Titre : Raison d'exister
Auteur : Petite Lady
Chibiusa@ifrance.com
Disclaimer: les personnages de Fruit basket ne m'appartiennent pas ! Mais Mélina, Jack,
Hélène et compagnie oui, alors pas touche ! Si non...
Note de l'auteur : Cette fan fiction se passe dans le passé, Momiji est alors âgé de 2 ans
et Hatori de 14 (pour les autres faites le calcul ^^")
Ce chapitre ou même cette fan fiction « raison d'exister » est emprunt de spoils, de ma propre invention. je n'ai aucune preuve de ce que j'avance sur le passé des personnages. sauf pour Mélina évidemment !
Chapitre 8 voyage à Okinawa
Le jour du voyage est arrivé, je suis doublement contente car non seulement on va sur l'île d'Okinawa mais en plus on m'a enlevé mon attirail ce matin !
Le père d'Hatori à halluciné en voyant que toutes mes blessures avaient guéries aussi vite. Ne me rappelant pas ce qui s'était passé, il y a quelques jours de çà, je n'ai pas compris pourquoi le docteur a dit que la santé d'Akito n'était pas géniale. Enfin cela ne m'a pas traumatisé plus que çà car comme il était prévu le père d'Hatori, Otto San, Hatori, Shiguré et Ayamé (pour mon plus grand désespoir enfin j'espère qu'il me décollera.
En quasi trois mois j'avais bien compris le système de fonctionnement de chacun enfin sauf peut-être d'Akito qui semblait être assez "spécial". Ayamé est quelqu'un qui parle souvent pour ne rien dire et ce son généralement de gros bobards, il est rarement sérieux ce qui m'énerve le plus car je déteste les menteurs et les gens immatures. Shiguré est un obsédé qui ne perd jamais une occasion pour essayer de m'approcher et moi qui ne supporte pas les contacts, çà fait pas bon ménage. Quant à Hatori, c'est une sorte de "grand ténébreux", taciturne, avec tout le monde sauf avec moi ou il est très ouvert. Une fois je l'avais observé alors qu'il était avec d'autre personne et quand il est avec moi c'est le jour et la nuit. Car avec moi il est souriant et surtout il se lâche, il ne joue plus un rôle.
Le réveil ce matin fut très difficile car nous avons veillé tard pour préparer nos sacs et moi je voulais absolument lire quelques ouvrages sur Okinawa pour ne pas perdre une occasion d'instruire un peu Ayamé et Shiguré, à cette pensé je souris et Ayamé ne manqua pas l'occasion pour me demander :
- Tu penses à ton amoureux ?
Je ne relève même pas la remarque le laissant bien embêté avec sa boutade restée suspendue en l'air car finalement personne n'y fit attention.
Oka San dut s'y reprendre à deux fois pour me faire sortir du lit et encore sans succès. En dernier ressort, Otto San mit à côté de moi dans le lit (pour me décider à sortir de mon lit douillet bien chaud) Momiji qui remplit très bien sa mission car, la délicatesse des tout petit ce n'est pas vraiment çà de ce fait il se mit à m'escalader et à me sauter dessus, par dépit, je fini par me lever et sous l'?il attentif de Momiji j'entrepris de me préparer. Même si je n'ai plus l'horrible appareil externe sur ma jambe, cela a provoqué un boitement de ma jambe gauche.
Au bout de quelques minute, je descends avec Momiji dans les bras, les yeux fermés marchant au radar, me cramponnant à la rampe pour ne pas tomber. Sans même ouvrir les yeux, je pose Momiji dans son parc et je vais m'asseoir à la table ou je mets ma tête dans mes bras croisés.
- Mélina... tu as bien dormis ?
A ces mots je relève la tête et je vois en face de moi Hatori, j'ouvre grand mes yeux sans plus aucune difficulté et je lui demande :
- Qu'est ce que tu fais là ?
- On t'a laissé dormir, on est tout prêt il manque plus que toi donc déjeune vite.
Oka san pose devant moi un bol de chocolat chaud comme j'aime. Je la remercie et je le bois. Elle pose un paquet devant moi et m'explique :
- hier on a reçut ce paquet pour toi. Çà vient d'Angleterre visiblement.
Je le saisis rapidement et je l'ouvre délicatement. J'en retire un paquet de thé à la rose fait maison. Bien que consciente du bien fait du thé à la rose sur ma santé je n'aime pas pour autant. Je remarque également plusieurs enveloppes qui me sont adressé et à chaque fois marquées "de la part de..." Je rangeais tout çà dans le paquet me promettant que dès que j'aurais le temps et que je serais seule, de m'attaquer à toutes ses lettres.
Une fois avoir petit-déjeuné, J'enfile mon manteau et mes gants, je dis au revoir à Oka San tandis qu'Hatori prend Momiji dans ses bras. Nous montons dans la mercédes qui nous conduit à l'aéroport ou nous prenons un avion privé pour Naha. Malgré la courte durée du voyage en avion je trouve le moyen de m'endormir sur l'épaule d'Hatori. Je soupçonne alors le docteur d'avoir glissé quelque chose dans mon jus de litchi de tout à l'heure sans doute a t'il anticipé ma réaction dans l'avion vu la dernière fois quand j'étais venu au Japon avec Otto San, Oka San et Momiji.
Une fois arrivée, le docteur a loué une voiture et nous nous dirigeons vers la propriété des Soma. Le long de la route je me rappelle ce que j'avais lu la veille, tout à coup j'aperçois un oiseau qui attire mon attention et je déclare :
- Tiens çà c'est un aigle à crête. L'avantage, c'est que moi qui ait horreur des serpents ils vont pas m'embêter.
- Pourquoi çà ? demande Ayamé qui pour une fois est sérieux, ou alors est- ce par inquiétude...
- Hum ? tiens tes sérieux toi ? c'est nouveau... Pour répondre à ta question dis-je, leur repas préféré est notamment les rats et serpents.
Une grosse goutte de sueur apparaît sur la tête de tout le monde sauf de Momiji qui dort sur les genoux d'Hatori et moi. Je leur demande inquiète.
- pourquoi vous faîtes cette tête ?
Le docteur annonce :
- Nous sommes arrivés,
On s'arrête près d'une grande demeure fidèle à l'image que j'ai à présent des Sôma. Ou l'on distingue les deux dragons protecteurs propre à Okinawa. Le premier à la bouche fermée chassant ainsi les mauvais sort, et le deuxième la bouche ouverte pour attirer toutes les bonnes choses. Je demande aux garçons :
- Vous savez à quoi çà sert ses dragons ?
Evidemment, Ayamé l'ignore et demande une explication que je leur donne et Shiguré lance :
- Y'a rien à redire ce sont des vrais dragons eux.
Je ne comprends pas pourquoi il dit çà et je les regarde un par un mais aucun ne soufflent mot. Hatori semble pas très à l'aise, je lui demande si çà va et il me dit que oui.
- Entrons propose Otto San
L'intérieur était tout aussi somptueux que l'extérieur tout en restant évidemment dans le typique Japonais. C'était une chambre à porte coulissante la chambre est spacieuse, j'ouvre le placard et j'y vois le nécessaire pour dormir, dans un coin de la chambre. Enfin je me dirige vers la porte fenêtre et l'ouvre en grand, ne manquant pas par la même occasion de décoller un cm de poussière ce qui eut pour conséquence de me faire éternuer jusqu'a me faire tomber à genoux pour récupérer mon air. Hatori dont la chambre est juste à l'entrée vient me voir et me demande :
- Mélina çà va? tu veux que j'appelle mon père ?
Je fais non de la tête et peu à peu je récupère mon souffle je lui dis :
C'est rien c'est la poussière.
Mais quand même.
Non çà va je t'assure ! dis-je tout en me relevant péniblement.
Bon comme tu voudras. finit par déclarer Hatori encore inquiet et m'aidant à me relever.
Un silence assez lourd s'installe, de courte durée car un petit garçon de deux ans avançant en courant vers moi et en disant d'un air joyeux :
Dedddddiiii! Deddddddiiiii !
Cela nous fait sursauter tous les deux. Le petit garçon vient tout contre mes jambes qui flageolent encore un peu et tant les bras pour que je le prenne tout en me faisant des yeux a vous faire tomber à la renverse. Je me demande si il a conscience du charme qu'il fait quand il fait cette tête. Il regarde avec insistance, les yeux remplis de larmes avec un grand sourire d'espoir. Hatori dit alors à Momiji conscient qu'il va briser tous les espoirs de ce petit bonhomme. :
Non elle ne peut pas te porter, elle est encore un peu fatiguée.
Mais. méheu !méheu, ze veux dédiiiiiii, ze veux ma déddddddddiiiiiiiii !
Je ne résiste pas bien longtemps à ses larmes de crocodiles, et a ce petit aire boudeur. Je lui dis tout en liant le geste à la parole :
viens je veux bien te porter un peu.
Le petit garçon vient alors se pendre dans mes bras, tout ravis, ses larmes de crocodiles aussi vite reparties qu'elles n'étaient arrivées. Hatori désespéré se disant que Momiji réussirait à faire fondre tous les c?urs sauf peut-être celui de sa mère qui depuis sa naissance essayait de le fuir comme la peste. Hatori savait que cela pouvait détruire son mental. Quelqu'un les observait silencieusement du coin de la porte et il pensait à peu près à la même chose mais se remémorant un moment de leur passé.
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13 ans auparavant
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Je ne pourrais jamais l'accepter ! tu entends ! jamais ! C'est ton fils quand même. C'est un monstre ! Il fait parti des maudits de la famille Sôma. il n'y est pour rien. . je le sais mais (la femme est en larme) je ne peux pas le regarder en face ! j'y peux rien ! j'y peux rien. que veux tu que je fasse ? Abandonne le ! donne le fais en ce que tu veux mais je ne veux plus jamais avoir affaire à lui. L'abandonner ?répète l'homme incrédule.
~ Ce si petit bébé, jamais je ne pourrais l'abandonner. Non je ne pourrais pas.
je n'abandonnerais pas mon fils. C'est impossible, je ne peux pas tout en mettant ses mains sur sa tête cherchant la solution. Choisis ! c'est lui ou moi ! mais je ne veux plus le voir ! ni avoir à faire à lui ! jamais.
~ faire le choix entre celle que j'aime et un enfant qui est de mon propre sang ? comment peut-on me demander de faire un tel choix ? la grande question est de savoir si quelqu'un qui est sensé vous aimer peut décemment demander de choisire entre deux personnes que l'ont aime plus que tout. non ce n'est pas de l'amour ou plus tôt ce n'est pas de l'amour tel que je l'entends.
Si il faut vraiment que je choisisse et même si çà me brise le c?ur. Oui ? dit la femme pleine d'espoirs. Je choisis mon fils. Car quand on aime vraiment quelqu'un on ne demande pas à l'autre de faire un tel choix. Mettre quelqu'un devant un tel choix c'est comme si tu me demandais de vendre mon âme au Diable. Et même si je t'aime je ne peux pas faire une telle chose. Je suis désolé.
Après quelques minutes de lourd silence, la femme finit par dire :
Tu as fait ton choix. je le comprends très bien. Adieux mon amour.
Elle franchit alors la porte et plus jamais elle ne revint.
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Fin du flash back
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Encore aujourd'hui il n'avait jamais regretté le choix de son fils. Car même si il avait eu beaucoup de mal à s'en occuper, n'étant en aucun cas doué pour les tâches ménagères il ne regrettait rien. Car même si son fils, était très ténébreux et était sans cesse l'objet des manigance du chef de la famille. Le docteur était étonné comment Mélina réussit à le tirer de ses noires pensées, pour le relier d'avantage à la réalité et à se soucier d'avantage des autres.
Il repense alors l'espace d'un instant à son ex-femme qui quelques années plus tard était morte d'une tumeur. Ces derniers mots qu'elle lui avait alors prononcé quand il était venu à son chevet pour la soutenir jaillirent de ce passé lointain pour venir se confronter tout à coup à son esprit.
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Deuxième flash
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Je te demande pardon, et je demande pardon à Hatori pour tout ce que j'ai pu lui faire comme mal. Je n'ai pas cessé de penser à lui pendant ces quatre ans. Est ce que je pourrais le.
Il lui mis un doigt sur la bouche pour lui signaler qu'il avait compris son souhait, cette familiarité perdue depuis déjà si longtemps et revenue si rapidement, cela le surprit énormément. Ces petits gestes qu'il avait appris à oublier pour se concentrer sur son travail et sur son fils, pour ne plus souffrir de cette absence, de l'absence de celle qu'il avait tant aimé. Tout lui revenait, si clair, si net, tout ces instants voulus, tout ses instant cherché et recherché, tous lui revenait comme un boum rang qui aurait finit par revenir vers son propriétaire. Alors qu'il se levait pour aller chercher la personne si convoitée et si espéré par celle qui fut son amour.
Je reviens dans pas longtemps je vais le chercher il est encore à l'école.
Il sortit alors plein d'angoisse de ne pas arriver a temps pour qu'Hatori puisse voir sa mère au moins une fois. C'était d'avantage pour son fils qu'il avait accepter d'aller le chercher de toute urgence car ce dernier voulait connaître sa mère même si il savait qu'ils les avaient quitter à cause de la malédiction. Il lui posait toujours des questions. Comment était elle ? pourquoi est elle partie ?
Quand il avait appris la vrai raison du départ de sa mère il avait pleuré droit comme un I, tout en disant : « je suis un grand maintenant, je pleurerais pas » malheureusement ses mots étaient peut-être présent et toute sa volonté avec, ses larmes n'avaient pas cessé de pleurer. Malgré cela, il avait continué a demander des informations sur sa mère, et si un jour il pourrait la rencontrer au moins pour voir à quoi elle ressemble en vrai, car même si le docteur ne lui avait a aucun moment donné une image négative de sa mère cela l'avait intrigué et voulait un jour l'observer. Alors qu'il revenait avec Hatori, il se dit : ~ les enfants savent vraiment guérir de tous les mots, et guérir tous les mots.
Il avait alors observé de loin, leur relation à tous les deux, si fragile si petite, Hatori lui racontant les jeux qu'il avait fait avec ses amis à l'école. Sa mère le regarder s'agiter quand il lui faisait la descriptions du sapin de noël dernier. C'est à ce moment là que le « miracle » ce produit, elle le prit dans ses bras pour un unique et dernier câlin. Et la rien, Hatori ne s'était pas transformé, aucun d'eux trois n'avaient compris.
La nuit même la mère d'Hatori est morte . Laissant un petit garçon triste d'avoir perdu sa maman, mais content de l'avoir retrouvé également. Peut être que sans cette maladie il n'aurait jamais pu rencontré sa mère se dit le docteur et puis il en avait résulté du bien.
La signification de la non transformation avait trouvé la raison quelques jours plus tard quand le docteur avait posé la question, à une personne bien sage que l'on appelait « l'ancien » car il était la plus vieille personne de la famille Sôma et il avait beaucoup d'anecdote par rapport aux maudits et leurs parents, aussi il lui avait révélé en ces propres mots :
- c'est simple, lorsqu'une personne va mourir elle ne fait plus se transformer le maudit qui l'enlace, voilà pourquoi quand la mère d'Hatori l'a enlacé, il ne s'est pas transformé.
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Fin du flash
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En repensant aux paroles du vieil homme, une peur s'installa en lui et si Mélina allait.
Fin du chapitre 8
Je sais déjà que je vais me faire étrangler par Zahne mais bon tant pis ! voilà comment je finis mon chapitre 8 ! et retrouvez la deuxième parties du voyage à Okinawa dans le chapitre 9 ! Si non voici mes remerciements ! je remercie Zahne, Laurhanna, Présa, Lily, la s?ur de Megara1 qui me met systématiquement des reviews sur fanfiction.net pour me donner son avis et son point de vue et son interprétation. Çà fait plaisir de recevoir l'avis des autres alors n'hésitez pas à m'écrire. Evidement je remercie tous mes autre lecteurs ! notamment Eib !
Auteur : Petite Lady
Chibiusa@ifrance.com
Disclaimer: les personnages de Fruit basket ne m'appartiennent pas ! Mais Mélina, Jack,
Hélène et compagnie oui, alors pas touche ! Si non...
Note de l'auteur : Cette fan fiction se passe dans le passé, Momiji est alors âgé de 2 ans
et Hatori de 14 (pour les autres faites le calcul ^^")
Ce chapitre ou même cette fan fiction « raison d'exister » est emprunt de spoils, de ma propre invention. je n'ai aucune preuve de ce que j'avance sur le passé des personnages. sauf pour Mélina évidemment !
Chapitre 8 voyage à Okinawa
Le jour du voyage est arrivé, je suis doublement contente car non seulement on va sur l'île d'Okinawa mais en plus on m'a enlevé mon attirail ce matin !
Le père d'Hatori à halluciné en voyant que toutes mes blessures avaient guéries aussi vite. Ne me rappelant pas ce qui s'était passé, il y a quelques jours de çà, je n'ai pas compris pourquoi le docteur a dit que la santé d'Akito n'était pas géniale. Enfin cela ne m'a pas traumatisé plus que çà car comme il était prévu le père d'Hatori, Otto San, Hatori, Shiguré et Ayamé (pour mon plus grand désespoir enfin j'espère qu'il me décollera.
En quasi trois mois j'avais bien compris le système de fonctionnement de chacun enfin sauf peut-être d'Akito qui semblait être assez "spécial". Ayamé est quelqu'un qui parle souvent pour ne rien dire et ce son généralement de gros bobards, il est rarement sérieux ce qui m'énerve le plus car je déteste les menteurs et les gens immatures. Shiguré est un obsédé qui ne perd jamais une occasion pour essayer de m'approcher et moi qui ne supporte pas les contacts, çà fait pas bon ménage. Quant à Hatori, c'est une sorte de "grand ténébreux", taciturne, avec tout le monde sauf avec moi ou il est très ouvert. Une fois je l'avais observé alors qu'il était avec d'autre personne et quand il est avec moi c'est le jour et la nuit. Car avec moi il est souriant et surtout il se lâche, il ne joue plus un rôle.
Le réveil ce matin fut très difficile car nous avons veillé tard pour préparer nos sacs et moi je voulais absolument lire quelques ouvrages sur Okinawa pour ne pas perdre une occasion d'instruire un peu Ayamé et Shiguré, à cette pensé je souris et Ayamé ne manqua pas l'occasion pour me demander :
- Tu penses à ton amoureux ?
Je ne relève même pas la remarque le laissant bien embêté avec sa boutade restée suspendue en l'air car finalement personne n'y fit attention.
Oka San dut s'y reprendre à deux fois pour me faire sortir du lit et encore sans succès. En dernier ressort, Otto San mit à côté de moi dans le lit (pour me décider à sortir de mon lit douillet bien chaud) Momiji qui remplit très bien sa mission car, la délicatesse des tout petit ce n'est pas vraiment çà de ce fait il se mit à m'escalader et à me sauter dessus, par dépit, je fini par me lever et sous l'?il attentif de Momiji j'entrepris de me préparer. Même si je n'ai plus l'horrible appareil externe sur ma jambe, cela a provoqué un boitement de ma jambe gauche.
Au bout de quelques minute, je descends avec Momiji dans les bras, les yeux fermés marchant au radar, me cramponnant à la rampe pour ne pas tomber. Sans même ouvrir les yeux, je pose Momiji dans son parc et je vais m'asseoir à la table ou je mets ma tête dans mes bras croisés.
- Mélina... tu as bien dormis ?
A ces mots je relève la tête et je vois en face de moi Hatori, j'ouvre grand mes yeux sans plus aucune difficulté et je lui demande :
- Qu'est ce que tu fais là ?
- On t'a laissé dormir, on est tout prêt il manque plus que toi donc déjeune vite.
Oka san pose devant moi un bol de chocolat chaud comme j'aime. Je la remercie et je le bois. Elle pose un paquet devant moi et m'explique :
- hier on a reçut ce paquet pour toi. Çà vient d'Angleterre visiblement.
Je le saisis rapidement et je l'ouvre délicatement. J'en retire un paquet de thé à la rose fait maison. Bien que consciente du bien fait du thé à la rose sur ma santé je n'aime pas pour autant. Je remarque également plusieurs enveloppes qui me sont adressé et à chaque fois marquées "de la part de..." Je rangeais tout çà dans le paquet me promettant que dès que j'aurais le temps et que je serais seule, de m'attaquer à toutes ses lettres.
Une fois avoir petit-déjeuné, J'enfile mon manteau et mes gants, je dis au revoir à Oka San tandis qu'Hatori prend Momiji dans ses bras. Nous montons dans la mercédes qui nous conduit à l'aéroport ou nous prenons un avion privé pour Naha. Malgré la courte durée du voyage en avion je trouve le moyen de m'endormir sur l'épaule d'Hatori. Je soupçonne alors le docteur d'avoir glissé quelque chose dans mon jus de litchi de tout à l'heure sans doute a t'il anticipé ma réaction dans l'avion vu la dernière fois quand j'étais venu au Japon avec Otto San, Oka San et Momiji.
Une fois arrivée, le docteur a loué une voiture et nous nous dirigeons vers la propriété des Soma. Le long de la route je me rappelle ce que j'avais lu la veille, tout à coup j'aperçois un oiseau qui attire mon attention et je déclare :
- Tiens çà c'est un aigle à crête. L'avantage, c'est que moi qui ait horreur des serpents ils vont pas m'embêter.
- Pourquoi çà ? demande Ayamé qui pour une fois est sérieux, ou alors est- ce par inquiétude...
- Hum ? tiens tes sérieux toi ? c'est nouveau... Pour répondre à ta question dis-je, leur repas préféré est notamment les rats et serpents.
Une grosse goutte de sueur apparaît sur la tête de tout le monde sauf de Momiji qui dort sur les genoux d'Hatori et moi. Je leur demande inquiète.
- pourquoi vous faîtes cette tête ?
Le docteur annonce :
- Nous sommes arrivés,
On s'arrête près d'une grande demeure fidèle à l'image que j'ai à présent des Sôma. Ou l'on distingue les deux dragons protecteurs propre à Okinawa. Le premier à la bouche fermée chassant ainsi les mauvais sort, et le deuxième la bouche ouverte pour attirer toutes les bonnes choses. Je demande aux garçons :
- Vous savez à quoi çà sert ses dragons ?
Evidemment, Ayamé l'ignore et demande une explication que je leur donne et Shiguré lance :
- Y'a rien à redire ce sont des vrais dragons eux.
Je ne comprends pas pourquoi il dit çà et je les regarde un par un mais aucun ne soufflent mot. Hatori semble pas très à l'aise, je lui demande si çà va et il me dit que oui.
- Entrons propose Otto San
L'intérieur était tout aussi somptueux que l'extérieur tout en restant évidemment dans le typique Japonais. C'était une chambre à porte coulissante la chambre est spacieuse, j'ouvre le placard et j'y vois le nécessaire pour dormir, dans un coin de la chambre. Enfin je me dirige vers la porte fenêtre et l'ouvre en grand, ne manquant pas par la même occasion de décoller un cm de poussière ce qui eut pour conséquence de me faire éternuer jusqu'a me faire tomber à genoux pour récupérer mon air. Hatori dont la chambre est juste à l'entrée vient me voir et me demande :
- Mélina çà va? tu veux que j'appelle mon père ?
Je fais non de la tête et peu à peu je récupère mon souffle je lui dis :
C'est rien c'est la poussière.
Mais quand même.
Non çà va je t'assure ! dis-je tout en me relevant péniblement.
Bon comme tu voudras. finit par déclarer Hatori encore inquiet et m'aidant à me relever.
Un silence assez lourd s'installe, de courte durée car un petit garçon de deux ans avançant en courant vers moi et en disant d'un air joyeux :
Dedddddiiii! Deddddddiiiii !
Cela nous fait sursauter tous les deux. Le petit garçon vient tout contre mes jambes qui flageolent encore un peu et tant les bras pour que je le prenne tout en me faisant des yeux a vous faire tomber à la renverse. Je me demande si il a conscience du charme qu'il fait quand il fait cette tête. Il regarde avec insistance, les yeux remplis de larmes avec un grand sourire d'espoir. Hatori dit alors à Momiji conscient qu'il va briser tous les espoirs de ce petit bonhomme. :
Non elle ne peut pas te porter, elle est encore un peu fatiguée.
Mais. méheu !méheu, ze veux dédiiiiiii, ze veux ma déddddddddiiiiiiiii !
Je ne résiste pas bien longtemps à ses larmes de crocodiles, et a ce petit aire boudeur. Je lui dis tout en liant le geste à la parole :
viens je veux bien te porter un peu.
Le petit garçon vient alors se pendre dans mes bras, tout ravis, ses larmes de crocodiles aussi vite reparties qu'elles n'étaient arrivées. Hatori désespéré se disant que Momiji réussirait à faire fondre tous les c?urs sauf peut-être celui de sa mère qui depuis sa naissance essayait de le fuir comme la peste. Hatori savait que cela pouvait détruire son mental. Quelqu'un les observait silencieusement du coin de la porte et il pensait à peu près à la même chose mais se remémorant un moment de leur passé.
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13 ans auparavant
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Je ne pourrais jamais l'accepter ! tu entends ! jamais ! C'est ton fils quand même. C'est un monstre ! Il fait parti des maudits de la famille Sôma. il n'y est pour rien. . je le sais mais (la femme est en larme) je ne peux pas le regarder en face ! j'y peux rien ! j'y peux rien. que veux tu que je fasse ? Abandonne le ! donne le fais en ce que tu veux mais je ne veux plus jamais avoir affaire à lui. L'abandonner ?répète l'homme incrédule.
~ Ce si petit bébé, jamais je ne pourrais l'abandonner. Non je ne pourrais pas.
je n'abandonnerais pas mon fils. C'est impossible, je ne peux pas tout en mettant ses mains sur sa tête cherchant la solution. Choisis ! c'est lui ou moi ! mais je ne veux plus le voir ! ni avoir à faire à lui ! jamais.
~ faire le choix entre celle que j'aime et un enfant qui est de mon propre sang ? comment peut-on me demander de faire un tel choix ? la grande question est de savoir si quelqu'un qui est sensé vous aimer peut décemment demander de choisire entre deux personnes que l'ont aime plus que tout. non ce n'est pas de l'amour ou plus tôt ce n'est pas de l'amour tel que je l'entends.
Si il faut vraiment que je choisisse et même si çà me brise le c?ur. Oui ? dit la femme pleine d'espoirs. Je choisis mon fils. Car quand on aime vraiment quelqu'un on ne demande pas à l'autre de faire un tel choix. Mettre quelqu'un devant un tel choix c'est comme si tu me demandais de vendre mon âme au Diable. Et même si je t'aime je ne peux pas faire une telle chose. Je suis désolé.
Après quelques minutes de lourd silence, la femme finit par dire :
Tu as fait ton choix. je le comprends très bien. Adieux mon amour.
Elle franchit alors la porte et plus jamais elle ne revint.
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Fin du flash back
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Encore aujourd'hui il n'avait jamais regretté le choix de son fils. Car même si il avait eu beaucoup de mal à s'en occuper, n'étant en aucun cas doué pour les tâches ménagères il ne regrettait rien. Car même si son fils, était très ténébreux et était sans cesse l'objet des manigance du chef de la famille. Le docteur était étonné comment Mélina réussit à le tirer de ses noires pensées, pour le relier d'avantage à la réalité et à se soucier d'avantage des autres.
Il repense alors l'espace d'un instant à son ex-femme qui quelques années plus tard était morte d'une tumeur. Ces derniers mots qu'elle lui avait alors prononcé quand il était venu à son chevet pour la soutenir jaillirent de ce passé lointain pour venir se confronter tout à coup à son esprit.
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Deuxième flash
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Je te demande pardon, et je demande pardon à Hatori pour tout ce que j'ai pu lui faire comme mal. Je n'ai pas cessé de penser à lui pendant ces quatre ans. Est ce que je pourrais le.
Il lui mis un doigt sur la bouche pour lui signaler qu'il avait compris son souhait, cette familiarité perdue depuis déjà si longtemps et revenue si rapidement, cela le surprit énormément. Ces petits gestes qu'il avait appris à oublier pour se concentrer sur son travail et sur son fils, pour ne plus souffrir de cette absence, de l'absence de celle qu'il avait tant aimé. Tout lui revenait, si clair, si net, tout ces instants voulus, tout ses instant cherché et recherché, tous lui revenait comme un boum rang qui aurait finit par revenir vers son propriétaire. Alors qu'il se levait pour aller chercher la personne si convoitée et si espéré par celle qui fut son amour.
Je reviens dans pas longtemps je vais le chercher il est encore à l'école.
Il sortit alors plein d'angoisse de ne pas arriver a temps pour qu'Hatori puisse voir sa mère au moins une fois. C'était d'avantage pour son fils qu'il avait accepter d'aller le chercher de toute urgence car ce dernier voulait connaître sa mère même si il savait qu'ils les avaient quitter à cause de la malédiction. Il lui posait toujours des questions. Comment était elle ? pourquoi est elle partie ?
Quand il avait appris la vrai raison du départ de sa mère il avait pleuré droit comme un I, tout en disant : « je suis un grand maintenant, je pleurerais pas » malheureusement ses mots étaient peut-être présent et toute sa volonté avec, ses larmes n'avaient pas cessé de pleurer. Malgré cela, il avait continué a demander des informations sur sa mère, et si un jour il pourrait la rencontrer au moins pour voir à quoi elle ressemble en vrai, car même si le docteur ne lui avait a aucun moment donné une image négative de sa mère cela l'avait intrigué et voulait un jour l'observer. Alors qu'il revenait avec Hatori, il se dit : ~ les enfants savent vraiment guérir de tous les mots, et guérir tous les mots.
Il avait alors observé de loin, leur relation à tous les deux, si fragile si petite, Hatori lui racontant les jeux qu'il avait fait avec ses amis à l'école. Sa mère le regarder s'agiter quand il lui faisait la descriptions du sapin de noël dernier. C'est à ce moment là que le « miracle » ce produit, elle le prit dans ses bras pour un unique et dernier câlin. Et la rien, Hatori ne s'était pas transformé, aucun d'eux trois n'avaient compris.
La nuit même la mère d'Hatori est morte . Laissant un petit garçon triste d'avoir perdu sa maman, mais content de l'avoir retrouvé également. Peut être que sans cette maladie il n'aurait jamais pu rencontré sa mère se dit le docteur et puis il en avait résulté du bien.
La signification de la non transformation avait trouvé la raison quelques jours plus tard quand le docteur avait posé la question, à une personne bien sage que l'on appelait « l'ancien » car il était la plus vieille personne de la famille Sôma et il avait beaucoup d'anecdote par rapport aux maudits et leurs parents, aussi il lui avait révélé en ces propres mots :
- c'est simple, lorsqu'une personne va mourir elle ne fait plus se transformer le maudit qui l'enlace, voilà pourquoi quand la mère d'Hatori l'a enlacé, il ne s'est pas transformé.
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Fin du flash
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En repensant aux paroles du vieil homme, une peur s'installa en lui et si Mélina allait.
Fin du chapitre 8
Je sais déjà que je vais me faire étrangler par Zahne mais bon tant pis ! voilà comment je finis mon chapitre 8 ! et retrouvez la deuxième parties du voyage à Okinawa dans le chapitre 9 ! Si non voici mes remerciements ! je remercie Zahne, Laurhanna, Présa, Lily, la s?ur de Megara1 qui me met systématiquement des reviews sur fanfiction.net pour me donner son avis et son point de vue et son interprétation. Çà fait plaisir de recevoir l'avis des autres alors n'hésitez pas à m'écrire. Evidement je remercie tous mes autre lecteurs ! notamment Eib !
