Auteur : Yami Flo

Genre : Général, Sérieux, Aphélie apprend de tristes nouvelles, et quand les camarades s'en vont, on peut être sur que les Serpentards ne sont jamais loin.

Disclaimer : Tous les personnages cités dans les cinq tomes parus d'HP ne sont pas à moi, mais à JK Rowling. Le reste m'appartient.

Chapitre 3 : Les Réjouissances Commencent…

Toujours les mêmes bruits.

Toujours les mêmes gestes.

Toujours la même ambiance.

Quoiqu'en pense les incrédules, le quai 9 ¾, le premier septembre, garde et gardera toujours en mémoire les séparations, les retrouvailles, les départs. Chaque année se ressemble sur les quais : les gens sont très prévisibles. Ils disent, à peu près, toujours les mêmes choses.

Cependant, cette année, il y a quelque chose de différent dans l'air. Les embrassades durent plus longtemps, comme si les gens sentaient qu'ils n'allaient plus revoir leurs enfants. Les larmes sont plus nombreuses, aussi. Quelques personnes portent encore des tenues de deuil. Alors j'ai compris.

Compris que le Seigneur des Ténèbres avait encore lancé une nouvelle attaque.

Sa montée au pouvoir a commencée il y a de cela quelques années, et depuis, les attaques se multiplient, les pertes sont sévères, les gens ne sont plus aussi joyeux. Ils ont peur. Mais peu d'entre eux osent se relever et prendre les armes. La plupart se bercent de douces illusions, s'imaginant que le Ministère finira par arrêter ce fou.

Mais ce sont eux, les véritables fous. Fous de ne pas se rendre compte de la réalité. Même devant les photos publiées par la Gazette du Sorcier, ou les ruines en elle-même, ils ne font rien, se contentent de dire, l'air innocent et faussement convaincu qu' « un tel fou sera bientôt mis hors d'état de nuire ».

Les idiots. Ils ne se rendent pas compte de la puissance des ténèbres et de la magie noire. Innocents qu'ils sont, ils ne veulent pas voir en face qu'ils sont condamnés si aucun ne réagit.

J'admire les Aurors pour oser tenir tête aux partisans de Voldemort. J'admire Octavio pour sa détermination à vouloir détruire la menace qui plane sur notre monde. Et, en même temps, je ne peux que le désapprouver, parce qu'il met en danger sa vie, et celle de toute notre famille. Mais d'un autre côté, mieux vaut se battre que de courber l'échine devant un tel fou.

Me voilà résonnant comme un véritable Griffondor, songeais-je en rejoignant Violette et Camélia devant un wagon où elles m'attendaient.

Enfin, m'attendaient…plutôt les bagages qui m'ont suivies. Nerveusement, Camélia me tire à l'écart pendant que Violette surveille, tout en discutant avec deux garçons de son année, dont j'ignore le nom, le chargement des malles. Ma sœur m'embrasse sur la joue, du bout des lèvres.

Elle était nerveuse. Elle sentait le trouble à plusieurs mètres à la ronde.

Les vampires sont, d'une certaine façon, comme les loups-garous. Ils ressentent les émotions des gens qui sont près d'eux, de même que leur odeur personnelle.

Je peux reconnaître à distance l'odeur de chacun de mes camarades de classe et de tous les membres de ma famille. Je peux connaître ainsi leur état mental de chacun d'eux, leurs intentions parfois, et agir en conséquence.

Et Camélia, ma « chère » grande sœur, sentait la peur à plein nez quand elle hésita à me donner un autre baiser.

-Camélia, murmurais-je à son oreille, j'ai bu ma dernière rasade de sang il y six ou sept heures. Je n'aurais plus besoin d'en boire avant des semaines. Je ne vais pas te mordre, tu sais.

-Non, je sais Aphélie. Ce n'est pas pour cela que j'hésite. Veille bien sur Violette cette année, veux-tu ?

Ce n'était pas un service. C'était une supplique.

Est-ce que par hasard… ?

-Toi aussi, tu as peur pour notre famille ?

Ma réplique semble la prendre de court. Elle ne devait pas s'attendre à ce que je songe à la sécurité de notre famille, ou comme en faisant parti. Parfois, je me demande si elle n'oublie pas totalement que j'ai, moi aussi, des sentiments.

Finalement, elle soupire.

-Les gens disent que nous ne risquons rien parce que nous sommes des sangs purs, mais…Qui n'est pas avec le Lord Noir est contre lui, d'après ses hommes. Il y a déjà eut des pertes terribles dans la population. Le Ministère ne veut pas qu'on en parle, mais c'est une belle erreur. Tu verras toi-même à Poudlard. Aphélie…Tu as lu le journal de la semaine dernière ? L'article du 26 août…

-Un raid sur le Chemin de Traverse, qui a fait 19 victimes, dont cinq enfants.

-Aphélie…Tu ne le sais sûrement pas, parce qu'ils n'ont pas donner la liste des victimes, mais…Les Adams se trouvaient parmi les morts.

Je me fige instinctivement. Les Adams. Une famille d'Auror, très bien vue dans le monde sorcier. Des sangs purs, eux aussi, comme notre famille ou les Serpentards. Je connais bien leurs enfants, Carolyn et Franklin. Franklin est à Griffondor, en troisième année. Un gamin que je terrorise au moindre regard trop accentué. Sa sœur, à Poufsouffle, devrait entrer en cinquième année, comme moi. C'est ma partenaire favorite en cours de Botanique, que nous avons en commun depuis deux ans.

J'avoue qu'à elle aussi je fais peur, mais c'est une fille très gentille. Elle n'arrête pas de dire que lorsqu'elle aura finit ses études, elle deviendra médicomage. Bref, une idéaliste et une personne loyale, comme tous les membres de sa maison. Et ce n'est pas une des membres du Fan-club des Maraudeurs, raison supplémentaire pour moi de l'adorer.

Alors, dans ma poitrine, se forme une boule de peur. J'ai du mal à respirer sur le coup. C'est avec beaucoup de peine que je commence à poser la question qui m'angoisse.

-Qui…Que…Carolyn ? Franklin ?

Camélia secoue la tête avec tristesse. Pour une fois, elle a vraiment l'air de partager ma souffrance. Connaissait-elle le couple Adams ? Peut-être. Je ne pourrais pas le dire.

-Ils sont tous morts, Aphélie. Même les enfants. Je…je ne sais pas ce qui peux nous arriver, mais je sais qu'à Poudlard, vous serez saufs. Seulement…je ne suis pas tranquille. Reste près de Violette, je t'en prie.

-C'est promis, murmurais-je.

Camélia me lâcha alors, me fit un vague signe de tête avant de rejoindre notre sœur. Moi, je restais immobile un long moment. Les Adams…morts. Tous les quatre.

Inconsciemment, je faillis pleurer. Non, non, je ne devais pas. Pas au milieu de tous ces gens. Je risquerais de déclencher une panique. Et je n'ai pas envie qu'une bande de fanatiques tente de me planter un pieu dans le cœur.

Vivement, je montais dans le wagon le plus proche et me mettais à la recherche d'un compartiment vide. C'était plutôt dur à cette heure-ci, alors que le départ allait bientôt être donné, mais au bout de quelques minutes d'efforts, je finis par trouver mon bonheur dans un wagon de queue.

Je fermais la porte, et m'écroulais sur la banquette. Tirant de ma poche un mouchoir, je commence à essuyer les larmes qui coulent le long de mes joues. Bientôt, de blanc, l'étoffe passa au pourpre.

Un moment, je la garde entre mes mains, la tiraillant d'un côté ou d'un autre.

Nous vivons une bien triste époque. Une époque atroce.

Mes poings se serrent en pensant aux Adams, à Carolyn qui ne rêvera plus jamais, à Franklin qui ne sourira plus à ses camarades, à leurs parents, des gens qui n'avaient probablement rien fait pour mériter un tel sort.

Et je ne peux rien faire, parce que je ne suis qu'une enfant.

Un petit coup frappé à la porte du compartiment me tire de mes pensées.

-Aphélie ? Nous pouvons entrer ?

-Aphélie, ouvre-nous ! Il faut qu'on parle.

Je reconnaîtrais ces voix entre milles. Ce sont celles de deux de mes camarades de dortoir. Lily Evans et Christina Sander. Prestement, mon mouchoir disparaît dans ma poche, alors que je me lève pour déverrouiller la porte du compartiment.

Aussitôt, les deux filles s'engouffrèrent dans le compartiment et prirent place sur les banquettes, Christina à côté de moi et Lily face à nous.

Physiquement, nous sommes toutes les trois bien différentes. Moi, avec mes cheveux noirs et mes yeux rosâtres, ajoutés à mon teint pâle, je ressemble réellement à ce que je suis : un vampire.

Lily, elle, a des cheveux d'un roux flamboyant, vraiment magnifiques. Ses yeux sont encore plus admirables : deux yeux d'un vert surprenant, et quand elle est en colère, on dirait vraiment qu'ils lancent l'Avada Kédavra. Simple, intelligente, sérieuse, et redoutablement maligne. Tous ce que j'aime trouver chez les gens. Même si, parfois, je l'avoue, elle se comporte de façon un peu vantarde.

Christina, enfin, est…bizarre. Oh, je ne suis probablement pas la meilleure personne pour juger de ce genre de chose, mais c'est l'effet qu'elle me fait. Elle est vraiment bavarde, pour commencer. Ensuite, je ne pourrais pas vous donner la couleur réelle de ses cheveux. Elle les teints d'une couleur différente tous les ans. Je l'ai connu arborant fièrement, tour à tour, les couleurs d'orange clair, de rose fuchsia, de bleu indigo et de rouge bordeaux. Cette année, elle a opté pour le mauve lavande.

Je trouve que cela va plutôt bien avec ses yeux bruns rieurs, et n'hésite pas à leur en faire la remarque. Elle rie franchement, tandis que Lily secoue la tête. Mais on voit bien, sur son visage, un petit sourire satisfait.

Lily a croisé les bras, puis s'est enfoncée dans son fauteuil, sans dire un mot. Christina commence à nous raconter ses vacances en France, avec ses cousins. Elle est sang-mêlé, père sorcier et mère moldue. Elle et son père sont les seuls sorciers de leur famille.

Pendant une demi-heure au moins, elle reste intarissable. Je hausse un sourcil en me demandant comment elle fait pour parler si vite sans avoir besoin de reprendre don souffle, avant de laisser tomber. Il y a des choses qui ne s'expliquent pas.

Lentement, mais sûrement, la conversation dévie sur Poudlard, et sur les questions habituelles à se poser en début d'année.

-A votre avis, qui sera notre prochain professeur de Défense Contre les Forces du Mal, fit tranquillement Lily ?

-Aucune idée, répondit sérieusement Christina. Mais, de toute façon, cela ne peut pas être pire que l'an dernier.

-N'en soit pas si sure, Christina, murmurais-je.

-Aphélie n'a pas tord. Avec ce qui se passe en ce moment, on ne sait plus à qui se fier. Le pire qui puisse nous arriver, c'est d'avoir un Mangemort infiltré comme nouveau professeur.

J'approuve silencieusement en hochant la tête. Mes pensées dérivent lentement vers nos précédents professeurs de DCFM.

Le poste maudit de Poudlard, où aucun candidat ne tient plus d'un an.

Nous avons eu droit à de sérieux problèmes avec nos précédents professeurs. Le premier, Whitehorse, était un vieillard à moitié sourd qui mélangeait tout. Le brave homme a été mis à la retraite par le Conseil d'administration dès la fin de l'année. Je dois avouer qu'il ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, mais parfois, dans la salle commune, ses simulacres de cours sont racontés comme des plaisanteries aux plus jeunes années.

Le second, Paterson, fut un professeur particulier…qualifier de catastrophique ses cours théoriques, c'était se priver l'adjectif correspondant pour définir ses cours pratiques. Encore maintenant, les élèves se demandent comment Dumbledore a pu engager un tel incapable. Mais, après tout, c'est Dumbledore. Qui peut se vanter de connaître son mode de pensée ? Une équipe de chercheurs diplômés pourrait s'y casser les dents.

En troisième année, nous avons eu le professeur Anderson. Un bien brave homme, mais très lunatique et très paresseux. Pour récupérer une copie notée, il fallait attendre au moins un mois, et encore, seulement quand il était pressé. Des scènes mémorables ont alors eu lieu avec le professeur McGonagall, le professeur de Métamorphose et aussi notre directrice de Maison. On aurait presque finit par plaindre ce pauvre homme. Pour un peu, on aurait pu juré que les mûrs se mettaient à trembler. Oui, on pouvait le plaindre.

Enfin, presque.

Et, pour terminer la galerie, nous avons eu l'an dernier le professeur Wallace, un vieil homme hargneux et complètement sadique, qui devait confondre une salle de cours avec une salle de torture. Il a été renvoyé avant la fin de l'année pour cruauté mentale et tortures physiques à l'égard des élèves. La seule personne qui ait dû regretter son départ, c'est Argus Rusard, le concierge. Ils ont la même haine des enfants.

-…cette année. Aphélie ? Aphélie, tu nous écoutes ?

-Hein ?

Lily et Christina me regardent bizarrement. Visiblement, j'ai du manquer une bonne partie de la conversation.

-Je suis navrée, les filles. Je n'ai pas écouté. Un peu de sommeil en retard, murmurais-je comme excuse.

-Oh, ce n'est pas grave, on parlait simplement des nouveaux préfets de cinquième année. On a croisé Lindsay Howard en venant, et Daphné Roberts dans un compartiment avec des Pouffsoufles. Apparemment, c'est Lindsay notre nouvelle préfète. Mais tu sais qui a obtenu l'insigne chez les garçons ? Demanda Lily.

-Remus Lupin, fit immédiatement Christina sans me donner le temps de placer un mot.

-Choix logique, après tout. C'est le plus calme et le plus réservé des quatre, et il était clair que les professeurs n'allaient pas donner de telles responsabilités à quelqu'un comme Potter ou Black.

-Tu es dure avec eux, Aphélie, remarqua Christina.

-Elle a raison. Si ces idiots ne passaient pas leur temps à nous faire perdre des points…trancha Lily.

Je ne réponds pas et ferme les yeux, me replongeant dans mes pensées. Lindsay Howard et Remus Lupin en préfets ? Logique.

Dans notre année, nous sommes neuf élèves à Griffondor. Quatre garçons et cinq filles. Les garçons, se sont les Maraudeurs. Je ne m'attarderais pas à leur sujet, ayant déjà dit ce que j'en pensais.

Néanmoins, dans un soucis d'équité, je les vois ainsi : James, le meneur, fier et imbu de lui-même, Sirius, le blagueur et charmeur, Remus, le sage et réfléchis, et Peter, le trouillard. Je sais ce que je dis. C'est à peine s'il supporte de rester dans la même pièce que moi quand je me mets à le regarder.

Les filles, se sont moi, Lily, Christina, Daphné Roberts et Lindsay Howard.

Daphné est une fille blonde aux yeux bruns, un peu boulotte, mais une vraie pimbêche selon mes camarades. Il n'y a qu'à voir les regards qu'elle lance à Sirius Black pour s'en convaincre. Un des membres les plus actifs du fan-club des Maraudeurs.

Lindsay, elle, est brune aux yeux bleus. La première de la classe en Botanique et en Divination. Sérieuse, distinguée, patiente, qui n'a pas peur des responsabilités et qui est aimable avec les plus jeunes. La décision des professeurs est aisément comprise.

De même pour Remus. C'est stratégique. On espère probablement qu'il mettra un frein aux plaisanteries de la petite bande.

J'ai néanmoins un doute à se sujet.

-Aphélie ?

La voix de Christina me tire de la torpeur dans laquelle je m'étais plongée. Lily est à la porte du compartiment, et Christina est penchée sur moi, les yeux remplis de curiosité.

-Aphélie, nous allons rejoindre Ian Calvin. Il…il a perdu son frère dans l'attentat du Chemin de Traverse, et…

-Vous vous êtes dit qu'un peu de compagnie ne lui fera pas de mal, c'est cela ? Vous pouvez y aller, je ne vous retiens pas.

Ma voix est sèche lorsque je prononce ces mots. Parce qu'elles ne sont pas sincères. Pas entièrement, du moins.

Je le sais. Je le sens.

Lily et Christina sortent sans demander leur reste.

Je suis en colère, elles l'ont vu, et si c'est le cas, mes yeux ont dû passer de rose à rouge. Je m'efforce de me calmer.

Elles ne diront rien, parce qu'elles ont déjà eu l'occasion de voir ce changement de couleur de mes iris. Mais si un autre avait vu…

Je me rends alors compte que nous roulons. Depuis combien de temps ?

Cette fois, je comprends vraiment la raison de leur départ. Je suis trop renfermée aujourd'hui. Je ne prête même pas attention à ce qui m'entoure. Et je les dérange. Je les dérange parce que je n'arrive pas à me joindre à une conversation plus de cinq minutes.

Fatiguée, je ferme les yeux et me réinstalle confortablement sur la banquette. Je n'ai pas besoin de dormir, pas réellement, mais je me sens las. Très las.

Quel calme.

Le calme avant la tempête.

-Tiens tiens, si ce n'est pas la petite Silverstone ? Quel plaisir de te voir, ma chère.

Je rouvre les yeux et les tournent vers les nouveaux arrivants. Cinq Serpentards de septième et sixième année. Rabastan Lestrange, son frère Rodolphus, Bellatrix Black, sa petite amie et également cousine de Sirius Black, Narcissa Black, la sœur de Bellatrix, et en tête de cette joyeuse équipe, Lucius Malefoy.

Cinq Serpentards qui, d'après leur tête, ne me porte pas vraiment dans leur cœur. D'après les émotions qu'ils émettent également.

Analysons clairement la situation : Je suis seule dans un compartiment, face à cinq personnes plus âgées et plus fortes que moi, et, même si j'ai ma baguette, je suis mauvaise en duel.

Comme dirait Christina : Génial.

Cette fois, les réjouissances commencent vraiment…

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Hé hé, notre petite Aphélie semble mal partie.

Que va-t-il lui arriver ? Que lui veulent donc les cinq BIP ? Bon, on a compris que je ne les portais pas dans mon cœur.

Les updates de la fic dépendront un peu du nombre de review que je recevrais, et également tu temps que j'aurais pour écrire entre deux corvées.

Et maintenant, RAR :

Jamesie-cass : Merci beaucoup pour ta review, elle m'a fait très plaisir se met à rougir sous le compliment

Concernant Aphélie, elle l'expliquera elle-même dans un futur chapitre. Néanmoins, pour donner une idée de base, disons simplement qu'elle attrape un « coup de soleil » si elle y reste exposer trop longtemps, un peu comme les albinos.

Gabrielletrompelamort : Merci pour la review, et oui, je comprend très bien ce que tu veux me dire. Pour information, l'histoire de la famille Knight est librement inspirée du Livres des Comtes Vampires de Warhammer, ancienne version, ou l'on retrace l'histoire de la lignée des Von Carstein.

rowena d'argent : Encore un merci pour la review, je sais je me répète. C'est fou comme les histoires de vampires attirent les gens L'idée de métis vampire plus que les autres…