Chapitre bonus!

Welcome to my life

Salut tout le monde! Me voilà de retour pour un chapitre en extra! J'espère que vous aimerez!

Réponses à vos reviews!

Nakuru Akisawa : Salut! J'ai l'honneur de t'annoncer que je suis une ani serenity et que la seule personne avec qui je la voie bien c'est avec Insector Haga! Mais je retiens quand meme l'idée du Joey/Setenity. J'aime les couples inscest. En tout les cas, merci d'avoir lu ma fic! Je suis heureuse que tu aies aprécié!

Thealie: Le couple Yugi/Atem a été fait mais j'aime beaucoup l'idée. Je la retiens et merci!

Léti : Wow! Je suis vraiment très heureuse que tu aies aimé à ce point. J'aime VRAIMENT, l'idée du Mokuba/Tristan! C'est l'une des meilleures propositions que j'ai eue jusqu'à maintenant. Qui sait, peut-être que je vais en faire un one shot un moment donné! C'était très gentil de ta part et j'espère que tu vas apprécier ce chapitre surprise si tu viens qu'à le lire!

Julie.Percevent : Sur ce couple là, je verrais une histoire de viol ou bien un voyage dans le temps, un amour passionné entre Salomon et Mokuba puis… tu vois le genre? Quelque chose de super romantique ou de totalement horrible:D Ou oui, un délire T O T A L un peu comme la grosse MITE!mitemitemite! Oups… en tout les cas, merci pour ta review!

Sogna: Jamais songé au raphaël/yami mais c'est pas bête du tout! Merci!

Kyuen: LOL! Je suis justement en traine de penser à une autre songfic sur eux deux! Pas quelque chose de long mais quelque chose de semblable à welcome to my life. Je crois que je devrais effectivement y voir. Sur ce, merci d'avoir lu ma fic et je suis franchement heureuse de voir que tu l'as aimé!

Chise: Je dois t'avouer que j'ai un faible pour le couple Yami/Seto. C'est une bonne idée et je le retiens pour une fic à venir. Merci! Mais je dois t'avouer, s'ils ont à être en couple, ils ne seront pas les personages principaux et leurs histoire ne sera pas l'histoire maitresse de la fic. Je les trouves tellement mignons quand ils sont juste en background… et aussi sous les feux de la rampe quand ils sont au lit mais bon. C'est un autre detail. Encore merci!

WELCOME TO MY LIFE, Epilogue

Il était maintenant au tour de Seto de marcher sur cette rue passante. La même qui avait accueilli les pensées noires de Mokuba quelques mois auparavant, et la même qui voyait en ce jour un Seto décidé à jouer le tout pour le tout. Il avait revêtit ses plus beaux atouts et s'apprêtait à aller faire ce qu'il aurait appelé LA bêtise capitale. Mokuba lui avait donné espoir que son désir soit un jour réalisable; il s'en allait déclarer sa flamme à sa Némésis.

Mokuba lui, était très heureux avec Joey. Ils s'aimaient passionnément l'un et l'autre. Seto acceptait très bien la perspective que son petit frère soit gay, bien que certaines personnes dans son entourage, comme Seto ne tarda pas à remarquer, le méprisait beaucoup. Il était difficile d'être adjoint d'une compagnie comme la Kaiba Corporation en étant marginal. Mokuba en savait quelque chose mais réussissait tout de même à surmonter tout ça sans qu'il n'y ait aucune répercutions dans le couple uni et amoureux qu'il formait avec Joseph, et c'est ce courage qui avait inspiré Seto Kaiba à en faire de même.

Seto était amoureux lui aussi... et il irais la voir, sa Némésis. Il lui dirait tout, pour le simple fait de se sentir enfin libre de ce fardeau.

Il arriva finalement devant la rue qu'il espérait tant; Helena Street. Il s'y avança, quittant le boulevard et son animation pour pénétrer dans cette rue d'aspect sombre, délabré. Plusieurs blocs d'appartements bruns et de petite taille y étaient collés l'un à l'autre, les voitures et les déchets jonchant la rue en un même amas sale et puant. Il n'était pas dans le plus beau quartier de Domino. En fait, c'était le pire, là où les appartements ne sont pas cher et permettent d'accueillir les plus pauvres et les plus débauchés, comme ceux qui comme son père biologique passaient tout l'argent qu'ils avaient dans la boisson et la drogue. Ces loyers bons marchés qui accueillaient aussi des étudiants, de jeunes universitaires en quête de savoir qui n'avaient tout simplement pas les moyens de se payer les cartiers latins...

Il arriva finalement devant l'un des blocs. Une motocyclette y était garée, annonçant la présence de sa Némésis. .

Seto grimpa les deux étages d'escalier de métal peint de noir qui le séparait de cette porte mal isolée sur la quelle il tambourina trois petits coups secs. Un homme ne mit pas long à répondre. Il était presque aussi grand que Seto, avait les cheveux bruns foncés coupés court et des yeux de même couleur. Il était tout habillé de cuir noir, digne d'un vrai motard.

« Dis donc, mon vieux, t'en fais une de ces têtes, aujourd'hui! La dernière fois que je t'ai vu aussi piteux, c'est quand Mokuba t'avais engueulé avant d'aller rejoindre Joey et que Yugi t'avais ramassé à la miette. »

« Ah, arrêtes vieux, t'exagère encore. »

« Là, je te reconnais. Allez, entre. Je viens de faire du café car je commençais à cogner des clous sur mon devoir. T'en veux? »

« Encore du dessin technique? »

« Toujours du dessin technique, oui. »

Seto entra dans l'appartement de Tristan. La première chose qu'il remarqua quand il entra dans le salon fut l'immense table à dessin qui était installée contre le mur du fond. Tristan étudiait en architecture, aussi étonnant cela puisse-il paraître. Une feuille y était placée et on pouvait y distinguer une petite maison de quatre étages seulement, derrière les lignes axes, les lignes de constructions, de collations et patati et patata. Seto s'en approcha pour mieux voir de quoi il s'agissait, et pu se rendre contre de la qualité du model.

« Victorien, 17ième siècle. Tu aimes? »

« Et c'est toi qui l'as créé? »

« De toute pièce. C'est un vrai bijou. »

Tristan emmena les deux tasses de café et les déposa sur la petite table qui trônait le salon pour aller se placer à l'arrière de Seto qui détaillait le plan sans le comprendre vraiment. Tristan déposa ses mains sur les épaules de Seto et se dressa pour voir par-dessus son épaule pour voir ce que pointait Seto du doigt.

« Qu'est-ce que ça veut dire, ça? »

« C'est un peux plus compliqué. Il me faudrait les projections orthogonales pour que tu comprennes vraiment. »

« J'ai aucune idée de quoi tu parles. Moi, je gère une compagnie et tout ces barbouillages, je demande à des architectes de me les montrer sur ordinateur avec la couleur et des formes compréhensibles. »

« Moi je me demande où je vais aller après l'université. Je vais sûrement aller voir pour... »

« T'inquiète. Il y a déjà un job qui t'attend à la Kaiba Corporation, mais j'aimerais que ça ne s'ébruite pas trop. »

Tristan figea et ses mains se crispèrent sur les épaules de Seto. Il fit demi tour et s'en alla en direction de l'unique canapé sur lequel il se laissa tomber, n'arrivant pas à saisir ce que Seto venait de lui dire. La Kaiba Corporation. Tout les jeunes architectes en rêvaient mais seuls les plus talentueux arrivaient à y entrer après plusieurs années à bosser comme des défoncés s'il avaient la chance d'arriver à prendre un rendez-vous avec Kaiba en personne, qui généralement n'écoutaient rien de ce qu'ils avaient à dire. Et lui l'avait avant même d'avoir terminé son cours, que déjà un job lui était promis. À la Kaiba Corporation! Magnifique. Mais...

« Seto, t'es vraiment un chum... Merci mais je ne peux pas acc... »

« Tais-toi... »

Seto alla s'asseoir près de lui et d'un mouvement précautionneux, il appuya sa main sur la joue de Tristan et diriges son regard d'acajou vers le sien.

« Je ne veux pas te voir faire de maisons roulottes, compris? Alors, tu vas venir travailler à la Kaiba Corporation. Tu n'as pas le choix. Je veux travailler avec toi, Tristan Taylor. »

Cela le fit rougit jusqu'aux oreilles. Pour un motard, ce n'était pas très élégant mais Seto lui le trouvait trop mignon.

« Seto, je ne peux pas accepter, c'est trop et... »

« Shut...Tristan. » murmura t-il.

Seto déplaça sa main et plaqua un long doigt fin sur les magnifiques lèvres de l'homme qui se tenait face à lui. Elles étaient douces et Seto était certain qu'elles l'étaient encore plus quand il s'agissait de les embrasser, de se faire embrasser par elles. À cette pensée lubrique, il s'avança vers Tristan sans réfléchir le moins du monde et l'embrassa avant que ce dernier n'ait le temps de faire quoi que ce soit. Eh oui, elles étaient encore plus douces! Plus douces qu'il ne se le serait jamais imaginé, en plus d'avoir un petit goût de chocolat. Voyant que Tristan ne semblait pas prendre part au baiser, Seto enleva ses lèvres de sur celles de son amour et baissa la tête, honteux.

« Pardonne moi. Je me suis laissé emporté. Je n'aurais jamais dû. J'ai si honte.»

Comprenant son erreur, Tristan prit Seto dans ses bras et le serra tout contre lui. Il ne voulait pas le blesser pour rien au monde mais il n'avait jamais été le gars le plus génial en amour et il ne le serait jamais. Et surtout quand il s'agissait de baiser volé, là, il était foutu. Seto lui, ne comprenait plus rien. Vraiment plus rien. Mais cela ne l'empêchait pas de savourer le fait d'être dans les bras puissants de son aimé, de sentir sa bonne odeur, de déguster le fait d'être niché dans son cou. Il se senti encore plus confus quand Tristan prit sa tête entre ses mains et lui embrassa délicatement le front, pour le ré enlacer immédiatement, parsemant son cou dans lequel il s'était niché de baisers suaves.

« C'est à moi de te demander pardon. » murmura t-il tout contre son oreille qui se mit à mordiller immédiatement après.

Seto se demandais ce qu'il devait comprendre dans tout ça. Ce fut plus clair toutefois quand Tristan s'éloigna un moment de Seto et enleva son petit jacket de cuir qui laissait place à un chandail à manches courtes moulantes de couleur noir, détaillant toute l'élégance et la puissance de son corps. Puis ce fut au tour de Tristan de s'emparer des lèvres de Seto. Ce fut un baiser plutôt doux, qui dégénéra vite en un baiser brûlant de passion, que Tristan fini par rompre quand il se rendit contre que Seto et lui étaient torse nus, que lui était sur Seto et que le sofa était plus qu'inconfortable.

« Dis, Seto, ça te dirais de... » Tristan pointa en direction de la porte de sa chambre qui était close.

« Oui. Je n'ai jamais vraiment visité ta chambre. »

« Eh bien c'est le temps où jamais. »

Tristan se leva et aida Seto à en faire de même. Une fois debout, ils en profitèrent et s'enlacèrent.

« Seto? »

« Mm? »

« Ça va peut-être te surprendre mais il y a déjà un moment que j'en ai envie. »

« De...? »

« De toi. Je... Je t'aime, Seto. »