Chapitre 2 : Une dure nuit
La nuit serait superbe sur le toit du 4 Privet Drive. La rue était éclairée d'une pleine lune éclatante et de milliers d'étoiles et des perséides fendaient le ciel en cette tard soirée de fin juillet. Harry pensait au professeur Lupin. Malheureusement, il ne pourrait apprécier la nuit, cloîtré dans une cabane pour être certain de ne faire du mal à personne. Mais Harry avait bien d'autres soucis à se faire. En effet, il était presque minuit et les Dursley se refusaient toujours à ouvrir la porte et le laisser entrer dans la maison.
En effet, pendant la soirée, une querelle était survenue entre lui et son cousin Dudley à propos d'un morceau de tarte que ce dernier avait découvert sous une lame de parquet de la chambre de Harry. La tante Pétunia avait traité Harry de tous les noms, de sans-c?ur à traître, en passant par un beau répertoire lorsqu'elle avait compris que depuis le début de l'été, Harry ne suivait pas dû tout le régime imposé à toute la famille pour faire souffrir un peu moins son petit Duddy-chéri. Elle avait donc laissé Dudley rudoyer Harry toute la soirée. Il faut dire que le fait que les Dursley détestaient Harry pour ce qu'ils appelaient son « anormalité » ne les avait pas amener à intercéder en sa faveur. En fait, il était vrai que Harry Potter n'était pas vraiment un garçon normal, enfin, normal pour un moldu, car Harry Potter était un sorcier.
Heureusement, la capacité de réflexe que Harry avait acquis avec sa pratique du Quidditch lui permis d'éviter la plupart des coups de Dudley. Celui-ci, ayant à peu de chose près la taille et le poids d'un bébé cachalot, avait beaucoup de mal à se déplacer rapidement. Cependant, Harry n'avait pu éviter le jet d'eau glacial et c'était retrouvé trempé de la tête aux pieds. Dudley avait ensuite fuit dans la maison, laissant Harry à la porte et fermant absolument toutes les serrures.
Il était donc assit la bêtement, sur le parquet de la porte de derrière, à attendre le petit matin. Bien sur, la nuit était magnifique, mais il commençait vraiment à faire froid. S'il n'entrait pas très vite, il finirait par tomber très malade. Il aurait quand même rêvé mieux pour la nuit de son anniversaire, des vêtements secs et un lit chaud par exemple.
Harry était perdu dans ses pensées lorsque sa chouette Hedwidge, accompagnée de quatre autres hiboux se posa près de lui. Harry fut ravis de voir qu'au moins ses amis n'avaient pas oubliés son anniversaire. Il délesta les oiseaux de leurs lettres et paquets, ce qui ne fut pas sans peine en ce qui concerne Coq, le minuscule volatile de Ron, et tous s'envolèrent dans la nuit étoilée. Il ouvrit la première lettre, celle de Poudlard. Elle contenait une lettre lui indiquant la date le la rentrée (le premier septembre, comme toujours) ainsi que sa liste de fourniture. Il trouva aussi une lettre de Hagrid :
Cher Harry, J'espère sincèrement que tu passes de bonne vacance. Pour ma part, je suis à la recherche des géants avec Olympe (Madame Maxime) dans les montagnes du nord. C'est très intéressant et je vois pleins de créatures intéressantes qui ne vivent pas en Angleterre. J'ai beaucoup de nouvelles idées pour les cours de la prochaine année. Quoi qu'il en soit, j'ai trouvé ces objets au cours de mon voyage. Ce sont des pierres à souhait. Tu n'as qu'a prononcer un souhait pour qu'il se réalise immédiatement, mais pas d'illusion, elle ne font rien qui peuvent changer des événements passés, (comme ramener un être a la vie par exemple) elles ne réalisent que des souhait banaux. Je te souhaite quand même de t'amuser avec celles-ci, mais attention, attends d'être à Poudlard pour les essayer, on ne sait jamais.
Je te souhaite de passe une bonne fin de vacance et on se reverra à la rentrée. Attention a toi et à bientôt Hagrid
Harry lu sa lettre avec un sourire. Il savait bien que Hagrid n'avait pas les mêmes critères que la majorité des gens en ce qui concernait les créatures intéressantes et il se demandait bien ce qu'il aurait à affronter et à élever cette année. Il jeta un ?il aux pierres à souhait et fut très déçu de ne pouvoir les utiliser maintenant. Pour l'instant, son seul souhait était d'ouvrir cette fichue porte !
Il ouvrit sa seconde lettre, celle de Ron :
Cher Harry, Je sais que je n'ai pas le droit de t'inviter cet été (par ordre de Dumbledore) mais j'espère quand même que tu t'en sors. Ici, tout est plutôt calme. Papa et Percy ne sont pas souvent à la maison. Ils travaillent beaucoup à rallier les forces contre le Seigneur des Ténèbres et ce n'est pas très facile puisqu'ils doivent le faire à l'insu de Fudge (Fichu troll bouché !!!) Je ne les vois donc pas beaucoup. Papa est très fatigué et Percy est plus exécrable que jamais. Au fond, tu es peut-être mieux chez les moldus. Je ne sais pas comment ont fait Fred et George, mais ils m'ont offert une nouvelle robe de bal. Elle est magnifique, d'un bleu électrique et brodée de fil d'or. Je me doute que ça vient de toi. Ron
Harry rit en son fort intérieur. Ron avait bien deviné. En effet, à la fin de l'année dernière, en sortant du train, il avait offert les milles galions, prix du Tournois des Trois Sorciers, à Fred et George pour ouvrir leurs boutiques de farce et attrapes à la condition qu'ils achètent une nouvelle robe à Ron.
Il s'intéressa au paquet qui accompagnait la lettre. Il contenait une magnifique montre. Son bracelet était en cuir de dragon bleu et le cadran était noir. Les aiguilles comportaient soit un soleil, une lune ou une étoile. Un mot accompagnait le cadeau
Harry, cette montre est plutôt spéciale. En effet, elle ne montre pas seulement l'heure mais peut aussi te dire où se trouve la personne que tu lui demandes et le temps qu'il fera.Ça te sera utile pour le Quidditch entre autre. Ron, Fred et George
Harry sourit. Oh oui, les jumeaux étaient bien de Weasley, toujours aussi généreux. Il se demandait bien par contre pourquoi ils croyaient qu'elle allait lui être utile pour le Quidditch. Il chassa cette pensée de son esprit, de toute façon, il le saurait bien assez tôt.
Il ouvrit ensuite le cadeau d'Hermione. La lettre était glissée à l'intérieur de la boîte. Il découvrit un sac. Fronçant les sourcils, il lut la lettre.
Cher Harry, Tu dois bien te demander ce que j'ai trouvé encore. C'est un sac four tout. Il peut prendre absolument tout ce que tu lui donne, petit ou gros, en petite ou grande quantité. Il peut aller de contenir un balai à une bille de verre. De plus, il est muni d'un sort de protection empêchant tous les objets de son contenu, fragiles ou pas, de se brisé ou s'abîmer. Je sais que tu lui trouveras beaucoup d'utilité. De plus, tu n'as qu'à appuyer sur l'anneau qui décore le dessus pour le rendre invisible. Je suis certaine que cette faculté te servira chez les moldus, et comme c'est un objet magique et que tu n'as pas à jeter de sort, tu n'auras pas d'ennuis avec le ministère
J'espère que tu ne t'en sors pas trop mal avec tes moldus. Pour ma part, je sui chez Victor, en Bulgarie, mais ne le dis pas a Ron, je sais qu'il serait absolument furieux. De toute façon, j'ai dit à Victor que je voulais qu'on soit juste des amis. Il était déçu, mais je me sens mieux comme ça.
Fais bien attention à toi Harry et à bientôt, à la rentrée. Au revoir Hermione
Harry resta songeur en regardant le sac. Hermione savait vraiment trouver des cadeaux rares et pratiques. Elle avait du le prendre en Bulgarie. Il se demandait d'ailleurs quand elle et Ron allaient s'apercevoir qu'ils ne pouvaient se passer l'un de l'autre.
Il prit la dernière lettre. Il se doutait de son expéditeur et ses doutes furent confirmés lorsqu'il l'ouvrit.
Cher Harry, J'espère que tu vas bien. Je suis présentement chez une amie qui a eu la gentillesse de m'offrir un toit pour quelques jours. Le reste tu temps, je demeure avec Remus. Par contre, elle sera ton nouveau professeur de défense contre les forces du mal cette année, à Poudlard, je devrai donc me trouver une nouvelle place où loger. Mais ne t'en fais pas pour moi, je trouverai bien.
En attendant, je suis désolé d'avoir à te dire que je ne peux t'envoyer ton cadeau par hibou. Mais je te promets que tu le recevras bientôt, par un autre moyen.
J'espère que tu vas bien. N'oublie pas de m'écrire si tu as mal à la tête, et si tes moldus te maltraitent trop, tu peux toujours leur dire que je vais venir les punir.
Alors, tu recevras ton cadeau d'ici demain. Écris moi dès que tu l'auras reçu Au revoir Sirius
Harry ria à la penser de voir arriver Sirius à pour crier au Dursley d'ouvrir la porte. Il était un peu déçu cependant d'avoir à attendre encore pour recevoir son cadeau. La montre de Ron indiquait une heure du matin. Avec un soupir, il rangea ses cadeaux et ses lettres dans le sac que Hermione lui avait offert et pressa le bouton d'invisibilité. Les Dursley ne le laisseraient jamais entrer avec tous ces objets magiques. Il se recroquevilla sur le porche et se résous à dormir à la belle étoile.
Environ une heure plus tard, un énorme chien noir avec un paquet dans la gueule s'approcha de la porte. Il posa son fardeau et flaira Harry. Ce dernier grelottait de froid mais ne semblait pas disposé à se réveiller pour autant. Ne voulant pas réveiller l'adolescent en sursaut en poussant un jappement, le chien se blottit contre lui et s'endormit aussi.
La nuit serait superbe sur le toit du 4 Privet Drive. La rue était éclairée d'une pleine lune éclatante et de milliers d'étoiles et des perséides fendaient le ciel en cette tard soirée de fin juillet. Harry pensait au professeur Lupin. Malheureusement, il ne pourrait apprécier la nuit, cloîtré dans une cabane pour être certain de ne faire du mal à personne. Mais Harry avait bien d'autres soucis à se faire. En effet, il était presque minuit et les Dursley se refusaient toujours à ouvrir la porte et le laisser entrer dans la maison.
En effet, pendant la soirée, une querelle était survenue entre lui et son cousin Dudley à propos d'un morceau de tarte que ce dernier avait découvert sous une lame de parquet de la chambre de Harry. La tante Pétunia avait traité Harry de tous les noms, de sans-c?ur à traître, en passant par un beau répertoire lorsqu'elle avait compris que depuis le début de l'été, Harry ne suivait pas dû tout le régime imposé à toute la famille pour faire souffrir un peu moins son petit Duddy-chéri. Elle avait donc laissé Dudley rudoyer Harry toute la soirée. Il faut dire que le fait que les Dursley détestaient Harry pour ce qu'ils appelaient son « anormalité » ne les avait pas amener à intercéder en sa faveur. En fait, il était vrai que Harry Potter n'était pas vraiment un garçon normal, enfin, normal pour un moldu, car Harry Potter était un sorcier.
Heureusement, la capacité de réflexe que Harry avait acquis avec sa pratique du Quidditch lui permis d'éviter la plupart des coups de Dudley. Celui-ci, ayant à peu de chose près la taille et le poids d'un bébé cachalot, avait beaucoup de mal à se déplacer rapidement. Cependant, Harry n'avait pu éviter le jet d'eau glacial et c'était retrouvé trempé de la tête aux pieds. Dudley avait ensuite fuit dans la maison, laissant Harry à la porte et fermant absolument toutes les serrures.
Il était donc assit la bêtement, sur le parquet de la porte de derrière, à attendre le petit matin. Bien sur, la nuit était magnifique, mais il commençait vraiment à faire froid. S'il n'entrait pas très vite, il finirait par tomber très malade. Il aurait quand même rêvé mieux pour la nuit de son anniversaire, des vêtements secs et un lit chaud par exemple.
Harry était perdu dans ses pensées lorsque sa chouette Hedwidge, accompagnée de quatre autres hiboux se posa près de lui. Harry fut ravis de voir qu'au moins ses amis n'avaient pas oubliés son anniversaire. Il délesta les oiseaux de leurs lettres et paquets, ce qui ne fut pas sans peine en ce qui concerne Coq, le minuscule volatile de Ron, et tous s'envolèrent dans la nuit étoilée. Il ouvrit la première lettre, celle de Poudlard. Elle contenait une lettre lui indiquant la date le la rentrée (le premier septembre, comme toujours) ainsi que sa liste de fourniture. Il trouva aussi une lettre de Hagrid :
Cher Harry, J'espère sincèrement que tu passes de bonne vacance. Pour ma part, je suis à la recherche des géants avec Olympe (Madame Maxime) dans les montagnes du nord. C'est très intéressant et je vois pleins de créatures intéressantes qui ne vivent pas en Angleterre. J'ai beaucoup de nouvelles idées pour les cours de la prochaine année. Quoi qu'il en soit, j'ai trouvé ces objets au cours de mon voyage. Ce sont des pierres à souhait. Tu n'as qu'a prononcer un souhait pour qu'il se réalise immédiatement, mais pas d'illusion, elle ne font rien qui peuvent changer des événements passés, (comme ramener un être a la vie par exemple) elles ne réalisent que des souhait banaux. Je te souhaite quand même de t'amuser avec celles-ci, mais attention, attends d'être à Poudlard pour les essayer, on ne sait jamais.
Je te souhaite de passe une bonne fin de vacance et on se reverra à la rentrée. Attention a toi et à bientôt Hagrid
Harry lu sa lettre avec un sourire. Il savait bien que Hagrid n'avait pas les mêmes critères que la majorité des gens en ce qui concernait les créatures intéressantes et il se demandait bien ce qu'il aurait à affronter et à élever cette année. Il jeta un ?il aux pierres à souhait et fut très déçu de ne pouvoir les utiliser maintenant. Pour l'instant, son seul souhait était d'ouvrir cette fichue porte !
Il ouvrit sa seconde lettre, celle de Ron :
Cher Harry, Je sais que je n'ai pas le droit de t'inviter cet été (par ordre de Dumbledore) mais j'espère quand même que tu t'en sors. Ici, tout est plutôt calme. Papa et Percy ne sont pas souvent à la maison. Ils travaillent beaucoup à rallier les forces contre le Seigneur des Ténèbres et ce n'est pas très facile puisqu'ils doivent le faire à l'insu de Fudge (Fichu troll bouché !!!) Je ne les vois donc pas beaucoup. Papa est très fatigué et Percy est plus exécrable que jamais. Au fond, tu es peut-être mieux chez les moldus. Je ne sais pas comment ont fait Fred et George, mais ils m'ont offert une nouvelle robe de bal. Elle est magnifique, d'un bleu électrique et brodée de fil d'or. Je me doute que ça vient de toi. Ron
Harry rit en son fort intérieur. Ron avait bien deviné. En effet, à la fin de l'année dernière, en sortant du train, il avait offert les milles galions, prix du Tournois des Trois Sorciers, à Fred et George pour ouvrir leurs boutiques de farce et attrapes à la condition qu'ils achètent une nouvelle robe à Ron.
Il s'intéressa au paquet qui accompagnait la lettre. Il contenait une magnifique montre. Son bracelet était en cuir de dragon bleu et le cadran était noir. Les aiguilles comportaient soit un soleil, une lune ou une étoile. Un mot accompagnait le cadeau
Harry, cette montre est plutôt spéciale. En effet, elle ne montre pas seulement l'heure mais peut aussi te dire où se trouve la personne que tu lui demandes et le temps qu'il fera.Ça te sera utile pour le Quidditch entre autre. Ron, Fred et George
Harry sourit. Oh oui, les jumeaux étaient bien de Weasley, toujours aussi généreux. Il se demandait bien par contre pourquoi ils croyaient qu'elle allait lui être utile pour le Quidditch. Il chassa cette pensée de son esprit, de toute façon, il le saurait bien assez tôt.
Il ouvrit ensuite le cadeau d'Hermione. La lettre était glissée à l'intérieur de la boîte. Il découvrit un sac. Fronçant les sourcils, il lut la lettre.
Cher Harry, Tu dois bien te demander ce que j'ai trouvé encore. C'est un sac four tout. Il peut prendre absolument tout ce que tu lui donne, petit ou gros, en petite ou grande quantité. Il peut aller de contenir un balai à une bille de verre. De plus, il est muni d'un sort de protection empêchant tous les objets de son contenu, fragiles ou pas, de se brisé ou s'abîmer. Je sais que tu lui trouveras beaucoup d'utilité. De plus, tu n'as qu'à appuyer sur l'anneau qui décore le dessus pour le rendre invisible. Je suis certaine que cette faculté te servira chez les moldus, et comme c'est un objet magique et que tu n'as pas à jeter de sort, tu n'auras pas d'ennuis avec le ministère
J'espère que tu ne t'en sors pas trop mal avec tes moldus. Pour ma part, je sui chez Victor, en Bulgarie, mais ne le dis pas a Ron, je sais qu'il serait absolument furieux. De toute façon, j'ai dit à Victor que je voulais qu'on soit juste des amis. Il était déçu, mais je me sens mieux comme ça.
Fais bien attention à toi Harry et à bientôt, à la rentrée. Au revoir Hermione
Harry resta songeur en regardant le sac. Hermione savait vraiment trouver des cadeaux rares et pratiques. Elle avait du le prendre en Bulgarie. Il se demandait d'ailleurs quand elle et Ron allaient s'apercevoir qu'ils ne pouvaient se passer l'un de l'autre.
Il prit la dernière lettre. Il se doutait de son expéditeur et ses doutes furent confirmés lorsqu'il l'ouvrit.
Cher Harry, J'espère que tu vas bien. Je suis présentement chez une amie qui a eu la gentillesse de m'offrir un toit pour quelques jours. Le reste tu temps, je demeure avec Remus. Par contre, elle sera ton nouveau professeur de défense contre les forces du mal cette année, à Poudlard, je devrai donc me trouver une nouvelle place où loger. Mais ne t'en fais pas pour moi, je trouverai bien.
En attendant, je suis désolé d'avoir à te dire que je ne peux t'envoyer ton cadeau par hibou. Mais je te promets que tu le recevras bientôt, par un autre moyen.
J'espère que tu vas bien. N'oublie pas de m'écrire si tu as mal à la tête, et si tes moldus te maltraitent trop, tu peux toujours leur dire que je vais venir les punir.
Alors, tu recevras ton cadeau d'ici demain. Écris moi dès que tu l'auras reçu Au revoir Sirius
Harry ria à la penser de voir arriver Sirius à pour crier au Dursley d'ouvrir la porte. Il était un peu déçu cependant d'avoir à attendre encore pour recevoir son cadeau. La montre de Ron indiquait une heure du matin. Avec un soupir, il rangea ses cadeaux et ses lettres dans le sac que Hermione lui avait offert et pressa le bouton d'invisibilité. Les Dursley ne le laisseraient jamais entrer avec tous ces objets magiques. Il se recroquevilla sur le porche et se résous à dormir à la belle étoile.
Environ une heure plus tard, un énorme chien noir avec un paquet dans la gueule s'approcha de la porte. Il posa son fardeau et flaira Harry. Ce dernier grelottait de froid mais ne semblait pas disposé à se réveiller pour autant. Ne voulant pas réveiller l'adolescent en sursaut en poussant un jappement, le chien se blottit contre lui et s'endormit aussi.
