Série : Harry Potter

Auteur : Polly Pocket

Sirius : PWAHAHAHAHAHA

PP : ta gueule ¬¬ j'ai ta vie entre mes mains.

Sirius : Même pas vrai ! et puis, Rowling s'est chargée de me tuer, sale traîtresse cette JK .'

PP : XD héhéhé, qui te dis que j'aurais pas, je sais pas moi, une petite envie de te ressuscité, dans une autre fic.

Sirius : tu n'oserais pas ! o.O

PP : SIII ! XD (bouhouhouhou é.è même si il y a déjà un tas de personnes qui l'ont fait avant moi !)

Mail : : euh…Drama, Suspense

Couple : Aucun, nada, nul, nothing (Un petit Siri/Détraqueur p-e?)

Sirius : Non mais t'es malade ?

PROLOGUE

Sirius se réveilla ce matin-là avec deux certitudes. D'abord, qu'il ne devrait plus jamais boire aussi fort de sa vie. Se réveiller avec une migraine, qui faisait penser à un millier d'esprits frappeurs s'amusant à jouer du tam-tam avec son cerveau, n'était pas des plus agréables. La secondes certitudes qu'il avait eu à l'instant même où il ouvrait les yeux fut, qu'aujourd'hui, il tuerait quelqu'un. Mais, de manière générale, il ne se souvenait pas du pourquoi de sa beuverie, ni de qui il allait tuer…

Au prix d'un effort colossal, Sirius réussit à s'extirpé du canapé et se diriger vers la salle de bain. Tout autour de lui, des bouteilles de whisky pur-feu gisaient au sol comme des soldats dans un champs de bataille. Mais Sirius s'en moquait un peu pour le moment, tout ce qu'il voulait s'était prendre une bonne douche. Ce n'est pas parce qu'il a une migraine affreuse qu'il était obligé de ressembler à Rogue !

Dix minutes plus tard, le sorcier ressortit de la salle de bain en robe de chambre. Il n'était pas plus frais, pas plus dispos mais, au moins, il était propre ! D'un pas encore un peu chancelant, la main collée contre son front en espérant stopper la migraine qui l'assaillait de plus belle, Sirius réussit à atteindre la cuisine de son petit appartement(1) et à préparer un café digne de ce nom. Le mal de tête s'affaiblit considérablement après la troisième tasse.

Dans une forme déjà plus rayonnante, quoique à peine, il se leva pour accueillir le maudit piaf qui cognait à sa fenêtre en présentant le journal. En se dirigeant vers la fenêtre, il percuta une chaise qui accrocha le poêle et il reçut la bouilloire dans le dos. À croire que tout c'était ligué pour se débarrasser de lui au plus vite. Au moins, la douleur qui assaillait son petit orteil, celui qui avait fait la terrible rencontre avec le mobilier, l'avait assez réveillé pour qu'il pense à payer le hibou.

De manière nonchalante, Sirius jeta le journal sur la table avant de préparer son petit déjeuner, en l'occurrence un bol de céréales avec jus d'orange. Satisfait, Sirius se rassit, commença à mâcher son déjeuner et empoigna le journal en date du 1er novembre pour le lire (2). Heureusement qu'il était bien assis sur sa chaise car sinon il se serait retrouver sur le sol de sa salle à manger. La première page lui avait fait un choc.

En très gros caractère, il y avait écrit :

Celui-dont-on-ne-doit-pas-pronnoncer-le-nom est mort : Harry Potter est le Survivant (3)

C'est arrivé la veille au soir dans la petite ville de Godric's Hallow où vivait James et Lily Potter en compagnie de leur fils, âgé de un an à peine, Harry. Même si les circonstances sont encore inconnues, le Ministre, M. Perlin, (4) a annoncé dans une conférence de presse ce matin que Celui-dont-on-ne-doit-pas-pronnoncer-le-nom fut définitivement rayé de la carte hier soir dans les alentours de 22 heures. Une date mémorable dans les esprits de tous.

« Je peux vous affirmer que nous n'en entendrons plus jamais parlé, annonça le Ministre à la presse et à la population. Pour une raison que l'on ignore, le jeune Harry Potter a belle et bien anéanti Vous-savez-qui. »

L'enquête mené par les aurors nous permet de reconstituer la scène du drame qui s'est déroulé ce soir-là à Godric's Hollow. Les voisins, moldus, affirment avoir vu une silhouette, Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom de doute évidence, se diriger vers la maison de M. et Mme Potter. À son approche, James Potter aurait ordonné à son épouse de prendre leur fils unique, Harry, et de s'enfuir par la porte arrière pendant que le père de famille retiendrait le funeste mage noir. De toute évidence, Mme Potter n'eut jamais le temps d'accomplir les dernières volontés de feu M. Potter.

À leur arrivé, les autorité ont retrouvé le cadavre de James Potter dans le salon et celui de sa femme dans la chambre du bébé qui avait disparut. À côté du corps de feue Lily Potter, les aurors ont ramassé une robe, noir.

Quelques heures plus tard, l'imminent professeur Dumbledore, directeur de l'école de sorcellerie Poudlard, à affirmer qu'il avait confier le jeune Harry Potter à un homme digne de confiance et qu'il le confirait, avec l'accord du ministère de la magie, à l'oncle et la tante moldus du bambin.

« Je ne doute pas un instant, affirma l'auguste professeur, que la meilleure place pour le jeune Potter est la demeure de sa famille. Cet enfant, si célèbre deviendra-t-il dans un futur proche, a droit à une enfance normal, loin des regards admiratifs de notre communauté. »

De nombreux pédagogues et psychologues de Ste-Mangouste appuient les dire du professeur.

Ce soir, nous burons à la santé d'Harry Potter, le Survivant.

Témoignages des voisins p.2

Entrevue avec le ministre de la Magie p.3

Résumer de l'ascension de la menace de Vous-savez-qui p.5

Blablabla (5)

Sirius en avait oublié son déjeuner. Tout lui revenait en mémoire, maintenant. Il se souvenait de ce qu'il avait fait la nuit précédente. Il s'était rendu chez Peter pour s'assurer que tout allait bien. Mais il n'y avait personne. Sans raison particulière, il sut tout de suite que quelque chose s'était produit. Quelque chose de grave. Il avait alors enfourché sa moto et s'était envolé en direction de Godric's Hollow. Il était déjà trop tard. La maison de son meilleur ami était déjà en ruine. Devant le sinistre spectacle, il n'avait pas hésiter, il s'était jeté sur les décombre et c'était mis à tout repousser dans l'espoir d'apercevoir un signe de vie. Il n'avait pas cesser d'hurler le nom de James et de Lily. Au bout de ce qui lui avait sembler une éternité, Hagrid l'avait finalement rejoins, Harry dans ses bras. Le reste était confus. Il se souvenait d'avoir fondu en larme dans les bras du géant avant de lui demander la garde de Harry, qui lui avait été refusé. Alors il lui avait prêté sa moto. Pour être utile. De toute façon, il n'en aurait plus besoin pour rendre James vert de jalousie et faire lever les jolis yeux de Lily.

Il n'avait aucune idée de comment il était rentré. Mais, de toute évidence, il était rentré assez tôt pour avoir le temps de vider toute sa réserve de Whisky pur-feur. Maintenant il se rendait encore plus à l'évidence. Il avait tout perdu, tout ce pourquoi il s'était battu. Certes, il n'y avait plus de Voldemort mais il n'y avait plus de James non plus, plus de Jolie-Lily à énerver, plus de Harry à faire rire. Remus tomberait dans la dépression, lui aussi. En tuant Lily et James et en enlevant Harry, on avait tué les maraudeurs. Mais Sirius était résigné. Aujourd'hui, il tuerait le traître, il tuerait Peter Pettigrow, le sale rat.

D'un coup, Sirius n'eut plus faim, il se leva et alla s'habiller. En sortant il prit son manteau et sa baguette magique. Peu importe où était Peter Pettigrow, il le retrouverait.

Polly : on peut lui lancer une bonne main d'applaudissement

Polly : Attention chéri, tu risques de te fouler le cerveau

Sirius : Va chi…

Polly : reste… POLLY ! (jeu de mots poches)

Sirius : ouin ¬¬

franchement… je préfère en anglais : The-boy-who-lived… c'est quand même plus cool que le « survivant » !

Comme dans perlin-pin-pin XD Je sais bien, ce n'est pas son nom… mais je ne me souviens plus qui était ministre de la magie à cet époque-là ' (on serait bien porté à croire que c'était Barty Coupton mais il était directeur du département de la justice, je crois… ou quelque chose comme ça)

ERRRRR … nul comme article de journal '

Polly regarde le chapitre

Polly : TT errrrr… j'arrive pas à croire que je pourrais peut-être, jour, publier cet horreur !

Sirius : je te rappelle qu'on parle de moi là-dedans ¬¬

Polly : pfft… c'est complètement crétin, ça ne marchera jamais ! Le Flash-Back est nul, l'article de journal est nul ! et il n'y a que les trois premiers paragraphes(écrit v'la trois mois) qui sont potables. Je produis VRAIMENT que des navets TT

Sirius : On est au moins d'accord là-dessus .'

Well, j'le publie quand même. À moi la honte et la déchéance !

Au faite, j'vous rappelle que ya un piton mauve écrit go dessus alors, à ceux qui ont atteint le fond, envoyer-moi une reviews.