« Jean....... !
Tel fut le dernier hurlement de Scott, qui malheuresement pour lui, faisait une dégringolade de deux étages. Ce cri tira Jean de sa transe. Par la pensée, elle retint le jeune homme qui allait s'écraser au sol comme une crêpe. Il pouvait toucher le sol du bout des doigts. Ace moment précis, Logan arriva, surprise, Jean relâcha sa concentration. Ils entendirent un boum retentissant : la mutante avait lâché Scott. Logan, le verre d'eau à la main, se pencha pour voir d'ou provenait le bruit. Voyant Scott par terre, il se moqua ouvertement de lui :
« Alors mon grand, on a voulu faire le grand saut ! Je te rappelle au passage, que tu ne sais pas voler car ton cerveau n'est pas assez développer.
-Très drôle, as-tu fait l'école du rire ?
-Non, l'école des mutants. »
Il ricanait, manquant presque s'étouffer, quand soudain, il renifla une odeur suspecte. Il scruta attentivement les ténèbres à la recherche d'un indice, mais il ne vit pas la silhouette s'éloigner rapidement dans la nuit. Ca doit être un étudiant qui a mis trop de parfum, pensa t-il. Il tendit le verre d'eau à Jean lui conseillant d'avaler cul sec ! La jeune fille n'osait pas regarder Scott. Elle avait honte de sa conduite. Pourquoi ai-je fais cela, se répétait-elle. En un éclair, elle se remémora son cauchemar. Cette scène allait-elle se reproduire ? Pourrait-elle à chaque fois arrêter à temps ?Toutes ces questions se mélangeait dans sa tête, lui donnant le tournis. Logan proposa à ses deux compagnons de rentrer pour se reposer après cette journée riche en émotions.
Dans la voiture, Scott ne disait pas un mot, il se concentrait sur la route qui défilait à toutes allures devant lui. Il était trop choqué pur prononcer la moindre syllabe. Tout son être lui commandait de parler à la jeune fille, de la rassurer, surtout de lui demander pourquoi, mais il n'y arrivait pas. Logan ne comprenait pas non plus ce qui c'était passé mais il se taisait, respectant le silence de son rival (pour une fois).
Jean, quand à elle, était plongée dans de sombres pensées. Elle se demandait ce que pensait Scott et surtout ses sentiments vis à vis d'elle. Elle ne supportait plus ce silence, il était trop pesant pour elle ! C'est à cause de cela, qu'elle enfreignit, une de ses règles fondamentales, lire dans les pensées du jeune mutant. Peut-être était-ce pour se soulager la conscience mais elle en avait besoin. Elle aurait voulu qu'il la rassure, qu'il la prenne dans ses bras, l'entendre dire : ça va s'arranger, tu verras et surtout croire à cela. Tout doucement, elle se concentra. Sa respiration devient régulière, elle se détendit du mieux qu'elle le put, ce qui n'est pas commode en voiture et ferma ses yeux verts. Elle n'y arrivait pas. Pense à Scott, aux bons moments que tu as passés avec lui, se conseillé-t-elle : cela marcha .Immédiatement, la voix la plus chère à son cœur se fit entendre. Elle ne pu saisir qu'une bribe de phrase :
« ....................... danger public,............................ , faire souffrir les gens........................... »
Elle coupa aussitôt sa connexion, horrifiée. L'homme dont elle avait le plus besoin, se méfiait d'elle. Cette révélation fut comme un coup de poignard pour elle , elle était blessée. Scott rompit brusquement le silence mais ce qu'il dit la glaça jusqu'aux os :
« Qu'est-ce qui c'est passé, Jean ? J'aimerai le savoir : tu as quand même failli me tuer !
- Ca m'aurait fait beaucoup de peine, ricana Logan.
-Je suis désolée si j 'ai agis comme cela mais tu m'as surprise, j'étais sur les nerfs, j'avais une migraine pas possible et tu es arrivé au mauvais moment. Je ne t'ai pas reconnu, expliqua la jeune fille.
-Depuis quelque temps, tu ne vas pas bien, ton attitude envers moi a changé littéralement. Tu n'es plus comme avant, tu me caches des choses.........
-Mais non, je ne te cache rien, dit-elle en frissonnant.
-Tu prends des distances avec moi : avant on se confiait tout, et maintenant.......
-Peut-être parce qu'elle s'est rendue compte qu' avoir une vie sociale est très important, qu'il ne faut pas passer à côté ! Rétorqua Logan
-Toi tu en une as peut-être ! S'insurgea Scott. Avec ton physique, tu fais plus peur qu'autre chose.
-Toi avec ton physique de moucheron écrasé, c'est pas étonnant que tu as tant de mal à te dégoter une nana convenable.
-Ca suffit vous deux, vous pouvez pas respirer entre deux vannes. Vous n'en avez pas un peu marre, c'est insupportable, j'en ai ras le bol »
Le silence se réinstalla dans la voiture. Logan boudait dans son coin. Jean se demandait quand le trajet allait finir. Cette soirée était interminable entre les railleries de Logan et les plaintes de Scott. Elle se rendit compte, qu'elle lisait toujours dans l'esprit de ce dernier :
« Je n'aurai jamais cru ça d'elle. »
Une pensée claire et précise. Il me croit pas, se dit-elle. Une poussée d'adrénaline lui monta à la tête, il fallait qu'elle sorte de cet endroit au plus vite sous peine de faire une cris d'angoisse :
« Arrêtes moi ce tas de ferraille, sinon je fais de gros dégâts, menaça-t- elle. »
Scott et Logan ouvrirent des yeux gros comme des soucoupes ( dans une autre situation, ça aurait été comique), jamais leur amie n'avait parler comme cela auparavant, son ton était si autoritaire, rien à voir avec la jeune fille réservée qu'ils avaient connus autrefois. Comme Scott ne s 'arrêtait pas, d'une décharge mentale, Jean stoppa le moteur, elle avait fait cela sans réfléchir ni mesurer les conséquences de son acte. La voiture dérapa avec un affreux crissement de pneus.
« Tu as encore failli nous tuer, commenta Scott d'une voie blanche. Tu es folle ou quoi ?
-Folle, j'en sais rien, mais je rentre à pieds, j'ai plus envie de te voir te plaindre sur ton misérable sort. Je me suis excusée mais ce n'est pas suffisant pour toi, bonne nuit Logan. Répondit-elle en descendant de la voiture.
-Remontes immédiatement ! Ordonna Scott.
-Je n'ai aucun ordres à recevoir de ta part, tu n'es pas mon père, dit-elle en s'éloignant dans la nuit.
-Bien, dit Scott en démarrant en trombes. Si elle veut rentre à pieds, l'air lui fera du bien.
-Elle a bouffé du lion ou quoi, demanda Logan.
-Je l'ignore mais elle m'inquiète sérieusement !
-Que va-t-on dire au prof ?
-Je n'en sais rien du tout, avoua Scott »
Ils repartirent vers l'Institut sans savoir qu'un drame se préparait. Jean marchait seule dans la nuit, sa colère ne diminuait pas, au contraire, elle augmentait. C'est la faute à Scott, pas la mienne, c'est lui qu'il faut blâmer. Peu à peu, un frisson la parcourut de la tête aux pieds, elle n'était plus seule. Ses sens en alerte, elle regarda autour d'elle pour tenter de voir quelque chose, mais rien. Elle allongea le pas. Je serai bientôt rentrée au chaud dans mon lit et avec S..... Elle ne put achever sa pensée, quelque chose l'avait frapper de toutes ses forces. Elle s'écroula sonnée. Une voix retentit
« Fais de beaux rêves, chérie ! »
Puis un rire démoniaque se fit entendre. Personne ne bougea, d'ailleurs, il n'y avait personne dans les environs.
A SUIVRE ....................
Tel fut le dernier hurlement de Scott, qui malheuresement pour lui, faisait une dégringolade de deux étages. Ce cri tira Jean de sa transe. Par la pensée, elle retint le jeune homme qui allait s'écraser au sol comme une crêpe. Il pouvait toucher le sol du bout des doigts. Ace moment précis, Logan arriva, surprise, Jean relâcha sa concentration. Ils entendirent un boum retentissant : la mutante avait lâché Scott. Logan, le verre d'eau à la main, se pencha pour voir d'ou provenait le bruit. Voyant Scott par terre, il se moqua ouvertement de lui :
« Alors mon grand, on a voulu faire le grand saut ! Je te rappelle au passage, que tu ne sais pas voler car ton cerveau n'est pas assez développer.
-Très drôle, as-tu fait l'école du rire ?
-Non, l'école des mutants. »
Il ricanait, manquant presque s'étouffer, quand soudain, il renifla une odeur suspecte. Il scruta attentivement les ténèbres à la recherche d'un indice, mais il ne vit pas la silhouette s'éloigner rapidement dans la nuit. Ca doit être un étudiant qui a mis trop de parfum, pensa t-il. Il tendit le verre d'eau à Jean lui conseillant d'avaler cul sec ! La jeune fille n'osait pas regarder Scott. Elle avait honte de sa conduite. Pourquoi ai-je fais cela, se répétait-elle. En un éclair, elle se remémora son cauchemar. Cette scène allait-elle se reproduire ? Pourrait-elle à chaque fois arrêter à temps ?Toutes ces questions se mélangeait dans sa tête, lui donnant le tournis. Logan proposa à ses deux compagnons de rentrer pour se reposer après cette journée riche en émotions.
Dans la voiture, Scott ne disait pas un mot, il se concentrait sur la route qui défilait à toutes allures devant lui. Il était trop choqué pur prononcer la moindre syllabe. Tout son être lui commandait de parler à la jeune fille, de la rassurer, surtout de lui demander pourquoi, mais il n'y arrivait pas. Logan ne comprenait pas non plus ce qui c'était passé mais il se taisait, respectant le silence de son rival (pour une fois).
Jean, quand à elle, était plongée dans de sombres pensées. Elle se demandait ce que pensait Scott et surtout ses sentiments vis à vis d'elle. Elle ne supportait plus ce silence, il était trop pesant pour elle ! C'est à cause de cela, qu'elle enfreignit, une de ses règles fondamentales, lire dans les pensées du jeune mutant. Peut-être était-ce pour se soulager la conscience mais elle en avait besoin. Elle aurait voulu qu'il la rassure, qu'il la prenne dans ses bras, l'entendre dire : ça va s'arranger, tu verras et surtout croire à cela. Tout doucement, elle se concentra. Sa respiration devient régulière, elle se détendit du mieux qu'elle le put, ce qui n'est pas commode en voiture et ferma ses yeux verts. Elle n'y arrivait pas. Pense à Scott, aux bons moments que tu as passés avec lui, se conseillé-t-elle : cela marcha .Immédiatement, la voix la plus chère à son cœur se fit entendre. Elle ne pu saisir qu'une bribe de phrase :
« ....................... danger public,............................ , faire souffrir les gens........................... »
Elle coupa aussitôt sa connexion, horrifiée. L'homme dont elle avait le plus besoin, se méfiait d'elle. Cette révélation fut comme un coup de poignard pour elle , elle était blessée. Scott rompit brusquement le silence mais ce qu'il dit la glaça jusqu'aux os :
« Qu'est-ce qui c'est passé, Jean ? J'aimerai le savoir : tu as quand même failli me tuer !
- Ca m'aurait fait beaucoup de peine, ricana Logan.
-Je suis désolée si j 'ai agis comme cela mais tu m'as surprise, j'étais sur les nerfs, j'avais une migraine pas possible et tu es arrivé au mauvais moment. Je ne t'ai pas reconnu, expliqua la jeune fille.
-Depuis quelque temps, tu ne vas pas bien, ton attitude envers moi a changé littéralement. Tu n'es plus comme avant, tu me caches des choses.........
-Mais non, je ne te cache rien, dit-elle en frissonnant.
-Tu prends des distances avec moi : avant on se confiait tout, et maintenant.......
-Peut-être parce qu'elle s'est rendue compte qu' avoir une vie sociale est très important, qu'il ne faut pas passer à côté ! Rétorqua Logan
-Toi tu en une as peut-être ! S'insurgea Scott. Avec ton physique, tu fais plus peur qu'autre chose.
-Toi avec ton physique de moucheron écrasé, c'est pas étonnant que tu as tant de mal à te dégoter une nana convenable.
-Ca suffit vous deux, vous pouvez pas respirer entre deux vannes. Vous n'en avez pas un peu marre, c'est insupportable, j'en ai ras le bol »
Le silence se réinstalla dans la voiture. Logan boudait dans son coin. Jean se demandait quand le trajet allait finir. Cette soirée était interminable entre les railleries de Logan et les plaintes de Scott. Elle se rendit compte, qu'elle lisait toujours dans l'esprit de ce dernier :
« Je n'aurai jamais cru ça d'elle. »
Une pensée claire et précise. Il me croit pas, se dit-elle. Une poussée d'adrénaline lui monta à la tête, il fallait qu'elle sorte de cet endroit au plus vite sous peine de faire une cris d'angoisse :
« Arrêtes moi ce tas de ferraille, sinon je fais de gros dégâts, menaça-t- elle. »
Scott et Logan ouvrirent des yeux gros comme des soucoupes ( dans une autre situation, ça aurait été comique), jamais leur amie n'avait parler comme cela auparavant, son ton était si autoritaire, rien à voir avec la jeune fille réservée qu'ils avaient connus autrefois. Comme Scott ne s 'arrêtait pas, d'une décharge mentale, Jean stoppa le moteur, elle avait fait cela sans réfléchir ni mesurer les conséquences de son acte. La voiture dérapa avec un affreux crissement de pneus.
« Tu as encore failli nous tuer, commenta Scott d'une voie blanche. Tu es folle ou quoi ?
-Folle, j'en sais rien, mais je rentre à pieds, j'ai plus envie de te voir te plaindre sur ton misérable sort. Je me suis excusée mais ce n'est pas suffisant pour toi, bonne nuit Logan. Répondit-elle en descendant de la voiture.
-Remontes immédiatement ! Ordonna Scott.
-Je n'ai aucun ordres à recevoir de ta part, tu n'es pas mon père, dit-elle en s'éloignant dans la nuit.
-Bien, dit Scott en démarrant en trombes. Si elle veut rentre à pieds, l'air lui fera du bien.
-Elle a bouffé du lion ou quoi, demanda Logan.
-Je l'ignore mais elle m'inquiète sérieusement !
-Que va-t-on dire au prof ?
-Je n'en sais rien du tout, avoua Scott »
Ils repartirent vers l'Institut sans savoir qu'un drame se préparait. Jean marchait seule dans la nuit, sa colère ne diminuait pas, au contraire, elle augmentait. C'est la faute à Scott, pas la mienne, c'est lui qu'il faut blâmer. Peu à peu, un frisson la parcourut de la tête aux pieds, elle n'était plus seule. Ses sens en alerte, elle regarda autour d'elle pour tenter de voir quelque chose, mais rien. Elle allongea le pas. Je serai bientôt rentrée au chaud dans mon lit et avec S..... Elle ne put achever sa pensée, quelque chose l'avait frapper de toutes ses forces. Elle s'écroula sonnée. Une voix retentit
« Fais de beaux rêves, chérie ! »
Puis un rire démoniaque se fit entendre. Personne ne bougea, d'ailleurs, il n'y avait personne dans les environs.
A SUIVRE ....................