Chapitre sept : La sixième année Canadienne.
Le cours de Charmes d'ASPIC était la première classe du vendredi matin pour tous les trois. Harry et Hermione étaient libres ensuite, alors que Ron allait en Divination. Ils ne furent pas surpris quand le message leur demandant de se présenter au bureau de Dumbledore arriva à la fin du cours du Professeur Flitwick. Harry avait été calme toute la matinée, de toute évidence malade de curiosité, mais trop généreux pour tourmenter Hermione à ce sujet. Néanmoins, cette curiosité se manifesta physiquement, car Harry sautillait doucement sur place pendant qu'ils attendaient de pouvoir entrer dans le bureau du Directeur.
Hermione aussi était curieuse. Elle se demandait si Lily serait là quand ils arriveraient. Dumbledore, cependant, avait décidé d'apprendre la nouvelle à Harry plus progressivement. Les bonbons habituels furent offerts et refusés. La proposition de s'asseoir ne le fut pas.
Dumbledore posa sur Harry un regard doux et paternel avant de commencer à parler. Hermione avait du mal à regarder le Directeur dans les yeux.
« Harry, » commença t'il, « tu dois avoir remarqué que quelque chose d'extraordinaire s'est produit il y a quelques jours. »
« Oui, Monsieur, » admit Harry. « On a pensé qu'il y avait un tremblement de terre dimanche soir, mais ce n'est pas possible, n'est-ce pas ? Alors nous nous sommes dit que ça devait être de la magie, et de la magie puissante. »
« Tout a fait. Un déploiement de magie remarquable. Mademoiselle Granger ici présente était impliquée, comme tu l'as compris, et comme ça te concerne, nous sommes convenus de te raconter toute l'histoire. Je crois, Hermione, » lui indiqua t'il, « que tu devrais commencer par la Salle de Lecture et le tableau. »
Hermione prit une grande inspiration, et commença à raconter, en regardent ses mains. « Il y a quelques semaines, par hasard, j'ai découvert une nouvelle pièce de Poudlard, près de la bibliothèque. Je l'ai utilisée comme salle d'étude, parce que Madame Pince était… Parce que Madame Pince trouvait que je passais trop de temps à la bibliothèque. Dans cette chambre dérobée, il y avait un tableau représentant la bibliothèque, et dans ce tableau il y avait quelqu'un qui était élève ici il y a plusieurs années. Tu sais comme les portraits aiment discuter parfois. » Elle leva les yeux vers Harry, qui lui fit un signe de tête encourageant.
« Eh bien, » continua t'elle, « ce portrait et moi avons commencé à discuter, et je lui ai parlé de la Guerre, de Voldemort, et du garçon-qui-avait-survécu. » Elle lui lança un regard d'excuse, et poursuivit. « Le portrait était terriblement bouleversé d'entendre ce qui s'était produit, et voulait nous aider à combattre. Avant de m'en rendre compte, j'étais en train de faire des recherches sur la façon de réanimer ce portrait et de le faire sortir de sa toile… »
Harry sauta de joie. « C'est Sirius, tu as ramené Sirius ! »
Hermine et Dumbledore le regardèrent, atterrés par le malentendu.
« Ce n'est pas Sirius, Harry. Non, c'est quelqu'un d'autre. » Son cœur était déchiré par son expression angoissée. Il se laissa tomber sur sa chaise. « C'est quelqu'un qui tient beaucoup à toi et à ce combat. Mais tu dois comprendre que ce portrait à été réalisé quand elle avait seize ans, qu'elle ne savait pas qui tu étais, et que les choses étaient différentes pour elle à ce moment-là… »
Harry écarquilla les yeux. Il regarda éperdument Dumbledore, qui lui fit un discret signe de tête.
« Maman ? » murmura t'il. « Je l'ai vue… Juste après que ces événements bizarres soient arrivés. Je l'ai vue, aussi vraie que je vous vois. » Un sourire timide, incrédule, se forma sur ses lèvres. « Maman est de nouveau en vie ? »
Hermione vit l'expression de Dumbledore, et se dépêcha de continuer. « Il faut que tu comprennes qu'elle n'a que seize ans, Harry. Elle est comme nous. C'était un moment de sa vie où elle et ton père n'étaient même pas amis. Elle est très différente de ce que j'avais imaginé… Très intéressée par ses cours et ses projets. »
Harry eut un sourire, tremblant. « Un peu comme toi. »
« Oui, un peu. Nous avons beaucoup en commun, et nous avons apprécié de pouvoir discuter ensemble. Je ne pensais pas à elle comme à la mère de quelqu'un à ce moment. Mais quand elle a entendu parler de Voldemort, des Mangemorts, et de la façon dont… Euh, elle appelle ta mère 'l'autre Lily' … quand elle a su comment Voldemort l'avait tuée, elle était si en colère qu'elle m'a demandé de l'aider. Et c'est ce que j'ai fait. » Elle prit une autre profonde inspiration, espérant que Dumbledore lui épargnerait la suite.
Harry la regardait avec émerveillement. « Hermione, c'est brillant ! » Il regarda Dumbledore. « C'est brillant ! Ca mérite un Ordre de Merlin ! »
Dumbledore secoua gravement la tête. « Non, Harry. C'est brillant, mais ça doit rester absolument secret pour de nombreuses raisons. Avant tout, ce qu'a fait Mademoiselle Granger est de la magie interdite, qui lui vaudrait très certainement la perpétuité à Azkaban, si la chose se savait. »
« Mais… »
« Non, Harry. Elle a utilisé ton sang pour faire de la Nécromancie. Personne au Wizengammot ou au Ministère ne lui trouverait la moindre circonstance atténuante. Personne ne doit jamais savoir ce qui s'est passé. »
Hermione était rouge de honte. Elle jeta un regard furtif à Harry, et regarda de nouveau le sol. Harry fronça un peu le nez, au souvenir de la façon dont elle avait obtenu son sang, mais repoussa cette idée pour la remplacer par l'incroyable miracle dont il était témoin.
« On ne peut même pas en parler à Ron ? »
« Non Harry. Moins il y a de personnes au courant, mieux c'est. Rien que de savoir que ce sort a été utilisé et ne pas en informer les autorités pourrait nous valoir de graves ennuis. Il y a déjà bien assez de monde au courant : nous trois, les Professeurs McGonagall, Flitwick, et Chourave, qui ont été ses enseignants et l'auraient reconnue, Madame Pomfresh, qui l'avait déjà soignée, Remus Lupin, que j'ai mis au courant hier soir, et Severus Rogue. »
Harry eut un rictus de dégoût. « Rogue ! Pourquoi lui ? »
« Le Professeur Rogue, Harry, » le corrigea Dumbledore. « Et après tout, il était à Poudlard avec ta mère, tout comme le Professeur Lupin. » Il jeta un regard dans la direction d'Hermione, et elle comprit le message.
« La Lily du tableau a été peinte pendant sa sixième année, Harry, » lui expliqua t'il. « Elle travaillait avec le Professeur Rogue en cours de Potions, et ils étaient bons amis à ce moment. » Harry secoua furieusement la tête, mais Hermione savait qu'il devait entendre ce qu'elle avait à dire. « Oui, Harry, ils étaient amis, et je peux te dire qu'il tient beaucoup à elle. Nous avons eu un problème avec le sort, et je suis allée chercher de l'aide. Dès qu'il l'a vue, il l'a emmenée chez Madame Pomfresh et il a fait tout ce qu'il a pu… »
Harry avait arrêté d'écouter. Il attendait qu'Hermione se taise. « Quand est-ce que je peux la voir ? »
Dumbledore sourit doucement. « Dans une minute. » Le visage de Harry s'illumina d'excitation. « Son apparence a été modifiée pour la déguiser. Je suis sûr que tu comprends pourquoi. Harry acquiesça vivement. « Elle sera admise à Poudlard sous le nom de Lily Jones, une étudiante de sang-pur venant du Canada. Elle comprend le besoin de finir son éducation. Elle est également au courant pour l'Ordre du Phénix. » Son regard se tourna inexorablement vers Hermione, plein de reproche.
La porte du bureau s'était ouverte, et Lily entra tranquillement dans la pièce. Harry se leva aussitôt, et tous deux se regardèrent un long moment.
« Maman ? » réussit à demander Harry.
Lily vacilla. Elle répondit doucement, « Tu dois être Harry. J'ai ton âge, et je ne suis pas vraiment ta mère. » Elle vit son regard perdu et ajouta rapidement, « Tu peux penser à moi comme à sa sœur jumelle. Génétiquement, nous sommes identiques, mais nous avons eu des vies différentes. Je suis là pour t'aider, toi et tous ceux qui combattent Voldemort. » Elle le regarda de nouveau, et dit brutalement. « Je suis désolée si ça te fait de la peine. Tout ça est assez bizarre pour moi aussi. Remarque, j'ai demandé à être là. Je ne pouvais pas rester dans ce tableau, à voir mes amis vieillir sans pouvoir les aider alors qu'ils avaient besoin de moi. »
Harry la dévisageait, non plus avec tristesse, mais avec une curiosité avide. « Ta voix est vraiment comme ça ? »
Lily eut un petit rire. « C'est le déguisement du Directeur. La couleur des cheveux et des yeux aussi.»
« Ca te fait ressembler… au Professeur Rogue. »
Dumbledore intervint. « Encore un moyen de protéger sa véritable identité. »
Harry demanda, le regard toujours fixé sur Lily. « Tu es dans quels cours ? »
« Je le sais à peine moi-même. » Elle se tourna vers Dumbledore. « Voyons, vous m'avez donné de livres pour la Transfiguration, les Charmes, la Défense contre les Forces du Mal, les Potions, l'Arithmancie, les Runes… et l'Histoire ! que sont devenues l'Herbologie et les Etudes moldues ? Pourquoi est-ce que je suis condamnée à plus de cours du Professeur Binns ? »
Dumbledore fit remarquer sans conviction. « Si tu es toujours intéressée par ton projet, un ASPIC en histoire te donnera plus de crédibilité académique. Et il n'est pas recommandable, en tant que sang-pur, que tu suives le cours d'Etudes Moldues pour le moment. »
« Ca nous fait toujours quatre classes ensemble. » Harry sourit. « Ca va être formidable. Quand est-ce que tu viens t'installer à la Tour Gryffondor ? »
« On doit d'abord attribuer une maison à Mademoiselle Jones , Harry. » dit Dumbledore. « Je suis sûr que tu comprends. La cérémonie aura lieu ce soir. Lily et moi devons encore voir le Professeur Lupin pour mettre au point quelques détails de son histoire. »
Hermione se leva, se disant que, l'un dans l'autre, les choses auraient pu être pires. « Eh bien, Professeur, tout semble s'arranger pour le mieux. Ce sera formidable que Lily nous rejoigne ce soir… »
« Une dernière chose, Mademoiselle Granger, » dit Dumbledore avec gravité. « Nous n'avons pas encore parlé de votre punition. »
Les trois élèves se figèrent. Hermione demanda faiblement « Ma punition ? »
« Oh, oui. C'est indispensable, j'en ai peur. Rien qui ressemble à la perpétuité à Azkaban, mais néanmoins quelque chose de suffisamment mémorable pour que vous vous souveniez à l'avenir de réfléchir avant d'agir. Je suis assez impressionné par la potion que vous avez assemblée. Il me semble qu'un tel talent ne doit pas rester inexploité. C'est pourquoi vous assisterez le Professeur Rogue chaque vendredi soir jusqu'à la fin de l'année. Je suis sûr qu'il a beaucoup à vous apprendre. »
Hermione en était bouche bée. « Vous voulez dire que je vais être le larbin du Professeur Rogue, son esclave concernant les Potions pour les six mois à venir ? »
Dumbledore était parfaitement calme. « Oui, c'est ça. C'est une opportunité extraordinaire. Ça pourrait même vous amener à devenir son assistante l'année prochaine, et qui sait, son apprentie après la fin de vos études ? »
Harry et Hermione le regardaient avec une incrédulité horrifiée.
Lily secoua la tête. « Ce n'est pas juste qu'elle soit punie et pas moi. »
Dumbledore ne sourit pas. « Vous n'avez pas assemblé la potion. Elle si. »
-----
Pour tout le monde, ce n'était qu'un soir ordinaire à Poudlard. Harry et Hermione, cependant, descendirent dîner fiévreux d'anticipation. C'était douloureux de garder un tel secret de Ron, mais il devait en être ainsi. Il était encore plus douloureux de devoir lui cacher qu'il y avait un secret. Hermione regarda Harry, et vit qu'il avait fait un effort de présentation ce soir. Sa robe était impeccable, ses cheveux brossés aussi bien que possible, et il brillait presque tant il était propre.
Jamais il n'avait fallu si longtemps pour que les élèves prennent place à table. Jamais il n'avait fallu aussi longtemps pour que les Professeurs s'assoient. Enfin, Dumbledore se leva et demanda leur attention.
« J'ai le plaisir de vous annoncer qu'une nouvelle élève se joint à nous ce soir. Lily Jones arrive à Poudlard, en provenance de la Pension Medicine Hat, au Canada, et elle sera en sixième année. Je sais que vous l'accueillerez tous chaleureusement dans sa nouvelle école. » Il regarda la porte du Grand Hall. « Mademoiselle Jones, nous allons maintenant vous attribuer votre nouvelle Maison. »
Lily traversa le Grand Hall, la tête haute, sous les regards anxieux de Harry et Hermione, inquiets de Rogue et Lupin, et des autres Professeurs au courant de son identité ; elle ignora les commentaires des élèves, spécialement ceux des garçons les plus âgés.
Elle arriva au tabouret situé devant la table des Professeurs et s'assit gracieusement. Le Professeur McGonagall, après une brève hésitation, lui tendit le Choipeau, et Lily l'enfonça sur sa tête.
Il y eut un silence tendu. C'était toujours un moment intense à Poudlard, et presque tout le monde voulait en profiter au maximum. Le silence se prolongea. Hermione voyait une variété d'émotions se succéder sur le visage de Lily, et se demanda ce qui se disait.
Lily, assise devant toute l'école assemblée, offrait un visage serein, alors que son esprit était agité, après les premiers mots qui lui avaient été adressés :
« Ah, c'est un esprit dans lequel j'ai déjà regardé ! Comment ? Tu es de retour ? Je t'ai mise à Gryffondor la dernière fois, pas vrai ? Oh, oui, je n'oublie jamais un esprit que j'ai rencontré ! Tu es très courageuse, c'est vrai ! Très intelligente aussi, je me souviens que j'avais pensé à Serdaigle un instant… Mais non ! Tu es trop agressive pour eux ! Voyons, toujours aussi téméraire, et tu veux faire encore mieux cette fois-ci ! Tu es pleine d'ambition ! Et tu es ici sous un faux nom ? C'est très rusé ! »
« Je ne suis pas rusée ! »répondit Lily, ennuyée. « C'est un subterfuge pour que je puisse revenir à Poudlard et me prépare à combattre ce terrible Oldy… euh ,tu le connais sous le nom de Tom Jedusor ! Et je ne peux pas utiliser mon vrai nom, parce que personne ne doit savoir qui je suis ! »
« Très, très malin, » insinua le Choipeau. S'il avait eu un véritable visage, Lily aurait voulu le frapper. Il susurra, « et très ambitieuse, aussi, si tu veux te mesurer à Tommy ! Peut-être que Serpentard est la Maison qu'il te faut ! »
« Je ne suis pas de sang-pur, je n'ai rien à faire là-bas ! »
« Mais ils n'en sauront rien, pas vrai ? Tu te présentes ici comme une sang-pur, et ils ne pourront pas vérifier ! Tommy n'était pas un sang-pur, lui non plus, tu sais. L'ambition et la malice valent plus que le sang à mon avis. Et puis, ça fait un moment que j'ai mes doutes sur la façon dont les Maisons sont divisées. Tu serais bien à Gryffondor, au milieu des autres lions, mais tu iras plus loin dans l'achèvement de tes projets… à SERPENTARD ! »
La table de Serpentard explosa en acclamations. Les filles n'étaient pas si ravies, mais les garçons se poussèrent discrètement pour faire de la place à leur nouvelle camarade. Drago Malefoy, même si son prestige avait nettement diminué avec la chute de son père, était toujours quelqu'un à prendre en compte, et Mademoiselle Jones se retrouva bientôt assise à ses côtés. Blaise Zabini, suave et soigné, avait cependant réussi sans opposition à se faire une place de son autre côté. Les deux garçons s'entre-regardèrent avec circonspection, mais tous les deux approuvaient les façons polies et l'apparence de la nouvelle Serpentard de sang-pur.
Harry et Hermione étaient bouche bée. Ils se regardèrent avec confusion et déception, puis levèrent les yeux vers la table des Professeurs. Rogue était aux anges. Lupin était l'image même de la mélancolie résignée. McGonagall, Flitwick et Chourave paraissaient tous étonnés. Mais la réaction la plus intéressante était de loin celle du Professeur Dumbledore. Il semblait sincèrement ravi ; il croisa le regard de Harry et lui fit un sourire discret.
Le dîner commença. En s'empiffrant, Ron donnait son opinion haut et fort.
« Eh bien, » déclara t'il. « Ca nous fait une saleté de Serpentard supplémentaire sur qui garder un œil ! Vous l'avez vue ? Se pavanant comme si elle était chez elle ? Et c'est le portrait craché de Rogue. Probablement sa fille cachée, ou sa nièce, ou sa grand-mère, ou Dieu sait quoi ! Tous les Jones sont des criminels de toute façon, alors elle sera dans son élément. »
Harry avait l'air malade. Hermione décida de mettre fin à ce genre de discussion immédiatement. « Arrête, Ron ! Tu ne sais rien d'elle ! Elle est certainement tout à fait bien. Le Choipeau met les gens à Serpentard parce qu'ils son ambitieux, et il n'y a rien de mal à ça ! Tu pourrais faire avec un petit peu plus d'ambition, d'ailleurs ! » Elle trouva la main de Harry sous la table et la pressa doucement.
Harry regarda son assiette, et murmura à voix basse dans l'oreille d'Hermione « Le Choipeau voulait me mettre à Serpentard moi aussi. »
Elle lui lança un regard étonné, et décida de tirer le meilleur parti de la situation. Elle lui répondit dans un souffle « C'est peut-être une bonne chose. Ça aidera à protéger son identité, et nos aurons une amie chez les Serpentards. On n'a jamais eu personne chez eux avant. Tu as vu que Dumbledore n'était pas contrarié. Je suis déçue, moi aussi, qu'elle ne soit pas à Gryffondor avec nous, mais ça pourrait être une très bonne chose ! »
Rogue appréciait son dîner avec un plaisir inhabituel. Lily serait dans sa propre Maison. Je pourrai ouvertement la favoriser. Je pourrai lui donner des points. Potter aura moins d'occasions de la transformer en mère poule. Ca pourrait être une très bonne chose.
------
ndA : Oui, Lupin est Professeur de Défense contre les Forces du Mal. Pour un certain nombre de raisons. 1) Je veux qu'il soit à Poudlard pour des raisons de tension dramatique, 2) Je ne veux pas utiliser un Auror du Ministère comme Tonks, Foloeil, ou Shacklebot, parce que maintenant que le monde est au courant du retour de Voldemort, le Ministère ne peut pas se passer d'eux, 3) avec le monde magique britannique en état d'urgence, des concessions ont été faites au sujet de Lupin, dont on sait qu'il a combattu Voldemort au Département des Mystères.4) Je ne voulais pas utiliser un personnage original, 5) Même le Ministère reconnaît maintenant qu'ils ont besoin d'un Professeur compétent en Défense, 6) Je l'aime bien et je voulais qu'il soit dans mon histoire, même dans un petit rôle.
