Polio : Hehe un D/H pour toi? On va voir…Merci pour le commentaire! ^^
Raphou : Un H/Hr? La réponse…dans ce prochaine chapitre!
Lushita : Mwi, t'es la seule à m'appeler par mon prénom! Lol Wais pour Deve j'ai utilisé ton truc lol. Bah koua, c'est comme j'ai dit, c'est plate un peu pour l'auteur de voir que les prénoms sont pas prononcés de la bonne façon! Ça fait bizarreuh! ^^ Bizouuux!
Surfeuse : Voilà la suite, ma chère! La réponse est là!
Lucy Kinkirk : hehe waip! Un nouveau est apparu…on en apprendra plus dans les prochains chapitres, mais pas dans celui-ci ;)
Nephthys82 : Merci pour le compliment! Ça me fait très plaisir que mon histoire te plaît. ^^
Kloona : Wow! Merci pour les mots encouragements! Ça me motive beaucoup! ^^
Bibi : hehe Tu vas avoir la réponse dans ce chapitre! ^^ Merci pour ta review!
Kess : Le doute ne planera pas pour longtemps, ma sweetie! ^^ Merci pour ta magnifique review, ma chère! Bizouuux!
Bon! Eh bien, voilà. C'est le 3e chapitre que vous allez lire. J'espère que vous aimerez! Certaines/certains vont être surprises/s et d'autres, pas du tout. Votre hypothèse sera maintenant prouvée bonne ou mauvaise! Avez-vous hâte? Moi oui!!! Lol
Pour les petits curieux là…lol je ne prend pas mon café comme Hermione! ^^ Nan…c'était juste un détail de plus pour que Hermione soit plus complète…enfin ché pas si vous me comprenez, amis vous verrez bientôt… *wink wink*
Maintenant…place à la suiteuhhhh!! ENJOY EVERYONE!
Chapitre 3 - Une lettre expresse de Poudlard -
Hermione descendit le trottoir qui menait à la barrière entre le monde moldu et le monde des sorciers. Tenant ses sacs bien fermement, elle s'apprêta à franchir la grille invisible. Mais comme elle était un peu perdue dans ses pensées, elle trébucha sur une faille profonde dans le sol et s'effondra par terre, les sacs épars.
- Un pied devant l'autre, ça va mieux pour marcher, Granger, vint une voix railleuse.
Hermione se releva en vacillant légèrement et épousseta sa robe. Elle dévisagea le jeune homme à la chevelure blonde-platine et ne répondit un mot.
- Quoi? Ne me dites pas que l'illustre Granger ne sait que dire? Mais c'est une exclusivité, un scoop formidable!, dit Malefoy, gesticulant comme si c'était LA nouvelle de l'heure.
Elle ne se laissa pas prendre à ce jeu et commença à ramasser ses achats, comme si de rien n'était. Malefoy sentit une colère qui grandissait à petit feu lorsqu'il vit qu'il n'avait pas atteint son but de la faire énerver. Puisqu'elle ne paraissait pas réagir à ce qu'il venait de lui dire, il aborda une tout autre méthode.
- Hum…alors comme ça, tu fais l'indestructible? En tout cas, je ne crois pas que tu pourras survivre à ce qu'il va nous arriver bientôt. Moi non plus d'ailleurs. Enfin, si tu pourrais disparaître, ma vie serait alors comblée, soit-en sûre, repris-t-il.
Malefoy attira l'attention d'Hermione avec dextérité lorsqu'il sortit une enveloppe décachetée de sa poche. Qu'était-ce? Elle ne voulait pas risquer de le savoir…ou bien…risquerait-elle de le faire?
- C'est quoi cette enveloppe?, demanda Hermione.
- Oh mais pourquoi est-ce que je te le dirais? Tu n'as pas l'air intéressée, à ce que je sache. Et n'oubli pas, je suis une andouille retardée, je ne peux pas tout comprendre.
- Arrête ces jeux, Malefoy et dit moi ce que contient l'enveloppe, sinon…
- Sinon quoi? Tu vas peut-être me jeter un sort? M'étrangler à ce que j'en meurt? Tu ne peux rien me faire, voyons. Voit la réalité en face, je suis un sang-pur et toi une sang-de-bourbe. Je suis supérieur.
- Pense ce que tu veux, mais tu sauras que les sang-purs qui sont comme toi ne sont que des vaniteux désespérés.
- Eh bien les sang-de-bourbes comme toi, ça n'a pas de manoir, ni de richesses. Ta mère ne t'avait jamais appris à être respectueuse envers tes supérieurs, toi?
À ce moment là, Hermione ne le supportait plus. Elle poussa le garçon qui était une demi-tête plus grande qu'elle sur le mur de brique le plus proche et l'agrippa vigoureusement pas les épaules. Qu'est-ce qu'il avait à dire sur sa mère? À lui dire des choses pareilles?
Malefoy fut pris par surprise et essaya de retenir son ahurissement momentané. Se faire plaqué au mur par…elle était plutôt une drôle de sensation.
- Ne parle plus JAMAIS de ma mère de cette façon. Sinon je te jure sur la tête de Merlin que je vais te faire passer un sale quart d'heure que tu regretteras toute ta vie, Malefoy.
Si un regard pouvait tuer quelqu'un, Malefoy aurait été assassiné sur le champ. Hermione le fusillait du regard avec une haine incommensurable. Encore plus éminente que les fois précédentes.
Malefoy hésita (oui, il hésita) à lui rétorquer une de ses pensées mais s'en était abstenu. Il y avait quelque chose dans ses yeux qui paraissait si voilé de désolation. Mais comme il ne voulait pas nuire à sa réputation, il lui répondit plus calmement :
- Granger?
- Quoi?, répondit-elle d'un ton ferme.
- Est-ce que tu pourrais enlever tes sales pattes de mon chandail? Il vaut une fortune, et sur du noir, ce n'est pas très difficile de voir les différentes saletés. J'aimerais que mon pull soit immaculé, tu comprends?
Hermione ne cessa pas de le toiser du regard, mais le délia tranquillement de son emprise. Elle fit quelques pas en arrière et fixa le sol.
- Bon… eh bien si tu ne veux pas me dire ce que ton enveloppe comporte, j'aime mieux m'en aller tout de suite.
Hermione ramassa les derniers effets qu'elle avait fait tombé et ne laissa pas le temps à Malefoy de répliquer quoi que ce soit, car elle avait déjà traversé la frontière.
On pouvait alors distingué un souffle discret qui venait du jeune blond : « Ce ne sera pas une surprise, cette enveloppe…tu aurais dû t'en douter, Granger…»
On vit le grand adolescent retourner sur ses pas, quand soudainement, sans y faire attention, il piétina vivement dans une flaque de boue et s'éclaboussa le bas du pantalon. « Mais merde! C'est du beige en plus! Arrgg…» maugréa-t-il, tandis qu'il sortait sa baguette magique pour nettoyer le dégât.
~¤~¤~¤~¤~¤~¤~¤~¤~¤~
Hermione traversa le mur de lumière et se retrouva sur une rue londonienne : Haymelie avenue. Une série de maisons siégeait longuement tout au long du chemin. De l'autre bord de l'avenue, c'était un paysage époustouflant qui s'offrait à la vue de Hermione. Des champs dorés, une verdure fraîche et de grandes collines…dans un coin se trouvait sa colline. Là où elle avait confiée tout ce qu'elle avait sur le cœur depuis un mois. C'était comme si c'était son deuxième journal intime. Mais ce qui les distinguait, c'était que jamais les confidences aux collines ne pouvait être révélées. Peu importe les difficultés, c'était un endroit où chaque déclaration ne quitterait pour une éternité ce lieu d'émancipation.
Hermione déambulait, songeuse, sur la route qui menait à son entrée. La maisonnette de brique, entourée d'une haie florissante, se rapprochait à chaque pas. C'est ainsi qu'elle parvint finalement à poser le pied sur le perron fait de parquets de bois de chêne.
« Je suis de retour, papa! » annonça-t-elle, en traversant la porte. Elle déposa ses ballots sur le bord du mur et alla le rejoindre dans la cuisine. Comment pouvait-elle savoir qu'il était là et non dans le salon? C'était l'habitude, voyons.
Il lui répondit sans même la regarder : « Bonjour, ma petite jacinthe. Assied-toi, le repas est prêt. Tu as tout ce qu'il te faut pour…ta rentrée? » Il piqua un morceau de steak et de haricot avec sa fourchette et s'en régala à pleine joie. Il avait rudement faim, pensait Hermione.
« Oui, j'ai acheté tout ce dont j'avais besoin papa. Et j'ai aussi rencontré mes amis sur le chemin. » dit-elle. Hermione s'assit et mangea tranquillement son repas.
- Tu as reçu du courrier aujourd'hui. Ton hiboux est venu me déposer la lettre. Je me suis dit qu'il était mieux de te la laisser dans ta chambre, avisa son père.
- Ah bon. Merci, j'irai voir tout à l'heure.
«C'est encore Harry et Ron, peut-être… » réfléchit-elle. Hermione termina rapidement son plat et partit en courant vers sa chambre. Elle ouvrit la porte pour y apercevoir du couloir, une lettre blanche, scellée par l'emblème de Poudlard, déposée sur sa table de travail.
Elle pénétra doucement dans sa chambre, referma la porte et se précipita vers l'enveloppe. On pouvait y voir, rédigé à la main :
« À Mlle. Hermione Granger
147 Haymelie Avenue
Londres, Angleterre. »
« Seulement deux jours avant la rentrée? Ç'est bizarre. » murmura-t-elle. Elle décacheta l'ouverture et sortit un papier d'un blanc immaculé, pliée en trois.
« Chère Mlle. Granger,
Nous avons le plaisir de vous informer officiellement que vous avez été élue pour occuper le poste de Préfète-en-chef de cette nouvelle année. Nous vous prions alors de vous rendre dans le 13e compartiment du dernier wagon pour rencontrer votre futur collègue. Une réunion se tiendra avec vous, et les préfets.
Avec nos plus grandes félicitations,
Albus Dumbledore et Minerva Mcgonnagal.»
Hermione ne dit rien pour quelques instants. Elle relu la lettre plusieurs fois, et s'assit sur son lit. « J'avais complètement oublié ça…et dire que j'en ai rêvé depuis que j'étais en première…je devrais me réjouir, non? » pensa-t-elle.
~¤~¤~¤~¤~¤~¤~¤~¤~¤~
Ce jour-là, le soleil s'était couché de bonne heure. C'était maintenant le soir et Hermione revint du souper, monotone, comme toujours. Elle monta dans sa chambre et sortit du tiroir, son carnet de cuir noir où une jacinthe brodée de couleur enjolivait la couverture.
Hermione pris son stylo et entama une nouvelle entrée de journal.
@@@@@@ })ï({ @@@@@@
Mercredi le 31 août
Je suis allée au Chemin de Traverse aujourd'hui. Tout allait bien avant que Harry et Ron se sont pointés. Bien sûr, je les aime beaucoup, mais c'est juste que j'aurais voulu passer une journée plutôt toute seule…oui j'avoue que ça fait rudement longtemps que je passe du temps, retirée du monde vivant. C'est assez maussade.
En tout cas, il y a quelque chose qui me pousse à ne pas trop m'engager. Je ne sais de ce qu'il s'agit…peut-être que c'est parce que je n'ai pas envie de les perdre? Après tout, maman est morte depuis un mois. Je sais bien que j'en suis encore très affectée, mais ne serait-ce pas la peur et la phobie de perdre les êtres chers qu'on aime? Je trouve ça si injuste.
La vie est injuste. Non. Ce n'est pas assez. Elle est tyrannique et malfaisante. Pourquoi est-ce que maman a dû mourir ainsi? Assassinée! ASSASSINÉE! J'en ai marre de revivre ce moment. Ça me consume de l'intérieur, j'aimerais hurler, crier, déchirer tout ce que je vois…mais je ne peux pas. Je n'en suis pas capable.
Et ce Malefoy. J'arrive pas à croire qu'il a pu se transformer en une machine à insultes. Il ne changera jamais. Il n'est qu'un sans-cœur délaissé par sa famille, ses parents. De toute façon, il n'a pas d'amis. En tout cas, des loyaux, ça jamais. Il se fait craindre et ce n'est que par cette façon qu'il peut obtenir ce qu'il veut. Je le hais.
Bon…je me suis assez défoulée pour aujourd'hui. La suite attendra à demain. Je vais plonger dans le seul livre qui puisse me délier de ce fardeau.
Hermione, la jacinthe mélancolique.
@@@@@@ })ï({ @@@@@@
Hermione était toujours assise dans son fauteuil. Elle n'avait pas bouger depuis. Elle fixa le tout dernier mot qu'elle avait transcrit. Mélancolique…C'était ça qu'elle ressentait vraiment. Elle était déchirée de l'intérieur et tout ça en un seul mois. Un mois…ne pouvait-elle pas s'en défaire et de repartir à 50? Elle ne le savait pas…du moins elle l'espérait.
En refermant le carnet, elle débusqua son roman préféré, Larmes d'automne, de la tablette de sa bibliothèque et alla s'effondrer à plat-ventre sur le matelas. Elle continua où elle en était rendue…
« Et lorsque Terry s'approcha doucement de Caelyn, il l'enlaça dans une étreinte de passion brûlante, lui caressa le cou tendrement et enfin…goûta au nectar sucré de ses lèvres exquises… » murmura Hermione.
~¤~¤~¤~¤~¤~¤~¤~¤~¤~
Dans l'ombre d'une chambre, on pouvait distinguer une silhouette de jeune homme, campé sur le plancher de la pièce, lisant à voix basse…
« Il parcoura son dos de velours et caressa ses hanches fines. Une véhémence passionnée les envahit tous les deux et lorsque leur lèvres se désunirent, ils se regardèrent dans les yeux, envisagèrent brusquement leur acte de folie et Caelyn vint lui souffler à l'oreille : « On ne peut pas, Terry…tu le sais… ». » continua-t-il…
N/A : Alors?? Encore du mystère!! Qui est celui dont je parle à la fin…oooh…oui un autre mystère à résoudre et à écrire [enfin… pour moi lol]
Donc! Bravo à tout ceux qui pensaient [aussi à ceux qui espéraient] que c'était Draco! Parce que c'était lui! Enfin…j'espère que vous l'avez vu, parce qu'où sinon, je manque mon punch l
Reviewez, tout le monde! ^^
PS : J'espère que personne n'est descendu tout de suite sans lire l'histoire pour voir si j'avais mis le punch à découvrir…ça ne serait pas bien du tout ça…^^