Alors voici le premier chapitre. Nous espérons que vous allez apprécier. Je répond au review à la fin de la fic.
CHAPITRE 1
« Non ! Vous croyez vraiment que je vais accepter d'héberger cette vermine ? Chez moi ? C'est absolument hors de question, pas la peine de revenir dessus ! »
« Mais, Ron… ! »
Le roux n'arrivait pas à le croire. Comment osait ils lui proposer ça ? A lui, entre tous. Et le pire, c'est qu'ils paraissaient surpris, comme s'ils ne s'attendaient pas à son refus catégorique. Aller vous faire foutre ! Tous ! En fait, seul le blond ne semblait pas étonné. Il souriait finement d'un air entendu et satisfait :
« Tu vois Potter, je te l'avais bien dit. Les Griffondors sont tellement prévisibles… »
« Ferme la Malfoy, tu veux bien » soupira Harry avec irritation. Le survivant savait que ce serait difficile, mais il n'avait pas prévu que celui qu'il devrait convaincre serait Ron. Quand Malfoy avait fini par accepté de suivre son plan, il pensait que l'affaire était réglée. A l'évidence il se trompait : « Ecoute Ron, je comprends que tu ne veuilles pas de lui chez toi, mais… »
« Que je ne veuille pas de lui chez moi ? » Le roux commençait à perdre le calme qu'il avait mis tant d'années à maîtriser. « Harry, si je pouvais, je le ferais virer d'Angleterre » Il regarda l'ancien Serpentard avec dégoût : « C'est un être méprisant, et méprisable aussi. Et je te rappelle que son père a tué le mien. Tu te souviens de lui Harry, un grand roux qui t'a accueilli chez lui comme un fils pendant de nombreuses années. Tu ne peux pas me demander une chose pareille. »
« Ron, jamais je n'oublierai ce que ton père, ou le reste de ta famille a fait pour moi. Et je sais que ce ne sera pas facile mais… » Harry ne trouvait plus d'arguments pour faire valoir leur point de vue. Il envoya un regard plein de détresse à Hermione.
La jeune femme s'approcha de son ami : « Ron, tu doit accepter, je t'en pris. Si Malfoy n'avait pas décidé de renier son père et d'espionner Voldemort pour l'Ordre, nous n'aurions sans doute pas pu le détruire et gagner la guerre. Il a prit d'énormes risques, et aujourd'hui, il a besoin d'aide. Il faut le protéger de son père.»
« Mais pourquoi chez moi ? »
« C'est le seul endroit où Lucius n'ira pas chercher » expliqua patiemment la jolie brune. « Il sait parfaitement combien tu dois le haïr, et combien tu détestes son fils » Hermione vit Ron grogner, l'air peu convaincu. Elle sourit intérieurement. Son ami n'avait jamais été très sensible à la logique. Essayons de le prendre par les sentiments : « Ton père aurait accepter Ron. Il l'aurait fait pour protéger un innocent. Accepte-le chez toi, s'il te plaît. Il se fera tuer sinon » Elle se sentait coupable d'utiliser de pareils arguments pour arriver à ses fins, mais ils avaient peu de temps. Et elle le connaissait suffisamment pour savoir que cela fonctionnerait…
Le roux soupira : « Il pourrait aller chez Harry… »
« Ron, tu sais très bien que si je pouvais l'héberger je le ferais. Mais c'est trop dangereux. C'est le premier endroit où Lucius irait chercher. De plus, ça fait maintenant longtemps que je n'ai plus de vie privée. Les journalistes seraient immédiatement au courant de son arrivée chez moi. Nous voulons le cacher, pas en faire une cible. »
Ron resta silencieux un moment : « Alors vous lui faites vraiment confiance ? »
Dumbledore, qui les avait écouté sans émettre le moindre commentaire jusque là, hocha la tête avec un sourire : « Oui Ronald, Monsieur Malfoy a mon entière confiance. »
Ron regarda un par un les divers membres de l'assemblée de l'Ordre. Hermione et Harry semblaient d'accord avec leur ancien directeur et Drago haussa légèrement les sourcils en lui souriant d'un air narquois. Le roux jura et alla s'appuyer à l'une des fenêtres de la pièce où ils s'étaient réunis. Merlin, même terminée, cette guerre ne finissait pas de lui pourrir la vie.
Pourtant, le 13 juin de la septième année du trio, Harry avait offert au monde des sorciers une seconde vie. Personne ne savait vraiment ce qui s'était passé, même le survivant ne pouvait l'expliquer. Mais c'était un fait, un fait historique même : Voldemort était mort, emportant avec lui plusieurs personnes. Certaines pertes n'avaient rien de regrettables, comme la disparition de Bellatrix Lestrange, qui avait été tué par Neville. Ce dernier lui avait fait subir une série de terribles Doloris qui avaient fait perdre à la mangemort le peu de raison qu'elle possédait, juste avant de la tuer. Mais elle n'était pas la seule a avoir péri dans cette guerre. D'autres mangemorts et leur fils étaient décédés. Fol-Oeil en protégeant la vie de Harry, y avait laissé la sienne, et plusieurs moldus, victimes innocentes d'un conflit dont ils ignoraient l'existence même, étaient morts. Et puis il y avait Arthur Weasley, qu'on avait retrouvé agonisant dans les ruines du Terrier. Il avait subit tant de torture, des mains même de Lucius Malfoy, qu'il en était méconnaissable… Il y avait eu beaucoup trop de pertes. Beaucoup de vies brisées à jamais.
Le jour suivant la chute de Voldemort, alors que personne n'avait encore réellement réalisé ce qui s'était passé, les projecteurs et les flashs avaient fusés sur Harry. Le jeune brun, suite à sa victoire sur le mage noir, avait été propulsé dans une vie excessivement médiatisée. Tout le monde voulant une petite part de lui, il devait se rendre dans plusieurs pays et à diverses réceptions tout en continuant sa prometteuse carrière d'Auror.
Ron avait également choisi de devenir Auror, et y avait brillamment réussi. Mais il semblerait que son emploi du temps, moins chargé que celui de Harry, ait joué en sa faveur dans sa nomination forcée pour le poste de gardien de fouine. Et maintenant, il ne restait qu'à le lui faire accepter ce nouveau poste ingrat… Rien de plus facile n'est-ce pas ?
Il est vrai que Drago, en reniant son père et la voie qu'il lui avait tracée, avait fourni une aide précieuse à l'Ordre. Il leur avait indiqué le repère de Voldemort, ainsi que plusieurs lieux où étaient prévus des attaques. Des villes la plupart du temps, principalement habitées par des moldus. L'Ordre avait ainsi sauvé plusieurs centaines de vies. Ses deux meilleurs amis semblaient faire confiance à Drago. Hermione paraissait même le comprendre, ce que Ron trouvait parfaitement insensé, étant donné les nombreuse insultes qu'elle avait dût subir de la part de la fouine. Pour lui rien ne pouvait sortir de bon d'un Malefoy. Même la défaite de Voldemort lui avait semblé suspecte à cause de la supposée bonne foi de ce cinglé. Après tout, il avait vu de ces yeux qu'il n'y avait pas beaucoup d'atrocités que cette famille regrettait, et il ne comprenait pas ce qui avait fait changer d'avis si radicalement le blond…
Ron se tourna à nouveau vers les personnes qui attendaient sa réponse. Il croisa le regard de Hermione. Merlin, comment pourrait il dire non quand elle le regardait de cette façon, ses yeux déjà plein de détermination et de passion contenue. Rien qu'en contemplant son regard brun, il pouvait dire qu'elle se préparait déjà à un refus de sa part et qu'elle se tenait prête à livrer bataille avec lui. Il sentit une tendresse familière l'envahir. Elle était si belle et intelligente. Jamais il n'avait douté qu'elle réussirait dans la voie qu'elle se choisirait, mais de là à mener de front trois brillantes carrières. La jeune femme réussissait à jongler entre Poudlard où elle enseignait la métamorphose, les romans à succès qu'elle écrivait et les conférences sur l'égalité des peuples magiques qu'elle organisait régulièrement. Comment avait il pu croire un jour qu'il serait digne d'elle…
Il soupira de résignation, sa décision prise : « Oui »
Le sourire de Malfoy s'effaça : « Pardon ? »
Le roux éprouva une certaine satisfaction devant l'air ahuri du blond : « J'ai dit oui, j'accepte de t'héberger chez moi »
« Tu es sûr Ron ? » Hermione semblait surprise elle aussi qu'il ait accepté si vite.
« Ce n'est pas comme si j'avais vraiment le choix »
Drago ricana : « En fait, ce n'est pas si étonnant que ça. Tu fais juste ce que l'on t'ordonne. Tu as toujours été un suiveur, belette »
« Ce que M. Malfoy essaye de vous dire Ronald, c'est qu'il vous est infiniment reconnaissant et que vous avez toute sa gratitude » rectifia aimablement Dumbledore.
« Mais absolument pas, je… »
Mais Ron entendait sans écouter. Il regardait Hermione qui lui souriait malicieusement. Elle montra de la tête les deux adultes, dont un vieillard, se disputer comme des enfants et leva les yeux au ciel. Ron, pour la première fois depuis le début de l'entretient, se détendit. Il lui sourit en retour, et eut le droit en récompense à un clin d'œil complice. Merlin, ce qu'elle pouvait être belle…
« Ronald ? Ronald ? »
En entendant son nom, le jeune homme sursauta. Son ancien directeur avait à l'évidence en besoin de l'appeler plusieurs fois avant d 'attirer son attention.
« Euh, oui ? »
Le vieil homme lui sourit avec bienveillance : « Monsieur Malfoy s'installera demain chez vous. Et même s'il aura du mal à vous le dire ou le montrer, sachez qu'il apprécie grandement la protection que vous lui offrez »
Le blond toisa Dumbledore de son regard d'acier : « J'apprécierais sans doute d'avantage que l'on me laisse parler moi même, Professeur »
« Bien sûr, bien sûr ! Excusez donc le bavardage inutile d'un très vieil homme Monsieur Malfoy » dit Dumbledore, ses yeux bleus plus pétillants que jamais.
Drago leva les yeux au ciel, mais offrit néanmoins son bras quand le vieux professeur quitta le siège où il s'était installé :
« En attendant l'arrivée de votre nouveau colocataire, je vais vous laisser profiter de votre demeure dans le calme. Passez une bonne soirée Ronald, et vous aussi jeunes gens »
Dumbledore quitta la pièce, escorté de Malfoy.
Les trois amis se retrouvèrent seuls. Harry donna une tape amicale sur l'épaule de Ron :
« Eh bien vieux, je suis vraiment désolé que tu doives supporter Malfoy, mais ça n'est que temporaire. Son père fera forcément une erreur, et ce jour là, on l'attrapera, j'en suis sûr. »
Les yeux bleus de Ron s'obscurcirent légèrement : « Je ne sais pas. Il y a de plus en plus de rumeurs sur Lucius Malfoy et les mangemorts qu'il a réussi à rassembler. A mon avis, la tentative d'enlèvement de la fouine n'est pas une coïncidence »
Harry considéra les dernières paroles de son meilleur ami. Il connaissait la haine viscérale que le roux portait pour Lucius. Ron était quelqu'un qui se laissait guider par l'instinct et les sentiments, et Malfoy sénior venait régulièrement en tête de la liste de ses suspects. Mais s'il était vrai que quelques bruits courraient, jamais ils n'avaient obtenue la preuve formelle de la constitution d'une nouvelle armée.
« Peut être » avança prudemment le brun. « Mais il est également possible que ce ne soient que des ouï-dires. Après tout, tu travailles avec moi, tu sais combien certaines informations peuvent être peu fiables »
Hermione approuva d'un hochement de tête : « Harry a raison, la guerre est finie. Ne cherche pas des complots là où il n'y en a probablement pas Ron. Après tout, tu as une mission importante maintenant. Te voilà promu gardien de fouine » dit elle dans un petit rire.
Le roux grogna tandis que Harry déguisait un éclat de rire en quinte de toux.
« Je me serais passé de cette avancement, croit moi. Mais ce n'est pas avant demain. Alors, acceptez vous de passer cette dernière soirée avec moi, avant que Malfoy n'envahisse ma maison ? »
Le survivant secoua la tête : « Non, désolé. Ce soir je dîne avec Luna. Mais une autre fois, je te promets »
Hermione lui sourit : « Je crois qu'il va falloir te contenter de moi »
« Oh, ce sera difficile, mais je suis sûr que j'y survivrai » dit Ron d'un ton faussement ennuyé.
La jeune femme eut un air pensif : « J'ai très envie d'essayer cette recette que cet elfe de maison m'a donnée… »
« Oubliez ce que j'ai dit, je vais y laisser ma peau … »
Harry éclata de rire.
« Ron ! »
« Hermione, la dernière fois que tu as cuisiné, une de mes dents s'est cassée… »
« Mais c'était il y a deux ans ! »
« Et la fois d'avant, tu as failli tué Harry en l'étouffant avec un muffin, et… »
« Ça suffit, j'ai compris ! Et bien, prouve moi que tu as raison. Laisse moi faire la cuisine pour toi, pour que nous finissions la soirée à Ste Mangouste. Je te laisserais même me dire que tu me l'avais bien dit ! »
« Comment résister à une telle proposition. Tu vois un peu ce que tu manques Harry ? »
« Je vois ça, oui » dit le brun en enfilant sa cape. « Profitez bien de cette soirée sans fouine. Et Ron, ne t'en fait pas trop pour Lucius, je ne crois pas qu'il y ait réellement matière à s'inquiéter… »
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Au même momentLa carafe en cristal précieux se brisa, répandant sur le mur et le sol le vin d'un rouge sombre qu'elle contenait. L'homme qui avait évité de justesse le projectile s'inclina en tremblant devant l'homme furieux qui l'avait lançait :
« Pettigrew, je me demande si l'utilité que vous nous apporté mérite vraiment que je ne vous écrase pas comme le vulgaire nuisible que vous êtes. »
Lucius Malfoy prit dans ses mains élégantes le verre qu'il buvait avant l'arrivée de Queue de Ver. Ce dernier crû un moment que la coupe allait suivre la carafe, mais la fureur de son nouveau maître retomba aussi vite qu'elle été survenue. Le serviteur regardait l'homme blond savourer le vin à la sève de cerisier sanguin. Fou, il est complètement fou. Jamais le Seigneur des ténèbres, même dans ses colères les plus terribles, n'avait été aussi violent que ne l'était Lucius. Ni aussi instable. Pettigrew avait vu un mangemort mourir pour avoir simplement salué son nouveau chef d'une façon jugée irrespectueuse.
« Alors mon cher, allez vous enfin me dire où se trouve mon fils ? »
Le petit homme déglutit péniblement : « En…en fait il…il s'est enfuit et per…personne ne sait où il est… »
Lucius le regarda à travers le verre en cristal maintenant vide : « Si je comprends bien, vous essayez de me dire que vous avez échouer dans la mission que je vous avais confié ? » Queue de Ver s'agenouilla devant lui en tremblant, la face contre terre. « Mais je suppose qu'on peut difficilement vous en vouloir, tout doit être de ma faute, n'est ce pas ? »
L'animagus ne répondit pas, bien trop effrayé pour oser même le regarder. Il entendit son maître poser le verre et s'approcher, puis sentit une main glacée lui emprisonner les cheveux pour lui relever la tête. Il rencontra le regard d'argent à l'éclat glacé.
« Tout est de ma faute, n'est ce pas ? » répéta le blond.
Pettigrew secoua frénétiquement la tête, des larmes débordant de ses yeux. Malfoy le lâcha avec dégoût et s'essuya la main avec une tenture de velours mitée.
« Evidemment que c'est de ma faute. Comment ai je pu penser que vous réussiriez ? C'est peut être un traître, mais c'est aussi un Malfoy. Il faut bien plus qu'un lamentable rat de votre espèce pour réussir à le capturer. Maintenant allez vous en. Et faites en sorte que personne ne me dérange. Je dois réfléchir à un nouveau moyen de trouver mon fils. »
« Oui, maître, merci, merci… » Queue de Ver répétait inlassablement ces mots en se dirigeant à reculons vers la sortie.
« Au fait, Pettigrew, n'oubliez pas de venir me voir demain. D'ici là, j'aurais sûrement trouver un châtiment pour vous punir de la déception que vous êtes » Le rat se figeât quelques secondes, avant de refermer la porte, les yeux remplis de crainte et de haine.
Une fois seul, Lucius fit apparaître une autre carafe de vin et se servit un nouveau verre. Puis il se dirigea lentement vers un tableau caché par une draperie pourpre. Il contempla pensivement le portrait de famille. Le visage de sa femme avait été lacéré par Malfoy, juste avant qu'il ne la tue, le jour où elle avait voulu abandonner leur noble cause. A côté d'elle se tenait un Drago de quinze ans à peine, fier et magnifique, véritable copie adolescente de Lucius. Par Serpentard, comment a-t-il pu me faire ça ? Me trahir de cette façon ?
Malfoy serra si fort le verre qu'il éclata dans sa main, le rouge du sang se mêlant à celui bordeaux du vin. Mais malgré la douleur, il sourit au visage peint de son fils : « Lorsque je te retrouverais tu comprendras qu'on ne renie pas le clan Malefoy. Et tu paieras ta trahison » Il tendit sa main ensanglantée vers le torse du Drago de quinze ans, un éclat de cristal entre ses doigts fins, et déchira doucement le buste de son fils, laissant une traînée écarlate sur sa poitrine. Il contempla ensuite son œuvre, un sourire dément au lèvres : « Oh oui, tu paieras le prix fort mon fils ».
Réponse aux reviews
Et bien voici les réponses à vos reviews, c'est Magystra qui vous écrit.
Castel : WOW notre première review. Tu occupes maintenant une place spéciale dans notre cœur. Tu as bien raison du courage il nous en a fallu mais le chapitre 1 a été franchement plus facile à écrire. Nous allons revoir Ron et Drago jeunes mais un peu plus tard dans la fic. Pour ce qui est du slash et bien je crois qu'il va vous plaire mais il ne prendre pas une grande part dans notre histoire. Merci pour tes encouragements !
Pit-Chan :Voilà le premier chapitre est terminé et j'espère qu'il ta plus autant que le prologue. Je crois que tu vas aimer savoir pkoi Ron et Drago se détestaient à la rentrée de Hogwart. Je lis toute tes fics et je suis très heureuse de recevoir des encouragements de ta part. Le chapitre 2 devrait suivre d'ici une semaine ou deux. À la prochaine !
Andadrielle : Alors petite sœur as-tu aimé le premier chapitre ? J'espère que oui par ce que tu vas passé un mauvais quart d'heure demain matin. Ben non je t'aime pareille ! Merci !
Benelie : Désolé de ne pas avoir assouvie ta curiosité dans ce chapitre mais plus la fic avancera plus tu vas commencer à comprendre ce qui s'est passé entre les deux. Et tu vas comprendre pourquoi Ron déteste à ce point Drago ! Héhé malgré que là il va devoir vivre avec lui…… lol Merci et bonne lecture.
Juriasuka : Et bien j'espère que tu as apprécié ce chapitre. Et oui il est encore un peu court mais bon …… Tu as raison Servane est une merveilleuse écrivain et je vous invite tous à venir lire sa fic Culpabilité. Merci pour ta review et nous espérons en avoir d'autre de ta part.
Prettylou : Merci beaucoup. Je suis contente que le prologue t'es plue. Comme tu vois on essais de faire vite mais entre le travail, les vacances, les études et le décalage horaire il nous faut trouver du temps pour écrire nos propres fics et également régler les problèmes de certains chapitre comme le prologue. Alors bonne lecture et je t'assure que nous ferons de notre mieux pour publié au plus vite le chapitre 2.
