AFTERWARDS
Chapitre 2:
Eh vi, c à nouveau moi... Après pas mal de temps d'absence (dû à des pb d'infos qu'Hee-chan a pas voulu m'aider à résoudre --), je reviens parmi vous pour vous présenter le deuxième chapitre de Afterwards... J'espère qu'il va vous plaire !!! Lut'
PS 1: Je rappelle aux lecteurs que cette fic est présentée sous la forme d'un POV de mon Hee-chanounet d'amour à moi que j'aime...
Duo: Non, c mon Hee-chan
M.Non, le mien...
Duo: Le mien...
Deux plus tard: Le mien... Non, le mien...
M: Euh... Duo, c quoi c'te faux miniature?
Duo (regard sadique): Il est à qui Hee-chan?
M (pâle): Oups... Euh... J'passe?
Heero: Baka.
PS 2: Lisez la fic jusqu'à la fin SVP paske qu'y a des infos à la fin sur l'évolution des trad' alors jettez y un coup d'oeil... Machi.
Ce n'est qu'après environ huit mois que j'en eu assez de vagabonder et trouvais un travail dans une entreprise développement de jeux informatiques (1). Cela me permet d'utiliser mes connaissances en informatique d'une façon sans rapport avec mes activités en temps de guerre. Pas totalement – autant l'avouer, la plupart des jeux sont des jeux de guerre, et j'en sais plus qu'il n'en faut à ce sujet ! Plus d'une fois je suis intervenu pour donner un côté réaliste aux jeux que j'aidais à monter. C'est une petite entreprise, comme je l'ai dit, et je m'entends bien avec la plupart de mes partenaires.
J'ai acquis une petite maison près de l'océan et je passe mon temps libre à me mettre à la page. J'avais déjà commencé la première fois, avant que Réléna ne se fasse kidnapper. Je n'avais rien à craindre niveau financier -grâce à J et mon emploi était payant sans être trop exigeant. J'ai donc pas mal de temps pour me faire à des choses que j'aurai du apprendre plus tôt. Je regardais des films, lisais des livres, faisais toutes ces choses que je n'avais jamais eu la liberté de faire quand j'étais le Soldat Parfait (2).
Cela a été dur de laisser Perfect Soldier derrière moi, puis je me suis finalement rendu compte que je ne le pourrai jamais. Il sera toujours une part de moi, mais il n'a pas à être la seule part. Les choses devinrent plus faciles une fois que j'abandonnais l'idée de me défaire de lui.
Je pris également un chien. Ma maison était trop vide, bien que minuscule, juste avec moi. Valkyrie (3) est un chien à fourrure blanche et deux grands yeux marron. Elle est de parfaite compagnie –quelqu'un qui m'aime sans condition mais lorsque je l'ignore, scotché à mon PC (4).
J'ai laissé pousser mes cheveux, en dessous des épaules, et le gardent coiffer en une queue de cheval la plupart du temps. Je ne les coiffais jamais sans penser à Wufei et Duo. Peut-être est-ce la raison pour laquelle je les ai laissés pousser – pour mémoire. Je me demande pourquoi Duo les a laissé pousser, et me demande si ce n'est pas pour cette même raison.
Je changeais de nom. Heero Yui n'était qu'un nom de code après tout, et je pensais que quelque chose de différent me conviendrait mieux. Le temps a également eu son influence sur moi. J'ai finalement grandi un peu, j'ai élargi au niveau des épaules. J'ai passé pas mal de temps sur la plage, aussi ma peau est devenu d'une couleur or foncé et des mèches plus claires clairsement mes cheveux (5). N'importe qui ayant connu Heero Yui pourrait me reconnaître mais pas ceux qui n'ont fait qu'apercevoir le pilote 01 sur une photo de journal.
Ma vie est calme et paisible et je l'apprécie. Ce n'est pas vraiment tout ce que je souhaitais, mais je sais qu'il faut en profiter plus que désespérer. J'ai une maison, un chien, un boulot, et des personnes que je peux appeler amis –même si ce ne sont pas de amis intimes. Je me dis que c'est assez, et j'y tiens.
Parfois la nuit, le silence m'entoure, alors je sors sur le porche et regarde dans le ciel là où se tient L2, hors de mon atteinte.
Je n'ai pas contacté les autres, malgré la promesse faite à Duo. Je ne pense pas qu'il veuille entendre parler de moi et je ne veux pas forcer les autres à choisir entre nous deux.
Je vivais tranquillement cette nouvelle depuis un an quand un dimanche, j'ouvris le journal et vis et une photo de Quatre. M. Winner, président du groupe WEI, ancien pilote de Gundam, était dans le journal tout le temps. Ce n'était pas inhabituel de voir sa photo dans le journal. Pourtant, cette fois, les nouvelles étaient inquiétantes. Apparemment, quelqu'un avait essayé de l'assassiner. Il allait bien, non blessé et tout, mais cela suffit à me faire agir.
Je ne veux pas me pointer à sa porte (Quatre détestait être envahi encore plus que moi). Pourtant, j'ai besoin de savoir qu'il va vraiment bien. Un coup de fil ne peut pas me tuer. Je n'ai même pas besoin de lui parler –n'importe qui répondant au téléphone pourrait me dire ce que je veux savoir. Je me dirige vers mon vidéophone, mis en marche le brouillage et appelais sa ligne privée.
Rashid répondit avec une froideur qui disparut dès qu'il me vit. Heero ? C'est toi ? Ca fait un bail ! Comment vas-tu ? Je secouais la tête pour dégager mes mèches et lui sourit.
Je vais bien, Rashid. Comment va Quatre ? Les nouvelles de ce matin étaient quelques peu dérangeantes. Rashid s'assombrit à nouveau.
Il est sauf –pour l'instant. Nous avons augmenté la sécurité ici et des Preventers sont venus également.
C'est bien. Je m'approchais quelque peu. Une idée de l'auteur ?
Pas encore. Son froncement de sourcil s'accentua. Nous restâmes silencieux quelques instants, avant que je ne reprenne la parole. Rashid avait dit 'sauf' et non 'bien'. Ce serait bien du genre de Quatre de fausser les rapports. Il l'avait déjà fait (6).
Il va vraiment bien ? Rashid me fit un sourire entendu.
Il est inquiet et furieux bien entendu, et malheureux de voir la sécurité augmentée, mais physiquement, il va bien. Si tu attends un instant, je peux appeler Maître Quatre et tu verras par toi-même.
Je te crois, répondis-je. Je ne désire pas l'ennuyer. Je sais à quel point il est occupé. Le leader des manguanacs fronça les sourcils.
Il n'est jamais trop occupé pour ses amis. Tu attends. Ce n'était pas une question. Malgré mon instinct, je restais en ligne. Il y avait si longtemps que je n'avais parlé à mes amis. L'ancien Heero aurait sans doute raccroché, mais je découvris que je ne le voulais pas. L'écran me montra un motif au mur, puis quelques instants après, Trowa me regardait avec un sourire à peine visible.
Je pensais bien que nous entendrions parler de toi.
Bien sûr, répondis-je en souriant. Il va bien ?
Il va bien. Je suis celui qui est réellement nerveux. Le sourire de Trowa s'agrandit un peu. Tu es pas mal, Heero –j'aime bien la queue de cheval. Je ris, soulagé par son ton.
Tu as l'air pas mal non plus, Trowa. Ne vas-tu donc jamais te lasser de tous ces cheveux sur ton visage ?
Tu peux parler ! Trowa haussa son seul sourcil visible. Quatre est en ligne, il sera là dans un instant.
Ce n'est pas un problème, le rassurais-je. Je voulais juste vraiment être sûr qu'il allait bien.
Et il veut s'assurer que tu vas bien. Cela va faire deux ans que nous n'avons pas eu de tes nouvelles, Heero. Une catastrophe sera-t-elle toujours nécessaire pour que nous puissions avoir de tes nouvelles ? Je ris à nouveau.
Je pense que oui. Ce n'est pas vraiment bien, si ? La voix de Trowa se fit menaçante :
Non, ça ne l'est pas. Nous nous inquiétions à ton sujet. Qu'as-tu fait ?
Trouver un endroit où m'installer, trouver un job. Valkyrie posa sa tête sur ma jambe. Je la regardais et sourit. Pris un chien aussi. Je vais te nourrir dans un instant, la puce (7), va t'asseoir.
Un chien ? Je baissais la camera pour que Trowa puisse voir Valkyrie. Elle est adorable. Je remis la camera en place. Bien que cela soit étrange de te voir avec un chien, Heero.
Elle me tient compagnie. Je caressais sa tête sur ma jambe. Quand je le regardais à nouveau, Trowa me regardait avec compréhension. Puis son regard se leva sur quelque chose par delà l'écran.
Quatre est là, dit-il calmement avant de laisser sa place. Le visage de Quatre apparut sur l'écran.
Heero ! Quatre me fit l'un de ses plus beaux sourires. Tu nous as manqués ! Comment vas-tu ? Tu es magnifique.
Vous m'avez manqué aussi, lui souris-je. Je vais bien et on m'a assuré deux fois que tu allais bien alors je ne vais pas te le demander une nouvelle fois. Il sourit
Je vais parfaitement bien.
Trowa m'a dit que tu avais augmenté les sécurités. Quatre leva les yeux au ciel.
Pas que j'en ai besoin, mais oui. J'entendis Trowa toussoter et Quatre le foudroya du regard. Nous avons augmenté le nombre de personnes présentes et les Preventers m'ont envoyé des gardes chiens également. Il se pencha vers l'écran. En toute honnêteté, j'ai envie d'hurler.
Pauvre Quatre, me moquais-je. Au moins, le Soldat Parfait t'a fait la grâce de sa présence. Je n'ai fait qu'appeler.
Tu aurais été plus que bienvenue, me dit-il rapidement, son regard croisant le mien.
Je sais. Mais je sais aussi à quel point tu as horreur que l'on te couvre. Je suis sûr que Trowa s'en charge, répondis-je légèrement.
Tout à fait.
Hé ! Il eut une bagarre pendant un petit moment à l'autre bout du fil. Je m'éclaircis la gorge.
Je suis heureux de voir que tout va bien, leur dis-je, de manière significative. Quatre rougit alors que Trowa riait.
Ah, tu nous connais, Heero.
Val choisit ce moment pour gémir et je regardais là où elle était roulée sur sa couche. J'arrive dans un instant, ma puce, soit patiente. Je me retournais vers l'écran et vis Quatre me regarder d'un air choqué.
Heero a un chien, expliqua Trowa et Quatre sourit.
Ah, je vois.
Elle devient un peu impatiente, expliquais-je. Je dois aller la nourrir.
Dans ce cas, nous allons te laisser. Quatre marqua une pause, puis demanda calmement : Je pense que tu ne nous donneras pas ton numéro ?
Tu veux dire que tu ne l'as pas encore ? J'haussais un sourcil. Nous sommes resté en ligne assez longtemps pour que vous puissiez trouver une faille sur mon système de brouillage.
Tu n'es pas listé. Tu n'es pas enregistré sur la sphère terrestre sous ton vrai nom ou dans un des pseudos que je te savais utiliser. Il sourit, penaud. Quelque soit le système que tu utilises, il bloque toute possibilité de découvrir l'endroit d'où tu nous appelles en ce moment même.
Je suis heureux de savoir qu'il fonctionne. Je le regardais d'un peu plus près. Vous me cherchiez ? Un problème ?
Bien sûr que nous t'avons cherché, imbécile. Son sourire s'évanouit et son expression devient sérieuse. Tu es notre ami, tu te souviens ? Même si tu ne nous appelles que lorsque l'un de nous est en danger, tu reste l'un de nos 'très cher et tendre'. Je ne savais pas vraiment quoi répondre. Alors, je choisis l'honnêteté.
Vous m'avez manqué. J'obtiens un autre regard significatif.
Tu nous as également manqué. Il regarda par-dessus son écran et son sourire s'élargit en un sourire affect. J'aurai ce numéro, Yui ou peu importe, murmura-t-il et j'haussais les sourcils. Que se passait-il donc ?
Ou sinon quoi ?
Ton secrétaire te cherche Quatre. J'entendis parler une voix très familière.
Merci, Duo. Quatre me fit l'un de ses sourires machiavéliques. Laisse-moi finir avec Heero et je m'en occupe. Je fronçais les sourcils et il répondit par un sourire. Je vis Duo apparaître par delà l'épaule de Quatre. Il était habillé de l'uniforme des Preventers et je compris qu'Une avait dû l'assigner à la sécurité de Quatre. Il était magnifique. Ses yeux s'agrandirent alors qu'il regardait l'écran.
Heero ? Sa voix était hésitante.
Duo. Tu gardes un œil sur Quatre ?
J'essaye. Le sourire qu'il me fit était à peine esquissé et je souhaitais de tout mon cœur ne lui avoir jamais rien dit. Puis son sourire disparut et il se concentra exclusivement sur moi. Où es-tu ?
A la maison, répondis je brièvement et j'entendis Quatre renâcler.
Ce n'est pas suffisant. Où habites-tu ? Duo fronça les sourcils.
J'essayais d'obtenir d'Heero son numéro, intervient Quatre sans vraiment l'aider.
Pourquoi ne veux-tu pas nous donner ce numéro, Heero ? Les yeux de Duo se rétrécirent et je reconnus ce regard. C'était celui fait-ce-que-je-te-dis-ou-Shinigami-va-s'occuper-de-te-botter-le-derrière. Quatre souriait toujours. Je savais quand j'étais battu.
Je n'ai jamais dis que je ne le donnerai pas, répondis-je rapidement. C'est juste que je ne pensais pas que Quatre ait besoin que je le lui donne. Ses systèmes sont plus développés que les miens.
Non, tu m'as bloqué, sourit le blond, amusé, montrant un stylo à l'écran. Alors ? Ce numéro ? Je le dis rapidement.
Satisfait ? demandais-je fois fini.
Oui, répliqua Quatre.
Non, répondit Duo au même instant, les yeux toujours étrécis. Où diable étais-tu donc passé, Yui ? Avant que je ne puisse répondre, les trois détournèrent leurs regards. Le secrétaire de Quatre venait d'entre dans la pièce.
Il semble que tu doives partir. Je t'appelle plus tard. Essaie de ne pas te faire tuer en attendant ? Je me concentrais sur Quatre.
Je vais essayer, répondit-il.
Hn, acquiesçais-je puis raccrochais. Je me levais du vidéophone et partit rejoindre Val sur le sofa. Elle se rapprocha de moi, sans se plaindre malgré que l'heure de son repas fut passé. Je posais ma tête sur la sienne. Dieu qu'il me manquait.
Je pensais être en train de l'oublier, laissant tout derrière moi, mais ce bref aperçu fut suffisant pour faire souffrir une fois de plus mon cœur.
Je me levais un moment plus tard et nourrit Val. Puis, je vaquais à mes occupations dominicales habituelles, rangeant ma petite maison, m'occupant de la lessive, travaillant au dehors, au jardin. J'essayais de retrouver quelque peu mon calme. Ce n'est que tard dans l'après midi, Val et moi réfugiés sur le canapé, que le téléphone sonna. J'y jetais un regard dubitatif, me demandant si je devais y répondre. Cela devait être Quatre à nouveau, ou peut être mon boss avec une autre panne de voiture. Parfois, je me demande si elle ne m'a pas engagé parce que je lui ai montré, le jour même de mon entretien, que je savais réparer les voitures.
Je m'assis devant le vidéophone et appuyait sur un bouton. A ma grande surprise, ce fut Wufei que je vis.
Chang ?
Yui. Il semblait fatigu. Me ferais-tu une faveur ?
Laquelle ?
C'est à nouveau arrivé.
Quoi ?
Jette un coup d'œil au journal. Ils ont une fois de plus essayé.
Quatre ?
Il va bien. Personne n'a été blessé. Mais je n'ai pas confiance pour qu'il demeure ici. Qui que ce soit, il connaît bien la maison Winner.
Un employé ?
Peut-être. Nous ne savons pas. Chez toi, c'est sûr ?
Très. Je souris légèrement. Mais Wufei, je n'ai pas assez de place pour héberger Quatre et l'ensemble des manguanacs. Je m'emparais de la camera et lui fit voir que ma maison ne consistait qu'en une grande pièce principale. La salle de bain et le pressing sont à part mais ma cuisine, ma chambre et le salon forme une seule grande pièce.
Hm, soupira Wufei. Tu peux héberger Quatre, ça suffira.
Cela ne me dérange pas, mais ce ne sera pas la meilleure solution.
Cela le sera s'ils ne se rendent pas compte qu'il est parti avec toi.
On l'appâte et l'attrape ? Je pianotais pensivement. Cela peut marcher. Mon planning n'est pas super exigeant. Je pourrais facilement rester à la maison avec lui.
Je ne veux pas trop t'en imposer non plus, Yui. Je peux envoyer quelqu'un avec lui. Ils pourront dormir par terre. Si ça va pour toi ?
Je m'en fous. Où est-il en ce moment ?
243niner (8), me dis Wufei en utilisant notre vieux code. Vraiment, c'était parfait.
Je pourrais être là dans à peu près deux heures, lui dis-je. Ce n'est pas très loin.
Tu es si près ?! Il me regarda, ahuri.
Winner a des maisons partout, Chang. Comme s'il existait un endroit sur Terre ou les colonies où je puisse aller sans être près d'une.
Très bien, Yui. Alors, nous pouvons t'attendre pour bientôt ?
Deux heures, lui dis-je et partit prendre mes clés. Val me suivit. Elle adorait se promener en voiture et je n'allais pas lui dire non. En plus, elle avait son propre entraînement et pourrait être utile.
J'allumais la radio sur la station infos. Il était plus sûr que le deuxième attentat sera aux nouvelles. Une voiture piégée cette fois-ci, mais il avait explosé trop tôt. Personne n'avait été blessé dans l'explosion. Ils interviewèrent aussi bien Une que Rashid., et je fus amusé d'entendre le stoïque manguanac assurer que personne ne tuerait Quatre tant qu'il serait là.
A SUIVRE...
Les notes débiles de la traductrice :
1. Désolée pour c'te trad' minable mais j'arrive pas à retrouver le nom en français. En anglais, ça donne small video game developer... Si quelqu'un a une meilleure idée, j'suis toute ouïe
2. À partir d'ici, je ne traduirais plus Perfect Soldier par Soldat parfait parce que j'trouve que cela rend mieux en anglais !!! Soyez au point pour la suite car je pense qu'il en sera de même pour toutes les fics que je traduirai. En fait, c paske je trouve qu'en anglais ça fait plus classe, plus froid, plus Heero quoi ! De plus (vi je sais j'me justifie), c Duo qui a donné ce nom à Heero, et il est américain alors la logique voudrait que... Wufei: Onna! M (tire la langue) : D'ac'... J'me tais, missant!
3. Désolée mais alors je sèche complètement en trad'... mon niveau n'est pas si bon. Enfin faut voir aussi le truc que nous sort mon Hee-chan à moi... Duo : T'es nulle oui... M (un petit livre Kama Sutra dans les mains): Dis Duo, tu veux que je m'occupe de toi perso ?? Duo (tout pâle) : Euh non, ça va merci...
4. C'est l'amoooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooour de sa vie !!!
5. Bave... Bave... Bave... Bave... Bave... Bave... Bave... Bave... Bave... Bave... Bave... Euh, Duo j'ai déjà pris ma douche ce soir! Enfin, faut dire qu'un Hee-chanounet comme ça, ça fait rêver. Pas d'acc ???
6. Dans l'un des tomes du manga, Quatre feint d'être mort... Et après on parle de sa bouille d'ange innocent... Ouais, moi j'crois qu'y en a plein qui ont oublié que Lucifer était également un ange avant d'être déchu...
7. Dans la fic original, il dit « girl », j'ai trouvé plus mignon de traduire cela ainsi. Ahhhhhhh Rien que d'imaginer Heero ainsi, ça me donne des frissons... Euh, Dudulle t'énerves pas, tu sais que je suis une inconditionnelle du 2x1 mais si tu me saoules, j'te macques avec 13 et j'fous Heero avec Wu-man. Problème ? Heureuse d'avoir réussi à te faire entendre raison !!!!
8. Pas de trad' paske franchement j'vois pas comment. C'est un code de localisation paske vu le nombre de maison qu'a Quatre, franchement... Au fait, Quat'chan, t'as pas une maison sur la côte ouest, à mi-chemin entre Berverly Hills et Monterey avec pas mal de chambres, piscine intérieur et extérieur, sauna, chambre avec vu sur l'océan... Euh, j'crois que j'me suis un peu laissé emporté là. Non ? Heero : Hn. M (un flingue entre les deux yeux): Bon ça va, j'm'en occupe de ta trad'. Content? Heero : Hn.
OK... Alors voilà pour le chap 2. J'profite de cette trad pour faire parvenir quelques infos :
Cette fic sera traduit à rythme continu donc pas de pb, YATTA!
Une nouvelle venue dans mes trads' : il s'agit de Miko-tenshi avec qui je co-traduis les fics d'Akuma (hormis My fair lady). Comme nous bossons ensemble sur Te Amo, cela prendra un peu plus de temps mais on essaiera de faire le maximum pour que le rythme de parution ne soit pas trop brisé.
Je lance la trad' d'une nouvelle fic : il s'agit d'une fic de Sylver Skye qui est franchement trop génial !!!!!!!!!!!!!!!!!!! Vous la découvrirez bientôt sur en version française avec délire garantie... Comme l'auteur me sert également de béta lectrice, le rythme de parution sera à peu près le même que celui de Te Amo... J'espère sincèrement que la fic vous plaira paske moi , j'adooooooooooooooore !!!
Voilà, maintenant, j'voudrais dire un GRAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAND merci à tout ceux qui m'ont laissé une review. C'est à eux que je dédie ces deux chap... Eh oui, le chap 3 sera là bientôt bientôt et tout cela rien que pour vous... Merci encore.
Pour le reste, si vous voulez que la suite sois mise en ligne, va falloir vous bouger et m'envoyer une ch'tite review... Vous savez le petit bouton en bas à gauche, cliquez dessus et la caverne d'Ali Baba s'ouvrira pour vous et moi...