J'ai tant rêvé de toi...

La nuit dernière, avant de tomber dans les bras de Morphée, Hermione avait appris que Sirius avait été désigné, à tout hasard bien sûr, par le Professeur Dumbledore pour l'accompagner chez ses parents, histoire de savoir qu'elle était bien en sécurité. Sirius avait bien sûr accepté, mais il n'en demeurait pas moins anxieux, après tout il allait rencontrer pour la toute première fois les parents de sa petite amie...

Laissant la nuit emporter ses angoisses, il se réveilla le lendemain matin de très bonne heure. Ils devaient être tous deux chez Hermione à dix heures pour " bruncher " avec ses parents, sa famille et des amis de sa famille. Ils y passeraient tout le reste de l'après-midi et pensaient rentrer au château pour le dîner.

Sirius se leva donc et partit en direction de la salle de bain. Il en sortit une demi-heure après et revint dans sa chambre et remarqua qu'Hermione dormait toujours. Ne voulant pas troubler le peu de sommeil qui lui restait, il prit ses vêtements avec le plus grand silence et partit s'habiller dans le salon. Il ne savait vraiment pas comment s'habiller pour cette " fête ", il avait donc décidé de faire au plus simple à savoir un jean et une chemise. Il s'habilla prestement et coiffa ses cheveux en catogan avec une lanière de cuir, laissant néanmoins quelques mèches tombant, séductrices, devant ses prunelles sombres.

Il sortit de son appartement, se dirigeant vers les cuisines du château et il remonta quelques instants plus tard, un plateau, rempli d'un copieux petit-déjeuner entre les mains.

Il déposa le plateau sur la table basse et entreprit d'aller réveiller sa dulcinée. Il entra dans la chambre sans un bruit et découvrit une Hermione, plus que craquante, roulée en boule dans la couette. Il s'approcha lentement d'elle et lui caressa doucement l'épaule murmurant son prénom. Celle-ci bougea un peu, mais n'ouvrait toujours pas les yeux. Il se rapprocha de son visage et déposa un doux baiser sur ses lèvres. Elle se réveilla à la troisième tentative, grognant un peu.

Sirius : Hermione, mon ange, réveille-toi, on doit être chez tes parents à dix heures et il est déjà neuf heures.

Hermione grogna et enfila une chemise de Sirius avant de s'asseoir en tailleur sur le lit.

Hermione : J'ai pas envie d'y aller...

Sirius : Allez, Hermione, un peu de courage, ce n'est pas si terrible !

Hermione : Tu ne connais pas mes parents...

Sirius : Allez, lève-toi ! Il te reste moins d'une heure pour te préparer...

Hermione se leva, en grognant et se dirigea vers la salle de bain. Elle en ressortit quelques minutes après, une serviette autour de son corps. Elle alla en direction du salon où Sirius était déjà en train de prendre son petit-déjeuner dans le canapé. Elle lui donna un léger baiser et s'assit à côté de lui.

Sirius : J'ai été cherché le petit-déjeuner. J'ai supposé que tu ne buvais pas de café.

Sirius lui tendit une tasse de chocolat chaud et elle prit deux croissants et un pain au chocolat avant de se caler confortablement dans le canapé.

Hermione : Tu as bien supposé.

Ils mangèrent le petit-déjeuner dans une ambiance un peu endormie avant qu'Hermione retourne dans sa chambre au moyen de la poudre de cheminette. Elle ne savait pas comment s'habiller : chic ou normal, mais de toute façon, sa mère aurait toujours quelque chose à y redire alors...

Elle mit donc une jupe mi-longue, un petit pull et des baskets. Elle s'attacha les cheveux et prit ses lunettes de soleil avant de retourner chez Sirius. Sirius et elle marchèrent jusqu'aux portes de Poudlard où ils allaient transplaner. Hermione remarqua le trouble qui commençait à apparaître chez son compagnon.

Hermione : Ne stresse pas, Sirius, c'est pas comme si tu allais faire ta demande en mariage devant eux.

Sirius : Je vais quand même rencontrer tes parents pour la première fois...

Hermione : Tu es là en tant que professeur et ami, pas en tant que petit-ami. Heureusement d'ailleurs parce que sinon mes parents feraient une crise cardiaque et ce ne serait pas bon pour le bébé.

Sirius lui envoya un sourire un peu crispé.

Hermione : Allez, sois naturel, ils vont t'adorer !

Hermione enfila ses lunettes de soleil, prit la main de Sirius et ils transplanèrent.

Ils se retrouvèrent devant l'immense manoir qui faisait office de maison à Hermione. De nombreuses voitures de luxe étaient déjà garées près du manoir. Sirius écarquilla les yeux et se sentit devenir un peu plus nerveux.

Hermione : Bienvenue en Enfer !

Sirius : Tu... Tu habites là ?

Hermione : Oui

Sirius : Ah d'accord...

Sirius se contenta d'hocher la tête, stupéfait. Sa famille était elle-même très riche et elle avait beaucoup de demeures, mais il ne s'attendait pas à ça de la famille d'Hermione dont la seule chose qu'il connaissait était que ses parents étaient dentistes.

Sirius : Tu ne m'avais pas dit que tu étais riche.

Hermione : Je ne suis pas riche, ma famille l'est. On a hérité cette maison d'une vieille tante.

Sirius hocha la tête encore une fois et lui envoya un petit sourire.

Sirius : Au moins, ce qui me rassure, c'est que je saurais me comporter dans cette société. J'en ai l'habitude.

Hermione : Mes parents aiment conserver les apparences, mais ils ne sont pas comme toute ma famille. Ils s'en foutent un peu de l'étiquette, mais par contre, le reste de ma famille...enfin je te laisserais le plaisir de découvrir ça.

Hermione prit une grande respiration et sonna à la porte. Ce fut Mélusine, leur domestique, qui répondit. À dire vrai, Mélusine n'avait que six ans que plus qu'Hermione et c'était plus un rapport d'amitié qui s'était installé entre les deux jeunes filles plutôt qu'un rapport hiérarchique.

Hermione : Coucou Mélusine, où sont mes parents ?

Mélusine : Ils sont déjà dehors.

Hermione : Qui est déjà là ?

Mélusine : Tes grands-parents et ta Tante Clarisse.

Hermione réprima un soupir sous le regard amusé de Mélusine.

Hermione : Oh non, elle est déjà arrivée ?

Mélusine : Oui, désolée pour toi... Dis-moi, qui est ce bel homme qui t'accompagne ?

Hermione se tourna vers Sirius qui avait écouté la conversation, amusé.

Hermione : Mélusine, c'est Sirius Black, un de mes professeurs qui m'accompagne.

Mélusine : Rien qu'un professeur, hein ?

Hermione : C'est aussi le parrain de mon meilleur ami, un ami donc, Mélusine...

Mélusine lui envoya un regard septique.

Mélusine : Je vais chercher tes parents pour leur dire que vous êtes arrivés.

Mélusine disparut et Sirius eut le loisir d'admirer la luxueuse demeure. Le hall d'entrée était pratiquement aussi grand que celui de Poudlard et en face de lui, il y avait deux grands escaliers de marbre qui menaient aux étages du dessus.

Les parents d'Hermione arrivèrent, sa mère habillée dans un tailleur-jupe très élégant et son père dans un costume deux pièces. Sirius fut frappée en voyant la mère d'Hermione arriver. Hermione et elle se ressemblaient énormément et elle était encore en très bonne forme pour 42 ans. Elle était de taille moyenne, mince avec une poitrine généreuse qui lui rappelait celle d'Hermione. Elle avait de magnifique yeux verts, dont Hermione n'avait manifestement pas hérité. Son regard passa à son père qui était un grand homme, mince à l'allure sportive. Il avait les cheveux poivre-sel coupés courts et son costume lui conférait une élégance et une présence plutôt impressionnante.

Les parents d'Hermione arrivèrent vers eux et sa mère courut presque vers elle et la prit dans une étreinte très serrée. Hermione se retira de cette embrasse, enleva ses lunettes de soleil et elle mis une main sur le ventre, encore plat de sa mère.

Hermione : Bonjour maman, alors le bébé ?

Laura : Il va bien... Ça ne se voit pas beaucoup encore, mais ça viendra ! J'ai hâte !

Hermione : Et toi, comment tu vas ?

Laura : Ça va, les nausées arrivent, mais c'est un plaisir ! Je suis tellement contente d'avoir un deuxième enfant. Et toi ma chérie ?

Hermione : Je vais bien.

Hermione se tourna vers son père et lui fit une bise sur la joue.

Hermione : Bonjour papa.

Michael : Bonjour ma chérie ! Qui est ton ami ?

Sirius s'avança d'un pas et se plaça à côté d'Hermione.

Hermione : Maman, papa, c'est Sirius Black, un de mes professeurs de Poudlard. Il m'accompagne.

Laura : Est-ce bien utile, c'est une réunion familiale.

Hermione : Maman, Sirius est avant tout un ami, un très bon ami avant d'être un de mes professeurs. Considère que c'est comme si j'amenais un ami à la maison.

Laura : Je ne disais pas cela pour vous offenser Monsieur Black.

Sirius : Ne vous inquiétez pas Madame Granger. Appelez moi Sirius.

Laura : Bien alors, appelez moi Laura. Voici mon mari, Michael Granger.

Michael : Un plaisir de vous rencontrer, Sirius... Excusez-moi, mais je dois aller voir les invités.

Le père d'Hermione partit, les laissant seuls avec la mère de celle-ci.

Laura : Alors, Sirius, dites-moi, quelle matière enseignez-vous ?

Sirius : J'enseigne la Défense Contre les Forces du Mal.

Laura : Et quoi cela consiste ?

Sirius : J'apprends aux élèves à se défendre contre les sorts qui pourraient leur être lancés. Je lui enseigne différents sorts de défense et d'attaque qui leur seront utiles dans leur vie future.

Laura : Bien, bien...

Le regard de la mère d'Hermione se tourna bientôt vers celle-ci.

Laura : Hermione, chérie, tu ne veux pas aller te changer ?

Hermione regarda sa jupe et ses baskets. Elle n'avait pas envie de changer de tenue pour ces snobs d'invités ! Elle était chez elle après tout, mais bon en même temps, elle ne voulait pas contrarier sa mère, dont les hormones risquaient de jouer sur son humeur.

Hermione : Pourquoi ? Je suis très bien comme ça.

Laura : Hermione, ma chérie, nos invités se sont tous habillés en conséquence, j'aimerais que tu me fasse le plaisir de te changer pour quelque chose de plus...élégant.

Hermione soupira alors que Sirius regardait sa tenue qui était plutôt décontractée.

Hermione : Mais, maman, je suis bien comme ça...

Laura : S'il te plaît ma chérie, pour me faire plaisir. Mets ta jolie robe noire qui est dans ton armoire, tu es tellement belle avec.

Hermione soupira un peu plus fort et regarda sa mère.

Hermione : Maman...

Laura : S'il te plait...

Hermione : Bon d'accord... Attendez-moi ici.

Hermione monta dans sa chambre et redescendit quelques minutes après vêtue d'une robe noire au décolleté carré sombre, simple mais élégante arrivant un peu au dessus des genoux. Elle avait mit des bottes hautes à talons ce qui, à l'avis de Sirius, rendait la robe un peu plus sexy.

Laura : Hermione, tu es très belle, mais tu ne voudrais pas mettre des chaussures un peu plus...élégantes avec ta robe. Tu fais un peu... mauvais genre avec ces bottes.

Hermione : Maman, ces bottes sont géniales et je n'aurais pas mal aux pieds avec...

Laura : Ne fais pas ta difficile, Hermione. Tu pourrais mettre ces jolis talons aiguilles que nous t'avons acheté.

Hermione : Maman, tu sais très bien que j'ai mal aux pieds au bout d'une heure avec.

Laura : Oui, mais ça fera tellement plus beau avec ta robe et puis ça te fait une démarche si élégante.

Hermione abandonna ce combat déjà perdu et remonta dans sa chambre pour changer de chaussures. Elle redescendit en talons aiguilles noirs, très élégants, lui faisant une démarche de femme fatale.

Laura : Bien, tu es parfaite ma chérie. Fais visiter la maison à ton ami et rejoins nous dans le jardin.

Laura sortit en direction du jardin et elle laissa Hermione seule avec Sirius.

Hermione : Mes pieds vont souffrir le martyre...

Sirius lui envoya un sourire amusé.

Sirius : Tu es une sorcière ou pas ?

Hermione lui renvoya son sourire, elle n'avait pas toujours le réflexe magie.

Hermione : Va-y, je ne peux pas lancer de sorts en dehors de Poudlard.

Sirius sortit sa baguette et la pointa sur les pieds d'Hermione en murmurant un sort. Hermione se sentit instantanément comme dans ses chaussons. C'était doux et confortable. Elle fit quelques pas et elle avait l'impression de marcher en chaussons bien moelleux.

Hermione : Tu es un génie, Sirius, je t'adore.

Elle regarda autour d'elle et se pendit à cou, déposant un doux baiser sur les lèvres de son amant.

Sirius : Il faudrait peut-être que je me change, je vais paraître hors contexte avec toi, si bien habillée. Le problème, c'est que je n'ai rien à me mettre.

Hermione lui envoya un sourire amusé. Il semblerait que lui non plus n'ait pas le réflexe magie tout le temps.

Hermione : Tu es un sorcier ou pas ?

Sirius lui renvoya son sourire et transfigura ses vêtements. Il était maintenant habillé avec un pantalon et une veste de costume avec simplement une chemise blanche entrouverte en dessous.

Sirius : Alors ?

Hermione : Très sexy et très élégant.

Elle se rapprocha à nouveau de Sirius et l'embrassa doucement.

Hermione : Allez viens, je vais te faire visiter. Espérons que ça va durer longtemps...

Hermione lui fit visiter toute la maison, de la cuisine, en passant par tous les salons, toutes les chambres d'invités et même les salles de bain. Au bout d'une demi-heure, elle arriva enfin à la dernière et meilleure partie : sa chambre. Elle ouvrit la porte et laissa Sirius entrer.

Hermione : Si tu rigoles...

Sirius : Mais non, elle est très bien ta chambre, très toi...

La chambre d'Hermione était extrêmement grande. Il y avait un lit à baldaquin près d'une grande porte-fenêtre qui menait sur une terrasse privée. Il y avait également un bureau, une armoire et une immense bibliothèque. Sirius continua à regarder la chambre d'Hermione lorsqu'il l'entendit claquer la porte, un regard tentateur au visage. Elle s'approcha de lui, féline et le fit s'asseoir sur le lit. Elle vint le rejoindre et s'assit, collée à lui.

Sirius : Hermione, on peut savoir ce que tu fais...

Hermione : Je profite sans scrupule de mon amant dans ma chambre...

Sirius : Hermione, on est chez tes parents là ! Tu trouves pas ça un peu...bizarre ?

Hermione ne répondit pas et joignit ses lèvres à celle de Sirius en un baiser qui était tout sauf chaste. Elle glissa sa langue dans la bouche de Sirius et le baiser se fit plus passionné. Sirius passa ses mains autour de la taille d'Hermione, la rapprochant plus de lui. Hermione, mutine, prit la main de Sirius et la fit glisser doucement sur sa cuisse. Sirius la regardait, stupéfait, mais un désir apparent dans les yeux. Elle écarta un peu les cuisses et le regardant avec un air de séduction pur, elle continua à faire monter sa main sur sa cuisse arrivant bientôt sur le lycra de sa culotte. Sirius la regarda, sa main maintenant entre ses cuisses et il se pencha vers elle, l'embrassant langoureusement.

Hermione : Caresse moi, Sirius...

Elle lui avait soufflé ces mots à l'oreille, entre deux baisers. Sirius pensa au même moment qu'elle ne devait même pas imaginer ce que ces mots lui faisaient comme effet. Voyant qu'il ne prenait pas l'initiative, elle mit sa main sur la sienne et lui intima un mouvement de friction qui la fit soupirer dès que cela commença. Son soupir fut étouffé par la bouche de Sirius qui se posa sur la sienne à ce moment.

Trop absorbés par ce qu'ils étaient en train de faire, ils n'entendirent pas la mère d'Hermione entrer dans la chambre.

Laura : Hermione !

La mère d'Hermione venait d'entrer dans la chambre de sa fille et elle venait de la découvrir en train d'embrasser passionnément son professeur de Défense machin chose qui avait sa main plantée entre ses jambes.

Hermione et Sirius s'arrêtèrent net dès qu'ils virent ce qui se passait. Hermione vira au rouge cramoisi alors que Sirius retirait sa main d'entre les cuisses d'Hermione.

Hermione : Maman, ce n'est pas du tout ce que tu penses !

Laura : Ah oui ?

La mère d'Hermione n'arrivait plus à penser logiquement, elle venait de voir sa fille qu'elle pensait modèle faire des choses tout sauf modèle avec un homme qui avait au moins deux fois son âge et qui de plus était son professeur.

Hermione se releva et se planta devant sa mère

Hermione : Ecoute, je ne voulais pas que tu l'apprennes comme ça, mais Sirius et moi avons une liaison.

Laura : Une liaison ?

Hermione : Oui, nous sortons ensemble...

Laura : C'est ton professeur Hermione !

Hermione : C'est un ami avant d'être un professeur, maman ! Ça fait bientôt quatre ans que je le connais !

Laura : Et tu sors avec lui depuis tes treize ans ?

Hermione : Non, seulement le début de cette année...

Laura : Hermione, il est beaucoup plus vieux que toi !

Sirius : Je crois que je vais vous laisser discuter toutes les deux...

Laura : Non, vous, vous restez là où vous êtes ! C'est bien vous que j'ai surpris avec une main entre les jambes de ma fille, non ? Alors restez où vous êtes !

Sirius se contenta d'obéir et resta assis sur le lit, contemplant la discussion qu'Hermione était en train d'avoir avec sa mère.

Hermione : Maman, je sais que Sirius a dix-sept ans de plus que moi, mais ce n'est pas si énorme et puis je suis vraiment bien avec lui... Il me rend heureuse...

Laura : Mon dieu, dix-sept ans... Mon bébé...

Hermione : Maman, je ne suis plus ton bébé...

Laura : Hermione, dix-sept ans ! Ce n'est pas rien ! Et vous, vous n'avez pas honte de pervertir une enfant si jeune ?

Sirius : Madame Granger...

Laura : Laura !

Sirius : Laura, je peux vous assurer que je ne sors pas avec Hermione juste pour le plaisir de sortir avec quelqu'un de plus jeune, mais je sors avec elle parce que j'ai des sentiments très forts à son égard. Trop forts pour être ignorés.

Hermione : Et c'est pareil pour moi, maman. Je sais que Sirius tient à moi et qu'il ne me fera pas de mal... Fais-moi confiance.

Laura : Ecoutez, ce n'est pas le lieu pour parler de tout ça. Restez dîner ce soir et nous en parlerons avec ton père. Je vais aller lui annoncer la nouvelle. En attendant, descendez donc, la plupart des invités sont déjà arrivés et la fête va commencer. Profite en pour présenter Sirius officiellement !

Sa mère quitta la chambre et ils entendirent ses pas dans les escaliers de marbre.

Hermione : Je n'arrive pas à croire que ma mère nous a surpris dans cette position, c'est tellement gênant !

Sirius : Moi, j'ai plus peur du dîner de ce soir avec ton père ! Tes parents vont me prendre pour une espèce de pervers.

Hermione : Ne t'inquiète pas, je suis sûre qu'ils comprendront. Il suffit qu'on leur explique.

Sirius : Si tu le dis... Allez, viens, descendons ! Après tout on est là pour la fête de ce bébé.

Hermione hocha la tête et ils sortirent de la chambre.

Ils descendirent les escaliers et se dirigèrent dans le jardin. Quand ils furent arrivés, tous les regards se tournèrent vers eux et ce fut une femme acariâtre aux yeux de Sirius qui vint les voir en premier alors que les conversations reprenaient.

Hermione : Tante Clarisse, bonjour...

Clarisse : Bonjour Hermione !

La Tante Clarisse avait répondu d'une voix sèche et presque méchante, Sirius sut à ce moment qu'il n'allait pas aimer cette femme.

Clarisse : Alors, toujours dans ton internat ?

Hermione : Oui, ma tante.

Clarisse : Les filles comme toi, il faut les tenir...

Sirius se sentait bouillir et allait répondre quelque chose, mais la main d'Hermione sur son bras l'en empêcha. Clarisse ne sembla pas manquer ce petit geste d'affection et un sourire mauvais se dessina sur son visage sillonné par les rides.

Clarisse : Je dois dire que tu as fais un effort aujourd'hui ! Tu fais moins mauvais genre... Au fait, qui est ton...ami ?

Hermione sentit la façon dédaigneuse et hautaine dont elle avait prononcé le dernier mot. Se conformant à la volonté de sa mère et très fière, elle présenta donc Sirius.

Hermione : Tante Clarisse, je vous présente Sirius Black, mon petit-ami.

Clarisse : Ton petit-ami ?

Hermione : Oui, ma tante...

Clarisse détailla Sirius, remarquant sûrement la différence d'âge entre eux deux.

Clarisse : Enchantée, Clarisse De Rénaldi.

Elle tendit sa main sur laquelle Sirius fit un baisemain, très gentleman.

Sirius : Sirius Black, enchanté moi aussi.

Clarisse : Un Black de Londres ?

Sirius : Oui, dans les affaires internationales.

Clarisse : Oui, je connais très bien votre famille, du moins de nom.

Sirius : Ma famille est très connue dans l'aristocratie anglaise, cependant, je m'abstiens de toute forme d'assimilation avec eux.

Clarisse : Vous n'avez pas repris les affaires de votre père ?

Clarisse eut alors un regard réprobateur et recommença à détailler Sirius, cherchant sûrement la faille.

Sirius : Non, c'est exact.

Clarisse : Et je peux savoir quelle profession vous exercez actuellement ?

Sirius : Je suis professeur dans le collège où Hermione est actuellement.

Clarisse n'aurait pas réagi autrement que si on lui avait annoncé que le monstre du Loch Ness existait. Elle perdit toutes ses couleurs et comprit que la relation que Sirius et sa nièce entretenaient était tout sauf respectable dans la haute société dont elle faisait partie.

Clarisse : Professeur ? Dans quelle matière ?

Sirius regarda Hermione un moment avant de répondre, cherchant l'inspiration puis se retourna vers Clarisse.

Sirius : Professeur d'histoire mythologique et légendaire.

Clarisse haussa un de ses sourcils, lui donnant un air crispé dû à ses nombreuses opérations de chirurgie esthétiques.

Clarisse : Et en quoi cela consiste ?

Sirius : Durant mes cours, les élèves étudient la façon dont notre société moderne s'est formée à partir des mythes et légendes de l'ancien temps. Nous faisons la part des choses, essayant de trouver ce qui fait vraiment partie de l'histoire et ce qui fait partie de la légende autour. Car comme chacun le sait, toute légende est formée sur un fait réel.

Clarisse : Et bien, cela semble être une matière bien intéressante. Je suppose qu'Hermione fait partie de votre cours.

Sirius : Oui, bien sûr, c'est même une de mes élèves les plus brillantes.

Sirius, comme pour appuyer ses paroles, prit la main d'Hermione et entrelaça ses doigts avec les siens.

Clarisse : Et ège autorise les relations professeur/élève ? Hermione est toujours mineure à ce que je sache... Je crois que dans la loi, ça s'appelle du détournement...

Sirius : Le collège ne dit rien car il n'est pas au courant. Notre histoire reste secrète jusqu'à la majorité d'Hermione et même si le collège le savait, je ne pense pas que ce soit interdit par le règlement. Quant au fait qu'Hermione soit toujours mineure, je pense qu'elle est assez grande pour prendre ses propres décisions et d'après ce que je sais, elle m'a l'air plus que consentante dans ce que nous faisons.

La tête de Clarisse était mémorable et Hermione fit tout son possible pour réfréner un éclat de rire.

Clarisse se tourna à nouveau vers Hermione, s'intéressant maintenant à sa présence.

Clarisse : Dis-moi ma chérie, sais-tu pourquoi ta mère nous a fait venir cette après-midi ?

Hermione : Oui, mais je pense qu'elle préfère l'annoncer elle-même.

Clarisse s'approcha plus près d'Hermione comme pour lui révéler un secret d'état.

Clarisse : Est-ce que je pourrais te parler en privé, Hermione.

Hermione se tourna vers Sirius et lui murmura des mots à l'oreille et il se dirigea vers la mère d'Hermione.

Hermione : Voilà, qu'avez-vous à me dire ma tante ?

Clarisse : Hermione, te rends-tu compte que cet homme est beaucoup plus âgé que toi ?

Hermione : Nous n'avons que dix-sept ans de différence, ce n'est pas si grand.

Clarisse : Cet homme profite de toi, Hermione ! Qui sait ce qu'il pourrait te faire faire sous son influence! Et puis, par tous les dieux du ciel, Hermione, il est ton professeur ! C'est totalement immoral !

Hermione : Tante Clarisse, Sirius ne profite pas du tout de moi et quand on couche ensemble, je peux t'assurer que j'en fais autant que lui, même plus...je suis très experte avec ma bouche, vois-tu... Et en ce qui concerne ta morale, je n'en ai strictement rien à foutre !

Clarisse ne répondit même pas et jeta un dernier regard meurtrier et choqué à Hermione avant de s'en aller avec les autres invités.

Hermione, elle, alla rejoindre sa mère, pour peu de temps car celle-ci lui demanda de se rendre en cuisine afin de finir la préparation des petits pâtés de crabe qu'elle avait fait. Hermione essaya de prétexter tous les arguments possibles et imaginables, mais rien y fit et elle se dirigea donc vers la cuisine.

Elle avait commencé son travail depuis à peu près un quart d'heure quand elle sentit deux bras se refermer sur son ventre et une bouche embrasser doucement son cou.

Sirius : J'adore te voir les mains à la pâte. C'est très excitant et puis, dans cette robe...humm

Hermione se retourna un sourire aux lèvres et embrassa tendrement Sirius.

Hermione : Encore le vieux fantasme de la femme en tablier...

Sirius eut un sourire rêveur à demi-feint.

Sirius : Non je préfère celui de la fille sexy et intelligente en train de cuisiner des...(Sirius regarda sur le plan de travail et huma l'air)...pâtés au crabe.

Hermione se retourna vers la table et commença à modeler les pâtés pour les faire bien ronds pendant que Sirius commençait à lui caresser les fesses et les cuisses par derrière, la laissant incapable de bien se concentrer sur cette tache plutôt simple.

Elle se retourna et l'embrassa à pleine bouche, nouant ses mains dans son cou, faisant attention à ne pas le tacher. Le baiser se fit plus passionné et les mains de Sirius commençaient à se balader beaucoup plus intimement.

Sirius : Qu'est ce que tu dirais si je te faisais l'amour là, sur la table de la cuisine ?

Sirius lui envoya un sourire alors qu'Hermione commençait à suçoter un morceau de la peau tendre de son cou. Sirius la plaqua contre le plan de travail et il commençait à remonter doucement sa robe sur ses cuisses lorsque la mère d'Hermione arriva dans la cuisine. Elle toussota pour se faire remarquer et Hermione se retourna pour la voir, virant au pivoine.

Laura : Hermione chérie, que fais-tu ? Ton père et moi t'attendont pour annoncer la nouvelle à nos invités. Alors si tu n'es pas trop occupée...

Hermione se retira de l'embrasse de Sirius, un peu honteuse et se mordillant la lèvre inférieure, elle suivit sa mère dans le jardin, Sirius sur ses talons.

Les parents d'Hermione annoncèrent la bonne nouvelle à tous leurs invités qui s'exclamèrent de joie et félicitèrent les futurs parents. La mère d'Hermione en profita également pour présenter Sirius comme étant le petit-ami officiel d'Hermione, qui ne pensait pas sa mère capable de la gêner autant. Le regard que le père d'Hermione porta sur Sirius au moment où sa femme faisait cette deuxième annonce ne laissait pas de place au doute : celle-ci lui avait tout raconté, sûrement dans tous les détails, n'omettant pas le fait que Sirius avait sa main placée dans un endroit plutôt intime, signifiant d'ailleurs par la même occasion qu'Hermione et lui ne se contentait pas que de simples et chastes baisers.

Le reste de l'après-midi se passa plutôt bien et la plupart de la famille et des amis de la famille Granger furent conquis par Sirius qui s'était montré comme la personne intelligente, sensible et mature qu'il était. Les derniers invités s'en allaient lorsque la mère d'Hermione leur rappela qu'elle les avait invités à dîner pour parler de ce qui s'était passé plus tôt dans la chambre d'Hermione.

Ils s'installèrent tous à table, Sirius à côté d'Hermione bien évidemment. La mère d'Hermione apparut avec un plat qu'elle disposa sur la table pourtant personne n'y toucha. L'ambiance était à trancher au couteau. Hermione décida de se lancer la première, quitte à provoquer une dispute.

Hermione : Ecoute maman, pour ce que tu as vu dans la chambre, je te jure que...

Laura : Arrête, n'en dis pas plus ! Je ne veux pas savoir ! Ta vie...sexuelle, aussi dur qu'il soit pour moi de l'admettre, ne me regarde pas et tu n'as pas de comptes à me rendre sur ce que tu fais et avec qui tu le fais.

Hermione : Maman...Je te promets que l'on a rien fait...vraiment...je te jure que c'est la vérité.

La mère d'Hermione leva la tête de son assiette et regarda sa fille qui avait tant grandi.

Laura : Ça suffit Hermione ! Je ne tolérerais pas que tu me mente ! J'accueille un de tes amis à la maison dont tu m'assures qu'il n'est qu'un ami et entre parenthèses ton professeur par la même occasion et quelques minutes après, je te retrouve dans ta chambre avec lui, une main sous ta robe. Hermione, est-ce que tu te rends compte de ce que tu fais au moins ? Le sexe, ce n'est pas rien ! Ce n'est pas le sexe pour le sexe, c'est bien plus et j'espère que tu t'en rends compte ! Je ne veux pas que tu regrettes ce que tu as fait. Hermione, chérie, Sirius est plus âgé que toi ! Il a de l'expérience avec les femmes, il connaît des choses que tu ne peux même pas encore imaginer ! Ne t'attends pas à ce qu'il attende de toi simplement des bisous et des petites caresses...

Michael : Hermione, ta mère a raison. Bon sang, vous pourriez être son père !

Sirius : Mr et Mme Granger, je suis vraiment désolé que vous ayez appris notre liaison d'une façon aussi brutale, mais Hermione et moi avons pensé que c'était la meilleure solution avant de l'annoncer officiellement. Nous ne pouvons pas nous permettre dans les conditions actuelles de nous montrer au grand jour...

Michael : Et c'est ça que vous avez à offrir à ma fille ? Une liaison secrète comme si vous aviez honte d'elle ?

Hermione : Papa, ce n'est pas ça. Pas du tout. Sirius et moi... on ressent des choses très fortes l'un envers l'autre et ça ne se contrôle pas. Dieu sait combien j'ai essayé, mais...enfin...je...je suis amoureuse de lui et je ne peux pas...enfin...je ne peux pas me passer de lui. Je sais que c'est idiot mais c'est la seule façon que j'ai trouvé pour vous l'expliquer.

Sirius : Je comprends parfaitement que ce n'est pas facile pour vous, mais je ne profite pas de la jeunesse de votre fille pour l'influencer de quelques manières que ce soit. Malgré ce que vous pouvez croire, je ne veux pas la brusquer. Je ne ferais pas des choses qu'elle n'a pas envie de faire.

Les parents d'Hermione se regardèrent quelques instants, ne sachant plus quoi penser et quoi dire.

Laura : Hermione, dis-moi la vérité...est-ce que vous...enfin...est-ce que vous avez déjà eu des relations sexuelles...ensemble je veux dire.

Hermione baissa la tête et rougit violemment. Ce n'était pas dans ses habitudes de parler de ses relations avec ses parents, surtout sur ce genre de sujet, mais là... elle n'avait pas le choix, il fallait le leur dire, pour qu'ils se rassurent, pour qu'ils comprennent que Sirius était quelqu'un de bien.

Hermione : Je...nous...

Hermione prit une grande inspiration et prit la main de Sirius, entrelaçant leurs doigts en un geste tendre que les parents d'Hermione ne manquèrent pas de remarquer.

Hermione : Nous n'avons pas encore fait l'amour ensemble. Je...on préfére attendre un peu.

Laura : Hermione...

Hermione : Ecoute maman, j'ai 17 ans ! Il faut bien que vous vous habituiez au fait que je puisse entretenir des relations sexuelles avec un homme. Peut-être pas tout de suite, mais bientôt et ce sera avec Sirius.

Laura : Hermione, la vraie question n'était pas vraiment si vous aviez déjà couché ensemble ou pas, mais plutôt jusqu'où vous êtes déjà allés.

Le père d'Hermione se leva et sortit de la pièce murmurant qu'il ne voulait pas en entendre plus. Une fois, son père sortit, Hermione répondit à sa mère.

Hermione : Je ne pense pas que ça te regarde, maman. C'est ma vie privée et c'est très personnel.

Laura : Je sais, mais comprends moi ! Tu es dans un collège éloigné de tout : d'autorité parentale, de règlement et tu es seule là-bas. Alors mets-toi à ma place ! Qu'est ce que tu crois que j'imagine! C'est simple ! Toi en train de te glisser dans la chambre de ton professeur la nuit, pour faire des choses que je n'oserais même pas nommer si c'est ma fille qui les fait...

Hermione se résigna et se mit à la place de sa mère, c'est vrai qu'elle devait être folle d'inquiétude de la savoir en train d'entretenir une relation avec un homme plus âgé, qui plus est son professeur, sans que personne ne puisse rien contrôler.

Hermione : Ecoute, tu dois bien te douter que Sirius et moi ne faisons pas que nous embrasser... Il est évident que nous avons poussé les choses un peu plus loin, mais pas jusque là.

Laura : Bon, écoute, je ne peux pas dire que ça m'enchante, mais vous avez l'air d'un homme sérieux et je fais confiance au jugement de ma fille, mais il faut me laisser un peu de temps pour m'habituer à l'idée que mon bébé grandit...

Hermione : Maman...

Laura : Allez, rentrez bien vous deux.

Hermione : Merci maman.

Après l'avoir encore remerciée, Sirius et Hermione transplanèrent aux portes de Poudlard. Il était 20h passée et Sirius voulut raccompagner Hermione à son dortoir, mais celle-ci refusa et ils se dirigèrent vers les appartements de celui-ci.

Ils entrèrent dans le salon et Hermione enleva ses chaussures avant d'aller s'affaler sur le canapé, épuisée par cette journée. Sirius se déshabilla et resta simplement en jean avant d'aller rejoindre Hermione sur le canapé, où il s'allongea sur elle l'embrassant doucement. Elle noua ses bras autour de son cou et approfondit leur baiser. Sirius se retira du baiser et s'allongea tant bien que mal à côté d'elle, l'enlaçant tendrement.

Sirius : Dure journée...

Hermione : Tu ne peux pas savoir à quel point... Mes parents apprennent que je sors avec un homme qui a 17 ans de plus que moi et en plus ils savent qu'on ne joue pas au Scrabble quand on se voit le soir...

Sirius : Au Scrabble ?

Hermione : Un jeu moldu.

Sirius : Ah... Ecoute, je sais que c'est difficile pour eux, mais ils vont finir par l'accepter, non ?

Hermione : Oui, bien sûr, mais en attendant ça me fait bizarre ! Ma mère risque de s'imaginer des choses cent fois pire que ce que l'on fait, du genre sado-masochisme avec les chaines, les fouets, les menottes, les laisses en cuir et tout le tralala !

Sirius lui adressa un sourire amusé.

Sirius : Tu sembles bien renseignée sur le sado-masochisme, dis-moi...

Hermione lui renvoya son sourire et se mit à califourchon sur lui.

Hermione : J'ai beaucoup lu sur le sujet, figure toi ! C'est incroyable le nombre de livres de ce genre qu'il y a à la bibliothèque !

Sirius allait répondre quelque chose, mais Hermione l'en empêcha par un baiser. Il descendit vers son oreille en une foule de petits baisers avant de lui parler dans un souffle rauque et presque cassé.

Sirius : J'adore les dominatrices...

Hermione lui sourit avant de l'embarquer dans un autre baiser. Quelques minutes après, sans même qu'elle s'en rende compte, il lui avait enlevé sa robe et son soutien-gorge. Sirius la fit passer en dessous de lui et prit le temps de caresser sa poitrine, la mémorisant de ses mains.

Sirius : Tu es tellement parfaite Hermione...

Hermione ne répondit rien, ne croyant pas que ce que disait Sirius puisse être vrai.

Sirius : Ta poitrine me rend fou, tu sais.

Hermione lui envoya un sourire amusé et se mit à califourchon sur lui, une sensation bizarre au fond d'elle. Elle le regarda quelques instants et soudain elle comprit. La brume et les questions se dissipèrent dans son esprit et à ce moment, comme dans un flash, Hermione comprit qu'elle était amoureuse de Sirius. Follement et désespérément amoureuse de lui. Un peu prématuré au bout d'un mois, mais pourtant bien présent : l'amour. Hermione se pencha et posa un tendre baiser sur les lèvres de Sirius.

Hermione : Je t'aime Sirius

Elle avait dit cela comme si c'était la chose la plus évidente au monde, mais avec en même temps tant d'émotions dans la voix que personne n'aurait pu s'y méprendre. Sirius allait répondre quelque chose, mais Hermione l'en empêcha, posant un doigt sur ses lèvres.

Hermione : Ne réponds rien... Je veux juste que tu le sache. Je sais que c'est idiot et d'un romantique totalement mièvreux, mais voilà... Alors, maintenant, laisse-moi faire... Laisse moi te montrer.

Sirius allait encore une fois répondre quelque chose, mais Hermione l'embrassa pour le faire taire. Elle l'embrassa longuement sur la bouche avant de descendre vers son torse qu'elle couvrit de multitude de baisers. En le regardant droit dans les yeux, Hermione commença à déboucler la ceinture de son jean, ainsi que la braguette avant de le lui enlever totalement. Elle lui donna un autre baiser passionné et fit descendre son boxer qui révéla combien Hermione l'excitait. Elle fit descendre sa bouche de plus en plus bas et posa sa bouche sur le sexe de Sirius, qui poussa un gémissement dès qu'il sentit son sexe s'engouffrer dans la caverne chaude et humide de sa bouche. Hermione commença alors des mouvements de va-et-vient avec sa langue et sa bouche, s'abandonnant totalement dans cet acte de pur abandon, de don de soi.

Alors qu'Hermione amenait Sirius aux portes d'un plaisir sans nom, donnant une nouvelle dimension à leur relation, Ginny, elle, se faufilait, dans la chambre de son amante...

Ginny ouvrit la porte de l'appartement de Tonks et une fois le salon passé, elle se glissa dans la chambre de celle-ci. Elle vit que Tonks était allongée sur son lit, en nuisette, en train de lire un livre, un roman d'amour à première vue.

Ginny : Intéressant ton roman ?

Tonks leva la tête, surprise, et regarda Ginny, stupéfaite.

Tonks : Ginny, mais qu'est ce que tu fais là ? Le couvre feu est dépassé depuis longtemps.

Ginny : Je sais, mais j'avais envie de voir ma magnifique petite amie...

Un sourire malicieux se dessina sur le visage de Tonks.

Tonks : Seulement envie de me voir ?

Ginny monta sur le lit et se retrouva bientôt à côté d'elle.

Ginny : Pas seulement cette envie, mais je me disais qu'il fallait bien commencer par quelque chose...

Tonks eut un sourire amusé et approcha le visage de Ginny du sien et l'embrassa doucement.

Ginny : Tu sais, je suis contente que l'on ait discuté cette après-midi. Je pense qu'on en avait besoin toutes les deux, histoire de mettre les choses au point.

Tonks se contenta d'hocher la tête, trop occupée à essayer de voler un nouveau baiser à Ginny. Leurs langues se rencontrèrent et se caressèrent pendant un voluptueux instant avant que toutes deux à bout de souffle, ne s'éloignent.

Ginny : Alors, tu ne m'as pas répondu, intéressant ton bouquin ?

Tonks dissimula le roman en question sous son oreiller, en un geste maladroit.

Tonks : Non, enfin il n'est pas très intéressant...

Ginny sentit la baleine sous gravier comme disait Sirius et décida de trouver ses réponses par elle-même.

Ginny : Tu semblais pourtant bien plongée dedans quand je suis entrée. Tellement que tu ne m'as même pas entendue... Toi une Auror !

Ginny lui envoya un sourire auquel Tonks répondit en baissant un peu la tête.

Ginny : J'aimerais bien savoir ce qui fascine à ce point ma petite amie !

Tonks : Rien, rien...

Mais Tonks n'eut pas le temps d'ajouter quoi que soit car Ginny avait sorti le livre de sous l'oreiller. Elle lu le titre et laissa échapper un gloussement.

Ginny : Une Nuit Dans Un Internat Pour Jeunes Filles Non Disciplinées

Tonks ne répondit rien et piqua un fard. Ginny, quant à elle, examina le livre qui semblait avoir été lu et relu des dizaines et des dizaines de fois. Elle ouvrit la page où le livre avait été corné et lut à haute voix.

Ginny : ...Sarah, dans sa glorieuse nudité, se mit à califourchon sur Caroline, son amante de toutes ses soirées torrides dans le petit internat Sainte Cécile, et lui enleva le dernier bout de tissu qui séparait leurs deux corps avides de désir. Sarah chevaucha Caroline et celle-ci pû sentir son humide intimité presser contre son ventre. Sarah commença un mouvement de va-et-vient sur le corps de sa partenaire, se frottant érotiquement sur elle. Sarah, consciente des réactions qu'elle provoquait chez Caroline pressa plus fortement son intimité contre celle de Caroline ce qui les fit gémir fortement toutes deux. Sarah imposa à nouveau un mouvement de haut en bas sur le corps de sa brûlante amante, laissant des traces humides, preuve de son excitation, le long des cuisses et sur le ventre de sa jeune amie...

Tonks baissa la tête de gêne alors qu'un sourire plus qu'amusé se dessinait sur le visage de Ginny.

Ginny : Tonks, petite coquine va ! Ce ne sont pas des romans très appropriés pour une assistante de professeur.

Tonks : Tu sais Ginny, c'est juste un bouquin...

Ginny se rapprocha de Tonks et se positionna au-dessus d'elle.

Ginny : Un bouquin très érotique ma chère Nymphadora ! Dis-moi, tu ne veux pas...mettre à profit tes lectures nocturnes ?

Tonks regarda Ginny, un peu surprise, mais terriblement excitée en même temps.

Ginny approcha son visage de celui de Tonks et l'embrassa avec fièvre. Elle releva sa tête et enleva son débardeur de nuit, laissant apparaître son opulente poitrine, dépourvue de tout sous-vêtements. Tonks avança sa main vers le corps de Ginny et passa sa main sur ses seins, la faisant soupirer. Tonks caressa les seins de Ginny pendant un bon moment, l'effleurant, la titillant, y dessinant des dessins imaginaires. Tonks releva la tête et prit un des mamelons de Ginny dans sa bouche et le suçota délicatement, sous les gémissements de plus en plus soutenus de Ginny. Tonks noua alors ses mains dans le dos de Ginny et la plaqua contre elle, goûtant ses lèvres avec ferveur.

Tonks débarrassa Ginny de son bas de pyjama alors qu'elle était en train de lui enlever sa nuisette. Ginny pu alors admirer le corps bien fait de Tonks. Tonks avait une poitrine magnifique, moins généreuse que celle de Ginny, mais très bien formée et surtout très appétissante pour Ginny qui se mit à la dévorer avec passion. Sous les gémissements prononcés de Tonks, Ginny glissa sa main jusqu'à l'élastique de sa culotte et tout en embrassant sa poitrine, passa sa main à l'intérieur. Elle se mit à caresser l'intimité de Tonks en de lents et langoureux mouvements qui la firent gémir de plaisir.

Trouvant la force, dieu sait où, Tonks enleva prestement la petite culotte de Ginny alors que celle-ci était en train de la faire monter au septième ciel avec ses doigts. Ginny débarrassa alors Tonks de sa culotte, la faisant glisser le long de ses cuisses, embrassant chaque morceau de peau qu'elle atteignait.

Une fois le dernier bout de tissu enlevé, Ginny remonta vers la bouche de Tonks où elle l'embrassa avec passion. Tonks, en dessous, activa un mouvement de friction entre leurs deux corps, mettant encore plus le feu à leurs sens. Ginny comprit la demande fiévreuse de Tonks à l'ondulation sensuelle de son corps. Elle fit descendre sa tête en une lente torture, la couvrant d'humides baisers le long de son corps. Tonks se sentait chavirer sous les effleurements quasi-sadiques de Ginny, puis elle sentit le souffle chaud de la bouche de Ginny contre sa zone la plus érogène. Tonks sans même s'en rendre compte, écarta un peu les cuisses et la tête de Ginny s'y engouffra et commença à suçoter son clitoris.

Ginny mordilla, lécha et aspira le petit bouton de chair pendant quelques moments, sentant le corps de Tonks se contracter de mini-spasmes de plaisir. Ginny descendit un peu plus sa langue, caressant l'intérieur de l'intimité de sa partenaire avec, dans un frisson de plaisir.

Avant que Tonks n'atteignent les portes du paradis, Ginny s'arrêta, un petit air sadique sur le visage et remonta vers la bouche de son amante pour l'embrasser tendrement.

Tonks, prise d'une envie de vengeance, saisis les fesses de Ginny et ramena ses jambes vers la tête. Ayant à peine le temps de dire ouf, Ginny se retrouva avec la tête proche de l'intimité de Tonks alors que celle-ci lui écartait doucement les cuisses. Tonks caressa Ginny de ses doigts pendant quelques secondes avant de sentir qu'elle fut prête et commença une caresse buccale, les cuisses de Ginny écartée autour de sa tête. Ginny sentit sa respiration se saccader sentant la langue et les lèvres de Tonks s'agiter dans son endroit le plus intime. Ginny n'avait pas ressenti un tel plaisir depuis longtemps, celui qu'elle se procurait elle-même n'avait strictement rien à voir avec celui que Tonks lui donnait... Tonks était vraiment une amante parfaite...

Ginny poussa un gémissement de pur plaisir et avisant la position dans laquelle elles étaient, décida d'en faire profiter Tonks. Après tout, cette position servait bien à cela...non ?

Ginny sentit Tonks manquer un " battement " sous la nouvelle sensation de plaisir qu'elle lui donnait. Ginny et Tonks se caressèrent mutuellement de leurs langues pendant encore quelques secondes qui parurent des heures et dans un dernier râle de jouissance, atteignirent le plaisir parfait et absolu de la bouche de l'autre.

Ginny se remit en position normale et, haletante, elle laissa reposer sa tête sur la poitrine de Tonks, qui affichait un sourire béat sur son visage. Ginny releva un peu sa tête et joignit leurs lèvres et leurs langues dans un long baiser aux multiples saveurs. Ginny traça de petits dessins sur la poitrine encore palpitante de Tonks alors que celle-ci lui caressait agréablement le dos... La plénitude après l'amour...

Tonks : Tu sais, Ginny, il paraît que les effets d'un orgasme durent 48h...

Tonks ne savait pas pourquoi elle avait dit cela, mais sur le moment, il lui avait semblé important de le faire savoir à Ginny. Ginny lui envoya un sourire et l'embrassa doucement.

Ginny : Avec moi, tu n'auras même pas besoin d'attendre 48h...

Tonks lui répondit d'un sourire mutin avant de l'embrasser une dernière fois avant que le sommeil ne les emporte dans ses bras bienfaiteurs.

De l'autre côté du château, un autre couple aussi venait de s'endormir, fatigués de leurs ébats...

À suivre...

Note de l'auteur : Hello chères lectrices et MON lecteur ! lol ! Alors d'abord, je vais mettre fin aux rumeurs : non, l'avion retour ne s'est pas écrasé ! lol ! Mais il a fallu que j'écrive deux chapitres d'un coup pour en avoir toujours deux d'avance, donc ça m'a prit un peu de tps !

Voici donc le chapitre d'après vacances à Ibiza, qui se sont très bien passées si ça vous intéresse. Alors, qu'en avez-vous pensé ? J'ai mis du temps à écrire ce chapitre car je ne savais pas s'il fallait inclure ou non la scène érotique entre Ginny et Tonks... Si ça choque certains et bien tanpis pour eux ! lol ! J'ai décidé de faire graviter mon histoire et le peu d'intrigue que j'ai autour de deux couples, dont un homosexuel qui d'après certains mails (remarquez qu'ils n'osent pas le mettre en review...) est trop choquant et pas assez politiquement correct... Alors, je réponds à ces gens : Allez vous faire foutre, dans tous les sens du terme ! Ça vous décoincera un peu ! On est en 2004, bordel ! Si vous ne pouvez pas accepter les relations entre un même sexe...Tanpis pour vous ! C'est pas moi que ça gêne (Ma nymphette, à bon entendeur !), bien au contraire !

Donc, après mon petit coup de gueule, j'espère que ma scène vous a plu... En tout cas, moi j'ai bcp aimé l'écrire ! Je vous en réserve d'autres, vous allez voir...

Ensuite, merci, merci pour toutes vos reviews ! Quand je suis revenue chez moi, c'est la première chose que j'ai été faire : voir mes mails, enfin après avoir été aux toilettes ! lol ! Deux heures de vol, ça pardonne pas... lol ! Bref, elles m'ont fait toutes très très plaisir (à part les mails homophobes bien sûr !) et je n'arrive pas à y croire : non seulement, j'ai dépassé les 200 reviews, mais en plus, je suis presque à 300... Mon bonheur est fait ! Je mourrais heureuse !

Bon, alors maintenant, réponses aux reviews des chapitres 9 et 10 (Ps : encore désolée de ne pas avoir répondu à celle du 8...) :

JohannaMalfoy : Quand vont-ils passer à l'acte ? Une question à laquelle moi-même n'est tjs pas de réponses ! LoL ! Tu sauraus bientôt ça ! Merci d'avoir reviewer.

Gabrielletrompelamort : Merci, merci beaucoup pour tout ces compliments ! Si ça s'intéresses, mes vacances à Ibiza se sont très bien passées ! LoL !

US.Hermy : La suite la voilà ! J'espère qu'elle t'a plue !

Luwelin : Merci pour tes compliments qui me vont droit au cœur ! J'espère que cette suite t'a plus tout autant !

Tiayel : Severus casé ? Peut-être… regard innocent de l'auteur … LoL !

Amy Ev ans : La relation Ginny/Tonks se développe un peu plus dans ce chapitre ! LoL ! C'est le moins qu'on puisse dire ! J'espère que ça t'a plu !

Mary : Charmant prénom que tu as là ! LoL ! Qu'as-tu pensé de la réaction des parents d'Hermione ? Perso, je pense qu'ils sont plutôt cool ! J'aurais fait ça à mes parents, ils seraient déjà morts d'une crise cardiaque ! LoL !

Morrigane : Volcanique ? LoL ! Et dire que je trouvais le chapitre 10 pas trop osé…LoL ! Que penses-tu de celui-là ? Un adjectif plus fort que volcanique peut-être ? Mdr !

Harana : La suite est là ! Qu'en as-tu pensé ? Merci pour la review !

Inconnue-romantique : Merci pour toutes ces paroles gentilles ! J'espère que tu as aimé ce chapitre !

Magaliocha : Merci bcp pour la review ! J'adore avoir des lectrices fidèles ! LoL ! Mais ça c'est p'têtre mon côté narcissique ! Mdr !

Flora : Encore une fan de Tonks/Ginny ! Dis donc, je me félicite vraiment d'avoir trouvé l'idée de ce couple ! LoL ! Il plait bcp d'après ce que je vois !

WendyMalfoy : Une amatrice de lemon a ce que je lis ! LoL ! J'espère que tu as aimé ce chapitre ! LoL !

Diane13 : La suite est là, j'espère qu'elle t'a plue !

Kamy : Tonks/Ginny se développe petit à petit, j'espère que tu as aimé ma scène ! En tout cas, 'jai adoré l'écrire ! LoL !

Darkside91 : Mon unique lecteur masculin adoré ! LoL ! Tu ne t'attendais pas à ça dans les 9 et 10èmes chapitres ? Et oui, je suis une jeune fille pleine de ressources ! LoL ! J'espère que ce chapitre t'a plu !

My Little Angel : La seule, l'unique ! Ma chérie adorée suprême ! LoL ! Bon, toi ce chapitre tu l'as lu y'a déjà pas mal de tps et tu vas commencer celui du chapitre 13 ! LoL ! J'espère qu'il va te plaire ! A part le fait de te dire que je t'adore, que je t'aime (ce que tu sais déjà !), un seul mot : Chad ! Tu me comprends…LoL ! Oh My God, trop sexy ! LoL ! Médite sur ça ! LoL ! Gros bisous ma pucette !

Kloona : Concernant la mère d'Hermione, 42 ans c'est pas si vieux pour avoir un enfant ! Madonna l'a bien fait ! Mdr ! Et puis, je l'ai fait d'un style un peu jeune quand même donc je pense que ça cadre ! LoL ! Bref, j'espère que tu as aimé ce que j'en ai fait !

LiZz666 : Me lancer dans le métier ? Une perspective que j'envisage déjà mais sur laquelle je ne me fais pas trop d'illusion ! LoL ! En tout cas, merci pour la review et j'espère que ce chapitre t'a plu !

Blade : Pour répondre à ta question que tout le monde se pose, la réponse est par souci de réalisme ! Ils ne sortent ensemble que depuis un mois et il ne faut pas oublier que Hermione est vierge alors… Déjà que je trouve que ça avance un peu vite ! Mdr ! Mais ça va venir et je te promet une scène qui va rester dans les annales ! LoL ! N'ayons pas l'esprit mal placé ! LoL !

Coralie McLunday : Ibiza me donner des idées ? Pas trop ! LoL ! A part sur les mœurs de cette île plutôt originale ! Mdr ! J'espère que ce chapitre t'a plu !

Pascale1980 : Sirius ? Un playboy de Malibu ? LoL ! On me l'avait pas sortie celle là ! Mdr ! Heu…je suis pas trop de ton avis mais bon…LoL ! J'espère que tu as apprécier mon chapitre et merci pour tout ces compliments tout gentils !

Merawen : Ah une longue review comme je les aime ! Qui dit longue review, dit longue réponse (vieux proverbe français ! LoL !) donc attention les yeux ! Et oui, finalement les parents d'Hermione ont " découvert " qu'ils étaient ensemble ! La suggestion de scénario était pas mal ! LoL ! J'y ai songé, mais je me suis dit qu'un peu de sérieux serait un peu mieux ! LoL ! Après tout, maman Granger a qd même surpris sa fille chérie une main entre les cuisses ! Lol ! J'espère que tu as aimé ce chapitre !

Kritari : La suite est là, j'espère qu'elle t'a plue !

Cyrca : Merci pour la review ! J'espère que ce chapitre t'a plu !

Diabella : Non, nan ! Je suis tjs vivante ! Seulement très en retard, comme à mon habitude ! J'espère que ce chapitre t'a plu !

Vaaliyah : Merci pour les compliments ! J'adore quand mes scènes de sexe sont appréciées ! LoL ! J'espère que ce chapitre t'a plu !

Cécile Rogue : Sirius mort ? Jamais ! Ce n'est qu'une illusion collective que nous avons lu dans le cinquième tome ! Sirius n'est pas mort ! Que personne ne le répète en ma présence ! LoL !

Dénégation de la fan folle furieuse ! J'espère que ce chapitre t'a plu !

Manteia : Et non j'ai pas abandonné ! LoL ! Se détester pour s'aimer non plus ! Ça vient ! La patience est une des premières vertues ! Mdr !

Flammifer : La suite est là ! J'espère qu'elle t'a plue !

Hermignonne1133 : Le chapitre est enfin là ! J'espère qu'il t'as plu !

Aurel22 : La suite est là ! J'espère qu'elle t'a plus !

Vengeresse : La suite est enfin là ! J'espère qu'elle t'a plue car ne dit-on pas que l'attente accroît la plaisir ! LoL ! Proverbe totalement con je te l'accorde quand c'est toi qui attends, mais bon, je suis sadique ! LoL !

Lily Nido : Merci pour la review ! La suite est là, j'espère qu'elle t'a plue !

Les Maraudeuses : Tu voulais savoir ! Tu as su ! Alors tu as trouvé comment ? Au fait, je mets au pluriel ou pas ? Zêtes plusieurs ? ! LoL !

Ethel : Et non ! L'avion ne s'est pas écrasé pour le plus grand malheur de certains ! LoL ! La suite et là ! J'espère qu'elle t'a plue !

Farytale : Ithilwyn vient de Ithil (Lune) et Wyn (scintillante en ancien elfique) ! Vala pour la signification un peu idiote de mon pseudo ! LoL ! Frustrée ? C'est normal, c'est le but recherché ! LoL ! Du vécu ? Moiiiiii jaaaaaamais ! Mdr ! Je suis toute innocente, tout le monde le sait…Mdr ! Non, j'avoue, c'est un peu de vécu…un peu bcp…d'accord j'avoue…LoL ! Une lectrice qui me dit de prendre mon temps, toi, je t'adore ! LoL ! J'espère que ce chapitre t'a plu !

Eowyn10 : Houuuuu, j'ai rejoins le club ! Coooooool ! Fait la danse de la victoire ! Je suis très contente que ça te plaise ! En ce concerne le caractère d'Hermione, je trouve pas qu'il est si différent ! LoL ! Mais comme c'est moi qui écrit, je me rends peut-être pas compte ! En fait, je ne voulais pas la faire nunuche alors j'ai peut-être un peu trop forcé ! LoL ! En tout cas, j'espère que ce chapitre t'a plu tout autant.

Khalan : Merci pour la review ! La suite est là, j'espère qu'elle t'a plue !

Aurelia : La suite est là ! J'espère qu'elle t'a plu !

La Demoiselle qui a un smiley pour pseudo ( J ) : La suite est là, j'espère qu'elle t'a plue et surtout que tu es bien une demoiselle ! Si non, je m'excuse ! LoL !

Jadou : Tu as lu trois fois ma fic ? Même moi j'y arrive pas sans m'endormir ! Mdr ! Hermione est plus que prête, mais j'aime bien le plaisir sadique que je prend à faire attendre désespérément mes lecteurs ! LoL ! J'espère que la suite t'a plue !

Catheli : La suite est là ! J'espère qu'elle t'a plue !

Sammy297 : La suite est là ! J'espère qu'elle t'a plue !

SunCet : La suite est là ! J'espère que la rencontre chez papa maman Granger t'a plue !