AFTERWARDS

Chapitre 3

Spécial dédicace à tous ceux qui m'ont gentiment laissé une review. Merci pour votre soutien et rien que pour vous, le chap 3 en avant première...

Duo : Que cela ne vous empêche pas de laisser des reviews !

Quatre : Ouais paske la pov' travaille dur !

Wufei : Et elle est chiante en plus quand elle voit pas de message pour elle... On dirait Yui.

Heero (vexé) : Hn.

M : Mais moi j'suis plus mignonne et plus sadique !!!

Tous : Euh... J'sais pas mais j'crois qu'on nous a quelque chose à faire ! Bye...

M (levant les yeux au ciel) : Ah les hommes !....

J'attends des reviews enthousiastes... Now, ENJOY...


Je parvins à l'actuelle résidence de Quatre en un peu moins de deux heures. La porte d'entrée était envahie par les journalistes. Je garais ma voiture dans un coin de rue et y laissais Val.

Surveille, lui dis-je brièvement, puis me dirigeais vers la demeure. J'eus un instant la tentation de m'infiltrer mais je ne voulus prendre le risque de me faire tirer dessus par les très connus Preventers qui surveillaient les environs. Aucun doute sur le fait que mes anciens compagnons ont du les entraîner et j'aurai des difficultés à les doubler. Pas besoin de prendre le risque.

Je me dirigeais vers l'entrée de service que nous avions utilisés une fois ou deux et sonnait.

Oui ? La voix d'Abdul me répondit.

C'est Yui. Il fut à la porte en un instant, m'ouvrant la porte. Nous marchions au milieu d'une foule de personnes en uniformes de Preventers patrouillant les lieux. Je fis l'objet de quelques regards curieux, mais la plupart était fixée sur leur boulot. Ils avaient été bien entraînés.

Abdul m'emmena dans une petite pièce près de la cuisine où ils gardaient Quatre. Je m'en souviens comme notre salle de réunion pendant la guerre. Il n'y avait pas de portes et pas d'air non plus. Quatre était assis sur une chaise apparemment inconfortable, écoutant Une d'un air fatigué. Il me regarda et se leva d'un bond de sa chaise.

Heero ! Il m'accueillit comme le sauveur du monde et je me demandais combien de temps il avait été confiné ici.

Quatre, répondis je, retournant son étreinte. Es-tu prêt à partir ?

Plus que prêt. Il me sourit.

A quel point ta demeure est-elle sûre, Yui ? me demanda sèchement Une. Je montrais d'un hochement de tête le coin où des Preventers étaient penchés sur une table avec un ensemble de matériels qui m'étaient familiers.

Et bien, malgré le fait que vous ayez mon numéro, l'avez-vous trouvée ? Une me fit un petit sourire.

Non. Tu es très bien caché.

Merci. Je répondis à son sourire. C'est assez bien protégé. Personne ne peut s'en approcher sans être vue et j'ai plusieurs systèmes d'alarme. Il sera aussi protégé que je pourrais m'en assurer.

Cela me semble bien, fit remarquer Quatre, excéd.

Chang m'a dit que tu permettais à l'un de nos agents de vous accompagner ? poursuivit Une sans se soucier de Quatre.

Oui, cela me va. Elle se tourna vers l'un des gars au coin (1)

Allez chercher l'agent Maxwell. Oh, mon Dieu non ! J'aurai pu protester mais je m'arrêtais. Comment pourrais-je expliquer que Duo n'était pas la meilleure personne à envoyer ? Il l'était bien sûr. Il était difficile de leurrer notre voleur (2). Mais pourquoi pas Fei ? Ou même Dorothy ? Elle pourrait intimider un assassin. Trowa était sur le pas de la porte quand le Preventer s'éclipsa rapidement. Il entra facilement et se dirigea vers son amant.

Je t'ai préparé ton sac, dit-il en le tendant à Quatre. Puis il me regarda, interrogateur. Je m'approchais de lui.

Je le protégerai du mieux que je peux, Trowa. Je te le jure, lui murmurais-je doucement, essayant de le rassurer.

J'ai confiance en toi, Heero. Il me fit un petit sourire et se tourna pour étreindre rapidement Quatre. Je détournais mon regard à temps pour voir entre Duo. Le voir en personne fut suffisant pour que mon cœur s'arrête de battre dans ma poitrine, que je sois préparé ou non. Je me mis rapidement en mode Perfect Soldier. Se concentrer sur la mission. Ce n'était pas facile.

Il ne portait pas son uniforme, mais ses traditionnels vêtements noirs. Juste de la manière dont je me souvenais de lui. Il tenais le bord de sa casquette et sourit à Une.

Commandant.

Prêt, Maxwell ?

Plus que prêt. Il me regarda. Heero, ça fait du bien de te revoir –en chair et en os.

Même chose, Duo, répondis-je brièvement. Je découvrais que je ne pouvais croiser, alors je regardais Quatre. Couvre tes cheveux aussi, ce blond est beaucoup trop reconnaissable, lui dis-je. Quatre hocha la tête et sortit une casquette de son sac.

N'oublie de me faire un rapport de temps en temps, Maxwell, rappela Une à Duo alors que je me détournais pour quitter la pièce, Quatre sur mes pas.

Yes ma'am . Duo nous suivit dehors.

Nous quittâmes silencieusement la maison, puis passâmes la porte d'entrée aussi discrètement que nous le pûmes. Je les guidais jusqu'à ma Jeep et Quatre fit presque un bond quand, prêt à ouvrir la porte, Val gronda à la fenêtre.

Val, couché, lui ordonnais-je et elle s'assit sur le siège, jappant gaiement.

Quatre, ses bagages et Val s'installèrent sur le siège arrière. Duo prit place prêt de moi. Nous roulèrent en silence, ne nous détendant pas jusqu'à ce que nous fussions sur l'autoroute sans aucun signe de filature. Val s'était roulé en boule sur les bagages, sa tête sur les genoux de Quatre. Il fut le premier à rompre le silence.

Trowa avait raison, tu es une chienne adorable, dit Quatre en lui caressant la tête alors qu'elle remuait la queue.

Ne la flatte pas trop, Quatre, l'avertissais-je. Elle a tendance à prendre un peu trop confiance en elle. Il rit.

J'essaierai, m'assura-t-il. Quel est son nom ?

Valkyrie, répondis-je et elle leva les oreilles à son nom.

Nordique ? s'étonna Quatre. Pourquoi ?

Plusieurs raisons, répondis-je vaguement.

Qu'est-ce qu'une Valkyrie ? demanda Duo.

Ce sont les déesses de la guerre, expliqua Quatre et j'ajoutais :

Leur boulot était de ramasser les âmes des héros morts sur le champs de bataille.

Comme un collecteur d'âme (3) ? Duo haussa un sourcil.

Oui. Mais seuls les meilleurs d'entre eux pouvaient aller avec elles. Ceux qui avaient le mieux combattu pouvait aller au Valhalla.

Paradis ? Duo sourit légèrement.

Non. C'était un lieu d'attente. Les guerriers que les Valkyries emmenaient n'étaient pas autorisés à se reposer. Ils devaient rester prêts à se battre pour la bataille de la fin du monde. J'entendis Quatre souffler sa désapprobation et Duo fronçait les sourcils. Temps de changer de sujet. J'éclaircis ma voix délibérément. L'une des raisons à ce nom est que les Valkyries étaient supposées chanter en ramassant les âmes.

Tu ne vas pas me dire qu'elle chante ? s'amusa Quatre.

Elle essaie, répondis-je dans un sourire. Les deux acceptèrent ce changement d'humeur. Quatre se laissa aller dans son fauteuil et Duo changea à nouveau de sujet.

Alors, où allons-nous Heero ? demanda Duo avec son habituel sourire. A moins que cela ne soit un secret ?

Non, répondis je en levant les yeux au ciel. Je suis sûr que Wufei te l'a déjà dit. Nous allons chez moi. Je jetais un regard à Quatre par le rétroviseur. C'est beaucoup plus petit que ce dont tu as l'habitude.

Je m'en moque, me dit Quatre avec un sourire fatigu. Tant que je ne suis pas enfermé dans une petite pièce, je suis content.

Pourquoi ne dors-tu pas un peu, Quatre ? suggéra Duo. On en a pour un moment avant d'arriver, non ? Il me regarda et j'acquiesçais. Quatre n'y pensa pas à deux fois. Il posa sa tête sur les bagages et s'endormit quasi immédiatement, un bras autour de Val.

Alors, Heero, Duo s'adossa à son siège, les bras derrière la tête, quel genre de défenses as-tu mis en place chez toi ? Je fus soulagé qu'il reste concentré sur son job. Autre que cet animal tueur qui siège à l'arrière ?

Ne sous-estime pas Val, l'avertis-je.

Je ne le fais pas. J'ai vu comment elle gardait la voiture. Garde-t-elle la maison aussi ?

Que quelqu'un s'approche et elle le sait, répondis-je. Mais elle n'est pas la seule ligne de défense. Je lui détaillais quelques autres choses que j'avais mis en place dans ma maison et dont Duo devait avoir connaissance. Il semblait que nous en étions revenu à la relation qui fut la notre durant la guerre et j'en étais content.

Et tu travailles ?

Oui. Je peux appeler...

Nah. Fei a raison, nous ne voulons pas prendre de ton temps ainsi. Où travailles-tu (4)?

A peu près 20 minutes de la maison, je peux à la maison assez facilement –je le fais généralement toute la semaine, mais le lundi, je dois y aller pour les briefings de projet.

Donc, nous resterons sans toi que demain, fit Duo en hochant la tête. Pas si mal, Heero. C'est quoi comme job ?

Développement de jeux informatiques.

Sérieux ? Je lui fis un sourire. Es-tu doué ?

Oui. Apparemment, mes design de combat son très réalistes. Cela fit rire Duo. Je posais enfin une question : Alors, pourquoi es-tu avec les Preventers ? Assignation spéciale ?

Nope. J'ai rejoint il y a à peu près un an. Wufei avait besoin d'un nouveau partenaire.

Qu'est-il arrivé à son ancien partenaire ?

Il l'a épousée. J'écarquillais les yeux.

Il est marié ?

Yep. Sally a fait de lui un honnête homme. Je souris.

Wufei l'était déjà. Donc, les couples mariés ne peuvent travailler ensemble ?

Nope. Sally est devenue la partenaire de Noin puisqu'elle a épousé Zechs.

Mais pourquoi Wufei et Zechs... ?

Ils ont essayé. Ils ont en sont presque venus à se tuer. Duo éclata de rire. Ils passaient leur temps à se menacer dans les couloirs. Zechs a été avec un de ses anciens partenaires de Oz et Wufei m'a eut. Il rit à nouveau. Pas que Wufei n'a pas essayé de me tuer, mais je suis plus rapide que Zechs.

Et plus tolérant, fis-je remarquer. Ce qu'est également Sally. Wufei a besoin de quelqu'un qui soit ainsi pour le contrebalancer. Je me demandais ce que Hilde pensait de la carrière de Duo chez les Preventers, mais ne posais pas la question.

Yep. Duo bailla. Voilà comment j'me suis retrouvé chez les Preventers. Dis, Heero, y'en a encore pour longtemps ?

A peu près une heure, lui dis-je après un regard à ma montre. Tu peux dormir aussi si tu le veux.

Thanks. J'étais debout toute la nuit en ronde. Duo bailla à nouveau et se laissa aller sur son siège, baissant la visière de sa casquette sur ses yeux. Il s'endormit quelques instants plus tard.

C'était si – je ne sais pas quoi- de l'avoir près de moi à nouveau. J'avais oublié combien sa vue allégeait ma conscience alors que mon cœur souffrait dans le même temps. J'étais soulagé qu'il semble vouloir simplement oublier que notre précédente conversation ait pu seulement arrivé. Cela allait pour moi. Je souhaitais seulement pouvoir oublié mon amour aussi facilement.

Je me garais directement dans le garage quand nous arrivâmes, fermant la porte derrière la voiture rapidement. Personne ne nous avait suivi et mes voisins les plus proches était à peu près cinq cents mètres plus loin mais je ne voulais pas prendre de risque. Duo se remua dès que la voiture s'arrêta, mais Quatre ne fit que grogner et couvrir ses yeux.

C'mon, petit loir, dit Duo à la marmotte sur le siège arrière. Je suis sûr que tu seras plus à l'aise à l'intérieur.

Je suis bien là, bailla Quatre. Entre les bagages et le chien, c'est vraiment génial.

Cela me fait me demander comment il dort d'habitude, me dit Duo avec un sourire moqueur.

Trowa doit probablement laissé ses lions dormir sur le lit ou quelque chose avoisinant, répliquais-je alors que j'ouvrais ma porte et avançais le siège. Je sifflais et Val bondit dehors, dégageant clairement Quatre de sa confortable position.

Injustice (5), se plaignit Quatre.

Je les guidais à l'intérieur après avoir jeté un œil à mon alarme et laisser Val aller en premier. Elle agit normalement, donc c'est que tout va bien. Duo m'aida à faire le tour du périmètre puis partit appeler Une.

Quatre se leva et alla dans la cuisine, levant la tête pour regarder les étoiles par la lucarne. Ma maison n'avait pas beaucoup de fenêtres, bien qu'elle soit proche de l'océan. C'est pour cela qu'elle était peu chère quand je l'ai achetée. Les fenêtres me rendaient nerveux, alors je m'en moquais, et les deux lucarnes étaient assez faciles à protéger. Le courant électrique et vitres incassables sont des choses du tonnerre.

Le précédent propriétaire avait peint les murs dans un clair bleu-vert, couleur océan et avait fait en sorte que les rideaux aillent avec. Mes meubles étaient majoritairement blancs ou gris de manière à ne pas contraster avec le reste. Quelques peintures de l'océan trouvé dans les pièges à touristes se trouvaient à présent sur les murs. Ce n'était pas le type de maison à montrer, mais je l'aimais. Je me demandais ce que les autres en pensaient. Duo étudiait l'un des tableaux alors que je commençais ma ronde pour tout fermer.

Tu a une belle maison, me dit Duo après quelques minutes à regarder autour de lui. Très "océane"... Je lui rendis son sourire.

C'est génial, Heero. Quatre regarda mon minuscule salon alors que je finissais ma ronde de nuit. Pas ce à quoi je m'attendais mais pas mal.

Merci. Je lui souris puis sortit des couvertures supplémentaires de dessous le lit. Je pense que le lit peut accueillir deux personnes facilement et le sofa fait également futon....

Trop génial ! Quatre s'assit sur le sofa et ôta ses chaussures. Je prends le sofa. Laisser Duo et moi dans le même lit ? Pas question !

Quatre, vous êtes mes invités. Vous deux pouvez prendre le lit. Quatre secoua la tête à moitié endormi.

Je suis bien là où je suis, Heero. Il reposa sa tête et s'endormit aussitôt.

Il est debout depuis plus de 48 heures. Duo vint se poser à côté de moi alors qu'il regardait le blond inconscient. Je ne suis pas surpris qu'il tombe raide ainsi. Il prit l'une des couvertures et la drapa autour de Quatre.

Peut-être devrions nous le mettre dans le lit, suggérais-je. Le futon n'est pas des plus confortables pour dormir.

Je ne pense pas qu'il s'en soucie, pouffa Duo. Il sera très bien. Il s'assit au pied de mon lit et me sourit. Il se laissa aller en arrière et regarda au travers de la lucarne qui était au-dessus du lit. Wow. Quelle vue! La vue de son corps allongé sur mon lit fut trop pour moi. Je lui tournais le dos et allais dans la douche pour me changer pour aller au lit.

Quand je reviens, il s'était également changé pour aller au lit et s'était installé sur les coussins. Sa tête était levée alors qu'il regardait les étoiles. Je ne pus parler pendant un moment. Il se tourna finalement, et me regarda.

Alors, de quel côté vais-je dormir?

Où tu veux. Je pris un coussin et l'une des couvertures supplémentaires. Je vais dormir devant la porte. Il lança sa main et attrapa mon poignet.

Pourquoi? Il y a plein de place ici. Tu n'as pas besoin de te mettre dans un endroit inconfortable.

Je ne veux pas te gêner, répondis-je sincèrement, espérant qu'il me relâche.

Tu ne me gênes pas, Heero. J'ai confiance en toi. Ses yeux violet rencontrèrent les miens avec facilit. Nous avons déjà partagé avant et la seule chose que j'ai à craindre c'est que tu me piques les couvertures. Il sourit et je dus abandonner.

Très bien. Je remis l'oreiller et la couverture à sa place et pris mon revolver. Je grimpais sur le lit à son côté et glissais mon arme sous mon oreiller de manière à pouvoir l'atteindre facilement.

Il se glissa sous les couvertures à côté de moi, et je me tournais sur le côté, mon dos face à lui. Bonne nuit, Duo.

Bonne nuit Heero, répondit-il doucement. Il y eut un long silence et je m'assoupissais quand il parla à nouveau: Heero ?

Oui Duo?

Après ça, tu vas encore partir et te cacher? J'y réfléchis un moment.

Je ne pense pas, répliquais-je, avec un petit sourire.

Bien, je pus deviner son sourire à sa voix, parce que mon meilleur ami m'a vraiment manqué.

Le mien aussi m'a manqué. Il se tut un instant. Puis:

Tu avais dis que tu m'écrirais. Sa voix n'était pas du tout accusatrice, elle ne faisait qu'énoncer un fait.

Je n'étais pas sûr que tu veuilles entendre parler de moi après, répondis-je, mon cœur battant à tout rompre.

Heero, tu es toujours mon meilleur ami. Peu importe ce qui se passe. Et je suis le tien. OK? Il n'y avait aucune fausseté dans la sincérité de sa voix et je fermais mes yeux, soulagé.

OK, acquiesçais-je et il se tut à nouveau. Je m'endormais peu de temps après, écoutant sa respiration dans le noir.

A SUIVRE....


Les notes débiles de la traductrice:

1 C pas ce que vous pensez...

2 Ca c paske la spécialité de Duo c le vol et l'infiltration discrète pour ceux qui ne savent pas! Nan mais franchement, faut vous mettre à la page...

3 Alors là j'suis pas sûr de la trad' mais en fait c ce qui s'apparente le plus... En fait on peut apparenter ça au rôle tenu par les Shinigamis dans Yami no Matsuei... Tsuzuki : On parle de moi ??? M : Nan... Pas encore... Bientôt peut-être !!!

4 Ah... j'crois que vous aurez compris que l'une des spécialités de Dudulle c les interrogatoires ??? Et il est doué le bougre... Quoique, j'comprends que veuille pas avoir affaires au Shinigami.. Brr.. Ca fait froid dans le dos! Heero: Hn. M: Merci de ta compassion, Hee-chan. J'te jure!

5 Eh Wuffie, tu déteins sur Quatre !! Wufei: Onna! Arrête de dire n'importe quoi! M: Ouin! Quat-chan, Wuffie il est missant avec moi! Quatre: T'as fini ton chap et avancer tes fics? M: Euh... Un ch'tit peu? Quatre: Wufei, tu te charges de la surveiller. Wufei (regard sadique, sabre en main et sortit du fourreau): Pas de problème. M: NOOOOOOOOOOOOOOOOOON O'SKOUR!!!!!

Voilà merci encore pour vos encouragements et soutiens, ça me fait chaud au coeur (SNIFFF)... sauf que si vous voulez la suite, va falloir vous bouger paske pas d'update avant que 5 reviews ne soient postées!!! Passez vous le mot!!! Niark