Disclaimer : les personnages de Fruit basket ne m'appartienne pas !Mais Mélina, Jack,
Hélène et compagnie oui, alors pas touche ! Sinon ....

Note de l'auteur : Cette fan fiction se passe dans le passé, Momiji est alors âgé de 2 ans
et Hatori de 14 (pour les autres faites le calcul ^^")

Chapitre 4 - Un sacré Caractère


C'est alors que Momiji me bouscule derrière ce qui me fait perdre l'équilibre, je m'emmêle avec mes béquille, ma robe et mes pieds. Je lâche tout et je tombe en avant, sur le jeune garçon qui du coup tombe également par terre moi dessus.

- Hatori, Mélina çà va ? demandent les deux hommes qui avaient assisté à la scène sans avoir pu rien faire.

Il n'y eu un gros poum mais pas de gros pouf comme ils s'attendaient a l'entendre. Ils pensaient retrouver un pauvre hippocampe totalement assommé, au lieu de çà il y a par terre Hatori sur le dos et moi dessus.

- Dis tout de suite que tu aimes tomber sur moi je serais fixé et je prendrais un casque pour me protéger, dit le jeune homme plus amusé qu'autre chose.

Agacée et extrêmement honteuse de la position dans laquelle je me trouve. Je lui réponds :

- Je te signale que si je suis responsable de cette chute si ! c'est toi qui est responsable de l'autre car si ton baka neko ne s'était pas mit à courir derrière une pauvre nezumi et cela devant mon cheval qui en a extrêmement peur des souris, il ne se serait pas cabré et je ne serais pas tombée !

- Vous pourriez peut-être vous relevé avant de politiser sur la personne responsable non ? dit amusé le médecin.

Même si ils ne l'ont pas montré ils sont tous étonné du fait qu'Hatori ne se soit pas transformé. Hatori lui n'est pas vraiment pas étonné car il ne s'était pas transformé non plus la fois dernière.

Encore plus gênée que tout à l'heure je réussis difficilement à me dégager en me faisant rouler sur le côté droit me retrouvant alors sur le dos, je réunis mes forces pour me mettre assise. Hatori se relève avec plus de facilité que moi et quand je vais pour m'appuyer sur ma cheville bandé il dit :

- Attends.

Il me tend une main, j'hésite, j'avance la main et au moment de le frôler je prends un bon coup de respiration. Il me tend la deuxième, je la prends et il m'aide à me relever sans que j'ai à forcer sur ma cheville qui soit dit en passant ne me fait pas du tout mal mais j'ai promis de jouer le jeu et de ne pas poser mon pied pendant une semaine.

Une fois debout, un grand silence s'installe quelques seconde avant que le médecin demande par curiosité :

- Si vous nous expliquiez tous les deux, visiblement vous vous connaissiez avant. Mais avant je ferme le cabinet et je vous rejoins à la maison.

Il me tend mes béquilles, mais voilà que Momiji me rentre dans les jambes. Je garde l'équilibre comme je peux. Je râle :

- C'est pas vrai, allé Momiji s'il te plait, tu vas me refaire tomber.

Deux bras viennent soulever Momiji pour le porter, il s'agit du jeune garçon qui le met sur ses épaules le petit est tout content de cette nouvelle ascension. Le jeune garçon me regarde et dit :

- Fais attention avec tes béquilles.

- Merci.

Il sort et je le suis, alors que le père de Momiji discute avec le docteur le temps que ce dernier ferme le cabinet.

- C'est étrange que cette gamine ne fasse pas se transformer Momiji ni mon fils dit le médecin.

- Sait on pourquoi on l'a amené à l'intérieur. Tu soigne Akito peut-être es-tu au courant.

- Le seul truc que j'ai entendue c'est que cette gamine serait peut-être une parente et que d'une manière ou d'une autre elle serait peut-être maudit ce qui expliquerait pourquoi Momiji et Hatori ne se transforment pas à son contact. Après tout il reste encore quelques signes du zodiaque qui ne sont pas encore né. Tel que le Mouton et le tigre.

- En effet, mais si c'est le cas je me demande de quelle branche elle est.

- Tu c'est bien qu'on est un nombre incroyable et que nous ne nous connaissons pas tous.

- Oui c'est vrai. Nous l'apprendrons bien en tant voulu notamment si elle se cogne accidentellement avec un garçon non maudit.

Ils ferment la porte du cabinet et se dirige vers la maison du docteur.
Pendant ce temps là, Hatori qui est très grand et qui donne de faire la tête en permanence demande :

- Comment est-ce que tu as débarqué dans notre maison de fous ?

- Hi ; hi, en fait ils sont venus me chercher en Angleterre en me disant qu'il était possible que je fasse partie de votre famille. Je suis arrivée tout à l'heure. Et a peine arrivée le médecin a mis la main sur moi _ et je suis sure qu'il va m'envoyer à l'hôpital -_-'.

- Mais non mon père n'envoie pas les gens comme çà sans raison à l'hôpital.

- Au fait pendant que j'y pense ! tu es partie tellement vite la dernière fois dans la forêt après que je sois tombée sur toi, je n'ai pas eu l'occasion de te remercier. Alors je te remercie maintenant.

J'ai posé mes béquille par terre et je sautille sur une jambe et je vais lui faire une bise sur la joue. Il est surpris, je lui dis simplement.

- Les filles ont déjà dut souvent t'embrasser. Mais pour moi çà représente beaucoup, une énorme volonté de ma part car je ne supporte pas le contact avec les autres, surtout avec les garçons. Je peux faire beaucoup de mal sans le vouloir juste parce qu'on me touche Alors comme je t'aime bien tu as une bonne tête même si tu fais toujours la tête. Voici le conseil que je te donne : si tu vois que je suis bizarre à un moment donné, que quelqu'un est en train de m'embêter, éloigne toi le plus vite possible de moi, d'accord ?

- Comment çà bizarre ?

- Promets juste (en lui tendant mon petit doigt)

Il est tellement déboussolé par mon discourt que machinalement il fait la promesse.

- Ok.

C'est le moment que choisissent le médecin et le PDG pour entrer, je sautille a nouveau pour aller récupérer mes béquilles. Momiji est toujours sur les genoux d'Hatori, il s'est endormit paisible. Ils s'assoient et disent :

- Alors racontez nous.

Je leur raconte ce qui s'est passé et une fois le récit terminé, je demande à Hatori :

- Dis, c'était qui le gars qui nous a observé ? parce qu'après çà, j'ai sentie sa présence pendant presque tout le mois qui a suivit. La seule période ou j'ai eu la paix c'était pendant la période du trente et un au trois janvier. Après mes impressions d'être observées ont recommencées. Et c'est quelques chose de très désagréable.

Il me regarde étonné et me dit :

- Autant que je sache j'étais tout seul

Un grand silence se pose, Hatori qui culpabilise et me demande :

- Au fait tu avais pas été blessé lors de ta chute de cheval ?

- Si je me suis faite une entorse au genoux.

- Comment tu es rentrée alors ?

- Eclipse le cheval de Jack et revenu une fois que la souris a déguerpis. Je l'ai forcé à se coucher et j'ai passé ma jambe droite par dessus elle et j'ai mis l'étrier. Et j'ai tiré sur la lanière pour qu'elle se relève, j'ai eu assez peur c'était la première fois que je le faisais alors que j'avais mal à mon genou. Pour finir je suis rentrée doucement je crois que je n'étais jamais rentrée aussi lentement à cheval.

- Qu'avais tu eu pour ton anniversaire ?

- Un cheval que j'ai appelée Light, une paire de boucle d'oreille, un foulard, et une robe.

- Ton cheval il est ou là ?

- Je sais pas je suppose qu'ils l'ont gardéspour que si un jour je veux le récupérer. C'est dommage je venais juste de commencer à le monter.

- Au fait Hatori, qu'est ce que tu faisais dans ce bois ?

- Je cherchais mon rat qui s'est fait coursé par le chat.

- Je vois.

Etrange me dis-je, ils sont assez évasif sur certains sujet

Tout à coup entre un jeune garçon en uniforme qui entre sans même remarquer notre présence très bruyant :

- Hatori !! tu viens on va se promener avec Aya ! ?

Hatori répond sur de lui :

- Je ne peux pas, comme tu peux le voir Shiguré, il y a de la visite.

Le jeune garçon en question qui était entrée en trombe les yeux au trois quart fermés et il dit juste :

- Bonjour tout le monde !!!!!!! Est ce que çà vous dérange si je vous enlève Hatori Chan !!

- Shiguré dit doucement Hatori sans perdre patience. C'est moi qui refuse de venir pas mon père qui m'en empêche.

Je regarde celui qui s'appelle Shiguré avec insistance. Je me dis qu'il est étrange et un peu trop spontané. Finalement il semble remarqué ma présence et dit :

- C'est qui cette gamine ? elle est minus et pas formée du tout elle est pas intéressante.

Avant que qui que ce soit ne réagisse je deviens rouge, à la fois de honte et de colère. Je sers le poing sous la table et je saisie un cousin qui était pas loin je lui envoie en pleine poire. Je lui réponds acerbe :

- LA GAMINE elle te trouve assez insolant, tu n'es qu'un SUKEBE (obsédé) !

Je me lève comme je peux avec ma cheville je fais attention de ne pas l'accentuer. Je prends les béquilles et je sors je mets mes chaussures et je sors. Les autres restent muets ils étaient tous persuadés que comme je suis quelqu'un de calme je resterais stoïque a ce genre de paroles.
Le plus surpris reste néanmoins qui s'est pris le coussin dans la figure il dit :

- Mais qu'est ce qui lui a pris ? d'un air étonné.

Hatori qui ne fut pas surpris par ma réaction lui répond :

- Shiguré, le problème avec toi, c'est que tu dis des choses blessante et que tu ne t'en rends même pas compte. Maintenant tu dois aller la chercher et t'excuser.

- Mais c'était pas dit méchamment.

- Peut-être mais certaine personne sont plus sensible aux remarques et aux méchanceté même involontaire que d'autres. Cette enfant plus que les autres sans doute dit doucement le père d'Hatori.

- Bon c'est bon ! je vais y aller dit Shiguré d'un air penaud. Mais comment je vais la retrouver elle doit être perdue.

- Raison de plus pour la retrouver dit Hatori en se levant. Je pense qu'elle doit être allé en direction du grand cerisier, on le voit bien d'ici. Et je sais qu'elle aime bien s'assoire contre un arbre quand elle est en colère ou qu'elle a besoin de réfléchir.

- Comment tu sais çà lui demandent Le père de Momiji et son père.

- Plus tard les explication les presse tout à coup Shiguré. Il va y avoir un fort orage et je ne pense pas qu'une petite fille aime beaucoup les orages.


Le ciel s'est assombrit tout à coup comme si il obéissait inconsciemment aux sentiments qui accompagnent mon cur. Malheureusement pour moi je distingue d'ors et déjà les premier éclairs et les premiers coup de tonner également. Je compte le décalage entre l'éclairs et la détonation et j'estime que l'orage est à 3.2 km environ, car je sais qu'en une seconde le son parcours environ 800 mètres.
Au deuxième éclaire la distance est divisée par deux

Je suis recroquevillé contre le grand cerisier, je tremble un peu, je déteste les orage çà me tétanise. Déjà la pluie commence à tomber de manière diffuse au début puis de plus en plus serré devenant un véritable rideau. J'aimerais bien rentrer mais malheureusement je serais bien incapable de retrouver mon chemin.

Tout à coup je vois quelque chose de blanc se diriger vers moi quand je reconnais ce que sait je hurle :

- Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !


Fin du chapitre 4


Si vous avez des commentaires n'hésitez pas envoyez moi un mail à chibiusa@ifrance.com

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