Auteur : Yami Flo

Genre : Sérieux, Général, un peu d'humour, Aphélie et Severus discutent en privé, le professeur Whirlwind fait ses débuts, et les Maraudeurs passent à l'action !

Disclaimer : Si les personnages d'Harry Potter m'appartenaient, je serais multimilliardaire. Au lieu de cela, je ne suis qu'une banale lycéenne qui les emprunte le temps d'une histoire, à l'exception des personnages de sa création que, je n'en doute pas, vous n'aurez aucun mal à reconnaître.

Chapitre 6 : Premiers Cours et Première Farce

Six heures du matin. Dans le dortoir, mes camarades de classe dorment encore. Moi, déjà habillée et coiffée, je suis prête à descendre. Faust, sur mes genoux, ronronne comme un bien heureux. Il est un peu fatigué, mais semble aller parfaitement bien. J'en suis heureuse : je n'aurais pas supporter l'idée de l'avoir blesser. Néanmoins, si je me sens mieux et que la faim de sang s'est totalement escomptée pour l'instant, je n'en suis pas pour autant rassurée.

Pourquoi ? A cause de ma fatigue et de mon temps de sommeil. Je me suis endormie comme un vulgaire humain hier soir, moi qui ai l'habitude de ne pas dormir plusieurs jours à la suite, alors que j'avais déjà dormi la veille.

Seigneur, mais qu'est-ce qui ne va pas avec moi ?

Par la fenêtre du dortoir, je vois la pluie qui tombe. L'atmosphère de la journée risque d'être maussade. Surtout si nous commençons les cours avec deux heures de potions avec les Serpentards. Généralement, c'est ainsi tous les ans. Je ne sais pas à quoi pense Dumbledore, parfois. Attention, notez le si. Nous n'avons pas encore eu nos emplois du temps, et peut-être un miracle arrivera-t-il. Peut-être aurons-nous une année calme, malgré ce qui se passe en dehors des murs du château.

Non.

Inutile d'être optimiste, c'est se faire du mal et voir ses espoirs être réduits à néant.

Ces cours ne peuvent pas marcher. Les élèves qui y sont présents ne peuvent pas s'empêcher de se disputer. Une entente cordiale entre eux est vouée à l'échec. Malheureusement, notre cher Directeur n'a pas l'air de penser la même chose. Que devrais-je dire ? Idiot ou utopiste ? Dans les deux cas, cela me semble très vrai.

Faust saute de mes genoux. Je quitte le dortoir et rejoins la Salle Commune. Malgré l'heure matinale, je ne suis pas la seule à être déjà debout. Trois septièmes année discutent ensemble à voix basse, assis autour de la cheminée, éteinte en cette saison. Visiblement, ces trois filles discutent déjà de leurs futurs ASPIC. Et au passage, en sautant de sujet toute les deux minutes, de leurs nouveaux professeurs. Et de leurs futurs (ex ?)- petits amis.

Selon elles, le nouveau professeur de Défense Contre les Forces du Mal est, je cite : « Trop beau et trop canon. » Piti ! Elles font le même type de commentaires avec tous les élèves de sixième et septième année, et les cinquièmes années de certaines Maisons également, mais de là à discuter d'un professeur comme d'un petit ami potentiel... Surtout quand le professeur a, et je peux le sentir grâce à ma nature particulière, plus de trente cinq ans, malgré son physique. Non. Ne pas faire de commentaires. Tout ce que je pourrais dire sera vain, et je n'ai aucune envie de parler avec ses hystériques.

Il n'empêche qu'avec ces trois filles, ma tranquillité matinale est fichue. Moi qui aime la solitude au matin, c'est raté pour cette fois. Je jette quand même un coup d'œil à l'horloge la plus proche : 6H15. Autant rejoindre la Grande Salle tout de suite. Les portes ouvrent vers la demie.

Comment je le sais ? J'ai hanté les couloirs du château la nuit pendant près de quatre ans, je commence à bien connaître certains escaliers, certaines pièces...et quelques passages secrets. Très pratique pour échapper à Rusard ou ne pas arriver en retard en cours.

Je regarde à nouveau les filles. Va pour la Grande Salle. Même si je ne mange rien, je pourrais toujours y attendre les autres en toute tranquillité. Agrippant mon sac de cours, je sors, les trois filles me suivant du regard de façon un peu trop insistante. Elles respirent la suspicion.

Je ne croise personne sur le trajet, et je m'en félicite. Les gens savent que je me lève tôt, mais là, après la scène d'hier soir, j'aurais risqué des questions embarrassantes. Alors que je passe devant la porte de la bibliothèque, celle-ci s'ouvre brusquement, et un élève me rentra dedans, me faisant tomber au sol. En levant les yeux, la première chose que je vois, ce sont des livres de potions et de sortilèges. La seconde, c'est un blason de Serpentard. Et je ne connais qu'une seule personne capable d'être debout et à la bibliothèque si tôt dès le premier jour...

-Bon sang, Silverstone ! On ne t'a jamais appris à regarder devant toi quand tu marches ?!

-Rogue, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, ce n'est pas moi qui suis sorti à toute vitesse de la bibliothèque. Le fautif, c'est toi !

Il me tend une main pour m'aider à me relever. J'accepte sans broncher. Après tout, il n'y a personne pour nous surprendre.

Je l'ai probablement déjà dit, mais nous ne sommes pas ennemis. Je ne déteste pas particulièrement les membres de la Maison du Serpent. Mais eux ont un véritable problème avec tout ce qui porte du rouge et or, et même si j'évite d'attiser la haine inter maison, j'en paye quand même le prix.

Severus Rogue est un des rares Serpentard pour lequel j'ai de l'affection. La raison a déjà été énoncée. Je ne me moque pas de lui, je l'aide parfois en potion...non, la réplique est inexacte. Severus est un virtuose quand il est face à un chaudron. La vérité est légèrement différente. Disons que je le seconde parfois en cours de potion, c'est plus juste, et que je fais de temps en temps équipe avec lui pour un devoir à rendre dans les matières que nous avons en commun.

Bref, j'ai le même type de relation avec lui qu'avec les Maraudeurs. Civiques. Pas désagréables. Mais à surveiller pour qu'elles n'évoluent pas en mal.

Lui, en revanche, s'il ne m'adresse pratiquement jamais la parole en publique, ne se gène pas pour m'indiquer de façon détournée où je fais des erreurs dans mes propres textes. Quand je veux dire façon détournée, je veux dire par quelques moqueries qui laissent bien entendre ce qu'il pense. Je ne lui en veux pas. C'est efficace. Je fais partie de ceux qui croient que l'on apprend beaucoup de ses erreurs, et qu'un peu de critique ne peux vous être que bénéfique. Encore que les critiques de Severus sont souvent plus qu'acerbes.

Non, je n'ai qu'un seul vrai regret à son sujet : même quand nous sommes seuls, il ne m'appelle jamais par mon prénom.

Mais les raisons en sont simples.

Je suis Griffondor, et lui Serpentard. Deux noms qui doivent nous faire haïr.

Nos deux Maisons sont ennemies, mais nous, pas vraiment. Mais inutile de crier sur les toi que nous nous apprécions. D'ailleurs, à Griffondor, il n'y a pas que moi qu'il apprécie. Et mes animaux peuvent toujours compter sur un geste de sa part : je sais, pour l'avoir surpris une fois, qu'il donne de temps en temps des graines à Machiavel. Il s'est octroyé la permission de l'utiliser, d'ailleurs. Qui pourrait croire en le voyant qu'il aime les animaux ? Même si je le sais, je n'ai jamais rien dit.

C'est notre petit secret, voilà tout.

Severus est souvent là pour moi de manière indirecte. Il n'est pas très bavard, comme moi, aime aussi les coins sombres, et, il faut l'avouer, nous partageons le même amour des potions. D'ailleurs, après avoir jeter un coup d'œil au titre du livre que je lui tends, je ne peux pas m'empêcher de faire une remarque.

-L'encyclopédie des Potions de Grands Pouvoirs ? Bon courage, la plupart des pages ont été abîmées par des élèves peu soigneux. Mais les textes sont toujours lisibles, et la plupart des illustrations sont entières.

Là, oh miracle, le Serpentard sourit. Très légèrement. Le même genre de sourire que je donne à Malefoy lorsqu'il m'aborde.

-Je sais, je l'ai feuilleté. Mais on dirait que je ne suis pas le seul à bien connaître ce livre...

-Il m'a beaucoup plus, mais il est un peu décevant. On ne nous donne que les bases des potions, et elles sont incomplètes. Les Sept Potions de Puissance sont bien plus complètes. De même que Les Potions Maléfiques, qui fournissent de bien meilleures recommandations.

-Je pensais qu'il s'agissait d'un livre interdit ?

Là, le sourit est un peu plus franc, un brin méfiant tout de même. Et je n'aime pas cela.

-Severus, je sais que, tout comme moi, tu as lu ce livre, alors ne joue pas avec l'ironie. Mais toi, je te soupçonne de l'avoir lu dans la Réserve.

-Et toi, dans ta bibliothèque familiale.

Que répondre à cela ? C'est la plus absolu des vérités. Ma famille, avec sa malédiction, et malgré une conduite rangée ces...trois dernières générations, a eu autrefois une passion peu commune pour la magie noire, un peu comme les Black. Et la bibliothèque familiale regorge de livres aux titres et aux contenus inquiétants. Pour l'instant, je ne crois pas nécessaire de continuer la conversation. L'heure tourne, et des élèves pourraient nous voir ensemble. Ce qui serait mauvais pour lui comme pour moi.

Mais, restons polie.

-...j'allais déjeuner. Tu m'accompagnes ?

-Arrête, Silverstone. Je sais très bien que tu n'as pas besoin de te nourrir aussi souvent qu'un humain ordinaire.

-...Tu veux remettre ton pari sur le tapis ?

Il ne répondit pas, eu un sourire mystérieux, et disparu, ses livres dans les bras.

Le pari... Deux ans auparavant, alors que j'étais sortie du dortoir en pleine nuit pour une chasse, j'ai croisé Severus dans un couloir. Inutile de dire que nous avons été aussi surpris l'un que l'autre. Nous nous fixions bêtement dans les yeux, quand un miaulement de Mrs Nice, ajouté à la voix de Rusard quelque part dans les méandres du couloir nous a incité à fuir.

A deux.

Ensemble, nous nous sommes caché du concierge, et nous avons discuter dans une vieille salle de classe désaffectée une bonne parie de la nuit en attendant de pouvoir rentrer dans nos Salles Communes respectives sans problèmes. Et il m'a dit qu'il savait que je n'étais pas entièrement humaine. Et qu'il comptait bien découvrir à quelle espèce j'appartenais. C'est un pari qu'il m'a fait, d'une certaine façon. Découvrir ce que je suis réellement.

Sur le coup, je dois avouer avoir reçu un choc. Bien des adultes qui m'avaient vu, bien des amis de mes parents qui les connaissaient de longue date, personne n'avait jamais eu l'air de soupçonner la vérité. Et lui, un garçon de mon âge, un Serpentard qui plus est, avait découvert le pot aux roses en seulement trois années, voir moins. Severus est intelligent.

Mais je doute qu'il trouve un jour quelque chose. D'abord, parce que je suis protégée par un sort de Fidelitas. Ensuite, parce que tous les livres mentionnant la malédiction que subie ma famille depuis des siècles, ont été retirés de toutes les bibliothèques de Grande Bretagne et d'Ecosse.

Il pourrait, à la rigueur, avoir une base solide en consultant la généalogie des sorciers disponible dans les archives au Ministère de la Magie, mais même s'il y songé, il ne pourrait pas y avoir accès. Et s'il trouvait... S'il trouvait, il oublierait aussitôt, à cause du charme de Fidelitas.

Si quelqu'un découvre que je suis métis vampire, l'information, même s'il l'a dit à haute voix et devant une immense assemblée, passera totalement inaperçue. La mémoire des gens sera affectée par le Fidelitas, ils sauront, et en même temps, ils ne sauront pas, comme si un coin de leur cerveau se refusait à la garder en mémoire, à la rendre totalement claire dans l'esprit de la personne.

Je suis tranquille. Severus ne trouvera pas. J'en suis assurée.

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Cette fois, c'est sur les Maraudeurs veulent ma perte.

Non, j'exagère. Néanmoins, leur blague est vraiment de mauvais goût. Je suis entrain de me balader dans l'école avec des cheveux changeant de couleur et de...texture toutes les deux minutes. Et Madame Pomfresh n'a pas trouvé d'antidote au sortilège qu'ils ont utilisé. En résumé, je dois restée ainsi pendant plusieurs jours, jusqu'à ce que les effets du sort prennent fin.

Que devrais-je dire ? Que l'on s'habitue à avoir des cheveux comme un arc- en-ciel, fait dans une espèce de gelée, constitués de centaines de petites araignées ou faits d'écailles de reptiles ? Quand ils ne se changent pas totalement en serpents, cela va de soit. Je ne compte plus le nombre de cris qui ont éclaté dans les couloirs la première fois. Certains juraient avoir vu une gorgone sifflante et écumante de rage. Correction : la fameuse écume n'est rien de plus qu'une conséquence du sort. Si je prononce certains mots, une espèce de mousse blanche et épaisse me sort de la bouche.

Je hais les Maraudeurs, et plus que tous, je hais ma vie.

Les filles réagissent de façon très différentes les unes des autres :

Christina prend la chose du bon côté, et, quand par hasard mes cheveux prennent la même teinte que les siens, elle en rie et me parle comme à une sœur.

Lily, elle, insulte copieusement les Maraudeurs. James tente parfois un numéro de charme sur elle. Mauvaise idée. La dernière tentative est ce qui lui a valu une gifle. En fait, il aurait du en recevoir une deuxième, mais il a évité la seconde en se baissant rapidement.

Daphné ne fait que sourire méchamment, et complote avec les autres filles du fan-club des Maraudeurs. Elles aussi me réservent quelque chose, ou sinon, je ne m'appelle plus Aphélie.

Enfin, Lindsay est désolée pour moi, et a sermonné, sans succès il faut le dire, les Maraudeurs pour leur conduite à l'égard d'un de leur camarade de Maison. Sous-entendre ici : faites des blagues si vous voulez, mais pas aux élèves de Griffondors. Cela ne l'a pas empêché de faire des remarques acides à Remus pour son rôle dans cette affaire, lui, un préfet.

J'ignore si elle a eu du succès, mais une chose est sure, le pauvre garçon n'en menait pas large.

Pour l'instant, nous sommes tous assis dans la Salle de Défense contre les Forces du Mal, attendant la venue du professeur Whirlwind. Car, contrairement à ce que j'aurais cru, nous avons commencé les cours non pas avec potion, mais avec DCFM, et nous sommes en équipe avec les Serdaigles comme quoi les dieux sorciers ne sont pas tous cruels.

La porte s'ouvre en coup de vent, et le professeur entre, jetant au passage sa cape sur le siège le plus proche. Il est tout sourire, ses yeux étincelles, et il émet beaucoup de joie et d'amusement. Aurions-nous, pour une fois, un professeur normal et correct ? On va très vite le savoir.

-Eh bien, chère classe, il est temps de faire les présentations. Je suis, comme vous le savez, le professeur Whirlwind. Ethan Whirlwind pour les intimes. J'ai pour mission cette année, de vous préparez à vous défendre contre toute sortes de créatures monstrueuses, et plus particulièrement de celle reconnut comme étant la plus redoutable : le Mangemort.

Il y eu quelques murmures dans la salle. Visiblement, personne ne s'attendait à une telle entrée en matière, surtout sur un ton de plaisanterie.

Merlin nous protège, nous sommes tombés sur un deuxième Dumbledore !

-Le programme de cette année se composera de la manière suivante. Vous avez à passer, à la fin de l'année, vos BUSE. Votre apprentissage, jusque là bâclé et quelque peu...chaotique, à besoin d'être comblé. Nous avons quatre heures de cours ensemble par semaine. Le cours du lundi sera réservé à l'étude théorique, et le cours du vendredi, à la mise en pratique des techniques de défense apprises. Cependant, comme le programme n'est pas applicable aujourd'hui, nous nous contenterons de faire connaissance.

Whirlwind est organisé. Son emploi du temps tient la route, et il est fort capable de la respecter à la lettre... Et de nous coller des interrogations surprises quand on s'y attendra le moins.

-Au premier trimestre, nous étudierons les créatures magiques néfastes pour l'homme, que vous aurez l'occasion de voir en Angleterre et en Europe et les moyens de s'en protéger, voir même quelques créatures d'Amérique Centrale et d'Asie si nous avons de l'avance. Dans le cas contraire, des exposés seront à préparer. Pour le second trimestre, nous étudierons les sortilèges d'attaque et de défense, donc, les duels de sorciers. Voir aussi les duels moldus à l'épée, tous types inclus, sinon, comme pour le premier trimestre, vous aurez des exposés. Notés, je tiens à le préciser, ainsi, vous aurez une raison de les préparer. Enfin, au troisième trimestre, nous verrons les différents types de plantes et potions maléfiques, la meilleure façon de les contrer et d'y résister, et, si vous êtes sage, une excursion dans la Forêt Interdite pour voir ces fameuses plantes de plus prêt. Enfin, pour clôturer l'année avant les examens, l'application de tous ce que vous aurez appris dans l'année en combat rapproché contre divers adversaires dans un labyrinthe.

Stupeur générale. Personne n'ose plus dire un mot. Timidement, Lindsay finit par lever la main, posant la question que nous devons tous nous poser.

-Oui, miss... ?

-Lindsay Howard, professeur. Est-ce que...est-ce que le professeur Dumbledore sait pour vos idées ? Enfin, je veux dire, est-ce qu'il connaît votre programme ?

-Mais naturellement, miss. Et il les approuve totalement. Sinon, pourquoi croyez-vous qu'il m'aurait engag ?

Et il sourit toujours, dévoilant des dents parfaitement blanches. Inversement, nos sourires à nous ont disparu, et la majorité des élèves se dévisagent en silence.

Je ne sais pas pourquoi, mais tout d'un coup, je me sens vraiment las. Moi qui croyais que la série des catastrophes ne pouvait pas continuée, je viens de changer d'avis...

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Et un nouveau chapitre, un. Alors, que pensez-vous de notre nouveau professeur de DCFM ? Et surtout, que pensez-vous de ce chapitre ? Je rappelle que les critiques et les encouragements sont toujours les bienvenus.

Félicitations à tous ceux qui avaient découverts qui était la personne ayant bousculé Aphélie à la sortie de la bibliothèque !

Maintenant, RAR :

Jamesie-cass : Eh oui, c'était juste, mais ça risque de l'être plus encore dans les prochains chapitres...surtout les soirs de pleine lune -

Rowena d'Argent : Pour tes idées, tu peux toujours les proposées, ça m'intéresserait de savoir comment mes lecteurs voient les choses. Et puis, qui sait, peut-être que l'une d'elle est la bonne.