Salut à tous ! Et non, je ne suis pas morte...je suis vraiment désolée pour le retard, et en plus, je n'ai pas d'excuses..._
Donc voilà le chapitre où les choses sérieuses commencent... Il est assez long, mais je le trouve médiocrement médiocre niveau trad'...M'enfin, vous verrez bien ! ^^ je m'excuse d'avance pour les trois mots que je n'ai pas réussi à traduire..;(deux sont des nom d'ingrédient, quant au dernier, pas trouvé dans le dico...)
Alors, le menu : une dispute, une retenue et ses conséquences, THE révélation...^^
Bon, sur ce, bonne lecture ! ^^
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Harry tomba doucement sur une petite chaise et sortit son manuel de potions, pensant qu'il ferait aussi bien de réviser voyant que Snape lui ferait inévitablement faire quelque chose du genre nettoyer à fond les chaudrons acides ce soir. Il ferait aussi bien d'être prêt.
Avant qu'il ne s'en rende compte, la cloche avait sonné et les Gryffondors se traînèrent à l'intérieur; Seamus regarda Harry :
"Tu vas bien, Harry ? Pas de chance pour les points. Snape était mal luné aujourd'hui."
Dean acquiesça. "Tu aurais dû l'entendre hurler sur Neville" dit-il doucement. " Il a mentionné ses parents, en disant qu'ils devaient avoir honte. Neville en était tout retourné. Sais-tu qu'est ce qu'il leur est arrivé ?"
Harry hocha tristement la tête. "Dumbledore m'a dit l'année dernière de ne le raconter à personne. Je l'ai découvert par accident."
Il y eut un silence pendant quelques temps avant que Seamus demande d'une voix voilée : "Envie d'une partie d'échec, Harry ?"
"Non merci, Seamus, pour l'instant je lis."
"Potions !" s'exclame Ron, qui s'était faufilé derrière Harry.
Harry sourit catégoriquement. "Je pensais que Snape me donnerait quelque chose de mauvais à faire ce..."
Il s'interrompit alors que Ron avait saisi son bras. "Moi et Hermione voulons te parler en privé."
"Hermione et moi" corrigea l'intelligente sorcière, faisant sourire sincèrement Harry. Cependant Ron sembla vraiment ennuyé.
" Bon alors, tu viens ou pas ?"
Sans un mot, Harry posa le livre et suivit Ron et Hermione dehors dans le couloir.
"Où as-tu appris cette magie ?" demanda Ron brusquement.
Le visage d'Harry se fronça de contrariété. Il n'aimait pas le ton accusateur de Ron.
"Je ne sais pas" répondit-il carrément.
Ron rougit de colère.
"Ne penses-tu pas que tu as été un peu déloyal envers nous ? Sans nous écrire de tout l'été, sans retourner au train, sans rien nous dire ? Nous étions malades d'inquiétude, Harry, malades d'inquiétude et tu ne t'es même pas inquiété de nous dire ce qu'il s'était passé. Et maintenant, tu reviens avec toute cette magie, et tu ne nous expliques pas ça non plus. Notre amitié ne compte pas plus que ça ?
Harry était furieux.
"Et qu'est ce que ceci est-il censé signifier exactement ?"
"Ça veut dire exactement ça. Si tu n'es pas là pour nous, alors nous ne serons pas là pour toi. Je parie que tu n'as aucune idée que tu as oublié l'anniversaire de 'Mione, ou celui de Ginny, n'est-ce pas ?"
Harry rougit, répondant à la question de Ron en silence.
"Tu es injuste, Ron. Hermione..." il la regarda mais elle détourna les yeux.
"Hermione !"
"Ron a raison, Harry. Nous avons besoin d'explications, et des bonnes. Sinon, je ne vois pas comment nous pouvons encore être amis. Nous avons été là pour toi dans toutes les circonstances, et tu es absent chaque fois que nous avons besoin de toi. Les amis sont toujours là pour chacun d'entre eux."
Il y eut un silence alors que Harry regardait ses amis avec horreur. Le visage de Ron était sans expression, celui d'Hermione triste, lorsqu'ils réalisèrent qu'il n'avait pas d'excuse, rien à dire.
Sans un mot, Ron tourna les talons et rentra dans la Salle Commune, Hermione derrière lui.
Aucun d'entre eux n'eut un regard en arrière.
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Harry continua à fixer le mur plusieurs minutes, avant d'entrer et de monter. Ron et Hermione étaient assis dans le coin, l'ignorant, ou ne le remarquant pas. Qu'est-ce qui importait le plus ?
Dean allait descendre, et regarda Harry avec sympathie.
"J'ai entendu ce qui était arrivé à toi et Ron et 'Mione. Je suis désolé Harry."
Harry haussa les épaules.
"C'est bon. J'allais simplement dormir... ne me réveillez pas ! "
Dean sourit et acquiesça, en continuant de descendre les étages, et Harry laissa le sourire tomber de son visage. Merlin, il l'avait mérité. Il était un ami si affreux.
Il se calma dans son lit, et s'était couché en fixant le plafond. Son estomac grognait, mais il n'y fit pas attention. Sa tête le lancinait, mais il l'ignora. Il était juste allongé et regardait fixement. Quelques temps plus tard il entendit des pas et ferma ses yeux douloureux, feignant de dormir. Il y eut des pas légers, et puis le silence.
"Harry ? "C'était Seamus.
Le garçon irlandais secoua doucement Harry, qui réalisa qu'il ne pouvait plus simuler de dormir plus longtemps. Il se frotta les yeux et leva la tête.
"Hey Seamus."
"Harry, désolé de te réveillé, mais Snape va te tuer si tu rates la retenue..."
Harry bondit; il n'avait pas fait attention à l'heure. Il sauta hors du lit, ignorant la douleur des coups de fouets qui avaient été infligés à son dos.
"Merci, Seamus. Je te verrais plus tard."
"Eh, Harry, tu n'as rien mang..." Les mots de Seamus moururent sur ses lèvres tandis que Harry sortait en courant de la chambre et descendait les étages en direction de sa retenu.
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Snape observait le tic-tac des secondes comme un enfant attendant Noël. Vingt secondes et il pourrait enlever encore 50 points à Gryffondor. 18, 17, 16. Peut-être qu'il ne viendrait pas du tout. Ce qui était un sérieux délit. 13, 12, 11. Il pourrait le faire expulser. 10, 9, 8. Stupide arrogant garçon. Tout comme James. 7, 6, 5. Tout ceci n'était qu'une plaisanterie de Lupin. Ce n'était pas vrai. Mais ce soir il le découvrirait. 4, 3, 2.
Toc toc
Contrarié par le garçon qui était à l'heure, Snape ouvrit la porte et laissa Harry entrer.
"J'ai besoin de faire une potion. Vous allez m'aider. Venez."
Il fit un signe et Harry le suivit silencieusement. Le cœur de Snape battait la chamade. Il savait qu'il ne ratait jamais une potion. Celle-ci était pour montrer le vrai parentage du sujet testé. C'était la potion qui dirait la vérité à propos de la vie d'Harry.
Il se débrouilla pour arracher un cheveu derrière la tête d'Harry sans que le garçon ne s'en aperçoive, et quand la potion fut prête il renvoya sèchement le garçon. S'il était surpris de partir si rapidement, il ne dit rien. En fait, il était extraordinairement calme. Snape se demandait pourquoi.
Les paumes moites, il s'approcha du chaudron comme si c'était une bête dangereuse.
Il laissa tomber le brin de cheveu d'Harry dans la potion frémissante et observa. La transformation prit un temps atrocement long; le liquide clair tourbillonnait comme s'il était remué par une main invisible, avant de se séparer au milieu et de se rejoindre. Au milieu du tourbillon était le visage de Lily. Très ressemblant, vraiment. Snape ne pouvait pas faire face à ce choc.
Et puis, en retenant son souffle, il observa la potion tourbillonner encore. Le visage de Lily disparut, et dans le tourbillon d'eau, comme s'il se regardait dans un miroir, il se vit lui-même froncer les sourcils en dehors du chaudron. Il était si absorbé qu'il n'entendit même pas sa porte s'ouvrir, et ne capta pas le corps derrière lui jusqu'à ce que ses genoux se resserrent qu'il se mette à trembler. Des bras forts s'enveloppèrent d'eux-mêmes autour de lui et la barbe piquante lui chatouillait la joue alors que Dumbledore lui murmurait des mots rassurant dans les oreilles alors que, pour la première fois depuis la mort de Lily, Snape s'autorisa à pleurer.
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Dumbledore vit Harry se diriger dans la direction opposée des appartements de Snape et décida d'enquêter. La première chose qu'il remarqua fut que la porte de Snape n'était pas verrouiller ce qui était étrange, puisque Snape était si suspicieux qu'il la gardait constamment sécurisée magiquement. Dumbledore entra dans la salle et jeta un coup d'œil à Snape, qui était penché sur un chaudron, regardant fixement le contenu, et Dumbledore réalisa enfin ce qu'il se passait. La seule chose en laquelle Snape avait totalement confiance était ses potions. Il voulait vérifier qui étaient les vrais parents d'Harry.
Il se tenait derrière Snape, regardant par dessus son épaule. Le visage de Lily s'évanouit dans les profondeurs du chaudron et ensuite le visage de Snape apparut. Avec un cri étranglé, Snape recula en trébuchant et Dumbledore le rattrapa, sentant les larmes de l'homme tremper sa robe.
"Sshhhhh Sévérus, ça va aller. Tout ira bien, tout ira bien."
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Harry était à mi-chemin de la Salle Commune lorsqu'il réalisa qu'il avait laissé son sac dans la Salle de Potions. Il n'avait aucune sorte de désir à aller partout où se trouvait Snape, mais il avait beaucoup de devoir et s'il n'allait pas dormir de la nuit, il pourrait aussi bien travailler dans la Salle Commune. Et il ne désirait pas voir Ron ou Hermione pour l'instant. Après tout, se dit-il, si jamais il était pris hors du lit, il avait une excellente excuse.
Il se faufiler près du tournant, espérant qu'il pourrait se glisser furtivement à l'intérieur sans être remarqué. Ensuite il entendit le bruit de sanglots et une voix grave parlant doucement. Curieux, il tourna le coin et en eut presque le souffle coupé. Snape était dans les bras de Dumbledore, tremblant, en larme, alors que le directeur tentait de le consoler. Il pouvait seulement entendre des morceaux de phrases. Snape sanglotait à répétition :
"Ce n'est pas vrai Albus. Aucun destin ne peut être si cruel ! Albus, s'il vous plaît ne le laissez pas faire !"
"Ça va, Sévérus. Le passé ne gouverne pas le futur. Il n'est jamais trop tard pour pardonner ou oublier."
Harry fronça les sourcils. Il avait semblé en premier lieu que Snape avait perdu un membre de sa famille, mais ensuite que voulait dire Dumbledore à propos du futur ? Décidant qu'il n'avait pas grand besoin de son sac, Harry se dirigea vers la salle commune le plus rapidement qu'il pouvait.
Il faisait froid et sombre, et il ne pouvait rien voir. Il y avait des voix qui courraient autour de sa tête, se coupant les une les autres. Elles l'appelaient : "Harry, Potter, Harry" et ensuite se transformaient et se faussaient en caquètement haut perché :"Assassin ! Traître !"
Harry se réveilla en sursaut, en sueur. Il avait dû s'endormir sur la chaise. Il tremblait encore. Putain de cauchemars.
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Ils avaient double cours de potions le matin suivant, et Harry ne l'attendait pas avec impatience. Quoique peut-être que Snape serait malade. Peut-être. Ses espoirs s'envolèrent lorsque Snape tournoyait comme à son habitude, et Harry se demanda presque s'il n'avait pas rêvé la nuit dernière. Soudain, hasardeusement, il se demanda ce qu'était la potion qu'il avait aidé Snape à faire. On aurait dit, rétrospectivement, que Snape l'avait mis à la porte juste avant qu'elle soit finie. Et c'était bizarre, de la part de Snape.
Il se sortit tant bien que mal de cette leçon, se débrouillant pour récupérer son sac à la sortie, et se dirigea vers le cours de sortilèges pour réviser les sorts de protections.
Il sentit qu'il ne pourrait pas tolérer le déjeuner. Après avoir ré appliqué les sortilèges de camouflage, il s'installa sur une chaise dans la salle commune et commença à parcourir son livre de potions. Il ne retrouvait rien qui ressemblait aux ingrédients qu'il avait utilisés la nuit dernière, mais réalisa soudain que c'était comme une énigme. Dans une des potions, de la peau de boomslang mixé avec une racine de mandragore en poudre pouvait faire une version basique de véritasérum, et dans un autre le véritasérum combiné à de l'asphodel créait une mixture qui pouvait montrer des images dans le chaudron. Aucuns des autres ingrédients qu'il avait utilisés n'étaient dans le livre, mais cela lui donnait matière à réfléchir. Snape avait essayé de découvrir la vérité à propos de quelque chose, quelque chose qu'il ne voulait pas que Harry sache, et quelque chose que Dumbledore saurait, et qui aurait vraiment retourné Snape. Harry regretta à nouveau d'avoir perdu Ron et Hermione. La sorcière en particulier était inestimable dans de tels moments.
Qu'est ce que tout ceci voulait dire ? Et pourquoi Snape lui avait demandé de l'aider pour la potion ?
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La Métamorphose était facile. La métamorphose permanente était étonnement facile, aussi longtemps qu'il se servait du bon mouvement du poignet. Il avait fallu très peu de temps à Harry pour le maîtriser, et McGonagall était stupéfiée et un peu effrayée. Sachant qu'il était plus puissant qu'elle, Harry était un peu effrayé lui-même.
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Il avait duel ce midi. Et cela lui faisait un mal de chien. Ses boucliers étaient facilement brisés par Flitwick qui n'avait aucun problème, évitant simplement les sorts d'Harry. Il persistait à en jeter des piquants et des mordants, que Harry devait contrer en même temps qu'il devait préserver ses frêles sorts de protections. Finalement Flitwick l'appela un jour et invita Harry à s'asseoir. Harry s'assit, se relaxant pour la première fois depuis des lustres, et était désarmé, et vola à travers la salle en un instant.
"Ne tourne jamais le dos à un ennemi", grinça joyeusement Flitwick. Harry aurait pu volontiers l'étrangler. Il était seulement tenté de le métamorphoser en bludger pour se débarrasser d'un peu de cette énergie excessive mais il pensa que dans son état il pourrait très bien changer de manière irréversible la personne du Champion de Duel. Ce dont Dumbledore serait vraiment très fâché. Dommage.
"Ce sera tout pour aujourd'hui. A demain à l'heure du déjeuner !"
Harry acquiesça, essayant de rassembler un sourire joyeux et échoua lamentablement. Il sortit de la salle en traînant, et s'appuya contre le mur froid, reposant sa tête douloureuse.
"Je ne peux pas le faire, Dumbledore" murmura-t-il à personne en particulier. "C'est trop. Je ne pourrais pas en venir à bout." Sans remarquer la figure sombre derrière un coin, il retourna dans la salle commune, aussi vite que possible en considérant la douleur que son dos lui procurait.
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Snape observait son fils silencieusement, le cœur battant. Pourquoi avait-il fallu que ce soit lui ? Cela aurait été mieux pour tous les deux de rester ignorant. Et pourquoi Potter devait porter les espoirs du monde sorcier sur ses épaules ?
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Harry ne dormit pas cette nuit-là. Il se sentait malade et était constamment pris de vertige, et ne se fit pas suffisamment confiance pour aller à l'entraînement de Quidditch. Il ne pouvait pas vraiment s'inquiéter, cela prenait beaucoup de temps et d'effort. S'il s'était regardé dans le miroir sans ses sortilèges de camouflage, il aurait été horrifié. Ses yeux étaient rouges et gonflés, ses lèvres pâles et gercées, et ses cheveux normalement indisciplinés tombait sur son visage creux. Il était toujours couvert de bleus et il savait que les coups de fouets dans son dos n'avaient pas correctement cicatrisé.
Tout le blessait.
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Snape regarda les Gryffondors sortir de sa classe en file indienne à la fin de la leçon après les Serpentards. Il adressa un petit sourire à Draco, qui sortit en dernier, et s'apprêtait à fermer la salle lorsqu'il se rendit compte que Potter n'était pas sorti. Bizarre; il pouvait jurer qu'il l'avait vu au début du cours. Il jeta un coup d'œil dans la salle et réalisa soudain que le garçon se trouvait toujours à son bureau, la tête dans ses mains.
"Potter !"
Il n'y eut pas de réponse, il était encore étendu et Snape pouvait voir sa poitrine se soulever et retomber. Il marcha à grand pas vers le garçon et empoigna rudement son épaule. Avec un cri de douleur, Harry renversa sa chaise et s'étala sur le sol dans un grand bruit, grimaçant d'une douleur évidente quand il essaya de se redresser et abandonna. Snape lui tendit une main, s'étonnant lui-même, et Potter la saisit. Il hissa le arçon sur ses pieds et réalisa quelques secondes trop tard que Harry s'écroulait encore. Alors qu'il était allongé à demi conscient et étendu sur le sol froid, Snape le prit dans ses bras, remarquant le sang par terre, et l'emmena dans ses appartements privés.
C'est maintenant ou jamais, Sévérus.
Il retira les robes du garçon et les sortilèges de camouflage qu'il pouvait sentir et son estomac se retourna à vue de l'état du garçon, bien que son visage restait sans expression. Il le soigna aussi bien qu'il le put, et nettoya les robes du garçon avant de les lui remettre. Comme un signal, Harry bougea et ouvrit ses yeux, faisant reculer Snape. Ils étaient rouges et gonflés par manque de sommeil.
"Quoi...?"
"Harry...Je...Je...Je..."
Harry le regarda curieusement.
"Vous quoi ?"
"Il faut que je te dis quelque chose. Tu n'as plus besoin de retourner chez ces moldus, Harry. Tu as de la famille."
Les couleurs s'effacèrent du visage d'Harry et il restait bouche bée devant Snape.
C'est maintenant ou jamais, Sévérus
"Harry... je suis ton père."
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Mouarf mouarf mouarf ! lol ça c'est une fin sadique ! ^^ mais c'est pas moi qui l'ai décidé, alors pas taper svp ! ^^ je vous promet de traduire le prochain chapitre plus vite pour vous consoler ! ^^
On va faire un petit jeu. Comment pensez-vous que Harry va réagir ?
Et maintenant,
Review's Time !
Clau : marchi beaucoup ! donc voilà la suite, comme promis ! Avec du retard certes, mais la suite quand même ! lol
Celinette : Kikoo ! Donc comme je t'ai dit, pour la review ratée, po grave, et j'espère que tu vas aimer ce chapitre ! ^^
Léna Léonyde : merci beaucoup pour la traduction ! ^^ (il va y être 50 millions de fois ce mot vers la fin...) et merci pour les encouragements ! (je vais en avoir besoin...)
Cynore : merci ! le début est un peu lent, mais les choses sérieuses commencent nfin ! ^^
Lunenoire : salut ! eh vi, Snape a découvert "l'étendue des dégâts", mais est-ce que ça va s'arranger pour autant ? lol
Lyly : coucou ! voilà la suite, très en retard, encore milles excuses ! ^^;;
Lo : merci beaucoup ! j'espère que ce chapitre t'a plu ! ^^
Marie-jo : et donc voilà la suite ! salut !
Encore un grand merci à tous les revieweurs/euses et les lecteurs/trices, et à bientôt !!! ^_____^
Ishu.