Auteur : Katiel

Genre : shonen-ai , angst

Disclaimer : rien ne m'appartient, les personnages sont à leur dessinateur, ce que les mots sont au dictionnaire mais l'idée de base appartient à mon tit cerveau fatigué

Résumé : Jusqu'où un amour frustré peut mené et comment un voyage en Russie peut se transformer en catastrophe.

NdA : Ecrire ça en écoutant du Rhapshody, ça passe, mais sur la salsa du démon ou le CD des inconnus, c'est mortel ! lol Le passage sur les skis est dédié à Fisou ! lol ;)

TROP PEU DE TOI…

Chapitre 3

La lanière de cuir claqua une fois de plus sur la peau blanche. Des zébrures rouges, suintantes d'hémoglobine parcouraient le corps du jeune chinois. Rei tremblait. Il n'arrivait plus à contrôler ses nerfs. Pourquoi ceux là l'avaient-ils prit en otage ? Et pourquoi personne ne le cherchait ? Ne s'étaient-ils pas rendus compte qu'il avait disparu ?

Plus la sangle noire claquait sur le cuir de Rei, plus le russe rigolait et frappait fort. Une flaque de sang s'étirait doucement sur le carrelage au sol, provenant principalement des coups de couteaux.

L'homme aux cheveux verts laissa tomber son fouet et se rassit sur Rei. Ce dernier avait la tête embuée. Il lui devenait difficile de réfléchir. Il avait froid. Il avait mal. Il était fatigué. Le russe s'allongea sur le corps blessé du pauvre martyr et, son visage dans les cheveux lâches du chinois, huma l'odeur de soleil qui s'en dégageait.

Dans un geste désespéré, l'asiatique attrapa entre ses dents le lobe de l'oreille de son tortionnaire, et mordit le plus fort possible. L'image du petit bout de chair se détachant et tombant dans le fond de sa gorge lui arracha un haut-le-corps. Mais il n'eut pas le temps de arriver à cette extrémité. Il senti la corde lui enserrer la gorge et lâcha prise, ouvrant la bouche pour essayer de reprendre de l'air.

Son vis-à-vis délaissa la corde et se releva en tenant son oreille, regardant le brun avec un mépris manifeste. Le brun qui, d'autre part, toussait à s'en faire vomir. Cet abruti aurait pu lui écraser la gorge et le tuer.

« - enfoiré… parvint-il à murmurer après avoir réussi –bien que laborieusement- à reprendre un peu d'air.

En contrepartie, il eut droit à une pluie de coup de pied dans les côtes et pour finir, le russe lui décrocha un dernier coup dans les dents. Rei avait fermé les yeux, essayant assurément de retenir ses larmes. Il avala une gorgée du liquide au goût cuivré qui lui emplissait la gorge. Alors que l'adolescent se laissait retomber sur l'estomac de l'étranger. Avec un sourire vicelard, il caressa le torse de Rei et doucement, douloureusement, il glissa son doigt dans un des orifices ensanglantés, laissé par le couteau.

Cette fois Rei ne pouvait plus retenir ses hurlements. Il aurait voulu s'évanouir, mourir, mais ne plus rien ressentir. Son estomac se contractait dangereusement et la douleur résonnait dans sa tête. Supplice intenable, l'autre enfonçait son doigt au maximum dans l'ouverture, forçant le passage, déchirant les chairs. Il renouvela l'expérience sur l'autre blessure, un sourire satisfait sur le visage.

L'un des deux autres russes revint dans la pièce d'un pas rapide et le persécuteur se leva. Le roux quant à lui s'approcha de Rei alors que le meneur quittait la pièce. Délicatement, il tourna le chinois sur le côté pour couper la corde qui l'entravait toujours. L'oriental se mit cette fois à pleurer sincèrement, de soulagement. Le russe essayait de lui replacer délicatement les bras, ankylosés par la position et le poids du chinois qui avait reposé dessus un bon moment. Massant les doigts de l'étranger pour faire remonter le sang le long du bras, il inspecta discrètement les plaies que Rei portait sur le corps. A part les deux coups de couteau, forcés, les plaies n'étaient pas profondes. Les meurtrissures de ses poignets n'étaient, cependant, pas belles à voir. La corde ayant renflammé la légère cicatrisation.

Le rouquin ôta le reste du haut du chinois, trempé de sueur, et l'épongea doucement avec une serviette. S'il restait avec un vêtement humide, il allait attraper la mort. Mieux valait ne rien porter. Décidé à aller chercher un bandage pour désinfecter les plaies de l'étranger, il se leva, laissant Rei s'endormir après tant d'émotions.

flash-back

Kai traversa la ville à grandes enjambées. Il s'inquiétait. La neige avait commencé à tomber à gros flocon. Le russe pressa un peu plus le pas et arriva au bout d'une vingtaine de minutes aux abords d'un petit immeuble miteux. Il passa l'épaisse porte en métal et monta trois étages, le long de l'étroit escalier de pierre, arrivant devant une petite porte en bois sombre. Il cogna deux coups à l'aide du heurtoir et attendit que la porte s'ouvre.

L'homme qui lui ouvrit le regarda quelques secondes et s'effaça pour le laisser entrer. Kai pénétra dans le petit appartement. Il y faisait bon. Les tapisseries sombres faisaient paraître la pièce encore plus petites qu'elles ne l'étaient en réalité. Se dirigeant directement dans le salon. Celui-ci semblait trop meublé. L'exiguïté rendait le visiteur mal à l'aise. Il s'adressa enfin à son hôte, en Russe.

« - Où est Viktor ?

« - Je ne sais pas. Il est sorti tôt cet après midi. Il n'est pas encore rentré.

Kai s'approcha de son interlocuteur avec un regard glacial.

« - Dès qu'il rentre, tu lui dis de me joindre. Il abandonne tout ce qu'il fait. Et me contacte !

Kai laissa le gars sur place et quitta l'immeuble. Il fallait qu'il s'occupe. En attendant le retour de Viktor, il ne pouvait rien faire. Il reprit les coordonnées du contact que lui avait remit son grand-père et s'y dirigea. Ce n'était pas très loin de là. Sur le chemin, il vérifia au moins trente fois que son portable était bien branché, qu'il avait du réseau, et de la batterie.

Le fameux Viktor ne téléphona que près de deux heures après la visite du jeune homme tatoué. Lorsque le téléphone sonna, Kai jeta dessus comme la pauvreté sur le monde.

« - Kai ? Stanislas m'a dit que tu me cherchais. Qu'est ce qui t'arrive ? Pour que je laisse tomber mes affaires actuelles, tu dois avoir une bonne raison je suppose.

Kai avait horreur de ce ton suffisant que prenait son interlocuteur. Il s'était retenu plus d'une fois pour ne pas lui éclater la tête contre un mur. Mais il fallait bien avouer que ce jeune homme était on ne peut plus doué pour le genre d'affaire qu'il lui confiait. Kai soupira.

« - J'ai besoin de te voir. Il faut qu'on discute. Je viens chez toi. Je serais là dans une dizaine de minutes.

Il raccrocha. Pas besoin de s'étendre. Plus vite il serait là bas, plus vite il aurait les renseignements qu'il attendait. Une fois encore il traversa le froid caractéristique du pays pour se rendre dans l'appartement sombre et étroit. Nouveaux coups de heurtoir. Ce ne fût pas le fameux Stanislas qui ouvrit mais un autre jeune homme lui ressemblant.

Sans même le saluer, Kai entra dans le logement, le bousculant sur son passage. Il fonça dans le salon étriqué et se planta devant Viktor. L'adolescent dégustait un verre de liqueur doucereuse.

« - Assieds-toi. Nikolaï, apportes donc un verre à notre invité.

A contre cœur, Kai se laissa tomber dans le sofa en skaï craquelé. Le célèbre samovar était posé sur un buffet tout piqué, dans un coin de la pièce. De toute évidence, et malgré son jeune âge, Viktor et ses acolytes semblaient plus habitués à boire de la Vodka que du thé.

Kai accepta le verre que lui tendait Nikolaï. Il attendit quelques instant et s'envoya d'un geste franc, l'alcool au fond du gosier. Les deux autres l'imitèrent. L'homme aux cheveux bleutés leur expliqua enfin la raison de sa visite.

fin du flash-back

Kai était gelé. Il se réveilla, transi. Tout son corps était douloureux. Il parvenait à peine à bouger. Combien de temps avait-il dormi ?

Ses yeux étaient collés des larmes qu'il avait versées. Une lassitude profonde l'avait envahit mais il essayait de rester éveillé. Avec le froid qui régnait, c'était une chance qu'il n'ait pas déjà passé l'arme à gauche, et qu'il se soit réveillé. Il ne comprenait toujours pas pourquoi il était enfermé là. Torse nu, torturé, vidé d'une part certaine de son sang, et finalement libéré. Il entrevoyait la porte entrouverte mais ne se sentait pas le courage de se relever. Endolori de toutes parts, il se sentait comme dans du coton. Il avait l'esprit embrumé, se demandant s'il avait vraiment mal ou si c'était juste un rêve désagréable.

La soirée qu'il avait passée avec Kai sur le bord de la plage lui revenait en mémoire. Ce soir là aussi il s'était sentit comme sur un petit nuage. Mais celui là était agréable. Il s'était toujours demandé si c'était dû à son cœur qui battait la chamade sous l'action des lèvres chaudes et douces du russe ou si c'était l'alcool qui lui avait ensommeillé l'esprit.

Ce dont il se rappelait s'était qu'au matin, il s'était réveillé entouré des bras de Kai et qu'il avait prit peur. Que dirait le russe en le voyant lové ainsi au creux de ses bras ? Et que répondrait-il alors qu'il ne savait même pas comment les choses s'étaient envenimées à ce point ?

Il avait d'ailleurs bien fait de ne pas rester cocooné là car au matin, le russe semblait avoir tout oublié ! Il aurait été dommage de gâcher cette amitié naissante, maintenant que Kai se laissait doucement apprivoiser, par des approximations stupides.

Il imagina de nouveau les lèvres de Kai se poser sur les siennes et sentit les larmes envahir ses yeux. Il avait beaucoup aimé cette nuit. Elle l'avait d'ailleurs perturbé au point qu'il n'arrivait plus à regarder une jeune demoiselle sans se sentir coupable. C'était stupide. Mais il avait aimé cette nuit de douceur que lui avait offert le jeune homme tatoué. Et il se demandait la nature de ses sentiments. Peut-être était-il victime de cette attirance contre nature que le destin choisissait parfois de faire subir à quelqu'un.

Les larmes coulaient à présent le long de ses joues. Il aurait aimé que Kai soit là, à ses cotés, pour lui tenir chaud, pour s'occuper de lui. Il aurait aimé ne pas être abandonné seul ici, alors qu'il avait été si près de le revoir.

Il sentit son esprit divaguer, s'éloigner lentement de ses propres réflexions, les larmes dévalant toujours sur son visage.

Flash-back

Kai s'était levé d'un bond.

« - Mais qu'est ce que c'est que cette histoire !

« - Je ne vois pas de quoi tu te plains ?

« - Fin de semaine ! Fin de semaine c'est vendredi, samedi, dimanche, PAS MARDI !

Le jeune homme fluet haussa les épaules d'un air blasé.

« - Tu voulais jouer les héros ! Hey bien vas-y ! Tu auras au contraire plus de temps pour le chouchouter, ton asiatique adoré.

Kai lui lança un regard meurtrier. Il avait rarement l'air aussi glacial. Viktor dégagea une mèche de cheveux verts de devant ses yeux et reprit la parole.

« - C'est bien ce que tu voulais, non ? On l'enlève et on le retient captif quelques heures avant que Saint Hiwatari ne vienne à son secours. Au lieu de quelques heures c'aura été trois jours, il ne t'en sera que plus reconnaissant. Vas donc le chercher ton félin.

Il accompagna à la parole un geste de dédain manifeste.

« - Je ne vois franchement pas ce qu'il t'arrive Kai. Surtout que ce gars n'a rien de particulier. Il couine pour pas grand-chose.

« - couine ?

Kai fut interpellé par le terme utiliser. Pourquoi Rei couinerait-il ? C'était surtout cela la question. Ca l'étonnait que retenu captif dans une pièce et légèrement bousculé, Rei couine…

« - Qu'est ce que tu veux dire ? Qu'est ce que tu lui as fais ?

La voix de Kai était à présent à la fois inquiète et agressive. Il continua, faisant son ton plus pressant.

« - Tu as respecté les ordres, n'est ce pas ?

Viktor arbora un sourire dénué de chaleur.

« - Bien entendu

Kai se leva et quitta la pièce étouffante. D'un geste fluide, il enfila son blouson et noua son écharpe avant de sortir sans un mot de plus.

Le plan ne s'était pas déroulé tout à fait comme prévu mais ça devait aller maintenant. De plus, savoir que le chinois voulait le revoir lui redonnait confiance.

Lorsqu'il arriva aux abords d'un petit hôtel chaleureux, il croisa Stanislas.

« - Attends une minute ! Si tu es ici, qui est avec Rei ?

Kai ne connaissait à Viktor que deux compères. L'un était dans l'appartement qu'il venait de quitter et l'autre se trouvait en face de lui.

« - Comment ça avec lui ?

L'adolescent aux joues tatouées le regarda, blasé.

« - Tu ne penses pas qu'en le laissant tout seul dans sa chambre d'hôtel –il fit un signe indiquant l'établissement à quelques mètres d'eux- il risque d'ameuter du monde ?

« - L'hôtel ?

Bon, certes, Stanislas n'avait pas l'air d'avoir inventé la poudre, mais là, il y avait quand même quelque chose d'étrange.

« - Il n'est pas ici ?

« - Ben…non… Il est à l'usine. Dans une pièce avec une poignée extérieure. Il ne peut pas sortir.

Il avait précisé devant l'air incrédule de Kai. Viktor était un garçon intelligent. C'est vrai que peut-être qu'un chinois enfermé dans un hôtel avec trois russes paraîtrait suspect…

« - A l'usine, tu m'as dis ?

Le brun, taillé comme une armoire à glace hocha la tête bêtement. Kai acquiesça également d'un signe de tête et partit en direction de la fabrique.

fin du flash-back

Sur le chemin pour aller jusqu'à l'usine, Kai réfléchissait. Il essayait de s'imaginer la réaction de Rei en le voyant. Il pensait d'ores et déjà aux explications qu'il pourrait fournir. Qui avaient été ses indics, ce qu'ils lui avaient dit, comment il les avait forcé à parler, … Comment Rei le remercierait-il…

Kai soupira et resserra un peu son blouson de cuir noir, pour bloquer le froid pénétrant qui s'insinuait déjà entre les mailles serrées de son tee-shirt. Il avait beau avoir été élevé en Russie et clamé bon nombre de fois que le froid était bénéfique à la circulation sanguine, ordonnant aux beybladeurs d'aller s'entraîner sous le froid hivernal, il s'était pourtant habitué au climat confortable du Japon ou des Etats-Unis. Il se surprit d'ailleurs à penser à la façons dont les pauvres participants au tournoi de Moscou géraient l'affaire.

Après avoir traversé la ville enneigée à pas pressés, pendant un bon quart d'heure, Kai franchit enfin la porte de l'usine abandonnée. Il s'agissait d'une ancienne fabrique de skis pour pied droit, l'autre –à savoir pour pied gauche- se trouvait à trois pâtés de maison . Il n'avait jamais rien comprit à l'économie, encore moins celle de son propre pays. Il trouvait cela idiot de –ne serait-ce que- penser à ne pas produire le même nombre de skis de chaque coté ou de concevoir des chaises à deux pieds. L'image d'un unijambiste venant s'acheter un ski lui décrocha un léger sourire et il secoua la tête avant de reprendre son sérieux et de prendre une mine inquiète. Pour cela, il n'eut pas trop à se forcer. Il s'inquiétait réellement.

REI !

Il fronça les sourcils en s'enfonçant dans la pièce centrale. Rei ne l'entendait-il pas ? Il continua à l'appeler en donnant un ton un peu plus insistant. Son cœur, battant déjà à tout rompre, accéléra encore, lui donnant une suée et une sensation de vertige alors que le silence du brun persistait. Il se mit à arpenter l'usine plus rapidement, en courant presque. Il ne savait pas exactement où le chinois était retenu captif. Ouvrant les portes à la volée, haussant la voix, il se mit à chercher frénétiquement. Il le trouva enfin.

Kai fut stoppé dans son élan. Il resta à l'embrasure de la porte, haletant la bouche entrouverte, détaillant l'environnement sinistre et nauséabond. Il cligna des yeux. Une fois encore. Puis doucement, se rapprocha. Ses jambes le portaient plus difficilement à chaque pas. Arrivé auprès du jeune homme qui lui tournait le dos, allongé sur le matelas, à demi dévêtu et arborant tout un panel de blessures, ses membres inférieurs cédèrent, laissant le russe tomber à genoux au milieu des flaques de sang séché.

Rei ?

Sa voix était presque inaudible, sa gorge était sèche. Il posa aussi doucement que possible sa main sur le bras nu et fut surprit par le froid saisissant de sa peau. Ne distinguant pas de réaction, Kai serra le bras dont la chair n'avait plus rien de tendre. Il lâcha et eut un mouvement de recul à cette sensation et fut horrifié en remarquant la trace blanche de sa main sur la peau cendrée. Le russe saisit plus brutalement le menton de son ex-partenaire et lui tourna la tête, faisant craquer la chair solidifiée. Le teint laiteux si agréable à la vue, avait laissé place à un ton grisâtre et marbré, couvert de traces cabalistiques foncées, se révélant être du sang coagulé. Ses yeux étaient à demi ouverts, une épaisse membrane opaque recouvrant le si réconfortant ton doré de ses iris. Enfin ses lèvres, crispée à jamais, marquaient de façon à présent indélébile la peur –ou peut-être la douleur- qui avait emporté le chinois au moment du jugement dernier. Pendant une fraction de seconde, Kai se souvint de la chaleur agréable se dégageant des lèvres douces et légèrement humides du jeune homme. Cette chaleur qu'il ne retrouverait jamais.

Réalisant enfin le sens véritable de cet affreux spectacle, Kai sentit les larmes dévaler sur ses joues. Sa gorge laissa passer un hurlement déchirant, la vieille usine lui renvoyant l'écho de son désespoir. Le russe s'allongea aux cotés de son ami abusé, et posa la tête, sur le torse nu, l'oreille contre le cœur qui ne produisait plus sa douce mélodie. Il resta ainsi, immobile, pendant près de trois heures puis se releva enfin, ses extrémités ankylosées et gelées. Il n'avait plus une larme à verser. Enfin, il saisit son téléphone et appela les urgences. Ses mâchoires anesthésiées par le froid, laissaient difficilement sortir sa voix chargée de tristesse et de regrets. Il réussit tant bien que mal à se faire comprendre et attendit l'ambulance, agenouillé devant le corps sans vie de son aimé.

FIN

Kat : contente YOUPI ! J'ai réussi à caser « cabalistique » avant la fin ! lol

aperçoit les lecteurs Vous êtes déçus ? hé hé Vous ne vous attendiez pas à une fin pareille n'est ce pas ? MWAHAHAHAHA ! Bah tant pis pour vous ! Moi j'aime pas les happy-end :p

Il y aura peut-être un épilogue, suivant mon humeur !