Ithilisilwen : si tu ne m'avais pas lâchement abandonné pour un baptistère, tu saurais ! lol
Sans ta correction, je suis toute perdue dans un monde cruel.
Sherazade : que te dire, si ce n'est que tes reviews me chamboulent à chaque foi !
Alala je t'aurais fait attendre, mais je pense que c'est mieux comme çaKittyarra : et oui le pauvre il souffre ! Mais on ne saura pas dans l'immédiat pourquoi ? Le plus tard sera le mieux -- ; crois-moi ! Mais je vais semer des indices qui devraient vous permettre de trouver. Merci beaucoup pour tes encouragements, je suis heureuse de te voir toujours fidèle au poste.
L'ange noir : merci beaucoup ! Moi aussi en écrivant le dernier chapitre, j'ai vidé mon stock de mouchoir et ce n'est pas les derniers qui vont être utilisés ! lol pour l'instant, un peu de répit
Vyrses : je pense que Yue se rend compte que c'est à Sakura qu'il demande de l'aide.
Quant au nom de cet ancien maître, je ne peux pas en dire plus, mais tu devrais trouver facilement. : D merci pour tes reviews qui me donnent toujours une mega pêche.
Talia : encore désolé pour ces suites si courtes ! Celle ci est un peu plus longue que les autres, mais la suite devrait arriver très rapidement, avant la semaine prochaine sûrement ! En tout cas, ravie que ça te plaise toujours !
Darkangel guard : merci beaucoup bienvenue par mis nous ! Ne te fais pas de soucis, cette fic n'est pas abandonné, j'ai même dernièrement écrit la fin !
Merci a vous tous de votre soutient ! Je ne demanderais jamais assez pardon de tant tarder à mettre des suites ! En tout cas j'espère que ce chapitre vous plaira.
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La porte de la chambre s'ouvrit violemment et cinq silhouettes apparurent dans l'embrasure de la porte. Kero était revenu accompagné de Toya, Yukito, Eriol ainsi que ses deux gardiens.Lorsque le lion était venu paniqué, à leur rencontre, ils n'avaient posé aucunes questions et avaient accouru. A présent, la stupeur se lisait sur leurs visages. Sous leurs yeux se déroulait une scène pour le moins inhabituelle.Sakura était assise par terre, le visage couvert de larmes. Juste a coté d'elle s'étendait un corps, celui de Yue, inconscient.Tous restèrent silencieux mais après quelques secondes d'un silence pesant, Kero prit la parole.
K : Sakura, est-ce que ça va ?
La jeune femme ne répondit pas.
Toya s'approcha à son tour, inquiet : dis quelque chose…
S : …il, il m'appelait à l'aide…
K : tu as réussit à l'approcher ?
S : je, il avait peur de nous Kero ! peur de nous…
Face à la détresse de la jeune femme, Eriol vint à ses cotés pour tenter de la relever.
E en la relevant : calme-toi. Tu vas t'installer dans ce fauteuil et tout nous raconter.
Quelque chose stoppa net Sakura dans son mouvement. Ses yeux étaient fixés sur son poignet.
E : qu'est ce que… ?
Une main d'une pâleur irréelle, celle de Yue, enserrait son bras et semblait ne pas vouloir lâcher prise. Il fallut le secours de Ruby Moon et Yukito pour le faire desserrer son étreinte.
T : mais enfin que ce passe t-il ?
Devant l'absence de réponse il réitéra sa question, plus forte cette foi ci.
S à bout : je n'en sais rien Toya !
E : Calmez-vous, ça ne sert à rien de s'énerver.
D'un geste, il essuya les larmes qui mouillaient encore le visage de la jeune femme et s'essaya face à elle.
E la regardant droit dans les yeux : que s'est-il passé exactement? Pourquoi êtes vous tout les deux dans cet état ?
S : il était en nage et j'ai voulu essayer de l'aider…il s'est réveillé en sursaut, suppliant pour ne pas qu'on le touche, je ne savais pas quoi faire ! J'ai réussit à l'approcher mais il avait si peur ! Il s'est ensuite accroché à mon bras et s'est effondré.
Eriol resta quelques secondes circonspect : Est-ce qu'il t'a parlé ?
S : ces paroles étaient totalement incohérentes…
E : c'est important !
S agacé : il m'appelait à l'aide ! Je veux savoir ce qu'il s'est passé ! Si quelqu'un ici sait quelques chose, qu'il me le dise immédiatement.
E : je n'en sais pas plus que toi, mais peut-être ne faudrait-il pas le savoir…
S : il en est hors de question ! Mon gardien, l'homme que j'aime à besoin de moi, je dois savoir.
L'aplomb avec lequel elle avait dit cette phrase avait surpris tout le monde.
E lui souriant : très bien, nous allons essayer de trouver une réponse. Ruby, s'il te plait, peux-tu aller chercher mon grimoire ?
Rm : bien sur, j'y vais tout de suite. Elle sortit rapidement de la pièce.
K : qu'est-ce que tu espères trouver dans ton livre ?
E : une réponse Kerobero, une réponse.
Après quelques minutes d'un silence pesant, Ruby finit par revenir, un énorme livre dans les mains. Elle le donna à Eriol, qui esquissa un rictus de douleur au moment de tendre son bras. Sans doute les restes de son combat avec Yue et sakura.
S : est-ce que ça va ?
Elle observait le sorcier. Malgré les derniers évènements, il continuait à sourire, ce même sourire bienveillant depuis qu'ils étaient enfants.
E : oui, merci.
Kero était à présent collé a Eriol et semblait très impatient. Le sorcier en revanche était imperturbable, il tournait lentement les pages défraîchies du grimoire, sans se soucier des yeux braqués sur lui.
K : alors ? Vous trouvez ?
E : peut-être bien…
S : c'est vrai ?
E : oui je crois, il y a quelque chose ici qui pourrait expliquer la réaction de Yue.
S : parles s'il te plait.
E : d'après ce que je lis, on dirait que Yue est bloqué au milieu de ses souvenirs.
K : mais comment c'est possible ?
E : il est dit qu'après un choc important, l'esprit peut se perdre. Visiblement, le choc qu'il a eu l'autre nuit a fait remonter ses souvenirs violemment à la surface et il n'arrive plus à en sortir.
S : mais alors on ne peut rien faire ?
E : bien au contraire, il faut intervenir sinon il peut ne jamais se réveiller.
Sakura parût affolé : Jamais ! Mais qu'est ce que tu attends pour me dire quoi faire ?
E : que tu te reposes, dans ton état tu ne lui seras d'aucune aide.
En effet, de profondes cernes marquaient le visage de la jeune femme qui tremblait sans s'en rendre compte.
S : mais…
Toya l'interrompit : il n'y a pas de « mais », depuis combien de temps tu n'as pas dormi ?
S :…
T : c'est bien ce que je pensais, tu vas aller te coucher tout de suite.
Cela faisait longtemps qu'il ne s'était pas comporté comme ça avec elle. En l'espace que quelques secondes, il était redevenu ce grand frère, lorsqu'elle était enfant, veillait sur elle d'un œil jaloux et la protégeait.Sakura esquissa un faible sourire en sa direction.
S : très bien, j'abdique…
Elle se laissa entraîner hors de la chambre par Eriol et sa gardienne mais au moment de passer la porte, quelque chose l'arrêta.
S : et Yue ?
Il était toujours à terre, personne n'avait osé le toucher.
T : je m'en occupe. Pendant ce temps, va dormir.
S : tu es sure ?
Yk d'une voix douce : sois sans craintes. Nous allons veiller sur lui, il ne peut rien se passer.
Bientôt, il ne resta plus que Yukito et son compagnon dans la chambre, tous avaient suivi Sakura.
Yukito voulut s'approcher de Yue, mais Toya l'arrêta, presque effrayé.
T : je m'en occupe. Il joignit les gestes a la parole et en quelque seconde, il se retrouva avec Yue dans les bras.
C'était la deuxième foi en une semaine et ça le mettait mal alaise. Durant toutes ses années, il avait tout fait pour l'éviter. Pas vraiment lui mais ce qu'il reflétait, ce masque inexpressif toujours figé un ce visage beaucoup trop parfait était insupportable à voir. Lui qui désirait plus que tout avoir Yukito à ses cotés, ne retrouvait rien de celui qu'il aimait dans les traits de Yue.Il le posa une nouvelle foi sur le lit de Sakura et ramena les couvertures sur lui.
Yukito le regardait faire, perdu dans ses pensés.Pourquoi l'avait-il empêché d'approcher Yue ? Il n'aurait certainement jamais de réponses, Toya était si secret.
Yk : Sommes-nous si différents lui et moi ?
T : pourquoi dis-tu ça ?
Yk : tu m'aimes n'est-ce pas ?
T : mais quelle question, bien sur !
Yk : alors, pourquoi moi et pas lui ? après tout j'aurais très bien pu n'être que son inconscient ou que sais-je encore…
T le regardant intensément : j'ai su tout de suite que vous n'étiez pas les mêmes, je ne saurais pas te l'expliquer, mais tout comme je savais que tu étais sa forme d'emprunt, je savais…
Yukito vint s'asseoir prés de son compagnon et l'embrassa tendrement. Il finit par stopper ce baiser et le regarda d'un air espiègle.
Yk : ah oui, tu savais ?
T : je sais tout !
Yk en riant : et bien tu aurais du le dire ! Ca nous aurais évité, à lui comme à moi, pas mal de soucis !
T : ça n'aurait pas été drôle !
Yk : TOYA
Les deux se mirent à rire. Le sourire de Yuki était si brillant, ça n'a jamais fais aucun doute, lui et Yue sont comme l'ombre et la lumière. Alors que Yuki est lumière et vie, Yue malgré son immense beauté, n'est que froid et tristesse. Avait-il un jour été heureux ou bien en était-il incapable ?
Yk : a quoi penses-tu ?
T : hum ?
Yk : tu m'écoutes ?
T : jamais ! Ce serait beaucoup trop fatigant !
Yk : TOYA !
Cette nuit, sakura ne dormit pas beaucoup. Elle revoyait sans cesse le visage de Yue, le voir dans cet état la tétanisait. Qu'est-ce qui pouvait provoquer en lui tant de souffrances, c'est ce qu'elle allait essayer de découvrir.
Au petit matin, sakura fit de nouveau son entrée dans la chambre. Elle affichait une mine à peine plus reposée que la veille, ce qui ne rassurait en rien son frère et Kero.Elle ne dit rien et vint s'asseoir quelques minutes sur son lit, aux cotés de l'ange. Doucement elle caressait son visage, est-ce qu'elle le verrait de nouveau sourire ?
E s'avançant prudemment : Sakura, es-tu prête ?
S : …
S : sakura ?
S d'un ton résolu : oui.
E : très bien, alors je vais te demander de t'allongé à ses cotés et de lui prendre la main.
K : avant que tu ne partes, es-tu consciente que si quelque chose devait arriver, nous ne pourrions pas t'aider ?
S lui souriant : je sais Kero, ne t'en fait pas tout ira bien.
Malgré son sourire, elle n'était pas rassurée, qu'allait t-elle voir ? Peut-être Yue en se réveillant lui en voudrait-il ? C'était trop Tard pour reculer.
Elle s'allongea alors ton contre Yue, le contact de sa peau contre la sienne la fit frissonner.
E : très bien, je te demande de fermer les yeux et de te concentrer. Laisses toi habiter par l'aura de Yue.
Quelques secondes passèrent sans un bruit.
E : Sakura, est-ce que tu m'entends ?
Après quelques instant sans que rien ne change, une douce chaleur monta en elle, comme si quelqu'un l'enlaçait. Comme si il l'enlaçait.
S :…oui…
E : est-ce que tu vois quelque chose ?
Elle était à présent dans un long couloir et au bout il y avait…
S : il y a une porte…
E : ouvre là.
Impossible de l'ouvrir, ses pieds restaient désespérément cloués au sol.
S : je ne peux pas avancer…
E : Sers-toi de ta magie.
S : je n'y arrive pas…
E : concentre toi et respires.
La porte semblait, soudain plus grosse.
S : …je me rapproche, ça y est je…
Elle pouvait à présent saisir la poignée, mais a l'instant ou elle la toucha, un éclair l'aveugla, puis ce fut le noir.
E : Sakura ?
T : que ce passe t-il, elle ne parle plus.
E : elle est entrée dans son esprit, c'est à elle de ses débrouiller maintenant.
« « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « « «
Petit à petit, la chaleur qui avait envahit Sakura s'estompait. Bientôt elle fut remplacée par un froid intense qui força la jeune femme à ouvrir les yeux.
Ce qu'elle découvrit près d'elle la stupéfia.
Elle n'était pas seule, il y avait quelqu'un prés d'elle, a quelques mètres de là.
Etais-ce un homme ? Une femme ? Difficile à dire.
La faible lumière faisait apparaître la belle musculature de cet être, musculature qu'une femme ne pouvait arborer.
Cependant, il persistait un doute quant a son identité car faisant un contraste avec la musculature, les longs cheveux argentés qu'elle arborait formaient une parure digne de susciter les envies des plus belles femmes.
Cette vision était indescriptible, à couper le souffle. On eu put aisément croire, qu'une rivière d'argent avait détourné son cour, pour venir s'étaler sur la tête et les épaules de cet être merveilleux.
Sakura observa une longue minute, les larmes aux yeux, incapable de faire le moindre geste.
Ça devait être un rêve, jamais elle n'avait vu pareille splendeur.
La chevelure brillait tellement que Sakura était hypnotisé… et ce, à tel point qu'elle en oublia de contempler le reste de la personne. Car il y avait un phénomène de taille, qu'elle avait complètement oublié : des ailes !
Deux ailes d'une taille démesurée se tenaient de part et d'autre du corps de ce qui semblait à présent être celui d'un jeune homme.
Sakura se mit à rêver, tout lui revint en mémoire, son enfance, les cartes, sa famille…tout ce qu'elle aimait était réunit dans cet être, rien n'était plus divin, plus parfait…et pourtant, il lui semblait avoir déjà vu cette créature, cet ange quelque part…non impossible, jamais elle n'avait vu une telle splendeur et pourtant.
Poussé par l'envie de voir le visage cet être, Sakura se redressa et osa un pas en avant. L'ange ne bougea pas. Elle s'approcha d'avantage, chaque pas étais difficile, c'était comme s'enfoncé dans la boue.
Elle était à présent si proche de lui que son nez aurait pu toucher le dos de l'ange.
Il était resté parfaitement immobile. Sakura respectait tellement la créature, qu'elle avait fait en sorte de ne pas le toucher. Le moindre contact avec lui aurait pu l'électrocuter, elle aurait préféré mourir que de le toucher.
De prés, l'ange était plus magnifique encore, une espèce d'aura laiteuse l'entourait.
Totalement absorbé par sa vision, elle sursauta lorsqu'une voix se fit entendre.
Qui osait ? Qui pouvait parler en un instant pareil ?
Sakura détourna son regard à grand peine de l'ange, pour se fixer sur l'intrus. Elle fut saisit d'effroi.
S : Clow !
C'était bien lui, et il se rapprochait.
Que faisait-il ? Il allait faire fuir l'ange, bientôt elle serait de nouveau plongé dans les ténèbres.
C : approches.
A qui parlait-il ? A elle ?
C : gardien, approches toi.
Gardien ? Mais…Sakura resta interdite de longues minutes. Non, c'était inconcevable !
La créature se tourna avec une grâce infinie vers celui qui venait de prononcer ces paroles. Chacun de ses gestes était un miracle a chaque fois renouvelé. Etais-ce possible que…
S : YUE ! Elle voulut courir vers lui, se blottir dans son dos mais sa main ne fit que passer au travers de son corps.
Comment étais-ce possible ? Ce n'était qu'une simple vision ?
Sakura resta là, incapable de prononcer un mot de plus. Le silence ne régna pas longtemps, puisque qu'une deuxième voix se fit entendre. Une voix tinter d'admiration.
Voix 2 : une merveille, merveille…Clow, je te félicite !
Clow lui souriant : je te remercie Tristan.
Tr : tu devrais t'ennuyer plus souvent, c'est une réussite totale.
C : ça, impossible de le dire pour l'instant. Seul le temps nous le dira.
Tr : tu as raison.
Yue se trouvait à présent face à Clow, toujours baigné dans cette lumière irréelle.
Clow détourna son regard pour l'observer, ses yeux détaillaient chaque centimètre du corps de l'ange. Sakura sentit monter en elle de la colère. Etais-ce vraiment ça ? Non cela ressemblait plutôt à de la jalousie.
Après cet examen détaillé, Clow se tourna de nouveau vers son ami
C : peut-être faudrait-il l'habiller ?
Tr : est-ce nécessaire ?
C d'un air réprobateur : Tristan !
Tr : ce n'était qu'une plaisanterie.
C'étais cela, une vision. Complètement absorbée par la contemplation de l'ange, elle en avait oublié pourquoi elle était là. Mais ou était-elle ?
Dans une sorte de cave aux murs sombres et ruisselants. Elle ne connaissait pas cet endroit et ne voulait pas le connaître. A nouveau, la voix de Clow la sortit de ses pensées.
C : sais-tu qui je suis ?
Il tenait dans ses mains, un costume que Sakura connaissait bien, celui que Yue n'avait pas quitté depuis des siècles.
Cette foi, Yue répondit. Sa voix semblait millénaire, comme s'il avait eu des milliers d'autres vies. C'était cette même voix qui avait hypnotisé Sakura lors de jugement, l'avait consolé tant de fois, l'avait séduite.
Y : vous êtes mon maître.
C : en effet, je me nomme Clow Read. Et Sais-tu qui tu es ?
Y : je suis votre serviteur.
C souriant calmement : mais encore…
Y : je dois m'occuper de vous.
Clow se mit à rire, il y avait tellement de détermination dans la voix de l'ange !
C : connais-tu ton prénom ?
Y :…
C : tu t'appel Yue, ce qui signifie lune en chinois.
Y :…Yue…
C : cela te convient ?
Y : Oui.
C : et bien Yue, tu devrais t'habiller.
D'un geste, il tendit le costume qu'il tenait dans les mains à l'ange qui le regardait perplexe.
Clow se mit à rire de nouveau : il y a beaucoup à apprendre Yue, mais sache dors et déjà qu'on ne peut pas rester nu toute la journée.
Il prononça une formule et le costume disparu de ses mains pour réapparaître sur l'ange.
C : c'est mieux !
Le fait qu'il soit à présent vêtu, n'entachait en rien sa splendeur. Ça ne faisait qu'accentuer la blancheur de sa peau et la splendeur de sa chevelure.
Doucement, Tristan s'avança à son tour. C'était un homme blond, assez grand et d'apparence plutôt banale. Il dénotait avec Clow par les vêtements qu'il portait. Des vêtements occidentaux, impossibles à resituer dans leur époque.
Tr : tu ne me présente pas Clow ?
C : Excuse-moi ! Yue, voici Tristan. C'est lui qui m'a tout appris et tu dois le considérer comme ton maître.
Yue restait imperturbable : bien maître Clow.
C : il y a une autre chose que tu dois savoir, il t'es interdit de te servir de la force ou bien de ta magie, sauf si je te le demande.
Y : magie ?
C : nous verrons cela plus tard, pour l'instant tu devrais dormir.
Il plaça sa main en fasse du visage de l'ange, ce qui suffit à le faire s'écrouler dans ses bras, endormi.
Tout autour de Sakura devint noir, la vision avait disparut, Yue avait disparut. Pourtant, une emprunte persistait sur la rétine de Sakura. La jeune femme avait le souffle coupé, elle avait assisté aux premières minutes de l'existence de Yue.
Au bout de quelques secondes, tout se matérialisa ne nouveaux sous ses yeux. Elle aurait voulu rester là, ne jamais partir, seulement regardé Yue, sa lumière si réconfortante. Seulement, une porte se matérialisa sous ses yeux.
S surprise : La même porte que l'autre foi !
Cela ne pouvait signifier qu'une chose, il fallait qu'elle avance.
Etouffants ses regrets, elle avança lentement sa main vers la poignée et sans même qu'elle ne la touche, la porte s'ouvrit.
Après une hésitation, elle traversa.
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Je tiens à remercier Tiffany, qui est en grande partie l'auteur de la description de Yue que vous avez pu lire ! Ma Tiffanaï, quel talent ! Je t'adore.
Désolé pour les nombreuses fautes d'orthographe, mais ma correctrice officielle est en vacance. J'espère que ça ne vous a pas trop gêné.
