Autrice : Bogle Mahiro (dite Maï pour les intimes)

Titre : Feelings of a puppet /01

Email : Gundam W, enfin... comme d'hab quoi ! lol

Genre : Attention y'a du grabuge dans l'air, la crise n'est pas bien loin. Plutôt POV de Duo.

Couple(s) : Eh ben, comme d'hab' aussi. 1+2 ou peut être 2+1… On verra. Mais y seront ensemble, ça c'est certain !

Disclamer : Les petits bishoushous de GW ne sont pas na moi, pourtant c'est pas faute de pleurer, crier, couiner, mordre, couler du nez, larmoyer et hurler comme une folle de chayot. Mais, apparemment, les véritables proprios sont encore plus sans cœur qu'une autrice de yaoi (lol). Alors j'les prends, sans demander à personne et puis j'les rends... bon d'accord quand j'y pense !

Par contre, les autres sont de mon invention alors j'en réclame la propriété ! Traduction : Pas touche sans permission !

Avertissements : Rien pour l'instant.

Désolée pour la maîtrise inexistante de la mise en page, suis pas en bon terme avec nos amis les ordis.

Changements temporel ou spatial signalés par des étoiles.

En italique les pensées de Duo.

Duo : (au désespoir ) Pourquoi tant de haine ?

Maï : (lève le nez de ses notes ) Gnia ?

Duo : Pourquoi ?… Pourquoi je suis encore dans une de tes fics ? Et surtout ! Pourquoi je m'en prends encore plein la tête ?

Maï : (qui l'a à peine écouté ) Ben… qui aime bien châtie bien, mon chéri.

Duo : (renfrogné ) J'apprécie pas du tout la manière dont tu m'aimes, figures-toi !

Maï : J'espère que tout le monde n'est pas aussi ingrat que toi !

Quatre : (tout rouge ) …

Duo : Ben Kitty-Cat, qu'est ce que t'as ?

Maï : (très fière d'elle ) Laisse-le, y s'est toujours pas remis du petit lime de «Frozen ». Pourtant c'était juste un petit essai. Nieurk, nieurk.

Duo : Vrai ? Ben dis donc si ça l'a mis dans cet état…

Maï : Je t'ignore ! Pour les autres : Bonne Lecture ! Et n'oubliez pas les reviews !

Feelings of a puppet

Chapitre Premier.

Base rebelle.

Duo était plongé jusqu'à la taille dans un des rouages mécaniques de son appareil quand soudain, un sweeper interpelle le jeune homme.

Eh ! Max !

Sous le coup de la surprise, Duo sursaute et se trépane littéralement la tête sur l'acier environnant. Il se dégage rapidement de Deathscythe et avise d'un regard furieux le coupable.

Putain, John, tu fais chier. J'ai failli me fracasser le crâne ! Qu'est ce que tu m'veux !

Eh ben dis donc, «au bon accueil, bonjour » !

Va chier, j' t'ai dis et accouche !

Y'a G et Moulinex qui t'attendent en salle de réunion… et vite, ajoute-t-il perfide.

Duo grogne mais s'exécute. Il descend avec souplesse de sa machine et se dirige vers la sortie tout en s'essuyant les mains pleines de d'huile et de cambouis à l'aide d'un chiffon.

Le John qui l'avait averti, lance au natté un clin d'œil complice et pour la peine, ce reçoit le tissu crasseux dans la figure.

Il éclate de rire et lui répond :

Mauvais joueur !

L'échange n'a échappé à aucun des mécaniciens et tous regardent Duo partir avec un sourire aux lèvres.

Salle de réunion.

L'américain arrive enfin, après avoir bien traîné les pieds.

Il ne sait pas ce que lui veulent G et «Moulinex » comme l'appelle les sweepers mais il n'était pas sûr de vouloir le savoir.

Duo frappe à la porte et reconnaît la voix grinçante de J qui lui demande ou peut être devrait-on dire crache, d'entrer.

Tous les G-boys sont présents ainsi que les professeurs J et G.

Il prend place sur une chaise vide et attend.

C'est J qui prend la parole en premier.

Vous ne vous êtes pas pressé 02.

Je suis venu dès qu'on m'a fait savoir que j'étais attendu, professeur.

(Duo) Et puis j'suis pas ton chien moi... Tu crois quand même pas que j'vais venir en courant dès que tu me siffles !

Pff. Bien, nous vous avons fait mander pour vous assigner une mission.

( Duo ) Mais pourquoi donc faut-il toujours qu'il parle avec des mots aussi compliqués ?

Et pourquoi à moi, spécifiquement ? demande Duo sur la défensive.

Parce qu'il s'agit d'une mission d'infiltration…

Ben, il faudrait plutôt demander à Tro alors.

Non. 03 est le plus performant lorsque cela concerne l'infiltration chez Oz, il est vrai. Mais ici, il faudra lier des contacts… «amicaux »… avec des civils.

(Duo) Tiens... Il a pas relevé le surnom.

Alors c'est pour Quatre.

(Duo) Il a pas fini de tourner autour du pot c't' espèce de vieux con…

Cessez de m'interrompre, 02. Nous en étions déjà arrivés à ces conclusions, figurez-vous ! Mais 04 s'y est refusé et vous a proposé pour cette mission… Il s'est montré très... persuasif.

Hein ? Quatre ?

(Duo) Qu'est ce qu' c'est que c't' embrouille !

02 !

Eh ben, s'il a refusé, moi aussi !

Cela ne vous est pas possible !

Pourquoi ? Quatre peut et pas moi ?

C'est exactement ça.

Faites vos bagages. Vous partez dans 1 heure pour votre prochain port d'attache où vous vous préparerez pour votre mission.

Mais…

- Rompez ! hurle J, à la limite de la rupture d'anévrisme, plus que décidé à mettre fin à cet embryon de mutinerie, d'abord 04 puis 02 qui se mettaient à discuter ses ordres. Il ne manquait plus que 01, son œuvre, se retourne contre lui et le pourchasse jusqu'au Pôle Nord… Pourquoi ai-je regardé Frankenstein, se maudit-il…

Duo part, non sans avoir jeté un regard noir à Quatre et ignorer, royalement, les trois autres.

Il se dirige à grandes enjambées vers sa chambre pour les préparatifs de départ.

Le natté mène sa tâche tout en marmonnant.

(Duo) J'en ai marre !

On me demande jamais mon avis. J'ai toujours l'impression d'être la cinquième roue du carrosse. Ils ont peut être pas besoin de moi… Ben ouais, pour un carrosse faut seulement quatre roues pour rouler… Pas une de plus.

Ils me posent à chaque fois devant le fait accompli. Et vas-y Maxwell… Baka… Suis nous et ferme là…

La preuve, aujourd'hui j'étais le dernier arrivé… Sûrement le dernier prévenu… Ils avaient déjà tout décidé.

J'me sens… « quantité négligeable ?» compléte une petite voix sournoise.

Et le pire c'est que même Quatre s'y met maintenant…Ca craint !

Je suis… vachement déçu.

Ca me fait mal. C'est de la haute trahison un truc comme ça.

J'arrivais à supporter beaucoup avec sa complicité : les insultes de Heero, les menaces de Wufei, l'indifférence de Trowa.

Mais si je n'ai plus son soutien…

Quelqu'un toque à la porte de l'américain.

- Quoi, hurle Duo.

Duo ! C'est moi, c'est Quatre, informe timidement l'arabe.

Qu'est ce que tu veux, demande le natté avec rancune.

Je… Je suis désolé… Je te dérange, peut être ?

- C'est ça ! J'fais mes bagages. J'ai pas le temps.

D'accord… On en reparle plus tard, alors !

Ouais, c'est ça !

Et Quatre s'en retourne sans être entré ou plutôt, il s'est senti congédié.

(Duo) Non mais je rêve… Y me fais des sales coups dans le dos et y croît que ma porte lui est grande ouverte ! Ben là, mon petit père, tu te fous le doigt dans l'œil… et profond, même !

Un espace, bleu nuit métallisé, les attend sur le parking de la base pour les transporter.

2 places à l'avant,

3 places au milieu,

3 places à l'arrière,

ainsi qu'un grand coffre, pour leurs sacs.

Heero s'est assis, d'autorité, derrière le volant, Wufei à ses côtés, en qualité de copilote.

Quatre et Trowa se trouve au milieu.

Duo se jette furieusement sur les trois places arrières, accompagné de son sac.

Une fois de plus, il est le dernier et les autres sont déjà installés.

Le petit blond allait réagir mais l'acrobate le stoppe en posant sa main sur son avant-bras. L'arabe se crispe à ce contact et dévisage le français. Celui-ci, à son intention, oscille de la tête en un signe négatif.

Quatre lui jette un regard vexé puis se renfrogne et fixe la route par sa fenêtre.

C'est bon pour tout le monde ? interroge Wufei.

Un silence inhabituel lui « répond ».

Surpris, il se retourne pour vérifier la présence de leur « tornade de paroles » nationale et s'aperçoit qu'il est effectivement là.

Heero aussi regarde Duo ou plutôt il le fixe avec intensité… comme pour tenter de savoir ce qu'il se passe dans sa sale caboche de cabochard.

Wufei remarque en même temps que l'arabe, lui aussi, ne semble pas vraiment détendu. Questionnant Trowa du regard, il ne bénéficie que d'un haussement d'épaule des plus dubitatif, pour toute réponse.

Eh ben, ça va être joyeux ! lance le chinois pour détendre l'atmosphère.

Peine perdue.

S'adressant au japonais qui « inspecte » toujours Maxwell du regard :

Yuy. Ca marche mieux quand tu mets le contact…

Regard neutre.

… Pour faire avancer la voiture, Yuy.

Ce dernier insère la clé et démarre.

Pendant plus d'une vingtaine de minutes, un silence malsain s'instaure dans le véhicule.

Quatre tente désespérément de faire la conversation pour animer le groupe, mais ses tentatives pour entraîner Duo échoue lamentablement.

L'arabe se détourne de la route pour se rendre compte que l'américain ne l'a certainement pas du tout entendu, trop occupé qu'il est, à lire et écouter de la musique à fond.

Ben, Duo lâche t'il, abasourdi.

Ce dernier ne lève même pas les yeux de son livre et continue son entreprise.

Pour la deuxième fois, Trowa lui touche le bras et lui fait « non » de la tête.

Et comme tout à l'heure, l'arabe lui lance un regard, cette fois, outré et se mure dans un silence entêté.

Tout le reste du trajet se déroule dans une absence de tout son, absolument atroce et surtout, si peu habituel.

Arrivés à la baraque, chacun prend son sac et se dirige vers l'entrée.

Tous sont sur le palier.

Heero ouvre la porte et stoppe dans le hall.

Il se retourne.

Wufei s'énerve contre Duo :

Maxwell, pourrais-tu, s'il te plaît, ôter cette maudite électronique meuglante de tes oreilles, je te prie. Cela nous évitera d'avoir à répéter et à toi de devenir sourd !

Mais bien sûr, votre majesté Chang. C'est demandé avec tellement de considération, comment pourrais-je refuser ?

Joignant le geste à la parole, Duo enlève ses écouteurs et prend appui, avec nonchalance, sur un mur.

Mais comment tu me parles. T'as de la chance que mon sabre soit encore dans le coffre sinon…

- Sinon quoi ? lui rétorque l'américain, agrémenté d'une lueur de mépris.

Heero interrompt la dispute par les maigres instructions concernant l'installation en attendant le briefing du soir : 18h30 tapantes.

(Duo) Reste une heure d'ici là.

Quatre et Trowa accepte d'occuper la même chambre.

Wufei exige d'être seul.

Reste une seule chambre avec un lit deux places, échouant aux deux autres.

Duo pense une fois de plus :

(Duo) Et mon avis ?

On-s'en-ta-pes ! chantonne encore la même petite voix mesquine.

Nouveau coup au moral.

(Duo) C'est un complot.

Le natté monte dans la chambre qu'on lui a assigné, jette son sac ainsi que son blouson sur une chaise, sort de la pièce et gagne l'extérieur, sans un regard pour son compagnon de chambre, une fois n'est pas coutume, assez déstabilisé par le comportement de l'américain.

Duo se trouve dans le jardin, assis sur la pelouse, les écouteurs sur les oreilles. Il apprécie le plaisir simple de la douce caresse du soleil sur son visage.

Il passe ainsi le reste du temps jusqu'au moment du briefing annoncé plus tôt par le japonais.

A 18h29,il se lève de mauvaise grâce, enlève les brins d'herbe sur l'arrière de son pantalon et traîne les pieds jusqu'au salon où il se pose, lourdement, sur un fauteuil.

L'américain évite soigneusement de regarder ses «camarades ».

A 18h30, Heero prend place devant le téléviseur et commence son exposé.

Bien. La mission concerne les pilotes 01 et 02.

(Duo) C'te manie de parler de lui à la troisième personne... Complètement barré !

Notre mission consiste à infiltrer un complexe de vacance de la région de Merturian. L'objectif est de lier connaissance et confiance avec le sujet Shogeki Hebi. Il s'agit du plus important fournisseur de matériel électronique de haute technologie, dirigeant de la Sephira Hocma. Notre but est de l'empêcher d'approvisionner Oz pour la construction de leurs MS ou de leurs appareils, toutes technologies confondues et dans la mesure du possible de collecter des informations sur son réseau informatiques et son ordinateur portable qu'il ne quitte jamais...

(Duo) Ca me rappelle quelqu'un ça !

... Tout cela dans le but de surveiller les activités de cette entreprise... Des questions ?

Nos identités, interroge Duo sans le regarder.

Saisho et Niban Himo.pseudos pourris ;;

Départ ?

Demain 06h30.

Rôle des autres ?

Soutien arrière, en cas de besoin.

Sans plus de mots, le natté se lève et quitte la pièce.

Wufei est plus qu'étonné :

Qu'est-ce qui lui prend ? D'habitude, il n'écoute jamais rien du briefing et quand il parle on peut plus l'arrêter...

Quatre le regarde d'une manière peu amène puis court à la suite de son ami.

Il le retrouve, couché dans l'herbe, les mains derrière la nuque et les yeux clos.

Duo ?

Hm.

Je suis désolé, je ne sais pas ce que tu me reproches mais je suis désolé si je t'ai fais du mal.

Le natté, interloqué, lève les yeux vers l'arabe et le retrouve le regard brillant de larmes, à deux doigts d'éclater en sanglots.

L'américain se l'était pourtant promis... mais il craque devant la mine déconfite et dramatique de son ami.

Avec un grand sourire lumineux, il lui annonce :

C'est bon, Kitty-cat, arrêtes de me faire tes yeux de cocker abandonné... T'as gagné !

La bonne humeur étant contagieuse, elle atteint les lèvres de petit Quatre et les étirent. Le petit blond se jette alors dans les bras de son meilleur ami et lui fait subir le supplice du super-calinou-de-la-mort-ne-recommence-plus-jamais-ça-mais-je-t-adore-quand-même !

Un peu plus loin, à l'affût derrière la baie vitrée, deux jeunes hommes apprennent avec douleur les affres de la jalousie maladive devant ce spectacle d'affection «fraternel ».

L'arabe, lové contre son camarade entame la conversation :

Alors maintenant, tu vas m'expliquer les raisons de ton mutisme punitif ?

Le natté se retourne vers lui, de nouveau, le visage fermé.

A cause de cette mission...

Pardon, demande Quatre, qui n'y comprend décidément rien.

Une fois de plus, on ne me demande rien... et en plus tu t'es mis de leur côté.

La mission, répète l'arabe, comme débarrasser d'un lourd fardeau.

Ben oui.

Je suis soulagé, Duo. Tu sais pourquoi je t'ai « recommandé » !

Ben non, continue bêtement l'américain.

- Premièrement, parce qu'il s'agit d'une mission avec Heero.

- Deuxièmement, parce qu'il s'agit d'une mission avec Heero, où l'on doit se faire passer pour un couple.

Et troisièmement, parce qu'il s'agit d'une mission avec Heero, où l'on doit se faire passer pour un couple, le tout dans un complexe paradisiaque pour vacanciers fortunés.

Toi qui te plains toujours du manque d'attrait de tes missions, là, tu es gâté, non !

J'voudrais juste savoir quelque chose... Quand est-ce q't'as appris l'humour, toi ? questionne le natté, méchamment.

Pendant le trajet en voiture... et crois-moi, j'ai eu le temps, lui renvoie Quatre, l'air tout aussi sadique.

Bof ! Et puis avec lui ça va être Duo, baka ! Omae o korosu ! Dégage ! La ferme ! Viens ici ! Fais ceci ! Fais cela ! Et gna gna gni et gna gna gna ! Super vacances, ouais ! Tu m'vois essayer quoi que ce soit avec l'autre grêlon ? J'risque juste de me s'aborder moi-même ou de me faire descendre, c'est au choix ! ironise Duo.

Sait-on jamais...

Quatre, arrêtes la drogue ! J'ai aucune chance. Y' aurait plus de probabilité qu'il se case avec Rondoudou qu'avec moi...

Mais, pourquoi dis-tu cela ? (Sans relever le nouveau surnom de Réléna)

Il l'insulte pas, elle. Et il a arrêté de la menacer de mort et de mettre ses menaces à exécution... Pour moi, c'est quotidien et même plusieurs fois par jour.

Tu exagères, Duo.

Quatre stoppe devant le coup d'oeil blasé de son compagnon.

L'arabe allait entamé une phrase mais les mots moururent sur ses lèvres quand sa conscience dit à son sens de la camaraderie de se la fermer. Non, décidément, il ne pouvait révéler ce qu'il percevait des pensées du japonais sans trahir la promesse qu'il s'était faîte, c'est à dire ne pas «profaner » l'intimité de ses camarades.

Mais le petit blond avait bon espoir quant à l'évolution de la situation.

Qui a dit qu'il était trop optimiste ! Quand à moi j'ai plusieurs hypothèses, soit il vit à Dysneyland où tout le monde il est beau, où tout le monde il est gentil... Soit c'est une indigestion de pastilles à la menthe consommées à cause du désoeuvrement durant le looonnng trajet en voiture... Soit il pratique une coutume de son « pays » et il utilise un narghilé (tous à vos dicos ! lol) et il met des choses trèèèèèès naturelles dedans ! ; ;

Les deux amis sont tellement impliqués dans leur conversation et leurs délires, qu'ils ne s'aperçoivent que la nuit est tombée seulement lorsque Wufei les «appelle » (beugle ?) Wufei : JE NE BEUGLE PAS ! Maï : Non, tu me hurles dans les tympans... C'EST PAREIL ! pour le repas du soir, ainsi que la baisse de température qui les fait frissonner.

Après un reproche du chinois sur le fait qu'il avait été obligé de les interpeller pour qu'ils viennent, Duo et Quatre, toujours dans leurs échanges animés, débarquent dans la maison en ricanant.

Wufei alpague le natté :

Eh ben, Maxwell, que faut-il donc faire pour que tu daignes nous adresser la parole à nous aussi, demande le chinois, tout en lorgnant dans la direction de l'arabe.

Tout en faisant mine de remonter sa braguette d'un geste vif, Duo lui renvoie un clin d'oeil plein de luxure et répond :

Si tu savais, Chang !

DUOOOOO, hurle le petit blond, en tentant de lui coller une tape à l'arrière du crâne.

L'américain part en courant vers la cuisine, rigolant comme un malade et laissant derrière lui, Wufei avec une hémorragie nasale digne des chutes du Niagara, Quatre en pleine crise d'apoplexie, rouge comme un érythème fessier de nourrisson et les deux muets, bloqués, tous trois fixant Quatre d'un air soupçonneux.

Le petit blond explose :

Arrêtez de me regarder comme ça !... Je n'ai rien fait de ce que vous avez en tête... Bande de pervers lubriques !

Puis à l'intention du natté :

Duo ! Par Allah... Tu vas mourir !

See you soon…

01/05