Et oui, un 15ième chapitre en ligne!!!
Je voulais seulement dire un gros merci à tous mes reviewers et je suis vraiment contente de vous avoir!!!
Alors bonne lecture à tous et à bientôt!!!
Bye bye
Shany-Blue, la dernière des Pendragon
XxX
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Chapitre 15 : Gryffondor contre Serdaigle
Il fallut peu de temps à Hagrid pour se remettre. Cependant, il ne se souvenait que d'une force l'ayant attiré vers la forêt. Il ne se souvenait plus, ni de ce qui était arrivé, ni du fait que ce soit les centaures et les licornes qui l'aient ramené. Dumbledore ne s'en fit pas trop quand même, mais déclara qu'il faudrait être plus prudent.
Le garde-chasse était complètement remis pour pouvoir assister au match de Gryffondor contre Serdaigle le samedi suivant, et ce, au grand plaisir des Gryffondors pour lesquels Hagrid avait toujours eu une certaine partialité.
C'est donc après le petit déjeuné du samedi matin que les deux équipes quittèrent la grande salle pour se rendre sur le terrain. Avant de se diriger chacun vers son vestiaire, Harry et Cho s'embrassèrent.
-N'oublie pas, dit Harry, j'ai juré de faire comme si de rien n'était.
-Ne t'en fais pas pour moi, je n'ai pas l'intention de te laisser attraper ce Vif d'or sous le simple prétexte que le capitaine de l'autre équipe est mon petit ami!
-Pfffff, tu n'as aucune chance! dit-il en rigolant.
-On verra! conclu-t-elle en riant de l'air suffisant de son petit ami.
Et ils se séparèrent. Harry entra le dernier dans le vestiaire et constata qu'il était le seul qui n'était pas changé, ce qu'il fit rapidement. Une fois tout le monde prêt, il se tourna vers l'équipe.
-Je crois que c'est le moment d'y aller!
-Hé! protesta George
-Le discours! continua Fred.
Harry les regarda d'un air effaré.
-Mais . . . dit-il
-Non, Harry! dit Angelina
-Le discours, c'est sacré! termina Katie.
Tous le regardèrent avec un grand sourire.
-Bon, d'accord! abandonna le capitaine. Alors nous savons tous que nous pouvons y arriver. Serdaigles ont une bonne équipe, mais nous sommes meilleurs! Et de plus, j'ai fait le serment auprès de nos charmants batteurs de ne pas me laisser faire par ma petite amie!
Et c'est dans l'hilarité générale qu'ils entrèrent sur le terrain. Harry serra la main du capitaine de l'équipe et ils enfourchèrent leurs balais. Madame Bibine libéra les cognars et le Vif d'or et mis le souaffle en jeu après un rapide coup de sifflet. La balle fut aussitôt saisie par Angelina qui se précipita vers les buts de Serdaigles. Harry jeta un coup d'?il à son nouveau gardien. Ron semblait nerveux, mais en maîtrise de soi. Harry ne s'inquiétait pas pour son ami dont la performance avait été spectaculaire lors de la partie contre Poufsouffle.
Harry se concentra donc sur le match. Il entendait d'une oreille distraite le commentaire du match fait par Lee Jordan, mais n'y portait pas vraiment attention. Il remarqua que contrairement à son habitude, Cho n'avait pas calqué sa trajectoire et il en fut heureux. Ainsi, peu importe qui attraperait le Vif, personne ne pourrait les blâmer d'avoir laissé l'autre gagner.
Le score était maintenant de quarante à dix en faveur de Gryffondor et Ron faisait jusqu'à maintenant un très bon travail. Un bon coup de main lui était aussi donné par ses frères qui faisaient pleuvoir les cognars sur les poursuiveurs de l'autre équipe.
Soudainement, il le vit. Le vif d'or brillait à à peine quelques mètres de lui. Il sourit en voyant que Cho était complètement à l'opposé du terrain.
Il libéra donc toute la puissance de son éclair de feu et quelques secondes plus tard, il tenait le Vif d'or bien serré dans sa main, ne laissant même pas le temps à Cho de réaliser ce qui se passait.
Harry sentit deux secousses familières le happer et eut juste le temps de voir Fred et George avant que les autres joueurs les rejoignent exactement de la même façon. Ce fut dans une totale confusion que l'équipe regagna le sol. S'ils continuaient comme ça, ils gagneraient la coupe encore cette année.
Lorsqu'ils furent de retour dans la tour de Gryffondor, la fête éclata. Comme à leur habitude, les jumeaux Weasley disparurent pendant quelques temps pour revenir les bras chargés de bouteilles de bièraubeurre et d'autres confiseries de chez Honeydukes. Personne n'osa poser de questions, mais c'est avec précaution que les Gryffondors goûtèrent aux plats. En effet, on n'était jamais à l'abri d'une farce des Weasley.
Hermione disparut au milieu de la soirée, sans dire à personne où elle allait. Comme il était l'heure du repas, Harry et Ron supposèrent qu'elle était partie manger quelque chose de plus consistant que des Fizwizbizz ou des choco-grenouilles.
-Au fait, demanda Harry, Ron, tu n'es pas supposé être présent à la grande salle en tant que préfet?
-En tant normal, oui, mais comme Hermione y est, je crois que je me dois d'être ici. pour m'assurer que tout va bien! dit-il avec un clin d'?il.
Harry pouffa de rire. Décidemment, il ne comprenait pas pourquoi Dumbledore avait nommé Ron préfet. En fait, il le soupçonnait de l'avoir fait pour redonner une certaine confiance à Ron qui toute sa vie, avait été dans l'ombre de quelqu'un. Ainsi, il devenait plus qu'un Weasley et que l'ami de Harry Potter. Il devenait simplement Ron Weasley.
Le portrait de la grosse dame pivotait sans cesse, les élèves ne cessant de sortir et revenir, si bien qu'après un moment, plus personne ne prêtait attention à ces allées et venues. Jusqu'à ce qu'un groupe plutôt étrange apparaisse. Il s'agissait en fait de Sirius, accompagné de Johanie et même de Océane, qui venaient féliciter l'équipe. Ils ne restèrent guère longtemps, surtout à cause du bruit qui effrayait l'enfant, mais cette visite fit réellement plaisir à Harry. Ce soir, il aurait aimé que James soit la. Il se consolait en se disant qu'il avait au moins vu la partie contre Poufsouffle, à laquelle Harry avait mit fin très rapidement. Il était heureux d'avoir pu impressionner son père avant qu'il ne parte. Mais il avait été très sensible au fait que Sirius prenne la peine de venir.
Ce fut seulement lorsque le professeur McGonnagal vint gronder Ron d'avoir laissé les Gryffondors fêter si tard que les autres décidèrent d'aller se coucher.
Lorsque Harry se leva le lendemain matin, il sentait un profond sentiment d'incertitude. Il n'avait pas fait de cauchemars cette nuit. Cependant, il avait appris avec le temps que plus Voldemort se tenait tranquille, plus il fallait s'en méfier. Sa dernière attaque, même s'ils ne pouvaient pas dire avec certitude qu'elle était de lui, lui avait coûté son père et avait été dirigée envers quelqu'un auquel Harry tenait beaucoup. Il ne voulait surtout pas qu'il s'en prenne à nouveau à des gens qu'il aimait.
-Ça va, Harry? demanda Ron qui avait remarqué l'air absent de son compagnon de chambre.
-Oui, oui, ne t'en fais pas, répondit celui-ci avec un pâle sourire.
Ron préféra ne rien dire. Il y avait de ces jours où Harry semblait perdu dans un monde profondément triste, et c'était souvent le cas depuis que son père était parti. Les deux amis de l'adolescent savaient qu'il n'y avait rien à faire, sauf attendre et peut-être tenter de lui changer les idées le plus possible.
Harry et Ron, rejoint par Hermione dans la salle commune, descendirent dans la grande salle pour prendre leurs petits déjeunés. Ils discutaient plus ou moins joyeusement lorsque Sirius les interrompis.
-Bonjour à vous! Bien dormi?
-Plutôt!
-Pas si mal!
-Ouais . . .
Sirius regarda suspicieusement Harry qui n'avait vraiment pas l'air en forme.
-Et bien j'espère bien parce que j'ai besoin de votre aide!
Les yeux de Ron et Hermione s'éclairèrent. La perspective de faire quelque chose d'actif leurs donnaient l'espoir de rendre Harry de meilleure humeur. Mais ils ne semblèrent pas aussi ravis que Harry.
-Quoi? demanda l'adolescent.
-Manoir . . . Si nous voulons y passer les vacances de Noël, il faut vraiment penser à le rénover . . .
Harry le regarda avec des yeux désespérés.
-Il va falloir voir Juliana?
-Euh, oui, en effet, j'ai bien peur qu'il faudra le faire un jour où l'autre . . .
-Mais je croyais qu'on ne pouvait pas sortir du château? demanda Hermione dans l'espoir de dissiper ce moment d'hésitation.
-Dans les faits oui, mais à ce que je sache, il ne vous est pas encore interdit de retourner chez-vous, et comme vous serez avec moi . . .
-Avec vous pour quoi? demanda Cho derrière le dos de Harry en souriant.
L'adolescent eu un sursaut et sourit faiblement à sa petite amie.
-Ça va, toi? demanda-t-elle, inquiète.
-Oui, oui, t'en fais pas. En fait, on va au manoir.
Ron, Hermione et Sirius sourirent. Ils avaient tous eu peur que Harry refuse.
-Quel manoir?
-Potter, ma chère, dit Ron avec un sourire.
-C'est vrai? demanda la jeune fille à son amoureux.
-En effet . . .
-Vous voulez venir, mademoiselle Chang? demanda Sirius comme si elle n'était qu'une élève.
Harry regarda son parrain avec des yeux ronds.
-Elle pourrait?
-Pourquoi pas? Je n'ai qu'à avertir Dumbledore qu'elle est avec nous! De toute façon, nous aurons besoin d'un portoloin pour s'y rendre, alors il faut aller au bureau de Dumbledore d'une façon où d'une autre!
Harry fit la grimace.
-Pourquoi est-ce qu'on ne peut pas y aller en balais?
Ce fut au tour d'Hermione de grimacer, ce qui fit rire Sirius.
-D'abord parce que notre chère Hermione déteste ça et que c'est la seule façon dont j'ai pu convaincre Dumbledore de vous emmener.
-Dans ce cas, se rendit l'adolescent, je crois que je n'ai pas vraiment le choix. Tu as envie de venir? demanda-t-il à son tour à Cho.
-Bien sûr! Qu'est-ce qu'on va y faire?
-En fait, dit Sirius, il n'y a que quelques trous à reboucher et il faut peinturer.
-Tu plaisantes? s'écria Harry.
-Euh, non, pourquoi?
-Tu as vu la grandeur du manoir, ça va nous prendre des jours, voir des semaines!
-Harry, est-ce que tu oublierais que tu es un sorcier? Le fait de changer la couleur des murs n'est pas si atroce, il ne faut qu'un coup de baguette, et rien de plus! De toute façon, ce n'est pas toute les pièces qui en ont besoin.
-Est-ce que Johanie et Océane viennent?
-Non, Océane est un peu trop petite pour ce genre de travaux et il doit bien y avoir quelqu'un pour rester avec elle.
-C'est logique. Est-ce qu'elles ont vu le manoir?
-Non, pas encore, je leur réserve la surprise le jour où elles emménageront, avant Noël j'espère, d'ailleurs. Johanie commence vraiment à s'ennuyer ici. Au moins au manoir, nous pourrons lui faire une pièce opaque à la magie où nous pourrions installer un ordinateur, pour lui permettre de travailler un peu.
-Il faudrait lui présenter ma mère! dit Ron. Avec elle, elle n'aurait vraiment pas le temps de s'ennuyer!
Ils éclatèrent tous de rire. Même Harry retrouvait le moral, même s'il savait qu'il devrait affronter Juliana dans quelques heures.
-Alors, quand est-ce qu'on part? demanda-t-il.
-Et bien, maintenant, si vous avez terminé de manger!
-Maintenant! s'étrangla à moitié Harry.
Et bien là, ses heures étaient réduites à minutes.
-Il y a un problème?
-Non . . . non, ça va . . .
-Je lui parlerai avec toi, si tu veux, dit Sirius qui semblait comprendre pourquoi son filleul était si paniqué.
L'adolescent eut un pâle sourire.
-Alors allons-y, dans ce cas . . .
Ils se levèrent tous d'un même mouvement et prirent la direction du bureau de Dumbledore. À partir de là, une bouteille vide de bièraubeurre les emmena au manoir.
Cho ouvrit de grands yeux devant la bâtisse. Elle ne devait certainement pas s'attendre à quelque chose d'aussi gros. Harry inspira profondément et poussa la lourde porte d'entrée. Il n'y avait pas de fantôme en vue et il en fut presque soulagé. Mais il se dit finalement que plus il repoussait le moment, plus l'angoisse se faisait grande. Ça devait absolument se faire aujourd'hui.
-Par où commence-t-on? demanda Hermione pour sortir Harry de ses pensées. -Et bien, commencez par aller déposer vos choses dans la chambre de Harry, et puis on se rejoint dans cette salle, dit-il en pointant la salle de bal à sa droite.
Les adolescents acquiescèrent.
-On va essayer de ne pas se perdre!
Ils montèrent l'escalier de marbre et prirent le couloir de gauche. Au grand soulagement de Harry ils retrouvèrent facilement la pièce. Il y avait quelques boîtes en cartons posées par terre mais l'adolescent n'y porta pas attention. Ils déposèrent leurs capes sur le lit et redescendirent rejoindre Sirius.
-Ne me dis pas qu'on va refaire cette salle?
-Tu plaisantes? Cette salle est parfaite. Non en fait, c'est surtout les chambres qu'il faut rafraîchir, et il faut faire une chambre d'enfant pour Océane.
-Ma chambre est bien comme elle est! dit Harry précipitamment.
-Je sais, mais elle a quand même besoin d'un bon récurage à l'aide de quelque coup de baguette. Je sais que tu ne veux rien y changer, mais ce n'est pas une raison pour en pas en nettoyer les murs avant d'y dormir! fit Sirius en riant.
Harry eut un sourire d'excuse.
-Alors donc, continua l'homme, je propose qu'on se divise. Pour ma part, je me charge de trouver une chambre pour Océane et de l'aménager. Je propose que Harry et mademoiselle Chang . . .
-Vous savez, professeur, vous pouvez m'appeler Cho, fit elle un peu gênée.
-D'accord, mais seulement si vous m'appelez Sirius, mais, seulement en dehors des cours!
Les adolescents ricanèrent.
-Je disais donc, je propose que Harry et Cho récurent un peu la chambre de Harry et Ron et Hermione, vous pourriez donner un coup de peinture à une des chambres d'amis. Lorsque vous aurez terminé, venez me voir pour que je puisse vous donner autre chose à faire.
Ils se séparèrent donc. Harry et Cho remontèrent dans la chambre de l'adolescent et Sirius montra une chambre à Ron et Hermione pour qu'ils s'en occupent.
À la fin de la journée, ils avaient abattu beaucoup de travail. La chambre de Harry était propre, ainsi que toutes les chambres d'amis. Les adolescent s'étaient d'ailleurs amusés en en changer toute les couleurs. Puis la chambre pour Océane était prête ainsi que la chambre qu'occuperaient Sirius et Johanie. La vaisselle avait été nettoyée et rangé à coup de sort et les planchers reluisaient. En fait il ne restait plus qu'à ranger le grenier, mais ça pouvait toujours attendre. Cette tâche pourrait être faite seulement lorsque les occupants auraient emménagés. Ils étaient tous plutôt fiers d'eux.
-Rusard en serait vert de jalousie! dit Sirius pendant qu'ils mangeaient des sanwitchs que l'homme avait fait apparaître.
-À quelle heure le portoloin nous ramène-t-il à Poudlard? demanda Hermione.
-Dans une heure.
-Je reviens, dit Harry.
-Tu veux que je vienne avec toi? demanda Sirius qui avait deviné ses intentions.
-Non, je crois que ça va aller.
Harry sortit de la salle à manger et referma les portes derrière lui. Puis il monta les escaliers de marbre et s'arrêta à leur sommet.
-Juliana? cria-t-il. Juliana, il faut qu'on parle! Viens me rejoindre dans ma chambre s'il te plait!
Harry prit donc la direction de sa chambre. Il s'y assit sur son lit et attendit. Quelques minutes plus tard, il fut rejoint pas la jeune fille à la silhouette fantomatique.
-Qu'est-ce qu'il y a? demanda-t-elle tristement.
Harry la regarda aussi tristement qu'elle.
-Il est parti, c'est ça?
Il acquiesça.
-Oh, Harry, dit-elle en s'approchant, est-ce que ça va?
-Il voulait que je te dise qu'il s'excuse.
Elle sourit.
-Ton père s'est toujours senti coupable, mais ce n'était pas de sa faute. Après tout, je ne me souviens même pas de ce qui m'est arrivé, alors ce n'est pas grave. Peu importe ce qu'ils ont pu me faire, nous n'étions que des adolescents, et il ne pouvait rien faire de plus. L'important est de savoir si toi, tu vas bien, Harry.
L'adolescent haussa les épaules.
-Il me manque, mais je crois que ça va aller.
-Certains?
-Tu sais, j'ai vécu beaucoup de choses. Ça va aller. Et puis, il y a Sirius.
-Oui, je suis contente que sa famille vienne vivre ici. D'avoir une enfant va remettre un peu de vie dans ce manoir. J'y vis seule depuis si longtemps.
On cogna à la porte.
-Harry?
C'était la voix de Sirius.
-Oui, entre!
-Désolé de vous déranger, mais le portoloin nous ramènera à Poudlard dans dix minutes, je crois que tu ferais mieux de descendre.
-D'accord, tu veux m'aider à descendre tout ça? dit-il en pointant les capes de ses amis.
Sirius s'avança, pris les capes et sortit.
-Je dois y aller, dit Harry.
-Je sais, j'espère que tu reviendras vite!
-Je vais sûrement venir aider à installer Johanie et Océane. Si non, je viendrai passer les vacances de Noël.
-D'accord, alors à bientôt.
-À bientôt, Juliana.
Harry sortit de sa chambre et coura presque vers le hall d'entré où les autres l'attendaient. Il mis rapidement la cape que son parrain lui tendait et mit un doigt sur la bouteille. Quelques secondes plus tard, ils étaient de retour dans le hall de Poudlard.
Sirius salua les jeunes sorciers et alla rejoindre Johanie et Océane. Ron et Hermione partirent vers la tour des Gryffondor et disant au revoir à Cho avec qui ils avaient eu beaucoup de plaisir pendant la journée. Harry embrassa son amoureuse et la serra dans ses bras avant de se diriger à son tour vers sa tour, pendant qu'elle prenait la direction de la salle commune des Serdaigles.
Lorsque Harry se coucha ce soir là, il était épuisé, mais aussi content de sa journée.
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J'espère que vous avez aimé! Reviews please!!!
xXxXxXx
Je voulais seulement dire un gros merci à tous mes reviewers et je suis vraiment contente de vous avoir!!!
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Shany-Blue, la dernière des Pendragon
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Chapitre 15 : Gryffondor contre Serdaigle
Il fallut peu de temps à Hagrid pour se remettre. Cependant, il ne se souvenait que d'une force l'ayant attiré vers la forêt. Il ne se souvenait plus, ni de ce qui était arrivé, ni du fait que ce soit les centaures et les licornes qui l'aient ramené. Dumbledore ne s'en fit pas trop quand même, mais déclara qu'il faudrait être plus prudent.
Le garde-chasse était complètement remis pour pouvoir assister au match de Gryffondor contre Serdaigle le samedi suivant, et ce, au grand plaisir des Gryffondors pour lesquels Hagrid avait toujours eu une certaine partialité.
C'est donc après le petit déjeuné du samedi matin que les deux équipes quittèrent la grande salle pour se rendre sur le terrain. Avant de se diriger chacun vers son vestiaire, Harry et Cho s'embrassèrent.
-N'oublie pas, dit Harry, j'ai juré de faire comme si de rien n'était.
-Ne t'en fais pas pour moi, je n'ai pas l'intention de te laisser attraper ce Vif d'or sous le simple prétexte que le capitaine de l'autre équipe est mon petit ami!
-Pfffff, tu n'as aucune chance! dit-il en rigolant.
-On verra! conclu-t-elle en riant de l'air suffisant de son petit ami.
Et ils se séparèrent. Harry entra le dernier dans le vestiaire et constata qu'il était le seul qui n'était pas changé, ce qu'il fit rapidement. Une fois tout le monde prêt, il se tourna vers l'équipe.
-Je crois que c'est le moment d'y aller!
-Hé! protesta George
-Le discours! continua Fred.
Harry les regarda d'un air effaré.
-Mais . . . dit-il
-Non, Harry! dit Angelina
-Le discours, c'est sacré! termina Katie.
Tous le regardèrent avec un grand sourire.
-Bon, d'accord! abandonna le capitaine. Alors nous savons tous que nous pouvons y arriver. Serdaigles ont une bonne équipe, mais nous sommes meilleurs! Et de plus, j'ai fait le serment auprès de nos charmants batteurs de ne pas me laisser faire par ma petite amie!
Et c'est dans l'hilarité générale qu'ils entrèrent sur le terrain. Harry serra la main du capitaine de l'équipe et ils enfourchèrent leurs balais. Madame Bibine libéra les cognars et le Vif d'or et mis le souaffle en jeu après un rapide coup de sifflet. La balle fut aussitôt saisie par Angelina qui se précipita vers les buts de Serdaigles. Harry jeta un coup d'?il à son nouveau gardien. Ron semblait nerveux, mais en maîtrise de soi. Harry ne s'inquiétait pas pour son ami dont la performance avait été spectaculaire lors de la partie contre Poufsouffle.
Harry se concentra donc sur le match. Il entendait d'une oreille distraite le commentaire du match fait par Lee Jordan, mais n'y portait pas vraiment attention. Il remarqua que contrairement à son habitude, Cho n'avait pas calqué sa trajectoire et il en fut heureux. Ainsi, peu importe qui attraperait le Vif, personne ne pourrait les blâmer d'avoir laissé l'autre gagner.
Le score était maintenant de quarante à dix en faveur de Gryffondor et Ron faisait jusqu'à maintenant un très bon travail. Un bon coup de main lui était aussi donné par ses frères qui faisaient pleuvoir les cognars sur les poursuiveurs de l'autre équipe.
Soudainement, il le vit. Le vif d'or brillait à à peine quelques mètres de lui. Il sourit en voyant que Cho était complètement à l'opposé du terrain.
Il libéra donc toute la puissance de son éclair de feu et quelques secondes plus tard, il tenait le Vif d'or bien serré dans sa main, ne laissant même pas le temps à Cho de réaliser ce qui se passait.
Harry sentit deux secousses familières le happer et eut juste le temps de voir Fred et George avant que les autres joueurs les rejoignent exactement de la même façon. Ce fut dans une totale confusion que l'équipe regagna le sol. S'ils continuaient comme ça, ils gagneraient la coupe encore cette année.
Lorsqu'ils furent de retour dans la tour de Gryffondor, la fête éclata. Comme à leur habitude, les jumeaux Weasley disparurent pendant quelques temps pour revenir les bras chargés de bouteilles de bièraubeurre et d'autres confiseries de chez Honeydukes. Personne n'osa poser de questions, mais c'est avec précaution que les Gryffondors goûtèrent aux plats. En effet, on n'était jamais à l'abri d'une farce des Weasley.
Hermione disparut au milieu de la soirée, sans dire à personne où elle allait. Comme il était l'heure du repas, Harry et Ron supposèrent qu'elle était partie manger quelque chose de plus consistant que des Fizwizbizz ou des choco-grenouilles.
-Au fait, demanda Harry, Ron, tu n'es pas supposé être présent à la grande salle en tant que préfet?
-En tant normal, oui, mais comme Hermione y est, je crois que je me dois d'être ici. pour m'assurer que tout va bien! dit-il avec un clin d'?il.
Harry pouffa de rire. Décidemment, il ne comprenait pas pourquoi Dumbledore avait nommé Ron préfet. En fait, il le soupçonnait de l'avoir fait pour redonner une certaine confiance à Ron qui toute sa vie, avait été dans l'ombre de quelqu'un. Ainsi, il devenait plus qu'un Weasley et que l'ami de Harry Potter. Il devenait simplement Ron Weasley.
Le portrait de la grosse dame pivotait sans cesse, les élèves ne cessant de sortir et revenir, si bien qu'après un moment, plus personne ne prêtait attention à ces allées et venues. Jusqu'à ce qu'un groupe plutôt étrange apparaisse. Il s'agissait en fait de Sirius, accompagné de Johanie et même de Océane, qui venaient féliciter l'équipe. Ils ne restèrent guère longtemps, surtout à cause du bruit qui effrayait l'enfant, mais cette visite fit réellement plaisir à Harry. Ce soir, il aurait aimé que James soit la. Il se consolait en se disant qu'il avait au moins vu la partie contre Poufsouffle, à laquelle Harry avait mit fin très rapidement. Il était heureux d'avoir pu impressionner son père avant qu'il ne parte. Mais il avait été très sensible au fait que Sirius prenne la peine de venir.
Ce fut seulement lorsque le professeur McGonnagal vint gronder Ron d'avoir laissé les Gryffondors fêter si tard que les autres décidèrent d'aller se coucher.
Lorsque Harry se leva le lendemain matin, il sentait un profond sentiment d'incertitude. Il n'avait pas fait de cauchemars cette nuit. Cependant, il avait appris avec le temps que plus Voldemort se tenait tranquille, plus il fallait s'en méfier. Sa dernière attaque, même s'ils ne pouvaient pas dire avec certitude qu'elle était de lui, lui avait coûté son père et avait été dirigée envers quelqu'un auquel Harry tenait beaucoup. Il ne voulait surtout pas qu'il s'en prenne à nouveau à des gens qu'il aimait.
-Ça va, Harry? demanda Ron qui avait remarqué l'air absent de son compagnon de chambre.
-Oui, oui, ne t'en fais pas, répondit celui-ci avec un pâle sourire.
Ron préféra ne rien dire. Il y avait de ces jours où Harry semblait perdu dans un monde profondément triste, et c'était souvent le cas depuis que son père était parti. Les deux amis de l'adolescent savaient qu'il n'y avait rien à faire, sauf attendre et peut-être tenter de lui changer les idées le plus possible.
Harry et Ron, rejoint par Hermione dans la salle commune, descendirent dans la grande salle pour prendre leurs petits déjeunés. Ils discutaient plus ou moins joyeusement lorsque Sirius les interrompis.
-Bonjour à vous! Bien dormi?
-Plutôt!
-Pas si mal!
-Ouais . . .
Sirius regarda suspicieusement Harry qui n'avait vraiment pas l'air en forme.
-Et bien j'espère bien parce que j'ai besoin de votre aide!
Les yeux de Ron et Hermione s'éclairèrent. La perspective de faire quelque chose d'actif leurs donnaient l'espoir de rendre Harry de meilleure humeur. Mais ils ne semblèrent pas aussi ravis que Harry.
-Quoi? demanda l'adolescent.
-Manoir . . . Si nous voulons y passer les vacances de Noël, il faut vraiment penser à le rénover . . .
Harry le regarda avec des yeux désespérés.
-Il va falloir voir Juliana?
-Euh, oui, en effet, j'ai bien peur qu'il faudra le faire un jour où l'autre . . .
-Mais je croyais qu'on ne pouvait pas sortir du château? demanda Hermione dans l'espoir de dissiper ce moment d'hésitation.
-Dans les faits oui, mais à ce que je sache, il ne vous est pas encore interdit de retourner chez-vous, et comme vous serez avec moi . . .
-Avec vous pour quoi? demanda Cho derrière le dos de Harry en souriant.
L'adolescent eu un sursaut et sourit faiblement à sa petite amie.
-Ça va, toi? demanda-t-elle, inquiète.
-Oui, oui, t'en fais pas. En fait, on va au manoir.
Ron, Hermione et Sirius sourirent. Ils avaient tous eu peur que Harry refuse.
-Quel manoir?
-Potter, ma chère, dit Ron avec un sourire.
-C'est vrai? demanda la jeune fille à son amoureux.
-En effet . . .
-Vous voulez venir, mademoiselle Chang? demanda Sirius comme si elle n'était qu'une élève.
Harry regarda son parrain avec des yeux ronds.
-Elle pourrait?
-Pourquoi pas? Je n'ai qu'à avertir Dumbledore qu'elle est avec nous! De toute façon, nous aurons besoin d'un portoloin pour s'y rendre, alors il faut aller au bureau de Dumbledore d'une façon où d'une autre!
Harry fit la grimace.
-Pourquoi est-ce qu'on ne peut pas y aller en balais?
Ce fut au tour d'Hermione de grimacer, ce qui fit rire Sirius.
-D'abord parce que notre chère Hermione déteste ça et que c'est la seule façon dont j'ai pu convaincre Dumbledore de vous emmener.
-Dans ce cas, se rendit l'adolescent, je crois que je n'ai pas vraiment le choix. Tu as envie de venir? demanda-t-il à son tour à Cho.
-Bien sûr! Qu'est-ce qu'on va y faire?
-En fait, dit Sirius, il n'y a que quelques trous à reboucher et il faut peinturer.
-Tu plaisantes? s'écria Harry.
-Euh, non, pourquoi?
-Tu as vu la grandeur du manoir, ça va nous prendre des jours, voir des semaines!
-Harry, est-ce que tu oublierais que tu es un sorcier? Le fait de changer la couleur des murs n'est pas si atroce, il ne faut qu'un coup de baguette, et rien de plus! De toute façon, ce n'est pas toute les pièces qui en ont besoin.
-Est-ce que Johanie et Océane viennent?
-Non, Océane est un peu trop petite pour ce genre de travaux et il doit bien y avoir quelqu'un pour rester avec elle.
-C'est logique. Est-ce qu'elles ont vu le manoir?
-Non, pas encore, je leur réserve la surprise le jour où elles emménageront, avant Noël j'espère, d'ailleurs. Johanie commence vraiment à s'ennuyer ici. Au moins au manoir, nous pourrons lui faire une pièce opaque à la magie où nous pourrions installer un ordinateur, pour lui permettre de travailler un peu.
-Il faudrait lui présenter ma mère! dit Ron. Avec elle, elle n'aurait vraiment pas le temps de s'ennuyer!
Ils éclatèrent tous de rire. Même Harry retrouvait le moral, même s'il savait qu'il devrait affronter Juliana dans quelques heures.
-Alors, quand est-ce qu'on part? demanda-t-il.
-Et bien, maintenant, si vous avez terminé de manger!
-Maintenant! s'étrangla à moitié Harry.
Et bien là, ses heures étaient réduites à minutes.
-Il y a un problème?
-Non . . . non, ça va . . .
-Je lui parlerai avec toi, si tu veux, dit Sirius qui semblait comprendre pourquoi son filleul était si paniqué.
L'adolescent eut un pâle sourire.
-Alors allons-y, dans ce cas . . .
Ils se levèrent tous d'un même mouvement et prirent la direction du bureau de Dumbledore. À partir de là, une bouteille vide de bièraubeurre les emmena au manoir.
Cho ouvrit de grands yeux devant la bâtisse. Elle ne devait certainement pas s'attendre à quelque chose d'aussi gros. Harry inspira profondément et poussa la lourde porte d'entrée. Il n'y avait pas de fantôme en vue et il en fut presque soulagé. Mais il se dit finalement que plus il repoussait le moment, plus l'angoisse se faisait grande. Ça devait absolument se faire aujourd'hui.
-Par où commence-t-on? demanda Hermione pour sortir Harry de ses pensées. -Et bien, commencez par aller déposer vos choses dans la chambre de Harry, et puis on se rejoint dans cette salle, dit-il en pointant la salle de bal à sa droite.
Les adolescents acquiescèrent.
-On va essayer de ne pas se perdre!
Ils montèrent l'escalier de marbre et prirent le couloir de gauche. Au grand soulagement de Harry ils retrouvèrent facilement la pièce. Il y avait quelques boîtes en cartons posées par terre mais l'adolescent n'y porta pas attention. Ils déposèrent leurs capes sur le lit et redescendirent rejoindre Sirius.
-Ne me dis pas qu'on va refaire cette salle?
-Tu plaisantes? Cette salle est parfaite. Non en fait, c'est surtout les chambres qu'il faut rafraîchir, et il faut faire une chambre d'enfant pour Océane.
-Ma chambre est bien comme elle est! dit Harry précipitamment.
-Je sais, mais elle a quand même besoin d'un bon récurage à l'aide de quelque coup de baguette. Je sais que tu ne veux rien y changer, mais ce n'est pas une raison pour en pas en nettoyer les murs avant d'y dormir! fit Sirius en riant.
Harry eut un sourire d'excuse.
-Alors donc, continua l'homme, je propose qu'on se divise. Pour ma part, je me charge de trouver une chambre pour Océane et de l'aménager. Je propose que Harry et mademoiselle Chang . . .
-Vous savez, professeur, vous pouvez m'appeler Cho, fit elle un peu gênée.
-D'accord, mais seulement si vous m'appelez Sirius, mais, seulement en dehors des cours!
Les adolescents ricanèrent.
-Je disais donc, je propose que Harry et Cho récurent un peu la chambre de Harry et Ron et Hermione, vous pourriez donner un coup de peinture à une des chambres d'amis. Lorsque vous aurez terminé, venez me voir pour que je puisse vous donner autre chose à faire.
Ils se séparèrent donc. Harry et Cho remontèrent dans la chambre de l'adolescent et Sirius montra une chambre à Ron et Hermione pour qu'ils s'en occupent.
À la fin de la journée, ils avaient abattu beaucoup de travail. La chambre de Harry était propre, ainsi que toutes les chambres d'amis. Les adolescent s'étaient d'ailleurs amusés en en changer toute les couleurs. Puis la chambre pour Océane était prête ainsi que la chambre qu'occuperaient Sirius et Johanie. La vaisselle avait été nettoyée et rangé à coup de sort et les planchers reluisaient. En fait il ne restait plus qu'à ranger le grenier, mais ça pouvait toujours attendre. Cette tâche pourrait être faite seulement lorsque les occupants auraient emménagés. Ils étaient tous plutôt fiers d'eux.
-Rusard en serait vert de jalousie! dit Sirius pendant qu'ils mangeaient des sanwitchs que l'homme avait fait apparaître.
-À quelle heure le portoloin nous ramène-t-il à Poudlard? demanda Hermione.
-Dans une heure.
-Je reviens, dit Harry.
-Tu veux que je vienne avec toi? demanda Sirius qui avait deviné ses intentions.
-Non, je crois que ça va aller.
Harry sortit de la salle à manger et referma les portes derrière lui. Puis il monta les escaliers de marbre et s'arrêta à leur sommet.
-Juliana? cria-t-il. Juliana, il faut qu'on parle! Viens me rejoindre dans ma chambre s'il te plait!
Harry prit donc la direction de sa chambre. Il s'y assit sur son lit et attendit. Quelques minutes plus tard, il fut rejoint pas la jeune fille à la silhouette fantomatique.
-Qu'est-ce qu'il y a? demanda-t-elle tristement.
Harry la regarda aussi tristement qu'elle.
-Il est parti, c'est ça?
Il acquiesça.
-Oh, Harry, dit-elle en s'approchant, est-ce que ça va?
-Il voulait que je te dise qu'il s'excuse.
Elle sourit.
-Ton père s'est toujours senti coupable, mais ce n'était pas de sa faute. Après tout, je ne me souviens même pas de ce qui m'est arrivé, alors ce n'est pas grave. Peu importe ce qu'ils ont pu me faire, nous n'étions que des adolescents, et il ne pouvait rien faire de plus. L'important est de savoir si toi, tu vas bien, Harry.
L'adolescent haussa les épaules.
-Il me manque, mais je crois que ça va aller.
-Certains?
-Tu sais, j'ai vécu beaucoup de choses. Ça va aller. Et puis, il y a Sirius.
-Oui, je suis contente que sa famille vienne vivre ici. D'avoir une enfant va remettre un peu de vie dans ce manoir. J'y vis seule depuis si longtemps.
On cogna à la porte.
-Harry?
C'était la voix de Sirius.
-Oui, entre!
-Désolé de vous déranger, mais le portoloin nous ramènera à Poudlard dans dix minutes, je crois que tu ferais mieux de descendre.
-D'accord, tu veux m'aider à descendre tout ça? dit-il en pointant les capes de ses amis.
Sirius s'avança, pris les capes et sortit.
-Je dois y aller, dit Harry.
-Je sais, j'espère que tu reviendras vite!
-Je vais sûrement venir aider à installer Johanie et Océane. Si non, je viendrai passer les vacances de Noël.
-D'accord, alors à bientôt.
-À bientôt, Juliana.
Harry sortit de sa chambre et coura presque vers le hall d'entré où les autres l'attendaient. Il mis rapidement la cape que son parrain lui tendait et mit un doigt sur la bouteille. Quelques secondes plus tard, ils étaient de retour dans le hall de Poudlard.
Sirius salua les jeunes sorciers et alla rejoindre Johanie et Océane. Ron et Hermione partirent vers la tour des Gryffondor et disant au revoir à Cho avec qui ils avaient eu beaucoup de plaisir pendant la journée. Harry embrassa son amoureuse et la serra dans ses bras avant de se diriger à son tour vers sa tour, pendant qu'elle prenait la direction de la salle commune des Serdaigles.
Lorsque Harry se coucha ce soir là, il était épuisé, mais aussi content de sa journée.
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