche… Cela fait si longtemps-si longtemps que je rêve de l'entendre… »
Les paroles du châtain eurent du mal à remonter jusqu'au cerveau embrumé de l'autre. Quand il comprit enfin le sens, il se plongea dans ses pensées. Il était terriblement partagé. Que voulait entendre Remus ? Puis il entendit son ami hoqueter. Il pleurait.
Doucement, il se retourna. Moony avait le visage baissé, ses bras s'étaient relâchés autour de Sirius. Il pleurait doucement, presque silencieusement, se mordant les lèvres pour ne pas crier. L'animagus souleva le menton de son ami et plongea ses prunelles dans les siennes. Il y lut tant de doute et de peur qu'il faillit s'éloigner mais il y discerna autre chose, tout au fond, cette lueur qu'il aimait tant dans le regard de son Remus.
« Je t'aime. »
Il l'avait dit d'une voix ferme. C'était sans appel, sans doute. Il n'y avait aucune hésitation. Sirius était très conscient de ses sentiments. Mais le Préfet avait encore du mal à y croire. Il avait l'impression d'être dans un rêve et qu'il allait se réveiller, dans son lit, loin des bras de celui qu'il aimait. Il devait être sûr : il se pencha et, fermant les yeux, déposa un baiser sur les lèvres de Sirius. Quand il s'écarta, Padfoot prit son visage et le rapprocha pour un nouveau baiser passionné. Il savait que Remus n'avait pas seulement besoin de paroles, il devait lui prouver son amour.
Leurs fronts se collèrent brièvement, Sirius déposa sur celui-ci de Remus de petits bisous brûlants.
« Je t'aime Moony. » Lui répéta-t-il.
Et enfin, le loup-garou sourit. Il avait encore du mal à croire à sa chance mais il faisait confiance à son meilleur ami. Par contre, ce dernier ne semblait pas très heureux. Quand Remus ouvrit la bouche pour lui demander ce qui n'allait pas, Sirius le devança :
« Je ne te mérite pas. »
Il allait se lever mais il fut stoppé par son ami qui le regardait résolument. Il posa un doigt sur sa bouche, le sommant de l'écouter attentivement.
« Je t'aime. Je t'aime pour ce que tu es : Sirius Black. Le jeune homme rebelle à sa condition d'enfant de Serpentards partisans de la philosophie de Voldemort, qui a eu le courage de tenir tête à sa famille, en devenant un Gryffondor et en les quittant, achevant de leur prouver qu'il n'adhérerait jamais à leurs idées malsaines. J'aime Sirius, le beau Maraudeur qui fait tourner la tête des filles et de quelques garçons, qui ne se complait qu'à faire des blagues plus ou moins drôles aux Serpentards, tout en étudiant un minimum. J'aime Padfoot, le sentir près de moi à chaque transformation, quand la pleine lune se retire ou quand il est à mes côtés pendant la nuit. Je t'aime inconscient du danger que je représente pour toi et pour les autres, insouciant, rebelle à toute autorité, indépendant, fort devant l'adversité, fragile, courageux tout de même, fidèle à tes convictions et à tes amis, menteur et manipulateur… Je connais tout de ta personnalité, j'ai eu le temps de tout savoir de toi. Et plus j'en apprenais et plus je t'aimais. Et je t'interdis de te traiter de monstre, personne n'a le droit d'insulter l'homme que j'aime. »
Remus lui sourit tendrement. Sirius lui rendit un sourire embué de larmes. Il n'avait pu empêcher les larmes de couler en entendant le début de la déclaration de son ami.
« Je t'aime Sirius Black. »
Le sourire tendre de Padfoot se transforma en un coquin. Brusquement, il captura le doigt encore posé sur sa bouche et le suça malicieusement. Remus éclata de rire. Sirius se jeta sur lui et entreprit de le chatouiller, trop heureux de le faire rire à nouveau.
Lupin demanda assez vite grâce. Les chatouilles furent vite remplacées par des baisers. La journée finit mieux qu'elle n'avait commencé, entre câlins et rires.
Ce furent le Professeur Dumbledore et Hagrid qui les retrouvèrent la nuit venue. Le professeur MacGonagall avait donné l'alerte quand elle n'avait pas vu le Préfet à son cours puis à l'heure du déjeuner. Pour que Sirius n'aie pas d'ennuis, Remus raconta qu'il avait eu des problèmes de conscience par rapport à sa lycanthropie. Hagrid avait retrouvé le poignard. Le loup-garou avait préféré faire croire aux professeurs que c'était lui qui avait failli faire une bêtise.
Ils retrouvèrent leurs amis qui s'étaient angoissés, surtout en voyant l'état d'Emy. Remus apprit alors que la jeune fille avait dû être amenée à l'infirmerie car elle était tombée dans un état proche de la catatonie. Nicole était à son chevet. Quand cette dernière les vit ensemble, elle leur tomba dans les bras, non sans avoir giflé au préalable Sirius (« Ça c'est pour l'angoisse que tu m'as fait vivre. Et puis, Remus a eu le droit à une aussi, c'est plus juste ainsi ! »). L'état de la Gryffondor s'était améliorée en voyant que Sirius se portait bien. Elle regarda timidement Remus, n'osant pas lui demander ce qu'il s'était passé entre eux. Alors, Moony prit la main de Siry dans la sienne et la porta à sa bouche. Les deux filles sourirent, heureuses.
« - C'est pas trop tôt ! » Lança tout de même Nicole.
« - Comme ça pas trop tôt ?
- Depuis le temps que tu baves sur Remus, tu aurais pu lui sauter dessus depuis longtemps ! »
Padfoot s'étrangla.
« - Lui sauter dessus ? Non, mais…mais… C'est mon meilleur ami, on ne saute pas sur les gens comme ça, d'une quelconque manière… et puis, et puis… je ne bavais pas, d'abord… !
- Quels arguments, le clébard ! Vu comment Remus te regardait, il aurait été plutôt consentant si tu avais sauté sur lui ! Et puis, pour la bave, tu repasseras, parce que tu n'as pas été très discret. Je suis sûre que même Peter-je-ne-vois-que-des-gâteaux-et-encore-s-ils-sont-devant-moi-Pettigrew a dû remarquer ton manège ! »
Il s'ensuivit alors une dispute mémorable qui se solda par l'expulsion de l'infirmerie des Gryffondors et de la Serdaigle par Madame Pomfresh. Nicole essaya bien de négocier une nouvelle entrée mais elle se heurta à un refus catégorique. La jeune femme n'avait plus parlé à Black pendant plus de douze heures avant de reprendre une énième dispute.
Remus, debout, contemplait le lac. Il commençait à faire chaud. Il avait posé sa robe à ses pieds et avait retroussé les manches de sa chemise. D'ici à quelques semaines, cela serait la fin pour lui de son séjour à Poudlard. Les septièmes années passeront leurs ASPICS puis ils quitteront définitivement le collège pour une nouvelle vie. Il savait que cela serait dur pour lui. Rien n'est facile pour un loup-garou mais il avait maintenant de l'espoir.
Il pensa à son petit Cœur qui était sortie de l'infirmerie et qui était jalousement protégée par sa cousine. Elle parlait sur le ponton au-dessus du lac avec Severus Snape qui semblait pour une fois ne pas être le bâtard insensible et inaccessible pour lequel il voulait se faire passer. Non loin, à portée des yeux, Nicole contait fleurette à une de ses camarades de Poufsouffle qui semblait bien s'amuser.
C'est alors qu'il sentit une brève caresse sur sa main droite. Il n'eut pas besoin de regarder à ses côtés pour savoir que c'était Sirius qui était près de lui. Ils avaient parlé à leurs amis de leur amour mais ne voulait pas l'exhiber à tout le château.
Remus sourit. Il ne sentait plus de vide en lui. Il avait repris espoir, son espoir… Sirius.
Note de l'auteur : J'espère que ce chapitre vous a plus. Cela ne fait que … quelques mois que vous l'attendez, n'est-ce pas ? J'ai mis beaucoup de cœur à le faire et à ce qu'il soit parfait, j'espère que vous n'êtes pas trop déçus !
Je suis contente d'être arrivée à 200 reviews, c'est la plus belle chose qui aurait pu arriver à cette fic. Merci à vous tous !
Attention : Ceci n'est pas le dernier chapitre de la fic. Je ne vous ai pas frustrés autant pour ne pas développer un peu plus leurs relations. Je ne peux encore vous dire la suite de la fic mais je devrai continuer au moins sur leurs vacances en Europe. Je reviendrai mi-août et j'essaierai de poster la suite à la fin du mois ou au début du mois de septembre.
A nouveau je remercie tous mes lecteurs et mes revieweurs. A bientôt.
Réponses aux reviews :
Griselle : Bien sûr que tu es une de mes auteures préférées et je vais avoir beaucoup de mal à partir en sachant que je ne lirai probablement pas la suite de ta fic (je pars dimanche, jour où généralement tu updates !). Mais j'aurai le plaisir de lire plusieurs chapitres à mon retour. Sirius est pour moi quelqu'un de fragile, qui cache des blessures profondes ravivées par son séjour à Azkaban, c'est pk il est un peu maboule aussi. J'ai essayé de passer ça dans mon chapitre, je ne sais pas trop si cela est réussi. Qu'as-tu pensé de la scène de « réconciliation » ? Merci pour ta review.
Ten-shi : Je suis contente de voir que ma petite danse a plu à au moins une personne (lol). Merci pour ta bannière qui m'a fait rougir de plaisir. Pour ce qui est de la baffe, cela a soulagé Emy mais aussi l'auteure que je suis. Il est saoulant Remus à la longue, il n'arrête pas de pleurnicher ! (se rappelle que c'est elle qui écrit… va se cacher sous son bureau). Ah oui, je suis la chef pour le suspens ! Je sais que comme ça que vous êtes obligés de suivre (rire sardonique… qui finit dans une quinte de toux… J'vais boire mon sirop et je reviens !). Moi aussi je suis en manque de RLSB, mais je suis aussi en manque de RWHP et SSHP parce que pour la première catégorie, il n'y en a pas beaucoup et pour la deuxième, il y en a beaucoup mais de moins en moins originales… snif ! Alors, pour tes questions : Emy et Nicole (se met à rire sous cape… rit toujours… Continue à rire…) Désolée je sors mon Joker ! (Comment ça je n'ai pas le droit à un Joker ? Sort sa baguette… Le voilà mon joker et attention Severus m'a appris à dégainer plus vite que mon ombre…). Pour Mary et Suzy, je n'avais pas prévu de les ressusciter (bon, elles ne sont pas mortes mais je me comprends) mais si j'ai une idée, pk pas ! Je les aime bien ces deux-là. Pour Jill, avec Titef (ma correctrice), on lui a amenagé une superbe pièce avec tous les derniers accessoires à la mode : chaise électrique, tison, marteau, scalpels, couteaux rouillés et autres instruments pour parfaire sa beauté. Elle n'est pas très reconnaissante parce qu'elle crie tout le temps mais comme elle meurt de plus en plus vite (c'est même plus amusant…), Bubus nous la ressucite dès qu'on en a besoin (je suis son dealer officiel de produits aux citrons donc il le fait sans me poser des questions. Donc pour te dire: voici la clé de la pièce, Jill est prête à te recevoir, attachée à sa chaise… Amuse-toi bien ! Pour son nouveau copain, il fallait qu'elle remonte sa cote de popularité après l'histoire avec Siry, surtout que beaucoup de rumeurs ont couru au sujet de sa rupture (l'une d'elle persistante disait que si Sirius l'avait quittée, c'était parce qu'il avait découvert qu'elle était en faite… un homme ! Depuis tout le monde essaie de voir si elle a une pomme d'Adam ! On se demande encore qui a lancé cette rumeur… Nicole qui passait par là, lève les yeux vers le plafond tout en sifflotant : « Oh la belle étoile filante ! » Gred : « Nicole, il fait encore jour… et tu es dans le château là !). Pour le papa de Nicole, il n'est absolument pas gentil mais elle s'en balance bien de lui, pour elle ne compte que sa cousine et sa grand-mère (et depuis peu son demi-frère qui n'a rien fait à Merlin pour mériter un père pareil !). Je ne t'assommerai jamais Ten-Shi ! Je ne suis pas si barbare… Par contre te bâillonner… (lol !). Merci pour ta super review. Poutoux.
Enora : Ma scène était-elle assez larmoyante? (Enora : non, je veux plus de larmes ! Nicole débarque et donne un coup de pied dans le tibia de Sirius, qui s'écroule. Là, il y a assez de larmes ?). Nicole est super heureuse que tu l'apprécies, elle t'envoie pleins de bisous. Elle te file même un rencard, si tu veux ? (Gred : Nicole, arrête de draguer ! Enora va avoir peur de répondre maintenant !). Merci pour ton mot.
Jenny : J'ai été gentille avec toi, hein ? Pas de coupure « à la cochonne » ! J'espère que tu t'es réhydratée et que tu vas mieux ! (regard anxieux) Alors, tu as aimé ? Poutoux.
Tête de nœud : J'adore ton pseudo ! (Gred se remet à danser : « un nouveau lecteur ! ») Merci pour tout ce que tu me dis de gentil. La suite n'a pas été longue à arriver. J'espère qu'elle t'a plue. Poutoux.
Eileen Ann : Merci.
Caliméra : Je vois qu'on a la même idée sur Sirius. Qu'est-ce que tu penses de ce que j'ai fait de lui au début du chapitre ? J'espère réellement que ce chap t'a plue ! Tu as raison pour Emy, le problème vient surtout de la mort de son père, alors elle plaque tout sur Sirius mais avec un peu de raison quand même. Bien que pour moi Sirius n'aurait pas été capable d'aller jusqu'au bout… enfin, je ne sais pas trop. Je t'embrasse et te remercie encore.
Fanli : Qu'as-tu pensé de la scène de retrouvailles ? Je ne pourrai pas t'en vouloir, tu es une revieweuse fidèle et je te remercie pour tes gentilles paroles. Enfin Remus se rend compte mais il doute encore avant que Sirius ne lui dise vraiment. Que veux-tu, il ne croit que ce qu'il voit … Enfin ici, c'est plutôt ce qu'il entend ! Poutoux.
Luminaria : Ta review m'a fit assez rire. Je ne connaissais effectivement pas le mot que tu utilises pour qualifier ma fic mais je le proposerais bien pour entrer dans le dico, lol ! Je suis contente de voir que même ceux qui n'apprécient pas spécialement le slash (et dire que j'ai été de ces personnes ! Ca me semble si lointain), aiment quand même ma fic. Cela prouve qu'elle est crédible et qu'elle tient le coup. Je trouve ça encore plus encourageant ! Merci. Heureusement pour moi tu ne vas pas me torturer. Par contre, je suis désolée, mais il n'y aura pas d'update avant longtemps, vacances oblige. J'espère que tes tentations violentes ne reviendront pas à la surface ! Merci beaucoup. Poutoux.
Alana Chantelune : Sirius n'a pas fait de conneries mais il a failli, heureusement, Remus est arrivé sans se presser, le Grand Remus, le… Pourqoui est-ce que je me met à chanter du Henri Salvador, maitenant… (regarde l'heure… ah oui ! Il est tard !). J'espère que ce nouveau chapitre t'a plue. Poutoux.
Sango : Alors pour la désintox à ma fic , c'est la troisième porte à gauche en partant du sixième ascenseur à votre droite, dans le couloir du milieu, celui de l'aile Ouest… Tu as compris ? J'espère que cette suite t'a plu. Merci. Poutoux.
Merci encore à tous et bonnes vacances !
Gred.
