COURRIER DES REVIEWEURS
Je n'ai pas eu le temps de répondre à tous les reviews que vous m'avez laissés, mais je vous jure que je l'aurais fait, si j'avais eu un peu plus de temps. Vous êtes si nombreuses/eux à me laisser de beaux messages que ça me prendrais quatre pages si je vous répondais individuellement. Ce n'est pas une plainte, mais bien de la reconnaissance.
Je répond à Faithlove43 parce que je ne pouvais pas m'empêcher à vous partager ce que moi je ressens aussi…
Faithlove43 : Ta review m'a fait beaucoup plaisir. Je ne savais pas que je pouvais toucher les gens à ce point, et si c'est le cas pour d'autres personnes, eh bien je suis tout à fait comblée. Si j'arrive à faire ressentir autant d'émotions à travers mes mots, c'est que moi-même je peux ressentir tout ça. Pas que j'ai autant de problèmes, mais que je vis aussi à travers Hermione. ) Merci pour ton commentaire, et bonne lecture!
À tous les revieweuses/eurs :
UN ÉNORME MERCI à vous tous! Vous êtes de super revieweuses/eurs et je ne serai jamais assez reconnaissante envers vos agréables reviews.
Je vois qu'il y a de fidèles lectrices qui ne lâchent pas à mes écarts de temps d'update (j'en suis terriblement désolée, pardonnez-moi!) et qui m'écrivent tout de même des mots d'encouragements.
Ça me fait extrêmement chaud au cœur. Croyez-moi. Vos reviews sont des récompenses agréables à recevoir. Continuez à m'écrire, car je ne me lasserai jamais de vos mots! MERCI!
LET'S GET INTO CONTEXT
Voilà mon update. Un chapitre pas aussi long que le dernier, je m'en excuse, mais une update qui tardait à venir. Je sais que plusieurs d'entre vous aurait voulu me sauter au cou après cette « notes d'auteure » effroyable. Oui, pardonnez-moi, c'était vraiment horrible. Plus terrible pour moi de vous l'écrire, pensez-y. Cette année, j'étais misérablement tombée en secondaire 5 (en première pour les Français) et comme vous devez le savoir depuis que j'ai amorcé cette fic, les examens abondaient.
Donc, mes plus sincères excuses auprès de vous, chères/chers lectrices/lecteurs.
Mais j'ai succédé et j'ai trouvé du temps pour terminer ce chapitre! Bravo à moi! lol
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Passons NOYÉE DANS L'OUBLI. J'ai changé le titre par : « Through Darkness » ou, si je le rebaptiserais en français « Dans le Noir » (je sais bien que ça ne veut pas dire ça, mais c'est plus beau, vous ne trouvez pas?).
Pourquoi, je vous entends dire?
Parce que je me suis dit que pour la suite des événements de l'histoire, un changement du titre faisait bonne augure. Donc, je vous présente avec fierté:
THROUGH DARKNESS – Noyée dans l'oubli
CHAPITRE 10
Dans le dernier chapitre…
« Espèce de truand….» dit Harry entre ses dents.
Personne n'avait alors su ce que Draco s'était époumoné à crier pour percer mondes et univers, était qu'un simple nom…un nom qu'il n'avait encore là, jamais considérer hurler : Hermione.
Chapitre 10 - Une matinée remplie -
Draco, affolé de cette horrible image, dévala les escaliers de la tour pour se rendre sur les lieux de l'incident. Il avait bien vu le visage de Harry, trempé dans un bain de fureur qu'on aurait pu dire qu'il avait la face crispée. Draco haletait en ayant pressé le pas, mais…s'était-il rendu compte qu'il avait crié le nom de sa co-habitante? Avait-il eu conscience de ses actes?
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Pendant ce temps, Harry s'approcha de Deve. Le jeune homme était à plat-ventre sur le sol, les cheveux noirs embroussaillés dans l'herbe et le visage vide d'expression. Quant à Ron, il ne pouvait s'empêcher de pousser des sanglots inquiets. Il s'accroupit et déposa la tête fatiguée d'Hermione sur ses genoux, vérifiant sa respiration et son pouls.
Les bras de la jeune fille étaient ensanglantés, son teint devint rapidement pâle et sur ses douces joues, on pouvait y distinguer les traces de larmes qu'elle avait pleurées. Sa respiration semblait combattre pour sa survie, jusqu'au moment où…
« …NON ! Non, non ! Hermione, Hermione ! » hurla Ron à travers ses pleurs. « Reste avec moi, ne t'en vas pas…ne t'en vas pas ! Je t'en prie ! »
Harry se précipita vers son Ron et s'agenouilla à côté de son amie. Il lui pris la main et regarda sa poitrine, possédée de spasmes inquiétants.
« Il faut les emmener à l'infirmerie tout de suite ! » alerta Harry.
Le spasmes qu'Hermione possédait cessèrent soudainement. Ron et Harry se jetèrent un regard horrifié.
« Mobilicorpus !» cria Harry, après avoir sorti sa baguette d'un geste rapide.
Les corps raides des deux victimes flottèrent dans les airs et les deux jeunes hommes firent tout ce qu'il y avait en leurs pouvoirs pour amener les blessés à bon port.
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Draco arriva enfin à la dernière marche de l'escalier de la tour et couru comme si le diable le poursuivait, vers l'endroit où gisaient Deve et Hermione. Pas une minute après qu'il soit rendu sur les lieux de l'incident, il vit Harry et Ron transporter la pauvre Hermione et son ami de longue date par l'entremise de leur baguette respective.
Harry le toisa soudainement du regard lorsqu'il le vit arriver. Il ne dit pourtant pas un mot et se contenta de courir vers l'infirmerie. Il avait de plus amples préoccupations pour le moment. Draco, de son côté, était à bout de souffle à force de galoper d'un endroit à l'autre. Il avait les yeux dilatés, étant encore sous le choc de la mésaventure qui avait pris vie sous ses propres yeux. Il resta silencieux et s'empressa de les rattraper.
« Harry ! Harry ! C'est ici ! », cria Ron, lorsque le jeune garçon-qui-avait-survécu-au-pire-destin avait dépassé les portes qui menaient aux soins miraculeux de Madame Pomfresh.
Les grands portails s'ouvrirent en une fraction de seconde et les deux Griffondors s'affairèrent à déposer les corps sur des lits. « Madame Pomfresh ! C'est urgent ! » hurla Harry de toute ses forces.
La gente dame arriva à ses trousses, les deux mains sur son tablier. Il était encore très tôt dans la matinée et on pouvait voir qu'elle n'avait pas eu le temps de bien s'arranger. Sa coiffe était mal placée et elle paraissait terriblement fatiguée. Mais lorsqu'elle fut sortie de son bureau et qu'elle arriva dans la pièce, où un boucan nerveux se faisait entendre, elle eut tout d'un coup l'air plus réveillée.
« Que s'est-il passé ? Laissez-moi passer ! Laissez-moi passer ! » dit-elle avec volubilité, sans donner le temps aux jeunes garçons de répondre.
À ce moment là, Draco arriva enfin à destination, hors d'haleine. Il fit quelques pas en avant mais Harry vint lui bloquer le chemin, lui bloquant l'accès aux blessés.
« Je t'interdis de t'approcher d'elle, espèce de salaud. » lui lança-t-il d'un ton autoritaire et déterminé.
Draco, qui avait sa main à la bouche en espérant retrouver son souffle, le fixa silencieusement du regard avant de faire un pas de plus, sur le côté. Harry donnait l'impression d'être le reflet du Serpentard et suivit ses pas.
« Je t'ai dit de ne pas t'approcher d'elle. »
Le blondinet enleva sa main pour laisser apparaître une grimace narquoise.
« Mais tu ne m'as pas interdit de rejoindre Deve. Il est tout de même mon compatriote.»
Draco tassa Harry sur le côté et enjamba son chemin vers le corps immobile de son ami qui reposait dans le lit opposé à celui de Granger.
« Penses-tu vraiment que j'irais m'approcher de cette sang-de-bourbe ? Je n'ai rien à voir avec elle. » rajouta le Serpentard, en regardant Hermione.
Deve était en piteux état. Il avait des écorchures (minimes, mais affreuses) au visage et sur les bras. Toutefois, Granger aurait pu gagner la première place pour la catégorie « du plus blessé ».
Madame Pomfresh s'était occupée d'Hermione en premier. Ayant survolé les deux victimes, elle estima judicieusement qu'Hermione avait besoin de passer sous le peigne d'urgence. Elle avait pris son pouls, qui s'était révélé très faible. Même très inquiétant. Le teint de la jeune fille faisait aussi mauvais présage. L'infirmière releva les manches imprégnées de sang et découvrit avec haut-le-cœur, toutes les marques et les cicatrices ouvertes de la blessée. Elle sortit sa baguette et analysa son sang en une fraction de seconde.
« B-! B- ! Il me faut une transfusion pour un cas de B- ! Quel est votre groupe sanguin? », elle s'écria.
Les trois garçons se regardèrent, muets de nervosité et de pression. Madame Pomfresh s'avança alors des deux plus proches : Harry et Ron. Elle releva leur manches et appuya sa baguette sur leur avant-bras à tour de rôle. Un pincement les fit grimacer et une tache rouge apparut sur leur peau, à l'endroit où elle avait apposé la pointe de sa baguette.
« A! Non ce n'est pas de ça que je veux ! » dit-elle à l'égard de Ron.
« B ! Oui, oui ! Oh, non, non ! B! Pourquoi aujourd'hui, Merlin ! », elle regarda Harry avec des yeux critiqueurs, comme si c'était de sa faute.
Voilà qu'il ne restait que Draco Malefoy comme dernier recours. Elle s'approcha de lui. Il était assis sur le lit où reposait son ami et arborait un air énervé et indigné.
« Je ne donnerai pas mon sang à cette Sang-de-bourbe. » déclara le Serpentard.
« Un jour, quand vous aurez besoin d'un peu de sang, vous crierez à n'importe qui pour un peu de vie. » lui dit-elle fermement tout en préparant le bras de Draco. N/A : J'adore cette phrase…pas vous ? Copyright, alors ! Elle avait une poigne extrêmement puissante et elle appliqua donc le sort. La tache rouge apparut sur le bras libéré du Serpentard et elle lui donna un air de fer.
« O-…Vous êtes un donneur universel, monsieur Malefoy. »
À peine avait-elle délivré le bras faible du blond, qui en passant, avait les yeux très affreusement dilatés depuis cette nouvelle, qu'elle le pris par l'autre bras et l'entraîna rapidement vers Hermione.
Les deux amis qui étaient restés aux côtés de leur amie, demeurèrent bouches-bées à en briser leur mâchoire. Draco Malefoy, donner du sang à un Griffondor et plus encore, à Hermione Granger ? Dans un sens tordu, ils ne voulaient pas rater ça pour le moins du monde…Des plaisanteries à cet égard s'annonçaient très prochainement.
Draco fut assailli par Madame Pomfresh pour qu'il aille s'asseoir aux côtés d'Hermione. Elle lui demanda alors de sortir sa baguette, ce qu'il fit vite fait pour éviter de la mettre en rage. Elle prononça une formule magique inconnue aux oreilles des trois garçons et deux filaments rosés jaillirent de la baguette de Draco. Les deux fibres translucides pénétrèrent alors dans les bras de chacun d'eux : une dans le bras de Draco et l'autre dans le bras d'une Hermione pâle et inconsciente.
« Cela risque de vous faire mal. Une transfusion comme celle-ci est très rare et je ne l'ai appliquée que quelques fois dans mon métier. Détendez-vous et vous pourrez vous rétablir plus vite. » dit l'infirmière en tapotant l'épaule du Serpentard.
Madame Pomfresh se retourna alors vers Harry et Ron.
« Vous savez, mademoiselle Granger en était à moins d'un souffle pour parvenir à l'ultime combat. Son cœur battait très faiblement et elle a perdu beaucoup de sang. La raison à tout ce chambardement n'est pas ce qui est primordial, en ce moment. Mais nous devrons nous expliquer plus tard. »
Elle jeta un coup d'œil sévère aux jeunes hommes et pris un air plus décontracté. Elle se dirigea vers Deve et l'analysa encore une fois. Quelques pansements par-ci par-là et un fiole de médicament pour la guérison suffisaient pour les blessures de Deve.
« Celui-ci s'en remettra brièvement. Je le garderai pour deux ou trois jours de plus ou même moins, si tout va bien ! Il pourra retourner en cours dans très peu de temps. » dit-elle doucement en déposant une couverture sur le jeune aux cheveux noir ébène.
Draco, qui grimaçait à l'élancement qu'il ressentait dans le bras, s'accota lourdement au dossier de la chaise que Madame Pomfresh avait amenée prestement, précédemment. Il regardait Granger avec un air qui réprimandait. Les sourcils froncés, il observait les filaments devenir de plus en plus rouges.
« Vous deux, vous pouvez partir. Il est tôt encore et vous avez cours, ne négligez pas cela. Je vous ferai un billet si vous en avez besoin. Mais j'aviserai le Professeur Dumbledore de votre visite. », s'adressa-t-elle à Harry et Ron.
Les deux amis s'inquiétaient profondément pour Hermione. Ron avait eu si peur de la perdre au moment où ses spasmes avaient arrêté. Quant à Harry, avoir une autre mort probable sur la conscience ne lui faisait pas bonne augure. Ils se regardèrent misérablement.
« Allez, allez ! Ne restez pas plantés là comme des piliers. Je vous assure que mademoiselle Granger ira mieux. Cependant, elle devra rester avec moi en convalescence pendant une période qui reste à déterminer. »
Elle poussa gentiment les deux amis vers la porte et Harry lança un dernier regard emplit de haine à Malefoy.
« Quant à vous, » commença-t-elle en se retournant vers Draco, « Vous devrez aussi rester avec moi. Cette transfusion de sang prend beaucoup de temps et d'énergie. Vous vous sentirez faible après cette opération. Mais croyez-moi sur parole, ce geste est l'un des plus généreux que vous puissiez faire…»
Elle termina cette phrase avec quelques derniers tapotements sur l'épaule. L'infirmière regagna son bureau, déjà épuisée de tout ce bataclan du matin.
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« Harry… »
« Quoi, Ron? »
« Tu penses qu'on aurait dû lui prêter plus attention ? » dit le rouquin, timidement.
« Hein ? De quoi tu parles ?…On lui a écrit tout l'été, comment on aurait pas pu lui prêter attention ? » répondit Harry en marchant d'un pas plus accéléré.
« Eh bien…J'ai l'impression qu'elle ne nous a pas dit grand chose et qu'on aurait peut-être raté un truc…»
Les deux garçons marchaient rapidement vers leur salle commune. Ron n'arrêtaient pas de regarder ses pieds, se sentant partiellement coupable de cet événement affreux.
« On ira lui parler bientôt, quand elle se rétablira. De toute façon…je voulais lui parler. »
« Neville m'a dit l'autre jour qu'il avait trouvé un article dans le journal qui avait rapport avec Hermione, mais il n'a pas eu le temps de me le montrer. Professeur Binns nous a surpris. »
« Oui, je sais, j'étais assis avec Dean et tu n'arrêtais pas de chuchoter en arrière. »
Un silence s'installa entre les deux Griffondors. Ils trottèrent encore et encore, jusqu'à ce qu'ils arrivèrent à l'entrée de leur salle commune. À ce moment là, la tranquillité se brisa.
« Harry…», dit Ron.
« Quoi encore? », demanda Harry en soupirant.
« J'ai encore le canif d'Hermione…»
Les deux garçons s'échangèrent un regard à la fois désolé et navré.
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Draco Malefoy se sentait mal. Idiot. Stupide. Intolérable. Tout pour ne pas dire « coupable ». Était-ce sa faute ? Non. Sûrement pas. Elle aurait été dans ce pétrin, même s'il n'avait pas monté à la tour. C'était inévitable. Mais… il y avait un mais. C'était bien lui qui l'avait encouragée à revenir. À faire demi-tour. Avait-il manqué tact et de prudence ? Aurait-il pu lui éviter cette chute, s'il n'avait pas été si ingrat et…si « serpentard » ?
Reposant sur cette chaise incomfortable, il y repensait. Il repassait tous les moments où il avait vu Granger. Au Chemin de Traverse, dans le train (oh…le train…quel horrible souvenir…), à la rentrée, dans la bibliothèque, dans leur salle commune. Et quoi d'autre encore ? Tous ces moments avaient leurs indices, leurs signaux, leurs témoignages. Comment n'avait-il pas pu déceler ces parcelles importantes de l'enquête ?
Questions et chamboulements. Peur et culpabilité. Cette dernière année à Poudlard se promettait incomparable et remplie de mystères à résoudre.
Draco grimaça encore et encore, tellement que la douleur envahissait ses veines. Il tourna sa tête vers la droite et contempla Hermione. Elle respirait lentement, silencieusement, comme une brise d'été à l'aube. Sa peau, malgré son teint pâle et blême, paraissait aussi douce qu'une couverture de velours. Elle avait de grands cils foncés et légèrement courbés, qu'on ne remarquait que lorsqu'on prenait le temps de bien la regarder. Draco étudia sa respiration lente. Granger semblait dormir très profondément.
Il jeta ensuite un coup d'œil à son bras allongé sur le matelas. Les fibres ondulaient dans les airs, se paradant d'un rouge vif, signifiant forcément que la transfusion s'opérait bien.
Des faibles rayons de soleil traversèrent alors les rideaux des grandes fenêtres, venant éclairer la pièce. Draco ferma doucement ses yeux...
…et s'endormit aux côtés d'Hermione Granger.
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Les deux grands amis étaient assis dans les gros fauteuils rouges de leur salle commune. Ils étaient tous les deux très exténués. Ce n'était que peu après que d'autres Gryffondors descendirent des escaliers.
Neville arriva et fut très surpris de voir Harry et Ron, déjà debouts.
« Qu'est-ce que vous faites là si tôt le matin ? Vous n'êtes pas du genre à vous réveiller à cette heure. », dit-il en se grattant la tête.
Ron jeta un coup d'œil à Harry.
« Oh, c'est qu'il y avait les essais de Quidditch ce matin. Et on est allé voir. », dit Harry, sans trop d'hésitation. C'était pourtant la vérité.
« Ahh oui. C'est vrai. » répondit Neville en acquiesçant de la tête.
Il eut alors une soudaine réalisation dans ses yeux.
« Oh, j'allais oublier…Tu sais Ron, ce que je voulais te montrer en cours, le dernier jour. », commença-t-il, « Je l'ai avec moi ».
Les deux garçons se regardèrent mutuellement pendant que Neville sortait de sa poche, un bout de parchemin froissé.
« J'sais pas ce que tout ça veut dire, mais ça concerne Hermione. Elle devrait être sous le choc…la pauvre. », annonça le jeune homme, en tendant le papier à ses amis.
Harry le pris et lut attentivement ce qu'il y avait d'écrit. Un bout du texte avait été déchiré, mais l'essentiel restait là:
« …décès de William Jay Granger aurait été prémédité par quelques personnes dont on ne peut vous citer les noms . Ne voulant pas que la nouvelle se répande trop rapidement, nous vous conseillons de rester sur vos gardes. On rapporte avoir vu des ombres charpentées autour du lieu de crime. Détails à la page suivante. »
Harry relut et relut ces lignes. Il n'y croyait tout simplement pas. Tout simplement pas.
Neville repartit et quitta la salle commune. Ron regarda intensément Harry.
« Et ? Qu'est-ce que c'est ? », demanda le jeune roux.
Son ami lui passa le papier froissé, l'air abattu.
« Son père est mort. », dit-il en un murmure.
Petit résumé, donc :
Draco va à la rencontre du trio d'enfer, et se retrouve à l'infirmerie, donnant du sang à Hermione Granger. Pendant ce temps, Harry et Ron découvrent ce qui est vraiment arrivé, par l'entremise d'un horrible article de journal froissé que Neville leur a passé.
Que va-il se passer par la suite ?
Petit indice : Le nouveau titre.
Notes de l'auteure :
Alors, avez-vous bien aimé ce chapitre ? Un peu de satisfaction ? lol Les transfusions et tout le tralala… je n'avais aucune idée si ça pouvait s'intégrer dans la période poudlardienne. Alors j'ai pris un risque. Réactions ?
N'oubliez pas de reviewer ! Postez ce que vous penser de ce qui va arriver, avec l'indice du titre…Hehe…je n'en dirai pas plus.
Pour la prochaine update, soyez fidèles ! J'essairai de poster le plus vite possible ! C'est presque les vacances !
On se revoit au Chapitre 11 !
