Disclaimer ;

Je le dis ou je le dis pas ? Allez je le dis, rien n'est a moi. Ni la licence, ni les personnages (rhoo quel dommage !). Je ne touche rien à écrire cette histoire si ce n'est le plaisir de vous faire partager ce qui par ma caboche vient à passer.

Postulat de l'histoire, Genre et Couple ;

Postulat de l'histoire ; Mini fic en 3 parties basées sur 3 OS pour être précise qui ma foi j'espère vous plaira.

Genre ; Un peu déprimant. Un peu inhabituel peut être. Je ne sais où classer cet OS a vrai dire. Avis aux pros et a ceux qui auraient une idée.

Couple : Nan, nan, je ne dis pas ce genre de choses. Déjà parce que c'est une évidence pour qui me connaît. Ensuite peut être parce que le couple à proprement parler n'est pas réellement en place. On va dire que les prémices sont là et mais que la suite n'est pas.

Note de l'auteur ;

Pas de panique si cet OS vous semble noir, c'est normal. Lorsque je suis fatiguée et pas en accord avec moi-même, j'ai un coté sombre qui a tendance à faire des siennes. Euh. Dois je préciser que c'est une Death-fic ? Pas taper surtout.

Clefs de décodage de cet OS ;

POV d'un.euh … personnage ( ?) peut être pas vraiment mais bon c'est du POV et vous devinerez sans doute au fil de la lecture. Au pire elle donne son nom à la fin texte.

A lire sur le mode de la fatalité et du mode déprimé si les effets vous voulez ressentir.

Allez zou, je ne vous embête pas plus avec les détails.

Bonne lecture a ceux qui passeront par ici.

Comment j'ai repris ce qui était mien.

Cela fait maintenant quelques semaines qu'il n'est plus.

Quelques semaines que la maison résonne de son absence.

Quelques semaines que certaines choses ont changées.

A cause de lui.

A cause de ce qu'il a fait.

Il n'aura fallu qu'une seconde d'inattention.

Une seconde d'égarement.

Une seconde de surprise.

Pour tout faire basculer.

Dans le non sens.

Dans l'horreur.

Dans la peur.

Une seule seconde.

Fatale.

Pour qu'une balle égarée trouve son chemin.

Jusqu'à lui.

Jusqu'à son cœur.

Mettant ainsi fin a sa vie.

Ses envies.

Ses projets.

Ce qu'il aurait pu être.

Ce qu'il aurait pu connaître.

Mais ce qu'il ne verra jamais.

Parce que ce soir là fut le dernier.

Ce soir là, il mourut.

Emportant avec lui sa bonne humeur.

Sa sautillante vitalité.

Ses sentiments immodérés.

Ce soir là, Duo Maxwell n'était plus.

Il avait rejoint sa macabre maîtresse.

Peut être trouvant la paix.

Peut être trouvant la sérénité.

Sûrement trop tôt.

Sûrement non préparé.

Obligatoirement laissant derrière lui ses amis.

Obligatoirement laissant derrière lui celui qu'il avait chérI.

&&&

Ce soir là, un autre a changé.

Quelqu'un a grandi.

Un jeune homme brun a réalisé.

Que la vie était précieuse.

Que la vie était fragile.

Qu'elle pouvait se rompre.

Aussi facilement qu'un simple fil.

Mais aussi qu'elle n'était pas plus forte que tout.

Pas plus forte que moi.

Qu'elle aussi était soumise.

A mon jugement dernier.

A ma volonté.

Depuis tant d'années.

Ce jeune homme a enfin compris.

Que j'étais vile.

Que je frappais ceux que je voulais.

Quand je le voulais.

Au moment ou je le souhaitais.

Sans distinction.

De race.

De religion.

De sentiments.

Je lui ai arraché celui qui avait tant compté.

Pour eux tous.

Mais surtout pour lui.

Celui qui pourtant me servait.

Coûte que coûte.

Sans jamais montrer de doutes.

&&&

Ce jeune homme brun est déboussolé.

Ses yeux ne semblent plus animés.

Lui-même apparaît comme désarticulé.

Tel un pantin.

Qui ne veut plus vivre.

Qui s'empêche même de survivre.

Il n'a de cesse de réclamer.

Son natté.

Son aimé.

Il ne cesse de supplier.

Un Dieu.

Un Démon.

Une Ame.

De l'aider.

A rejoindre le royaume des ombres.

Pour partir vers un nouveau monde.

Celui là même ou il retrouverait.

Celui qui fut jadis mon serviteur.

Celui qui fit battre son cœur.

Celui qui mourut pour lui.

Pour lui sauver la vie.

Dans un ultime geste.

Pour lui montrer.

Ce qu'il ressentait.

Qu'il le comprenait

Lui et ses silences.

Lui est ses monosyllabes codées.

Que lui seul savait décoder.

Ses menaces sans cesse répétées.

A l'envie.

A 'l'infini.

Juste pour lui.

Il a lui a montré.

Combien il l'aimait.

Lui le Soldat Parfait.

&&&

Shinigami.

Le dieu de la mort ait donné sa vie.

Au cours de cette funeste nuit.

De cette façon, l'ultime barrière il a franchi.

Celui qui fut mon serviteur ici bas.

S'en est retourné près de moi.

A cause d'un simple choix.

Parce qu'il a écouté une petite voix.

Il a abandonné l'autre monde.

Au profit de celui-ci bien plus sombre.

Une dimension nouvelle.

A mon sens bien plus belle.

Qui est éternelle.

Et qui ne le fera plus souffrir.

Comme il a souffert.

De ne pas savoir.

De douter.

De ce que le Soldat Parfait ressentait.

De ce que celui qu'il aimait pouvait penser.

Mais aussi de lui.

De ce qu'il était.

De ce qu'il semblait.

Au yeux de son ami.

De son amant.

De sa moitié.

De celui pour qui il s'est sacrifié.

&&&

Vous me trouvez sans doute cruelle n'est-ce pas ?

Et vous avez sans doute raison.

Je trouve mon bonheur dans le malheur.

Des autres.

De ceux qui croisent mon chemin.

Un soir.

Un matin.

Peu importe au fond.

Rien ne m'émeut plus que la séparation.

D'êtres chers.

De deux cœurs éperdus d'amour.

Un amour non déclaré surtout.

Parce que c'est celui qui fait le plus mal.

J'aime m'emparer de la vie.

D'un amour qui se relève petit a petit.

Jusqu'à l'ultime confrontation.

Jusqu'à l'ultime confirmation.

Celle qui arrive trop tard.

Celle qui arrive alors que j'étend mon déjà mon manteau noir.

Alors que je fauche en plein cœur l'un de deux amoureux.

Cela me plait.

Cela m'amuse.

Je suis la mort.

Je suis celle qui m'attend rien de la vie.

Il n'est pas dans mes habitudes de faire preuve de pitié.

Ni même d'humilité.

Et pourtant devant ce spectacle je me prends.

A ressentir un sentiment.

A avoir de la peine.

Pour ce jeune homme.

Pour ce soldat qui se disait parfait.

Et qui pourtant me priait.

De venir le chercher.

De l'emmener.

Oui cela m'a secouée.

Mais que puis-je bien y faire ?

Je suis mortifère.

Et jamais je ne rends.

Ce que je prends.

Je suis intraitable.

Irritable.

Mais aussi équitable.

Une vie contre une autre.

Je suis le tout.

Je ne suis rien.

Je suis la Mort.

Euh… Moon ? Je le sens qu'a moitié ce coup là tu sais ?
Pourquoi cela ? Il te plait pas mon OS ?
Ben je veux bien que tu aies été crevée après ta journée mais t'as conscience de ce que tu as fait ?
(Étouffe un bâillement en mode rêveuse) Oui, oui, j'ai tué ce si mignon Duo. Et j'ai laissé Heero en vie. Pourqu…. (Connexion neuronale établie). Oups!
Je me disais aussi. (Tite voix en mode intéressée par la suite)

Je décline toute responsabilité chers lecteurs et lectrices. L'était tard (cherchez pas toutes mes fics sombres me viennent la nuit) et pis j'avais eu des tas de gosses qui m'avaient percés les oreilles le midi alors j'ai du avoir une pulsion meurtrière hein ?

Quoiqu'il en soit le bureau des réclamations sera ravi de prendre note de vos frustrations. Il prendra également en charge vos différents commentaires et autres offrandes sucrées ainsi que vos critiques affûtées voire vos menaces de mort a mon encontre si d'aventure il y en avait.

Sur ce, je vous donne RDV pour le deuxième volet de cette série d'ici quelques temps.
Bisous a tous.
Moonfree.