L'histoire et les personnage de Naruto ne m'appartiennent pas, mais qu'est-ce qui m'empêche de les emprunter ? Bonne lecture…
REVIEWS : Merci pour ceux qui en ont laisser !
Miwakosoma : quand j'ai reçu ta review, j'ai lue rapidement et je me suis trompé… Sa avait rapport avec son pays, oui, je mettait tromper la dessus, mais ce n'était pas sa… Rassure toi ! Tu va lavoir quand même ton dessins ! Pour la peine de vais devoir en faire un pour toi et un autre pour le gagnant, sa m'apprendra !( se tire une balle) encore sorry…
Redblesskid : Hé, non, ses pas saaa la réponse… Sinon, hooo que oui qu'il va souffrir le Gaara ! je ne l'épargnerait pas alors accroche toi a tes bobette !mais tu a raison pour la pays des nuage, village de la foudre… good !
Zélina56 : Dsl ma chère, le temps est écouler pour l'erreur, mais si tu veut changer els chiffre pour mes reviews, continue a en laisser !
Akemi luo : NON IL VA PAS MOURIRE ! la vie est belle, non ? et non ses pas le fait que gaara sente son cœur dans son cou…met tes doigt sur le coter de ton cou, tu va sentir ton cœur battre parce qu'il y a une grosse veine qui passe par la pour nourrir le cerveau, le fait qu'il sente les battement de son cœur la, ses pcqu'il est stresser et que son cœur bat fort.(cours de bio sec 3)
Stingmon : pardon pour les fautes !(pleure) je vais m'améliorer, promiiiis…pour ton petit 1 et ton petit 2, ses…non ! Pas saaaa… :P sinon, le deidaraXgaara…on verra comment les chose vienne…
Maai : MEME si deidara est un homme, dans MA fic elle sera une femme ! elle a subit une opération ou un justsu spécial, je sais pas, mais ses une fille !XD et si ma fic te met de bonne humeur, continue a me lire :D
Goudou : SES SAAA !(confettis) quelle observateur ! si tu veut ton dessin, tu doit me donner tes coordonné, ou si tu veut, j'ai un scanneur, mais sa serait pas l'original… :p et tu me dit se que tu veut aussi… mon adresse ses "safaros29" sur hot mail.
Chapitre 4
Le kazekage était dans son bureau, se frottant durement les yeux. Devant lui se trouvait une pille de document et de rapport concernent un assassinat. L'assassinat de sa fille. Morte sous son propre toit.
Il retint sa respiration, empêchant un gémissement de s'échapper de sa bouche. Comment sa petite fille, sa jolie petite fille pouvais être décéder. Elle était si douer comme ninja. Elle était sa fierté. Le pire, c'était qu'il se doutait bien de l'identité du tueur. Ses symptôme, sa ne pouvais qu'être lui.
Il s'empêcha encore une fois d'éclater en sanglot.
Comment son propre fils avait osé ! Pourquoi l'avais t'il mit au monde ce maudit démon !
Et en plus, aucune trace de lui. Disparue.
Et puis Kenkuro était dans un état, complètement bouleverser.
…
Sans parler de lui.
Il se passa les mains dans les cheveux nerveusement, se les arrachant presque, resta un moment sans bouger puis d'un geste déterminer, il ouvrir un rouleau dont la scène était décrite avec détails. Il lue ligne par ligne, relue et relue encore. Les informations refusaient de rester dans sa tête.
Pourquoi ma fille ! Pourquoi Témari !
Ses bras s'écrasèrent sur le bureau et sa tête tomba vers le bas. Son cœur ne cessait de se serrer, son esprit devenait de plus en plus confus.
Mon dieu… si au moins je ne t'avais jamais eu, Gaara…
Sur une butte de sable durcit par le temps, deux personnage a kimono noir et rouge regardait Suna de loin.
…D'accord… Ont fait comme tu as dit…Annonça le scorpion.
Ok, moi je vais chercher Ichibi et toi tu va chercher les justsu nécessaire.
Bien, attendons nous la nuit ?
Pas obliger.
…Très bien, allons-y maintenant alors.
Il regarda sa coéquipière, bougeant un peu sa carcasse pour la forme.
Bonne chance. Souffla t'il.
Je n'ai pas besoin de chance ! Ont se retrouver ici dans 30 minutes.
Puis Deidara bondit dans les air, rattraper par un immense oiseau qu'elle venait de créer grâce a ses dont. La regardant partir, Sasori eu un petit rire avant de se faufiler vers la ville, lui aussi.
L'équipe de la foudre s'était ramasser et se dirigeait vers la sortit du village. Une ambiance morbide régnait entre eu, la conversation manquait vraiment de vigueur.
Quand leur Senseï c'était réveiller ce matin, il ne c'était pas fait attendre pour les sermons. Responsabilités par la, devoir de ninja par si. Enfin, d'un ennui total. Mais le pire était à venir. Le rapport de mission ne laisserait pas passer cet incident. Le Raikage allait la punir au mission de type A pour le reste de sa vie, ses parents en profiterons pour rajouter leur grain de sel et la priverons de tout loisir prochain. Tout sa, comme si se n'était pas déjà suffisant d'avoir eu la peur de sa vie et d'avoir passer a 2 cheveux de se faire tuer.
A ce moment un vent chaud se leva et fit voltigiez un peu de poussière traînante.
Il n'y avait donc aucun moyen de retourner en arrière ?
Soudain, leur senseï s'immobilisa. Avec ses bras, il leur barrait maintenant la route, empêchant son équipe d'avancer.
Senseï, qu'est-ce qu…
De son index, il mima de se taire en scrutant les environs.
Quelque chose cloche par ici… le sol…
Anaté baissa les yeux sur le sol de terre, puis, les alentour. Ils étaient dans le village du sable, normal que tout soit poussiéreux, mais a se point. Soit une tempête de sable se préparait, soit…
Gaara …Un piège ?
Comme pour répondre à ses pensé, un mur de sable se forma autour de l'équipe, un cocon, pour bientôt les contractée les un sur les autre ! Le sable bloquant la vue, remplaçant l'air dans les poumons.
« Ont se sens mourir mais on ne le voie pas. »
Une mort lente et tellement sans honneur. Pourtant délicieuse pour le fou devant.
Une mort a lequel on avait pas pensé, qu'on regrette le temps qu'on peu. Qu'on pleur notre sort décider si rapidement.
Dans ses moment, ont se rend compte que tout nos préoccupation n'avait pas de sens. On en vient à se détester soit même de n'avoir jamais été vraiment heureux de vivre.
Mais après la douleur ; la douceur du paradis.
…
Alors ?
Quoi ?
Est tu plus heureux les mains sali ?
Pas plus qu'avant.
…
Alors pourquoi l'avoir fait ?
Je pensais que sa m'apporterais un peu de satisfaction.
Qu'en est t'il ?
J'ai plus envie de vomir
Sa t'écœure ?
…Je m'écoeure…
Il se tenait devant les 4 cadavres qu'il venait d'exécuter. Le silence régnait comme si le message c'était imprimé dans les cerveaux de tout les habitant du village. Que tout le monde s'avait se qu'il venait d'arriver et que tous préférait rester cacher chez eux, rideaux fermer, retenant sa respiration attendant patiemment qu'il parte.
Ses muscles refusaient de se détendre. Aucun sentiment n'osait prendre le dessus sur Gaara, le gardant sur place. Seulement la sensation que l'on éprouve quand on a enfin quelque chose que l'on ne voulait pas totalement. Qui n'était qu'en fait qu'un caprice, un fabuleux rêve qu'on ne désire pas finalement.
Il était fatigué, il voulait se reposer de tout les regard qui le déteste.
Il regarda vers le ciel un oiseau qui tournoyait dans les air. Ce faire une place en se monde c'était tellement difficile… Mais ses vrai, si sa serait facile, ou serait le mérite de pouvoir vivre ? Il fallait juste apprendre à gagner sa place et on verrait de vieux jours.
Seulement, tout ne marchait pas comme sa. Parfois on vous détestait tellement que même sa place gagner respirer n'avait plus d'intérêt. Sa en fait mal… Ont voudrais s'arracher le cœur, sa serait moins douloureux.
Mais alors, POURQUOI s'acharner ?
Seulement le sentiment qu'il y a encore quelque chose en nous qui peut servir. Le rêve qu'il reste un peu de bonheur pour nous aussi. Mais surtout; la peur de ne plus exister.
Sa vue s'embrouilla, il sentait les muscles de ses jambes faiblir. Sa respiration prenait un rythme à tout rompre. Il avait déjà enlevé la vie à plusieurs personnes avant, mais aujourd'hui c'était différent. Dabort, sans réfléchir et sur un élan de colère, il avait assassiner Temari, sa sœur. Maintenant, la mince relation qu'il entretenait avec son frère et son père était perdu a jamais, noyer dans la haine. Puis cette équipe ninja qui allait probablement déclancher une guerre entre 2 pays. Cette fois, c'était le point de non retour. Plus personne ne voudrais plus jamais de lui !
L'idée amplifia son malaise. Tellement qu'il n'entendit pas l'immense oiseau se poser a peine a quelques mètres de lui.La femme sur le dos de la bête descendit, l'observant en silence.
Lui, il n'était plus que deux paupieres noires, fermer sur le reste du monde.
Fin du chapitre 4
Note de l'auteure : DESOLER… sa a prit une belle eternité mais sa a vallu la peine…moi je trouve ! un peu bizzare mon chapitre mais j'ai quand meme hate de tapper la suite…
Pour le concours : GOUDOU A GAGNERRR ! Bravo ! C'était que je mettait tromper sur leur pays a un moment dans le texte… Ils viennent du pays des nuages, dans le village de la foudre et surtout pas du pays de la pluie ! Aller vérifier et constater...
