Enfin, vous avez ouvert ce livre. Je sais que cela a été dur mais, vous allez voir, bientôt vous ne pourrez plus vous en décoller !

Cette histoire est assez dure, alors je comprendrais que quelqu'un veuille sortir du livre...

Mais, d'abord je dois vous dire comment cela fonctionne. Vous serez le héros même si c'est en fait moi qui raconte ! Ensuite quand j'écrirai tinggeling vous devrez tourner la page au cas où vous ne vous en souviendriez plus ! Je sais que vous vous dites que ce livre est nul mais comme dirait un prof : « Il faut avoir lu cent pages pour entrer dans le récit ». Je sais que c'est beaucoup mais c'est vrai. De toute façon, j'ai déjà utilisé le quart de la feuille en vous baratinant et en vous écrivant quel est le principe de ce livre mais ne vous inquiétez pas, j'ai bientôt fini.

Quel soulagement ! En fait, je vous ai écrit tout cela car je ne savais pas comment commencer ce livre.

Bon voilà quand il faut y aller, il faut y aller. Tout commença par ce meurtre étrange. Ah ! Oui , j'ai oublié de vous dire que ce livre était un policier, alors âme sensible s'abstenir (oups ce n'est pas dans ce genre de livre qu'on dit ça « désolé ».) Donc où en étais-je ? Ah oui, à ce fameux meurtre qui s'était passé il y a une semaine.

Oh non c'était peut-être il y a deux semaines. Non pas du tout en fait, je crois que c'était il y a trois jours ( ben oui, je ne suis pas doué en mémoire, j'oublie vite). Par exemple, hier pour moi c'était, il y a trois jours ou même plus. Je sais ce n'est pas facile tous les jours. C'est peut-être pour cela que je n'ai pas d'emploi car j'arrive trop tard au boulot ou alors je ne viens pas en croyant que c'est dimanche. Il faudrait peut-être que j'aille voir quelqu'un pour cela mais je ne sais pas qui s'occupe de ce genre de problèmes. Soit revenons à ce meurtre.

Il y a trois jours, je fus appelé à propos d'un meurtre qui s'était passé à Poudlar. Il y avait la réception de mariage deFred et de Padmaqui était organisée pour célébrer leur mariage, enfin la réception. C'était terrible ! Cette pauvre fille qui baignait dans ce sang rouge ( je sais que vous savez que le sang est rouge, mais il faut bien que je rallonge sinon ce ne sera plus une nouvelle mais une interview). Le sang s'était déjà coagulé tout autour d'elle. En plus elle se trouvait… Bon, je ne vais pas vous raconter la fin. Reprenons depuis le début de la cérémonie.

Voici la version des faits suivant les invités.

Tout commença deux jours plutôt (c'est pour vous mettre déjà un peu dans le bain) Deux des invités étaient en train de déjeuner. Parvatti, vêtue d'un peignoir bleu satiné, alla s'asseoir à côté de son fiancé Harry (Nda je sais c'est dur de le voir avec elle mais bon). Il trempait sa viennoiserie dans son café bien noir qui fumait encore. Harry, lui, était vêtu d'un vieux T-shirt blanc avec des lignes bleues et un short gris clair. Ses cheveux étaient tout broussailleux dans un tonbrun ( je sais, il aurait pu se coiffer mais bon). Ils parlaient tranquillement du temps quand tout à coupon sonna à la porte. Parvattifut surprise puis se leva pour aller ouvrir (et oui ils vivent en tant que moldu, enfin pour certaines choses). Elle marcha dans un petit couloir de couleur orangeâtre. Puis elle arriva à la splendide porte en chêne et l'ouvrit. C'était le facteur, George. Il était vêtu d'un habit bleu (traditionnel costume). Il était trapu et petit et ce qui n'arrangeait rien, il était enveloppé.

-Bonjour ma petite Parvatti. Comment allez-vous ?

-Très bien et vous monsieur George ?

-Je me porte très bien, par contre Ghislaine ne va pas très bien en ce moment.

-Mais, pourquoi avez-vous sonné ? Vous avez des lettres pourHarry ou moi ?

-Oui, effectivement j'ai un colis pour vous, le voici.dit-il en tendant un paquet bien épais.

-Merci, dit-elle d'un ton songeur.

-Bon je vais vous laisser, je dois encore faire le tour du quartier.

-Au revoir.

Elle referma la porte et alla dans la salle à manger où elle ouvrit la boite en carton en se demandant ce qu'elle contenait. Elle vit une magnifique robe de couleur rouge ou plutôt bordeaux. Elle vit aussi une lettre s'adressant à elle qui disait :

Chère Parvatti,

Je sais que vous la trouviez magnifique mais beaucoup trop chère.

Je vous l'ai achetée pour que vous puissiez venir vous et votre fiancé à la petite fête que nous organisons pour fêter notre anniversaire de mariage.Padma et moi-même sommes heureux de pouvoir vous faire ce petit cadeau. Si vous pouvez venir, contactez monfrère au 08/4682461.

En espérant vous revoir bientôt

Tendre bisou de votre cher Fred

Elle en parla àHarry et le soir ils téléphonaient au frère de Fredpour signaler qu'ils viendraient avec joie.

Le lendemain,Parvatti alla faire les magasins et faillit tout dévaliser mais s'abstint d'acheter des gants pour la joie de son fiancé. Arrivée chez elle, elle essaya tout et se dévoila à son fiancé qui en fut ébahi.

Passons à d'autres de nos invités.

Lunase leva avec un mal de tête. Elle alluma sa lampe de chevet et sortit du lit. Elle fut parcourue de frissons et prit vite son peignoir en coton molletonné bleu qui était superbement doux. Elle avala une aspirine au passage. Elle descendit les escaliers qui grinçaient sous ses pieds.

Le hall ,d'un teint saumon, était petit et étroit. Elle s'engouffra dans sa cuisine. Celle-ci était d'une blancheur telle qu'elle semblait être peinte de la veille. Elle prit dans une armoire un paquet de café et en mit dans son percolateur. Elle mit la table puis retourna au premier étage pour se laver. Elle prit une douche, elle sortit de la salle de bain avec un pull écru et un pantalon noir. Elle mit ses bottillons et redescendit les escaliers pour prendre son petit déjeuner. Elle trempa son toast à la confiture dans son café bien noir. C'est à cet instant qu' elle se souvint qu'elle devait retéléphoner àFred pour le prévenir qu'elle venait à la soirée. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi elle avait été invitée car elle n'était pas de la famille. Explication plausible, elle avait été mariée àPercy le fils deMolly qui est aussi la mère de Fred. Mais maintenant, elle ne faisait plus partie de la famille, enfin c'est ce qu'elle pensait.

Elle avait reporté ce coup de téléphone de peur d'accepter car elle ne voulait plus trop revoir son ex mari. Elle prit son courage à deux mains et téléphona. Elle dut laisser un message sur le répondeur car manifestementFred n'était pas là.

Voyant l'heure, elle prit vite son manteau et sortit de chez elle, courut pour attraper son bus. Elle traversa pendant longtemps les rues menant à Piccadily Circus et sortit à l'arrêt suivant. Elle marcha quelques mètres pour se retrouver devant un hangard où était noté Le chicaneur. En effet, elle avait maintenant la charge de présidente en chef pour la création du magazine. Elle avait repris les charges de son père. Elle passa devant les portes coulissantes et tourna à droite pour se trouver dans le couloir où elle salua une collègue. Arrivée devant le local qui l'intéressait, elle ouvrit la porte et se changea pour se mettre plus à l'aise.

Hermioneprit une boite de Dafalgan dans le tiroir du dessous, le septième en partant de la gauche. Elle traversa le petit vestibule pour se retrouver à l'avant du magasin et donna la boite à un client en lui demandant si cela serait tout ce qu'il désirait. Ce fut le cas. Le client régla la note et s'en alla. La pharmacie était plutôt spacieuse, des armoires vitrées étaient mises tout autour des murs et on pouvait y voir différents médicaments et produits.Hermione portait une blouse blanche et en-dessous, on pouvait voir sa jupe rouge dépasser de quelques centimètres . Ses longues jambes bronzées étaient habillées de collants couleur chair. A la fin de celles-ci on voyait de magnifiques chevilles, dont une était entourée d'un bracelet en or. A ses pieds, elle portait des chaussures à talons aiguilles blanches.

Elle travaillait depuis peu dans ce magasin, elle y travaillait pour se faire de l'argent pendant les vacances.

Elle regarda l'heure et vit que c'était son heure de pause, alors elle prit son sac en cuir rouge et sa veste en jeans et sortit du magasin en laissant seule sa collègue.

Elle alla comme d'habitude à son restaurant préféré. En entrant, le serveur la reconnut et lui fit signe de la suivre. Il l'emmena dans un coin du resto près de l'estrade où le soir des musiciens jouent ses airs préférés. Un homme en costume cravate l'attendait déjà à table. Il se leva lorsqu'elle arriva à deux mètres de lui. Elle l'embrassa et puis s'assit.

Le serveur apporta la carte et ils choisirent un plat. Hermione avait choisi un steak tartare avec un verre de cognac et l'homme avait porté son choix sur de l'agneau avec une bouteille de vin rouge, dont je ne citerai pas le nom (au fait, je ne le cite pas car je ne connais que très peu de noms de vin). Après ce savoureux repas ils discutèrent à propos de la cérémonie.

J'ai décidé d'aller à la soirée organisée par Fred.

Mais est-ce qu'il ne t'avait pas justement invitée ?

Si c'est pour les ennuyer que je veux y aller et personne ne pourra me faire changer d'avis !


J'espère que cette fiction vous plaira. J'attends de vos reviews pour savoir si c'est pas mal comme idée.