Titre : Raison d'exister
Auteur : Petite Lady
Chibiusa@ifrance.com
Disclaimer : les personnages de Fruit basket ne m'appartienne pas !Mais Mélina, Jack,
Hélène et compagnie oui, alors pas touche ! Sinon ....
Note de l'auteur : Cette fan fiction se passe dans le passé, Momiji est alors âgé de 2 ans
et Hatori de 14 (pour les autres faites le calcul ^^")
Chapitre 6 : la Saint-Valentin.
Nous sommes le 13 février, j'habite avec Momiji depuis exactement vingt trois jours et de ma propre initiative et après leur avoir demander leur accord j'appelle les parents de Momiji Otôsan et Okasân.
Mélina Chan ?
Oui Okasân dis-je en entrant dans la cuisine.
Sais tu ce que sont les Onigiris ?
Ce sont des boulettes de riz non ?
Exact. Sais-tu les faire ?
Non, la seule chose que je sais faire c'est les manger.
Hi, hi, hi.
Mais je sais cuisiner plein d'autres choses.
Comme quoi ?
Spaghettis à la bolognaise, gratin dauphinois, pizza, omelettes, et plein d'autres choses.
Oh tu sais en cuisiner des plats. C'est de la cuisine française ?
Entre autre, il y a aussi de la cuisine italienne. Mon plat préféré c'est les lasagnes.
Et tu c'est les faire ?
Je connais la recette mais j'ai jamais essayer un peu délicat à faire.
On essaiera ensemble un jour si tu veux comme çà je pourrais t'aider.
Génial ! Au fait c'est bientôt la St-Valentin. j'ai entendue dire que la tradition était différente de celle de l'Europe.
Quelle est celle de l'Europe ?
Et bien ce sont les filles qui offrent des chocolats à leur petits amis. Si j'ai bien compris au Japon il faut en offrir à tout ceux qui nous tiennent à c?ur ?
C'est exact.
Je pourrais utiliser votre cuisine Okasân ?
Bien entendue, tu voudras que je t'aide ?
J'aimerais essayer toute seule mais si j'y arrive pas je pourrais toujours vous demander de m'aider n'est ce pas ?
Tout à coup entre le petit Momiji qui avance d'un air joyeux en direction de nous et il dit : maman ! Dediiii !
Sa mère semble excédée elle lui lance :
sors de là ! je ne veux pas te voir Momiji SORS DE LA JE NE VEUX PAS TE VOIR.
Le petit garçon cesse nette ces exaltations joyeuses pour faire un visage tout triste. Je décide d'intervenir et je dis :
Okasân. Je vais aller jouer avec Momiji. Appelez moi si je dois vous aider.
Non çà va Mélina dit-elle tout à coup plus calme. Le riz est presque cuit, une fois cuit il faut mettre un peu de vinaigre de riz et ensuite laisser reposer jusqu'à ce que l'on puisse faire des boulettes. Je t'appellerais quand ce sera refroidit.
D'accord. Je vais aller chez Hatori avec Momiji.
Très bien.
Jusqu'à présent je n'ai jamais posé de questions sur la raison de cette hystérie envers son fils. Voilà 20 jours que je vis ici et je me sens à présent assez à l'aise. Il y a plusieurs chose que je ne comprends pas, pourquoi doit on agir selon les volontés d'Akito ? pourquoi la mère de Momiji réagit elle de cette manière face à lui ? et enfin pourquoi sont ils tant persuadé que j'appartient à leur famille ? Tante Elise a dit qu'elle connaissait mes parents et qu'elle était partie à leur recherche c'est pour çà que je me suis retrouvé chez Jack. Et comme ils ont pas réussit à trouver Tante Elise et bien ils n'ont rien pu faire contre les avocats des Soma. Çà aurait été trop d'argent dépenser pour un jeu de ping-pong devant les juges, j'ai préféré me résigner à partir pour le bien de tous. sauf peut- être pour moi. Une main tire sur ma jupe longue, je sors de mes réflexions et je me baisse pour prendre Momiji dans les bras.
On y va Miji ?
Oh vi !!
Nous, nous dirigeons vers la maison d'Hatori quand tout à coup devant moi surgit :
Ah Ah ah ! Bonjour jeune demoiselle ! laissez moi vous prendre dans mes bras pour vous faire un gros câlin.
Non sans façon Aya ! ne t'approche pas de moi si non je hurle !
Et pourquoi je ne peux pas te prendre dans mes bras ?
Parce que tu me fais penser à un serpent ! toujours sifflant et surgissant n'importe ou.
Aya déglutit un peu à ces paroles.
~ aurait elle devinée ce que je suis ?
Il n'a pas le temps d'aller plus loin quand :
Mélina Chan !
A l'entente de cette voix, je fais non de la tête et je me désespère toute seule.
~ comment font-ils pour me trouver chaque fois que je fais un pas dehors. je les attire ?
Dis Shi-chan ! tu serais pas un chien par hasard ?
Ils avalent tout les deux leur salives. Et avec la grosse goutte de sueur sur le front il me demande :
Pourquoi tu me dis çà ?
Car j'avais l'habitude en Angleterre d'attirer les chiens. Ils venaient directement vers moi car ils sentaient que j'avais peur d'eux. Je déteste les chiens et les serpents.
Mais non voyons, c'est vrai que je suis du signe du chien mais je t'assure que si j'apparais toujours devant toi c'est juste pour t'embêter.
Baka lui dis-je avant de les dépasser et de frapper à la porte de la maison d'Hatori.
Entrez ! dit une voix.
Je m'exécute. Une fois tout les quatre installés je demande :
Vous aimes les chocolats ? ou vous préférez les bonbons ?
Pourquoi tu nous poses cette question ? demandent t'ils tous en même temps.
Secret ! Répondez s'il vous plait.
J'aime tout moi ! ma douce enfant aux yeux bleus me répond Shiguré.
Shiguré intervient Hatori, je te signale que Mélina a les yeux verts.
Je sais ! mais çà fait plus romantique comme çà.
Je suis désabusée je dis juste assez bas :
Baka.
Moi ce sont les bonbons à la fraise Ah ! Ah ! Ah !
Et toi Ha Chan ? tu aimes quoi ?
J'ai une préférence pour les chocolats.
Donc ce sera des chocolats pour tout le monde dis-je joyeusement.
Moi je voulais des bonbons à la Fraise ?
J'ai fait à la majorité !
Shiguré a dit qu'il aimait les deux n'est ce pas Hatori ?
Comme d'entre vous trois c'est Hatori que je préfère et bien sa voix compte pour deux !
~ Je suis méchante, mais c'est juste pour les taquiner ! chacun aura ceux qu'il aime le plus, le plus amusant est de les voir s'affoler.
Je suis pas ton préféré ? me demande Shiguré avec les yeux pleins de larmes.
Certainement pas ! Et puis mon préféré c'est aucun de vous trois ! c'est Momiji.
Le petit garçon qui était blottit dans les bras de Mélina se relève un peu quand il entend son prénom et il regarde les personnes présentes avec des points d'interrogations dans le regard avant de me regarder moi.
Oui Momiji ! tu es mon préférer car tu es le seul que je peux prendre dans mes bras.
Shiguré et Ayamé s'approchent dangereusement de moi.
~ Est-ce que j'ai dis quelques chose qui ait pu les tromper sur mes
intentions ?
Hatori s'il te plait, tu peux leur dire de s'éloigner dis-je avec une voix très tendue.
Shiguré ! Ayamé ! arrêtez !
Mais c'est elle qui a dit qu'elle ne pouvait prendre dans ses bras que Momiji alors on voulait lui proposer de nous prendre dans ses bras.
Le jour ou je réussirais à prendre un garçon dans mes bras sans éprouver un profond mal être je vous inviterais au restaurant ! Cela dit les deux fois ou je me suis retrouvée dans les bras d'Hatori, je me sentais pas trop mal.
Momiji ?
Le petit garçon lève la tête, ses yeux pleins de fatigue, il était sur le
point de s'endormir.
Papa ! dit-il tout à coup parfaitement réveillé en tendant les bras.
Allez viens mon grand, c'est l'heure de manger. Je te remercie de t'en occuper autant Mélina Chan.
Oh ce n'est rien Otto San il est très gentils et attachant. Pourrais-je vous poser une question ?
Oui bien sure, laquelle est-ce ?
Hum, comment dire. çà fait environ trois semaines que je suis là, et je me disais que ce serait bien que j'aille à l'école non ?
Apparemment soulagé par la question il me répond :
Je vais en parler avec le chef de famille en rentrant ce soir d'accord ?
Génial.
Il va pour partir avec Momiji quand je me souviens d'une question qui me trotte depuis un moment.
J'ai une autre question s'il vous plait Otto-San.
Oui laquelle Mélina ?
Pourquoi ?
Pourquoi quoi ?
Pourquoi Oka-San rejette t'elle autant Momiji que çà ? C'est son fils non ? C'est vrai quoi, depuis que je suis ici, je constate qu'a chaque fois que Momiji veut aller dans ses bras soit elle le repousse violemment soit elle se met à hurler. Pourquoi ? Avec moi elle ne fait rien de tout çà pourtant je ne suis pas sa fille. pourquoi.
Ils savaient tous qu'à un moment donné je poserais cette question, ils le savaient.
C'est en fait tout simple. Momiji est différent des autres enfants, et il ne correspond à ce qu'intérieurement elle se faisait avant d'avoir Momiji.
C'est de l'égoïsme donc ?
.
Parce que son enfant est différent de ce qu'elle voulait initialement. elle le rejette ? elle lui refuse son amour parce qu'il est différent. Et bien si c'est comme çà. Moi je ne laisserais jamais tomber Momiji. Même si il se révèle que je ne suis pas une Sôma contrairement à ce que vous semblez le penser tous. Et bien il pourra toujours me joindre je serais toujours sa grande-s?ur quoi qu'il arrive. pour que si un jour il est vraiment triste il se dise que je serais là et qu'il a une raison d'exister.
Ils sont déboussoler, Otto-San qui porte Momiji s'abaisse à ma hauteur et il me demande inquiet :
Dis moi Mélina. Est ce que tu as une raison d'exister toi ?
Je baisse la tête et je ne réponds pas. Et je fais un vague signe de la main aux garçons pour leur indiquer que je m'en vais et je sors par la porte.
Quelques heures plus tard c'est Hatori qui vient s'asseoir à côté de moi près du grand cerisier qui se trouve au centrer du manoir.
Mélina est ce que çà va ?
Oui. ne vous inquiétez pas pour moi.
Bien sure que l'on s'inquiète pour toi. C'est normal. Tu n'as pas manger du coup.
Je n'ai pas faim.
Il faut pourtant que tu manges.
Je devais faire à manger avec Oka San j'ai oublié.
Elle a dit que c'était pas grave. Tu apprendras à faire les Onigiris la prochaine fois.
Quelle heure est-t-il ?
16h30
Tu avais cours cet après-midi non ?
Oui.
Tu as manqué ?
Juste la dernière heure. je m'inquiétais pour toi. J'aime pas quand tu réagis comme çà.
Je suis désolée.
Viens là.
Il attire ma tête contre lui pour me faire un petit câlin très maladroit mais sincère, je sais qu'il le fait parce que je ne suis pas bien et qu'il veut me conseiller. C'est câlin comme il y 'en a entre les frères et s?urs quand ceci s'entendent très bien. Tout à coup je suis absente, cette sensation de sécurité me rappelle quelque chose, mais quoi ? Qui peut bien me faire partager un tel sentiment fraternel au point d'en être fusionnel ? C'est. Tout à coup je sors de ma rêverie en sursaut, le faisant sursauter par la même occasion :
Faut que je fasse des courses !
Quoi ?
Je dois faire des courses pour mes surprises ! Tu m'accompagnes ?
Tu veux qu'on aille à la supérette qui est au manoir ?
Non fis-je de la tête. Il me faut des produits spécifiques qui ne sont pas ici. Je suis désolée de t'embêter mais moi si je demande à sortir on va me dire non alors que si je suis avec toi çà devrait aller non ?
Il réfléchit un instant puis dit :
Ok on y va mais vite. Je dois juste demander à mon père de nous accompagner d'accord comme çà on ne nous disputera pas.
D'accord.
Attends moi ici on arrive.
Mais ton père risque d'être occupé ?
Ne t'inquiète pas. Attends moi
En effet, dix minutes plus tard le docteur et son fils arrivent.
En route joyeuse troupe annonce t'il un sourire immense aux lèvres.
Grosse goutte de sueur sur le front d'Hatori et le mien.
Devant le magasin.
Nous descendons de la limousine noire. Moi qui n'avait encore jamais vue Tokyo d'après le peu de souvenirs que j'ai. Tout es lumière il fait froid on est encore en février. La pénombre règne déjà et les lumière illumine de partout. Il y a très peu de passants. Les immeubles sont d'une hauteur ! je suis impressionner par ce gigantisme de cette ville. L'infiniment petit dans l'infiniment grand et savoir que l'univers représente pour cette ville l'infiniment grand alors que moi rien que par rapport à cet immeuble qui fait certainement une trentaine d'étages je suis comment un microbe me donne le tournis.
Hatori m'observe avec attention.
On y va ? me demande doucement le docteur.
Selon moi on avait dut le mettre au courant pour ce qui s'était passé ce matin. Une fois entrer, il me demande :
De quoi avais-tu besoin ? De çà dis-je en démontrant quelques chose.
Ils paraissent étonnés et il me suivent dans le dédalle de rayons. Ils se retrouvent tous les deux chargés d'un panier de course chacun. Ils se demandent ce que je vais faire avec çà. Je finis par prendre les feuilles transparente comme pour entourer les bouquets. En parlant de bouquet je me dirige en direction du fleuriste. J'en ressort avec les bras charger d'?illet. Ils me regardent étonnés.
~ c'est sur qu'elle pouvait pas trouver tout çà au manoir mais que va t'elle faire de tout çà se dit Hatori
Je vois le rayon des scolaires. Et je bave quasiment sur une offre spécial proposant une pochette de dessin A3 avec tout le matériel pour faire des portraits au crayon.
Je m'en éloigne et je retourne vers le médecin et son fils. Je leur dis :
çà y est j'ai tout ce qui me faut.
C'est quoi que tu regardais là bas ?
Çà c'est rien.
C'est pas rien puisque tu bavais dessus.
Je fais une grimace et je dis :
J'adore dessiner, c pour çà que je m'extase devant du bon matériel. C'est tout.
Une fois tout les articles passés, la facture s'annonce salée mais je ne perds pas mes moyens comme si dépenser cette somme m'était « égale » ou plutôt comme si je pouvais me permettre une telle dépense. Je sors une carte visa internationale.
Ou l'as tu eu Mélina Chan me demande le Médecin.
C'est Jack il m'a ouvert un compte en Angleterre et il a dit qu'il me mettrait mon argent de poche dessus. Tante Elise aussi à dit qu'elle ferait un versement dessus jusqu'à ce que je retrouve mes parents.
Et combien ils mettent sur ton compte ?
Heu je crois qu'ils mettent tout les deux en tout quelque chose comme 20 00 £ (cf : 1 £~10 FF ~ 1E50) par mois.
Je croyais que tu n'avais pas de sous.
Je suis sans parent, cela ne signifie pas que je suis sans argent. D'autre part ce sont des prêts. Je les rembourserais plus tard même si ils ne le veulent pas.
Une fois rentrés, il est 18h30 , je les remercie, ils emmènent tout çà dans la cuisine d'Oka San et sous les yeux écarquillés de tout le monde. Je mets tout le monde à la porte de la cuisine. A l'exception de Momiji que j'installe dans la chaise haute car il faisait un caprice et ce serait mit à pleurer. Je mets vite mes fleurs d'?illets dans un vase remplie d'eau pour qu'elles ne se défraîchissent pas. Je me mets le tablier d'Oka San même si j'ai l'air ridicule avec car il fait trois fois ma taille. Je retrousse mes manches et à l'attaque. Je m'occupe tout d'abord du repas du soir pour me faire pardonner. Je leur prépare une tarte à la tomate à l'aide d'une pâte feuilleté, de la moutarde de Dijon, du Comté, les tomates (évidemment), et la mixture comme je l'appelle composée de concentré de tomate, huile d'olive, ail, herbes de Provence et c'est tout car j'ai pas trouvé les autres ingrédient dans le magasin mais çà devrait être bon. Pendant que four chauffe je m'adonne aux chocolats. Je vais utiliser pour leur forme des barquettes de glaçons, j'avais réussi à en réquisitionner 12 aine en tout et c'est le nombre qu'il me fallait. Je fais couler le chocolat fondu dedans et je le met dans le congélateur d'Oka San, d'ailleurs ce qui tombait bien c'était que le congélateur se trouvait en bas du frigo et non pas en haut comme d'habitude ce qui m'a arranger. Après j'ai appeler Oka San pour qu'elle mette ma tarte dans le four ainsi que le gâteau au chocolat.
Ils ne dirent rien sur le repas du soir, c'était nouveau pour eux mais ils ont appréciait cette cuisine européenne.
Le lendemain : le 14 février
Je me lève de bonheur pour voir ce que donnent mes chocolats. Je ne résiste pas à l'envie d'en piocher dans ma barquette et oui je m'en suis quand même fait ! j'adore les chocolats et c'est de la pure gourmandise. Délicieux. Je finis ma préparation avec le papier transparent acheter la veille en mettant les chocolats à l'intérieur, une fois tous installés j'utilise les ruban pour maintenir de chaque fermement le papier pour en faire une papillote et grâce à des autocollants que j'avais trouvé au magasin je leur met chacun d'entre eux un animal différent. J'en ai trouvé de toute sorte et de toute forme : chien, serpent, hippocampe, lapin, chat, souris etc. Dans la papillote pour Ayamé je lui fais la même présentation mais je glisse dedans à la place des chocolats des bonbons. Et pour Shiguré je fais moitié chocolats moitié bonbons. J'en fais un pour tout ceux que je connais et comme je sais que je vais rencontré une nouvelle fois le chef de famille tout à l'heure je lui en fais également même si je ne suis pas sure de l'effet que cela produira.
Une fois les paquets prêts la distribution peu commencer il est 9h30 on est samedi. Je mets tout çà dans un carton et je m'en vais avec évidemment je n'oublies pas d'en laisser dans l'assiette d'Oka San, d'Otto San. J'ai décidé que pour Momiji ce serait des chamalos. Je vais d'abord chez Ayamé, je vois que les volets de sa chambre sont toujours fermé je met le paquet dans la boite aux lettre avec une étiquette « Ayamé » et un autre au nom de « Yuki » qui contient également des chamalos. Ensuite direction la maison des parents de Shiguré encore une fois les volets sont fermés, je dispose donc dans sa boite aux lettres son petit paquet. Après être passé partout ailleurs il me reste plus que 5 paquets, je passe d'abord au Dojo pour le donner au professeur Kazuma même si je ne le connais pas bien, il m'a demandé de venir le voir quand il m'a croisé la dernière fois au manoir.
Monsieur Kazuma ?
Oh c'est toi Mélina San entre donc.
Je ne vous dérange pas ? je vous ai pas réveillée au moins.
Non, non. Viens t'asseoir.
Une fois installée il me dit :
Tu possède une sacré force et vue ton enfance, je voudrais t'apprendre à la maîtriser.
Maîtriser ma force ? mais mes bras c de la guimauve.
Hi hi hi. Oh je suis certains que tu as plus de force que çà. Et t'entraîner avec moi pourrait certainement t'aider à la canaliser et t'apprendre à t'en servir que quand tu as besoin.
Je veux bien ! Tenez au faite voici des chocolats pour la St Valentin.
Oh mais fallait pas.
Çà me fait plaisir vraiment. Faites attentions il faut les maintenir à une température assez basse. Puis-je y aller je dois encore voir Kyo Kun et Hatori San pour leur donner les leurs. En plus après j'ai rendez vous avec Akito. Je dois lui demander à aller à l'école. J'aimerais une école mixte.
Il va certainement refuser l'école mixte.
Pourquoi ? moi j'aime pas les école ou y'a que des filles, les filles sont des véritables pimbêches.
Je ne vais pas te retenir plus longtemps.
Au revoir professeur et à bientôt.
Ensuite je sonne à la porte de la maison de Kyo Kun. C'est sa mère qui m'ouvre.
Bonjour Madame. Puis-je entrer un moment ?
Tu n'as pas peur de nous ?
Pourquoi j'aurais honte ? nous sommes le jour de la saint valentin et je suis venue apporter des chamalos à Kyo.
Entre je t'en pris.
Bonjour Kyo, comment vas tu ? (aucune réponse) tient je t'ai apporter des bonbons.
Va t'en tu as peur de moi.
Peur de toi et pourquoi j'aurais peur de toi d'abord ?
Parce que je suis, je suis différents, je suis un monstre dit il du haut de ses trois ans et demi.
Ecoute Kyo Kun tout le monde est différents et parfois c'est un avantage comme çà peut être un inconvénient. Est ce que tu te trouves monstrueux. Est ce que toi tu aurais peur de toi ? Tu sais je crois que l'apparence n'a que peu d'importance. Ce qui compte c'est ce que l'on a dans le c?ur et surtout c'est ce que l'on pense de soi. Il ne faut surtout pas se regarder à travers les yeux des autres mais à travers ses propres yeux. Moi je te trouve très mignon. Tu as deux yeux, un nez une bouche, des cheveux, deux mains deux pieds. Et voilà tout.
Les larmes aux yeux il se jette dans mes bras, je récupère mon équilibre de justesse.
Tiens Kyo, c'est pour toi ce sont des chamalos tu aimes çà ?
J'ai encore jamais gouttés.
Tiens prends en un. Alors ?
C'est très bon. Merci.
En sortant de sa maison, je me demande bien pourquoi il se dit être un monstre.
~ Bon, je dois pas traîner il me reste encore Hatori à voir ! ensuite je donne ses chamalos à Momiji et après je me prépare pour aller voir le chef de famillle.
Je frappe à la porte de chez Hatori. Il m'ouvre l'air pas très bien réveillé.
Je suis désolée de te déranger, tient c'est pour la St valentin.
C'est pour qui les deux derniers.
Y'a celui de Momiji, et y'en a un pour Akito San je dois le voir dans une heure.
A ces paroles j'ai cru apercevoir de la peur dans le regard d'Hatori.
Il te veut quoi ?
Je veux aller à l'école et il veut me parler de çà.
Bon tu peux m'attendre je vais t'accompagner là-bas.
Tu es sure ?
Oui.
Une fois prêt il revient et nous sortons. Après une visite rapide pour déposer les Chamalos de Momiji.
Chez Akito
Tu es ponctuelle Mélina San c'est bien. Tu voulais me demander quelque chose ?
Oui j'aurais voulu que vous m'autorisiez à aller à l'école.
Et bien c'est accorder tu iras dans une école de jeune fille non loin du manoir.
Sauf votre respect, j'aurais préférer une école mixte.
Ce sera une école de filles il n'y a pas à discuter.
Je crois au contraire, que je serais mieux dans une école mixte, j'ai jamais été dans une école de jeune filles et je préfèrerais.
J'ai dis que ce sera une école de Jeune fille voilà tout ! cria Akito.
Je veux aller dans une école mixte dis-je avec une assurance que j'étais loin d'avoir en réalité.
J'ai dis non répond excédés Akito
Et moi je vous dis que je veux y aller !
Akito s'approche méchamment de moi étrangement je n'ai pas peur. Il lève la main très haut et.
Fin du chapitre
Je sais, je sais je suis une sadique ! Zahne me l'a déjà dit ( sur Aim ^^ !
Tant pis, en fait c'est pas pour méchanceté mais c'est parce que je dois quand même développer un peu le chapitre 11 qui n'aurais pas bcp d'intérêt si je ne laissait pas cette partie dedans. Pour tout commentaire c'es chibiusa@ifrance.com et à bientôt dans le chapitre 7
Auteur : Petite Lady
Chibiusa@ifrance.com
Disclaimer : les personnages de Fruit basket ne m'appartienne pas !Mais Mélina, Jack,
Hélène et compagnie oui, alors pas touche ! Sinon ....
Note de l'auteur : Cette fan fiction se passe dans le passé, Momiji est alors âgé de 2 ans
et Hatori de 14 (pour les autres faites le calcul ^^")
Chapitre 6 : la Saint-Valentin.
Nous sommes le 13 février, j'habite avec Momiji depuis exactement vingt trois jours et de ma propre initiative et après leur avoir demander leur accord j'appelle les parents de Momiji Otôsan et Okasân.
Mélina Chan ?
Oui Okasân dis-je en entrant dans la cuisine.
Sais tu ce que sont les Onigiris ?
Ce sont des boulettes de riz non ?
Exact. Sais-tu les faire ?
Non, la seule chose que je sais faire c'est les manger.
Hi, hi, hi.
Mais je sais cuisiner plein d'autres choses.
Comme quoi ?
Spaghettis à la bolognaise, gratin dauphinois, pizza, omelettes, et plein d'autres choses.
Oh tu sais en cuisiner des plats. C'est de la cuisine française ?
Entre autre, il y a aussi de la cuisine italienne. Mon plat préféré c'est les lasagnes.
Et tu c'est les faire ?
Je connais la recette mais j'ai jamais essayer un peu délicat à faire.
On essaiera ensemble un jour si tu veux comme çà je pourrais t'aider.
Génial ! Au fait c'est bientôt la St-Valentin. j'ai entendue dire que la tradition était différente de celle de l'Europe.
Quelle est celle de l'Europe ?
Et bien ce sont les filles qui offrent des chocolats à leur petits amis. Si j'ai bien compris au Japon il faut en offrir à tout ceux qui nous tiennent à c?ur ?
C'est exact.
Je pourrais utiliser votre cuisine Okasân ?
Bien entendue, tu voudras que je t'aide ?
J'aimerais essayer toute seule mais si j'y arrive pas je pourrais toujours vous demander de m'aider n'est ce pas ?
Tout à coup entre le petit Momiji qui avance d'un air joyeux en direction de nous et il dit : maman ! Dediiii !
Sa mère semble excédée elle lui lance :
sors de là ! je ne veux pas te voir Momiji SORS DE LA JE NE VEUX PAS TE VOIR.
Le petit garçon cesse nette ces exaltations joyeuses pour faire un visage tout triste. Je décide d'intervenir et je dis :
Okasân. Je vais aller jouer avec Momiji. Appelez moi si je dois vous aider.
Non çà va Mélina dit-elle tout à coup plus calme. Le riz est presque cuit, une fois cuit il faut mettre un peu de vinaigre de riz et ensuite laisser reposer jusqu'à ce que l'on puisse faire des boulettes. Je t'appellerais quand ce sera refroidit.
D'accord. Je vais aller chez Hatori avec Momiji.
Très bien.
Jusqu'à présent je n'ai jamais posé de questions sur la raison de cette hystérie envers son fils. Voilà 20 jours que je vis ici et je me sens à présent assez à l'aise. Il y a plusieurs chose que je ne comprends pas, pourquoi doit on agir selon les volontés d'Akito ? pourquoi la mère de Momiji réagit elle de cette manière face à lui ? et enfin pourquoi sont ils tant persuadé que j'appartient à leur famille ? Tante Elise a dit qu'elle connaissait mes parents et qu'elle était partie à leur recherche c'est pour çà que je me suis retrouvé chez Jack. Et comme ils ont pas réussit à trouver Tante Elise et bien ils n'ont rien pu faire contre les avocats des Soma. Çà aurait été trop d'argent dépenser pour un jeu de ping-pong devant les juges, j'ai préféré me résigner à partir pour le bien de tous. sauf peut- être pour moi. Une main tire sur ma jupe longue, je sors de mes réflexions et je me baisse pour prendre Momiji dans les bras.
On y va Miji ?
Oh vi !!
Nous, nous dirigeons vers la maison d'Hatori quand tout à coup devant moi surgit :
Ah Ah ah ! Bonjour jeune demoiselle ! laissez moi vous prendre dans mes bras pour vous faire un gros câlin.
Non sans façon Aya ! ne t'approche pas de moi si non je hurle !
Et pourquoi je ne peux pas te prendre dans mes bras ?
Parce que tu me fais penser à un serpent ! toujours sifflant et surgissant n'importe ou.
Aya déglutit un peu à ces paroles.
~ aurait elle devinée ce que je suis ?
Il n'a pas le temps d'aller plus loin quand :
Mélina Chan !
A l'entente de cette voix, je fais non de la tête et je me désespère toute seule.
~ comment font-ils pour me trouver chaque fois que je fais un pas dehors. je les attire ?
Dis Shi-chan ! tu serais pas un chien par hasard ?
Ils avalent tout les deux leur salives. Et avec la grosse goutte de sueur sur le front il me demande :
Pourquoi tu me dis çà ?
Car j'avais l'habitude en Angleterre d'attirer les chiens. Ils venaient directement vers moi car ils sentaient que j'avais peur d'eux. Je déteste les chiens et les serpents.
Mais non voyons, c'est vrai que je suis du signe du chien mais je t'assure que si j'apparais toujours devant toi c'est juste pour t'embêter.
Baka lui dis-je avant de les dépasser et de frapper à la porte de la maison d'Hatori.
Entrez ! dit une voix.
Je m'exécute. Une fois tout les quatre installés je demande :
Vous aimes les chocolats ? ou vous préférez les bonbons ?
Pourquoi tu nous poses cette question ? demandent t'ils tous en même temps.
Secret ! Répondez s'il vous plait.
J'aime tout moi ! ma douce enfant aux yeux bleus me répond Shiguré.
Shiguré intervient Hatori, je te signale que Mélina a les yeux verts.
Je sais ! mais çà fait plus romantique comme çà.
Je suis désabusée je dis juste assez bas :
Baka.
Moi ce sont les bonbons à la fraise Ah ! Ah ! Ah !
Et toi Ha Chan ? tu aimes quoi ?
J'ai une préférence pour les chocolats.
Donc ce sera des chocolats pour tout le monde dis-je joyeusement.
Moi je voulais des bonbons à la Fraise ?
J'ai fait à la majorité !
Shiguré a dit qu'il aimait les deux n'est ce pas Hatori ?
Comme d'entre vous trois c'est Hatori que je préfère et bien sa voix compte pour deux !
~ Je suis méchante, mais c'est juste pour les taquiner ! chacun aura ceux qu'il aime le plus, le plus amusant est de les voir s'affoler.
Je suis pas ton préféré ? me demande Shiguré avec les yeux pleins de larmes.
Certainement pas ! Et puis mon préféré c'est aucun de vous trois ! c'est Momiji.
Le petit garçon qui était blottit dans les bras de Mélina se relève un peu quand il entend son prénom et il regarde les personnes présentes avec des points d'interrogations dans le regard avant de me regarder moi.
Oui Momiji ! tu es mon préférer car tu es le seul que je peux prendre dans mes bras.
Shiguré et Ayamé s'approchent dangereusement de moi.
~ Est-ce que j'ai dis quelques chose qui ait pu les tromper sur mes
intentions ?
Hatori s'il te plait, tu peux leur dire de s'éloigner dis-je avec une voix très tendue.
Shiguré ! Ayamé ! arrêtez !
Mais c'est elle qui a dit qu'elle ne pouvait prendre dans ses bras que Momiji alors on voulait lui proposer de nous prendre dans ses bras.
Le jour ou je réussirais à prendre un garçon dans mes bras sans éprouver un profond mal être je vous inviterais au restaurant ! Cela dit les deux fois ou je me suis retrouvée dans les bras d'Hatori, je me sentais pas trop mal.
Momiji ?
Le petit garçon lève la tête, ses yeux pleins de fatigue, il était sur le
point de s'endormir.
Papa ! dit-il tout à coup parfaitement réveillé en tendant les bras.
Allez viens mon grand, c'est l'heure de manger. Je te remercie de t'en occuper autant Mélina Chan.
Oh ce n'est rien Otto San il est très gentils et attachant. Pourrais-je vous poser une question ?
Oui bien sure, laquelle est-ce ?
Hum, comment dire. çà fait environ trois semaines que je suis là, et je me disais que ce serait bien que j'aille à l'école non ?
Apparemment soulagé par la question il me répond :
Je vais en parler avec le chef de famille en rentrant ce soir d'accord ?
Génial.
Il va pour partir avec Momiji quand je me souviens d'une question qui me trotte depuis un moment.
J'ai une autre question s'il vous plait Otto-San.
Oui laquelle Mélina ?
Pourquoi ?
Pourquoi quoi ?
Pourquoi Oka-San rejette t'elle autant Momiji que çà ? C'est son fils non ? C'est vrai quoi, depuis que je suis ici, je constate qu'a chaque fois que Momiji veut aller dans ses bras soit elle le repousse violemment soit elle se met à hurler. Pourquoi ? Avec moi elle ne fait rien de tout çà pourtant je ne suis pas sa fille. pourquoi.
Ils savaient tous qu'à un moment donné je poserais cette question, ils le savaient.
C'est en fait tout simple. Momiji est différent des autres enfants, et il ne correspond à ce qu'intérieurement elle se faisait avant d'avoir Momiji.
C'est de l'égoïsme donc ?
.
Parce que son enfant est différent de ce qu'elle voulait initialement. elle le rejette ? elle lui refuse son amour parce qu'il est différent. Et bien si c'est comme çà. Moi je ne laisserais jamais tomber Momiji. Même si il se révèle que je ne suis pas une Sôma contrairement à ce que vous semblez le penser tous. Et bien il pourra toujours me joindre je serais toujours sa grande-s?ur quoi qu'il arrive. pour que si un jour il est vraiment triste il se dise que je serais là et qu'il a une raison d'exister.
Ils sont déboussoler, Otto-San qui porte Momiji s'abaisse à ma hauteur et il me demande inquiet :
Dis moi Mélina. Est ce que tu as une raison d'exister toi ?
Je baisse la tête et je ne réponds pas. Et je fais un vague signe de la main aux garçons pour leur indiquer que je m'en vais et je sors par la porte.
Quelques heures plus tard c'est Hatori qui vient s'asseoir à côté de moi près du grand cerisier qui se trouve au centrer du manoir.
Mélina est ce que çà va ?
Oui. ne vous inquiétez pas pour moi.
Bien sure que l'on s'inquiète pour toi. C'est normal. Tu n'as pas manger du coup.
Je n'ai pas faim.
Il faut pourtant que tu manges.
Je devais faire à manger avec Oka San j'ai oublié.
Elle a dit que c'était pas grave. Tu apprendras à faire les Onigiris la prochaine fois.
Quelle heure est-t-il ?
16h30
Tu avais cours cet après-midi non ?
Oui.
Tu as manqué ?
Juste la dernière heure. je m'inquiétais pour toi. J'aime pas quand tu réagis comme çà.
Je suis désolée.
Viens là.
Il attire ma tête contre lui pour me faire un petit câlin très maladroit mais sincère, je sais qu'il le fait parce que je ne suis pas bien et qu'il veut me conseiller. C'est câlin comme il y 'en a entre les frères et s?urs quand ceci s'entendent très bien. Tout à coup je suis absente, cette sensation de sécurité me rappelle quelque chose, mais quoi ? Qui peut bien me faire partager un tel sentiment fraternel au point d'en être fusionnel ? C'est. Tout à coup je sors de ma rêverie en sursaut, le faisant sursauter par la même occasion :
Faut que je fasse des courses !
Quoi ?
Je dois faire des courses pour mes surprises ! Tu m'accompagnes ?
Tu veux qu'on aille à la supérette qui est au manoir ?
Non fis-je de la tête. Il me faut des produits spécifiques qui ne sont pas ici. Je suis désolée de t'embêter mais moi si je demande à sortir on va me dire non alors que si je suis avec toi çà devrait aller non ?
Il réfléchit un instant puis dit :
Ok on y va mais vite. Je dois juste demander à mon père de nous accompagner d'accord comme çà on ne nous disputera pas.
D'accord.
Attends moi ici on arrive.
Mais ton père risque d'être occupé ?
Ne t'inquiète pas. Attends moi
En effet, dix minutes plus tard le docteur et son fils arrivent.
En route joyeuse troupe annonce t'il un sourire immense aux lèvres.
Grosse goutte de sueur sur le front d'Hatori et le mien.
Devant le magasin.
Nous descendons de la limousine noire. Moi qui n'avait encore jamais vue Tokyo d'après le peu de souvenirs que j'ai. Tout es lumière il fait froid on est encore en février. La pénombre règne déjà et les lumière illumine de partout. Il y a très peu de passants. Les immeubles sont d'une hauteur ! je suis impressionner par ce gigantisme de cette ville. L'infiniment petit dans l'infiniment grand et savoir que l'univers représente pour cette ville l'infiniment grand alors que moi rien que par rapport à cet immeuble qui fait certainement une trentaine d'étages je suis comment un microbe me donne le tournis.
Hatori m'observe avec attention.
On y va ? me demande doucement le docteur.
Selon moi on avait dut le mettre au courant pour ce qui s'était passé ce matin. Une fois entrer, il me demande :
De quoi avais-tu besoin ? De çà dis-je en démontrant quelques chose.
Ils paraissent étonnés et il me suivent dans le dédalle de rayons. Ils se retrouvent tous les deux chargés d'un panier de course chacun. Ils se demandent ce que je vais faire avec çà. Je finis par prendre les feuilles transparente comme pour entourer les bouquets. En parlant de bouquet je me dirige en direction du fleuriste. J'en ressort avec les bras charger d'?illet. Ils me regardent étonnés.
~ c'est sur qu'elle pouvait pas trouver tout çà au manoir mais que va t'elle faire de tout çà se dit Hatori
Je vois le rayon des scolaires. Et je bave quasiment sur une offre spécial proposant une pochette de dessin A3 avec tout le matériel pour faire des portraits au crayon.
Je m'en éloigne et je retourne vers le médecin et son fils. Je leur dis :
çà y est j'ai tout ce qui me faut.
C'est quoi que tu regardais là bas ?
Çà c'est rien.
C'est pas rien puisque tu bavais dessus.
Je fais une grimace et je dis :
J'adore dessiner, c pour çà que je m'extase devant du bon matériel. C'est tout.
Une fois tout les articles passés, la facture s'annonce salée mais je ne perds pas mes moyens comme si dépenser cette somme m'était « égale » ou plutôt comme si je pouvais me permettre une telle dépense. Je sors une carte visa internationale.
Ou l'as tu eu Mélina Chan me demande le Médecin.
C'est Jack il m'a ouvert un compte en Angleterre et il a dit qu'il me mettrait mon argent de poche dessus. Tante Elise aussi à dit qu'elle ferait un versement dessus jusqu'à ce que je retrouve mes parents.
Et combien ils mettent sur ton compte ?
Heu je crois qu'ils mettent tout les deux en tout quelque chose comme 20 00 £ (cf : 1 £~10 FF ~ 1E50) par mois.
Je croyais que tu n'avais pas de sous.
Je suis sans parent, cela ne signifie pas que je suis sans argent. D'autre part ce sont des prêts. Je les rembourserais plus tard même si ils ne le veulent pas.
Une fois rentrés, il est 18h30 , je les remercie, ils emmènent tout çà dans la cuisine d'Oka San et sous les yeux écarquillés de tout le monde. Je mets tout le monde à la porte de la cuisine. A l'exception de Momiji que j'installe dans la chaise haute car il faisait un caprice et ce serait mit à pleurer. Je mets vite mes fleurs d'?illets dans un vase remplie d'eau pour qu'elles ne se défraîchissent pas. Je me mets le tablier d'Oka San même si j'ai l'air ridicule avec car il fait trois fois ma taille. Je retrousse mes manches et à l'attaque. Je m'occupe tout d'abord du repas du soir pour me faire pardonner. Je leur prépare une tarte à la tomate à l'aide d'une pâte feuilleté, de la moutarde de Dijon, du Comté, les tomates (évidemment), et la mixture comme je l'appelle composée de concentré de tomate, huile d'olive, ail, herbes de Provence et c'est tout car j'ai pas trouvé les autres ingrédient dans le magasin mais çà devrait être bon. Pendant que four chauffe je m'adonne aux chocolats. Je vais utiliser pour leur forme des barquettes de glaçons, j'avais réussi à en réquisitionner 12 aine en tout et c'est le nombre qu'il me fallait. Je fais couler le chocolat fondu dedans et je le met dans le congélateur d'Oka San, d'ailleurs ce qui tombait bien c'était que le congélateur se trouvait en bas du frigo et non pas en haut comme d'habitude ce qui m'a arranger. Après j'ai appeler Oka San pour qu'elle mette ma tarte dans le four ainsi que le gâteau au chocolat.
Ils ne dirent rien sur le repas du soir, c'était nouveau pour eux mais ils ont appréciait cette cuisine européenne.
Le lendemain : le 14 février
Je me lève de bonheur pour voir ce que donnent mes chocolats. Je ne résiste pas à l'envie d'en piocher dans ma barquette et oui je m'en suis quand même fait ! j'adore les chocolats et c'est de la pure gourmandise. Délicieux. Je finis ma préparation avec le papier transparent acheter la veille en mettant les chocolats à l'intérieur, une fois tous installés j'utilise les ruban pour maintenir de chaque fermement le papier pour en faire une papillote et grâce à des autocollants que j'avais trouvé au magasin je leur met chacun d'entre eux un animal différent. J'en ai trouvé de toute sorte et de toute forme : chien, serpent, hippocampe, lapin, chat, souris etc. Dans la papillote pour Ayamé je lui fais la même présentation mais je glisse dedans à la place des chocolats des bonbons. Et pour Shiguré je fais moitié chocolats moitié bonbons. J'en fais un pour tout ceux que je connais et comme je sais que je vais rencontré une nouvelle fois le chef de famille tout à l'heure je lui en fais également même si je ne suis pas sure de l'effet que cela produira.
Une fois les paquets prêts la distribution peu commencer il est 9h30 on est samedi. Je mets tout çà dans un carton et je m'en vais avec évidemment je n'oublies pas d'en laisser dans l'assiette d'Oka San, d'Otto San. J'ai décidé que pour Momiji ce serait des chamalos. Je vais d'abord chez Ayamé, je vois que les volets de sa chambre sont toujours fermé je met le paquet dans la boite aux lettre avec une étiquette « Ayamé » et un autre au nom de « Yuki » qui contient également des chamalos. Ensuite direction la maison des parents de Shiguré encore une fois les volets sont fermés, je dispose donc dans sa boite aux lettres son petit paquet. Après être passé partout ailleurs il me reste plus que 5 paquets, je passe d'abord au Dojo pour le donner au professeur Kazuma même si je ne le connais pas bien, il m'a demandé de venir le voir quand il m'a croisé la dernière fois au manoir.
Monsieur Kazuma ?
Oh c'est toi Mélina San entre donc.
Je ne vous dérange pas ? je vous ai pas réveillée au moins.
Non, non. Viens t'asseoir.
Une fois installée il me dit :
Tu possède une sacré force et vue ton enfance, je voudrais t'apprendre à la maîtriser.
Maîtriser ma force ? mais mes bras c de la guimauve.
Hi hi hi. Oh je suis certains que tu as plus de force que çà. Et t'entraîner avec moi pourrait certainement t'aider à la canaliser et t'apprendre à t'en servir que quand tu as besoin.
Je veux bien ! Tenez au faite voici des chocolats pour la St Valentin.
Oh mais fallait pas.
Çà me fait plaisir vraiment. Faites attentions il faut les maintenir à une température assez basse. Puis-je y aller je dois encore voir Kyo Kun et Hatori San pour leur donner les leurs. En plus après j'ai rendez vous avec Akito. Je dois lui demander à aller à l'école. J'aimerais une école mixte.
Il va certainement refuser l'école mixte.
Pourquoi ? moi j'aime pas les école ou y'a que des filles, les filles sont des véritables pimbêches.
Je ne vais pas te retenir plus longtemps.
Au revoir professeur et à bientôt.
Ensuite je sonne à la porte de la maison de Kyo Kun. C'est sa mère qui m'ouvre.
Bonjour Madame. Puis-je entrer un moment ?
Tu n'as pas peur de nous ?
Pourquoi j'aurais honte ? nous sommes le jour de la saint valentin et je suis venue apporter des chamalos à Kyo.
Entre je t'en pris.
Bonjour Kyo, comment vas tu ? (aucune réponse) tient je t'ai apporter des bonbons.
Va t'en tu as peur de moi.
Peur de toi et pourquoi j'aurais peur de toi d'abord ?
Parce que je suis, je suis différents, je suis un monstre dit il du haut de ses trois ans et demi.
Ecoute Kyo Kun tout le monde est différents et parfois c'est un avantage comme çà peut être un inconvénient. Est ce que tu te trouves monstrueux. Est ce que toi tu aurais peur de toi ? Tu sais je crois que l'apparence n'a que peu d'importance. Ce qui compte c'est ce que l'on a dans le c?ur et surtout c'est ce que l'on pense de soi. Il ne faut surtout pas se regarder à travers les yeux des autres mais à travers ses propres yeux. Moi je te trouve très mignon. Tu as deux yeux, un nez une bouche, des cheveux, deux mains deux pieds. Et voilà tout.
Les larmes aux yeux il se jette dans mes bras, je récupère mon équilibre de justesse.
Tiens Kyo, c'est pour toi ce sont des chamalos tu aimes çà ?
J'ai encore jamais gouttés.
Tiens prends en un. Alors ?
C'est très bon. Merci.
En sortant de sa maison, je me demande bien pourquoi il se dit être un monstre.
~ Bon, je dois pas traîner il me reste encore Hatori à voir ! ensuite je donne ses chamalos à Momiji et après je me prépare pour aller voir le chef de famillle.
Je frappe à la porte de chez Hatori. Il m'ouvre l'air pas très bien réveillé.
Je suis désolée de te déranger, tient c'est pour la St valentin.
C'est pour qui les deux derniers.
Y'a celui de Momiji, et y'en a un pour Akito San je dois le voir dans une heure.
A ces paroles j'ai cru apercevoir de la peur dans le regard d'Hatori.
Il te veut quoi ?
Je veux aller à l'école et il veut me parler de çà.
Bon tu peux m'attendre je vais t'accompagner là-bas.
Tu es sure ?
Oui.
Une fois prêt il revient et nous sortons. Après une visite rapide pour déposer les Chamalos de Momiji.
Chez Akito
Tu es ponctuelle Mélina San c'est bien. Tu voulais me demander quelque chose ?
Oui j'aurais voulu que vous m'autorisiez à aller à l'école.
Et bien c'est accorder tu iras dans une école de jeune fille non loin du manoir.
Sauf votre respect, j'aurais préférer une école mixte.
Ce sera une école de filles il n'y a pas à discuter.
Je crois au contraire, que je serais mieux dans une école mixte, j'ai jamais été dans une école de jeune filles et je préfèrerais.
J'ai dis que ce sera une école de Jeune fille voilà tout ! cria Akito.
Je veux aller dans une école mixte dis-je avec une assurance que j'étais loin d'avoir en réalité.
J'ai dis non répond excédés Akito
Et moi je vous dis que je veux y aller !
Akito s'approche méchamment de moi étrangement je n'ai pas peur. Il lève la main très haut et.
Fin du chapitre
Je sais, je sais je suis une sadique ! Zahne me l'a déjà dit ( sur Aim ^^ !
Tant pis, en fait c'est pas pour méchanceté mais c'est parce que je dois quand même développer un peu le chapitre 11 qui n'aurais pas bcp d'intérêt si je ne laissait pas cette partie dedans. Pour tout commentaire c'es chibiusa@ifrance.com et à bientôt dans le chapitre 7
