HARRY POTTER ET LE SOUFFLE DU TEMPS
Disclaimer : L'univers et les personnages d'Harry Potter sont l'œuvre exclusive de J.K.Rowling.
Chapitre 8 : La statue de marbre
Il était tellement beau, si adorable, si fragile et fort en même temps. Elle ne pouvait s'empêcher de l'observer, lui, semblait visiblement très mal à l'aise et ne cessait de lui jeter des coups d'œil inquiets… Elle avait envie d'en rire ! Il était gêné à cause d'elle parce qu'elle le regardait ! Il était si mignon… Que lui avait-elle donné à faire déjà ? Ah, oui ! Ecrire un exposé sur les trahisons dans l'Histoire. Pourquoi avait-il tressaillit lorsqu'elle lui avait donné le sujet de sa punition ? On, non ! Comment avait-elle pu lui faire ça ? Elle avait oublié que son père et sa mère avaient été trahis par leur ami… Comment pouvait-elle être aussi maladroite ? Pourrait-il lui pardonner un jour ce qu'elle a fait? Mais il devait savoir, elle ne pouvait lui parler mais elle pouvait le mettre en garde. Il fallait qu'il commence à se poser les bonnes questions. « Méfies-toi Harry, fais attention à toi, l'ennemi a bien des masques »… Et elle sera là pour l'aider.
« Professeur Sarah ? J'ai terminé mon exposé, je partir maintenant ?' » Lui demanda le jeune homme soudainement, la stoppant net dans le cours de ses pensées.
« Oui, vous pouvez y aller à présent Monsieur Potter. Bonne nuit. » Lui répondit-elle de cette manière sèche et détachée qu'elle avait su prendre depuis des années.
Elle n'avait pu s'en empêcher. Elle savait qu'Harry était innocent mais elle l'avait accusé. De quoi ? De rien du tout en fait, une stupide comparaison avec une traîtresse psychopathe du nom de Dolorès Ombrage. Elle se fichait complètement de cette femme, mais elle avait utilisé ce prétexte pour se retrouver seule avec lui, elle voulait le voir, elle voulait qu'il la regarde, qu'il lui parle, elle voulait lui parler également mais elle s'était sentie si lâche, elle ne pouvait rien faire, elle se devait de garder le silence…
Après le départ de Harry, elle se sentit si seule… Il lui avait toujours manqué une présence chaleureuse pour égayer sa vie, enfin peut-être pas toujours. Elle avait été heureuse quelques temps mais c'était il y a longtemps, on lui avait retiré le droit au bonheur. En fait, elle était certaine qu'elle ne méritait pas d'être heureuse, ni d'aimer ni d'être aimée… Elle se sentit oppressée, il fallait qu'elle sorte, la fraîcheur de cette nuit devrait la soulager de ses démons. Elle traversa doucement les couloirs de Poudlard, silencieusement, seuls les froissement de sa robe contre les murs se faisaient entendre. Puis elle arriva dans le parc, il faisait froid et elle était habillée très légèrement, elle n'avait pas prit son manteau mais qu'importe, elle voulait sentir le froid sur son corps, elle voulait sentir tout court…
Un vent se leva, la soulagea un peu, elle défit ses cheveux qui retombèrent lourdement sur ses épaules. Elle voulait que le vent s'engouffre dans sa chevelure, qu'il pénètre sa tête, qu'il annihile ces souvenirs qui la faisaient si atrocement souffrir depuis si longtemps. Etait-elle vivante ? Elle ne le savait pas, peu de chose la faisait réagir, elle n'avait pas peur, ni ne sentait la morsure du froid ni n'avait anticipé la main qui se posa sur son épaule. Mais elle reconnut la voix de son propriétaire :
« Je vais vraiment finir par croire que vous préparez un mauvais coup ! Qu'est-ce que vous faites dehors à cette heur… » Commença-t-il mais il s'arrêta la contemplant.
Elle s'était retournée vers lui, il s'était attendu à voir un visage froid et supérieur, au lieu de ça il aperçut des yeux baignés de larmes.
« Qu'est-ce qui se passe ? Vous allez bien ? » Lui demanda-t-il, semblant sincèrement s'inquiéter de l'état de la jeune femme.
Il attendait une réponse, qui ne vint pas, et il la regarda vraiment. C'est la première fois qu'il la voyait véritablement. Avant, elle le mettait hors de lui, un regard posée sur elle lui suffisait pour se mettre en colère et se rappeler sa suffisance et son ton méprisant, son insolence et son… Mais la femme qui était devant lui, n'avait plus rien de la statue de marbre qu'était d'habitude le professeur Sarah, il la trouvait belle, si vulnérable et forte à la fois, si fragile et dangereuse en même temps, mais surtout terriblement attirante… Il tenta de chasser les pensées lubriques qui traversèrent son esprit et reprit une certaine contenance face au mutisme de la jeune femme. Il enroula délicatement son bras autour de ses épaules, presque timidement ne sachant quelle pouvait être sa réaction devant un tel geste.
Puis il l'accompagna jusqu'à la cabane de l'ancien garde-chasse de Poudlard, le cottage de Hagrid, à la différence que cette modeste demeure était désormais celle de Charlie Weasley, il en avait hérité au même titre que son poste d'enseignant. Il ouvrit la porte sans cesser de la contempler, il attendait toujours une réaction de sa part mais elle ne disait rien. Il sourit un instant en pensant qu'il avait peur d'une femme. Pourtant il devait bien s'avouer que sa charmante collègue n'avait rien à voir avec les nombreuses conquêtes qui s'étaient succédées dans sa vie… et dans son lit. Il se savait beau, il se savait drôle et irrésistible, jamais aucune femme n'était resté insensible à son charme, et si jamais l'une faisait mine de résister, il trouvait toujours le moyen de découvrir ce qui la faisait immédiatement fondre et abandonner toute résistance. Mais Sarah, c'était bien autre chose, elle ne semblait pas apprécier ses nombreux atouts. Il ne savait même pas si elle était y était sensible, aucune lueur d'admiration dans ses yeux, aucun sourire impressionné…
Il la fit s'asseoir sur un fauteuil qu'il rapprocha près de la cheminée dans laquelle il s'empressa d'allumer un feu pour la réchauffer. Avec la lumière qui se diffusait à travers la pièce, Charlie pu détailler la jeune femme. Soudain il eut très chaud, elle était belle, attirante et terriblement sexy dans sa robe, à l'instant, dans cette pièce… avec lui. Dans d'autres circonstances, il l'aurait déjà convaincu par d'habiles caresses et des baisers brûlants de s'abandonner totalement à lui. Il devait se rendre à l'évidence, qui s'imposa facilement à lui, il la désirait, là, maintenant. Pourtant, il était aussi un enseignant de Poudlard et un membre de l'Ordre du Phoenix, il se devait donc d'accomplir son devoir et d'en savoir davantage sur cette étrange jeune femme, pouvait-elle être dangereuse :
« Vous ne m'avez pas répondu tout à l'heure. Que faisiez-vous à une heure pareille dehors ? » Demanda-t-il le plus doucement possible en s'approchant d'elle. Il la couvrit d'une couverture, et reculait lorsqu'elle attrapa son poignet pour l'empêcher de s'éloigner. Surpris, il la regarda l'interrogeant du regard :
« Faites moi l'amour Charlie… » Murmura-t-elle d'une voix qu'il ne lui connaissait pas. Il l'avait entendu, mais il pensait avoir mal compris, et mis cela sur le compte de son excitation, il se ressaisit :
« Reposez-vous. Je vous poserais des questions plus tard et vous… »
« Faites moi l'amour Charlie… maintenant. » l'interrompit-elle d'une voix suppliante.
Il ne dit rien, ne réagit pas, l'observant seulement. Il avait compris mais n'osait rien faire, qu'aurait-il pu faire d'ailleurs ? Qu'aurait-il dû faire ? Elle se leva doucement, repoussant la couverture et se tint debout devant lui. Elle ne pleurait plus. Elle leva ses mains vers le visage de Charlie lui caressant lentement les joues, il ferma les yeux luttant intérieurement entre raison et instinct. Ses mains quittèrent son visage, il ouvrit les yeux, ses mains se dirigèrent vers sa robe, ses mains firent glisser les bretelles et la robe tomba le long de son corps. Charlie tressaillit, un instant, la regardant, la détaillant de ses yeux remplit de désir, de son corps gonflé d'excitation. Elle le regarda, ses yeux étaient inexpressifs, elle était là sans y être, seule la carnation de son visage révélait son état d'esprit. Ses joues avaient pris des nuances de rose, était-elle gênée ?
N'y tenant plus, Charlie attrapa Sarah et l'attira à lui doucement. Il prit son menton et approcha son visage du sien, il l'embrassa rudement et elle gémit. Elle se recula un instant, surprise, ses yeux brûlaient, elle le fit basculer sur le fauteuil et s'installa à califourchon sur ses genoux et, tandis qu'elle passait ses jambes autour de la taille de Charlie, elle murmura pour elle-même :
« Ce soir je veux sentir… »
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Le soleil était déjà bien levé, et ses rayons traversaient la chambre de part en part. La pièce était plus qu'éclairée à présent. Comment ne s'était-elle pas réveillée avec toute cette lumière, elle d'habitude si sensible au passage de la nuit au jour ? Elle se frotta les yeux, et sentit son corps endolori. Elle avait mal sans que cela soit douloureux, bien au contraire… Elle voulut s'étirer pour soulager cette sensation de délicieuses courbatures, mais quelque chose la gênait… Un poids sur sa jambe.
Elle tenta de se libérer de cette pression velue, mais alors qu'elle faisait mine de se libérer, deux bras puissants l'entourèrent et la serrèrent contre un torse musclé aux reflets cuivrés. Cette chaleur. Cette odeur. Cette étreinte. Elle reconnaissait tout cela. Elle avait aimée cela. Elle plaqua ses mains sur son torse et s'amusa en enroulant la fine toison autour de ses doigts tout en effleurant une peau bronzée et luisante. Il tressaillit sous sa caresse et gémit. Perplexe, elle leva la tête et rencontra deux émeraudes brillantes et brûlantes. Il sourit. Elle y répondit en se hissant jusqu'à son visage et en déposant sur ses lèvres un baiser. Il la serra davantage encore et bascula sur le dos pour la hisser sur son corps tout en approfondissant le baiser.
Ce fut à son tour de gémir alors qu'il caressait lentement et délicatement son dos. Elle n'avait qu'une envie, s'abandonner encore et encore entre ses bras. Quand son désir pour elle devint manifeste, elle rougit. Savoir qu'il avait envie d'elle, sentir cette preuve indéniable qu'il voulait l'aimer la bouleversait et l'émoustillait complètement. Sentant son accès soudain de timidité, il passa au-dessus d'elle en riant franchement. Elle qui d'habitude ne supportait pas de se trouver en situation de dominée, quelle qu'elle soit, devait s'avouer qu'il était extrêmement agréable et excitant de sentir le corps du jeune homme contre le sien. Elle écarta les jambes pour le sentir au plus près d'elle. Il parcourait le corps de la jeune femme de ses mains puissantes et habiles inlassablement, la faisant haleter chaque fois un peu plus.
Un bruit à la fenêtre les fit sursauter tous les deux. Mais ils avaient beau ignorer ce bruit, celui-ci persistait au point d'en être insupportable. Finalement, il se sépara d'elle à contrecoeur et se leva pour se diriger vers l'origine de ce bruit. Il ouvrit la vitre et un vieil hibou gris entra, déposa une lettre, et s'envola en direction de la volière de l'école. Il lu rapidement le message puis le posa sur une table avant de retourner à sa partenaire avec un regard qui en disait long sur ses intentions de poursuivre les activités interrompues…
« Rien d'important. Ma mère qui me rappelle de garder un œil sur les enfants. Alors où en étions-nous ? » Demanda-t-il l'air coquin tandis qu'il s'allongeait aux côtés de la jeune femme et commença à glisser ses mains contre son corps.
Garder un œil sur les enfants. Protéger Harry… Comment avait-elle pu se laisser aller de cette manière. Elle se tendit et le repoussa. Il tenta de se rapprocher encore pour l'embrasser, mais une fois de plus elle s'y refusa. Surpris, il ouvrit la bouche, se préparant manifestement à parler. Non ! Il ne fallait pas qu'elle l'écoute ! Si elle entendait le son de sa voix, elle n'aurait plus la force de partir ! Pourtant elle devait le quitter maintenant ! Elle devait tout quitter bientôt, elle ne pouvait pas, ne pouvait plus s'attacher. Elle s'éloigna rudement de lui et se leva. Soudain, elle eût froid. Elle avait quitté la chaleur de ses bras, la chaleur d'une nuit, la chaleur de toute une vie. Lui était totalement hébété. Que lui arrivait-elle ? Il avait tenu entre ses bras la plus brûlante et la plus vivante des femmes et, à présent il se retrouvait devant une statue de marbre…
« Où cours-tu comme cela ? »
Elle tressaillit. Il avait parlé et elle l'avait entendu. Cette voix si chaude, si grave, si sensuelle … Oh Dieu qu'elle aimait cette voix ! Il l'avait fait vibré cette nuit. Cette nuit, elle s'était sentie belle, désirable, ordinaire. Cette nuit, elle avait crû mériter ce bonheur. A présent, la magie de l'obscurité n'était plus et la vérité, sa vérité lui surgit dans toute son horreur. Qu'avait-elle fait ! Elle n'avait pas le droit ! Il fallait qu'elle s'en aille vite ! Il fallait qu'elle parte sans le regarder, sans lui parler. Elle ne voulait pas lui faire du mal, mais elle serait obligée de revêtir à nouveau ce masque glacial qu'elle détestait tant s'il ne la laissait pas s'en aller. Oui elle lui ferait du mal s'il ne voulait pas oublier cette nuit. Elle voulait oublier sa faute. Maintenant, elle était d'autant plus gênée, qu'elle était nue et qu'il l'observait, la détaillait avec un regard où se confondaient désir, surprise et… Non ! NON ! Elle ne voulait pas savoir la raison de cette lueur étrange ! Elle prit ses sous-vêtements et enfila son shorty, mais elle s'empêtra en tentant de mettre son soutien-gorge. La nervosité, son regard la rendaient d'autant plus gauche. Il réalisait que quelque chose n'allait pas, mais quoi ? Après cette nuit, il pensait qu'elle serait aussi heureuse qu'il l'était lui-même.
« Hey ! Qu'est-ce qui t'arrive ? Quelque chose ne va pas ? » Demanda-t-il encore.
Elle tressaillit une fois de plus au son de sa voix. Partir vite. Partir sans le regarder encore. Partir maintenant ! Elle cherchait sa robe du regard et rougit lorsqu'elle la retrouva près du fauteuil, se remémorant l'espace d'un instant, les circonstances de… Non ! « N'y pense plus! A cause de ta faiblesse, tu aurais pu tout faire rater ! A cause de toi, Harry aurait pu souffrir encore »… Elle mit rapidement sa robe et marcha vers la porte mais elle ne put l'ouvrir. Il avait été plus vif, il s'était levé brusquement et avait pour ainsi dire sauté sur elle et l'avait retenu par les épaules.
« Tu peux me dire ce qui se passe ? Je ne comprends pas ! As-tu peur de moi ? Je ne t'aurais jamais fais de mal… Je ne peux pas croire que tu ai pu croire un instant que… Mais enfin Sarah c'est toi qui m'as demandé de… »
Il s'arrêta, Sarah s'était retourné aussitôt et l'avait interrompu :
« Non ! Bien sûr que non ! Tu ne m'as pas violé ! J'étais consentante… plus que consentante ! »
Elle était bouleversée, ses yeux brillaient de larmes contenues, elle avait voulu le rassurer alors qu'elle devait lui faire mal pour avoir moins mal. Ses traits se figèrent d'un coup et son regard se fit froid et hautain, mais plus que sa physionomie glaciale ce furent les paroles qu'elle lui adressa qui lui firent l'effet d'un poignard plongé en plein cœur :
« Ne sois pas ridicule Weasley ! Hier soir j'avais froid et tu es le premier à avoir croisé ma route ! Ne te fais aucune idée sur cela… Dis-toi que cela n'a été qu'un bon moment. Tu m'excuseras mais à présent je dois partir, j'ai un autre rendez-vous et je suis en retard ! »
Elle avait froid ? Le premier à la croiser ? Seulement un bon moment ? Non ! Charlie ne pouvait pas croire à ce qui ne devait être qu'un mensonge. Celle qui s'était donné à lui cette nuit n'était pas calculatrice. Elle s'était abandonnée totalement, sans pudeur, sans retenue. Elle s'était laissée aimée pour la première fois. Elle était vierge, il le savait. Elle n'avait rien dit mais il l'avait senti. Comment pouvait-elle avoir une telle attitude alors qu'il était le seul… ?
« Je ne te crois pas Sarah ! Pourquoi réagis-tu de cette manière ? »
Il avait compris ! Il l'avait comprise ! Il était d'autant plus dangereux pour elle. Il fallait qu'elle s'éloigne de lui, peu importait s'il elle ne lui donnait pas de raisons valables. Loin de lui, elle pourrait réfléchir posément. Loin de lui, elle pourrait trouver la force de s'éloigner encore. Elle fit un mouvement vers la porte, mais une fois de plus une étreinte puissante l'en empêcha. Il ne voulait pas qu'elle parte. Du moins il voulait comprendre. Elle tenta de se débattre, lui ne démordait pas et l'entravait dans sa fuite tout en répétant inlassablement :
« Mais enfin Sarah ! Dis-moi pourquoi… »
Il en souffrait. Elle devait abréger cette scène. Elle se retourna vers lui et le regarda les yeux brillants de larmes contenues. Surpris, il la lâcha soudainement. Elle ouvrit la porte et avant de la refermer lui dit :
« Je t'en prie Charlie, laisse-moi. C'est tout ce que je te demande… »
Elle s'enfuit en courant, les larmes lui fouettaient le visage. Elle traversa le parc et entendit Charlie l'appeler de son nom qui déchira la sérénité de cette matinée :
« Sarah ! Attends… »
Fin de chapitre.
R.A.R. :
Griselle : Bonjour Griselle. Je suis ravie de constater que tu continues de me lire. A ce propos, je te remercie encore pour ta gentille rewiew pour mon autre fic « Une vie pour une vie », il est d'ailleurs fort possible que tu aie reçue ma réponse en plusieurs exemplaires : - ) Pour en revenir au « Souffle du Temps », je suis plus que satisfaite de voir que j'ai réussi à faire de Sarah un personnage mystérieux. Elle manipulerait son monde ? Tu n'es pas loin de la vérité, il va être question de manipulation et de machination dans cette fic. Un côté vélane ? Pourquoi pas. Pourtant je n'ai pas décrit Sarah, volontairement. Elle n'est pas présenté comme belle ou laide, je voulais la faire passer pour quelqu'un de tout ce qu'il y a de banal (avec le côté mystère en option)… qui sait Sarah pourrait être toi ou moi ? SarahSerena ? Je ne peux pas t'en dire plus pour le moment… mais je crois que les sentiments de Sarah dans ce chapitre démontre d'un certain attachement vis-à-vis de Harry… lequel, là est toute la question. Tu es toi aussi une admiratrice de Charlie ? Ce personnage me fait fantasmer à souhait ! On ne sait rien de lui, si ce n'est qu'il travaille avec des dragons (travail physique donc physique de rêve, non ?) Je m'en suis donné à cœur joie dans ce chapitre ! Merci encore.
Ce chapitre est, pour l'instant celui dont je suis le plus satisfaite, peut-être parce que je m'imaginais aisément être à la place de Sarah (oh oui Charlie !). J'espère que vous avez eu autant de plaisir à le découvrir que j'en ais eu à l'écrire (plaisir prête peut-être à confusion ? aurais-je dû utiliser « amuser » plutôt ?lol).
Parce que ce chapitre me tient particulièrement à cœur, j'espère que vous n'hésiterez pas à me laisser vos impressions ! Et ce d'autant que c'est le premier lemon (plutôt léger je vous l'accorde) que j'ai écris (bien avant d'autres fics)…
Et puis je pars en vacances pour 2 semaines, alors je suis contente de vous laisser sur ce chapitre… comment dire… savoureux ? Dès mon retour je m'atèle à la suite. Promis.
Bonnes vacances à tous ceux et toutes celles qui comme moi s'accordent un petit repos bien mérité !
A bientôt,
Severia Dousbrune.
