Eh ! J'ai pas eu beaucoup de reviews cette fois-ci ! Je rigole ! Non, c'est vrai, mon chapitre précédent était pas terrible alors j'ai décidé d'en pondre un beaucoup plus long !
Chapitre 14
>Harry ! Il faut que tu te réveilles pour te préparer ! Fit Mrs Weasley à travers la porte de la chambre.
Ginny se réveilla en sursaut et se rendit compte avec horreur qu'elle n'avait pas seulement dormi dans les bras de Morphée. Elle donna un gros coup de coude à Harry et ce dernier finit par émerger peu à peu des brumes du sommeil. Il sourit et chuchota :
>Qu'est-ce qu'il y a ?
>C'est pas le moment de sourire, on est dans la merde !
>Hein ?
Mais la voix de Mrs Weasley répondit à sa question :
>Harry ! Je peux entrer ?
>Une petite minute, fit-il d'une voix ensommeillée.
>Il faut que je dégage d'ici ! dit Ginny qui commençait à paniquer sérieusement.
>Eh, stresse pas, c'est pas si grave !
>Si, c'est grave ! Faut pas que mes parents me voient là.
>Pourquoi ? Ils savent bien que tu n'es plus vierge !
>Ouais mais ils préfèrent faire comme si.
Elle sortit du lit et entreprit de se rhabiller.
>Ca pourrait être pire tu sais.
>Comment ?
>On aurait pu être dans ta chambre.
>Et ?
>On n'aurait jamais retrouvé nos vêtements !
>Très drôle !
>Harry, fit Mrs Weasley, tout va bien?
>Oui, j'ai juste un peu de mal à me réveiller! J'arrive.
Harry se leva, enfila son pantalon et son t-shirt et entrouvrit la porte.
>Bonjour Mrs Weasley.
>Salut Harry et bon anniversaire !
>Merci.
>Bon, je vais t'aider à choisir ta tenue.
Mrs Weasley entra dans la chambre juste au moment où Ginny plongeait sous le lit et pendant qu'elle s'afférait à dénicher quelque chose de convenable dans la garde de robe d'Harry, Ginny se rongeait les ongles.
>Et merde ! Pourquoi ça n'arrive qu'à moi ce genre de choses ? Me voilà en sous-vêtements, en-dessous d'un lit en train de contempler les pieds de ma mère qui materne comme c'est pas permis l'homme de ma vie et en la très bonne compagnie d'une chaussette de Bill qui a gardé d'ailleurs tout son arôme. Si je ne paniquais pas autant, j'éclaterais de rire. Bon maman, je veux pas être impolie mais là tu fais ch…Tu nous réveilles à…-ouais bon…il était 11h d'accord mais bon-…et pourquoi ? Pace que tu penses que bébé Harry n'est pas assez grand pour se trouver une tenue convenable ! C'était déjà une drôle d'idée de l'habiller en moldu alors que la plupart des hommes seront en robe mais bon…Ne critiquons pas les choix de maman Weasley. Et en plus tu prends ton temps : et attends que je mette cette chemise avec ce pantalon et puis non, finalement ça ne va plus avec la ceinture et… Oh non mon Dieu ! Elle lui fait mettre une cravate ! Harry sauve- toi !
Eh merde, j'ai une crampe au pied et l'odeur de la chaussette va finir par me faire gerber…Sur les pieds de ma mère en plus...Oh tiens une araignée… « L'araignée Gypsi monte à la gouttièreuh tiens voilà la pluie, Gypsi tombe par terreuh. Mais le soleil à chasser la pluieuh. L'araignée Gypsi… »….Ca se bouffe une araignée ?
Mon Dieu je m'emmerdeuh ! Et si je sortais du lit en faisant : « Tadam ! Suprise surprise !» ? Non…Pas bonne idée.
Bon, ils en sont aux chaussettes…Super important les chaussettes. Là, ils hésitent entre trois paires. Toutes les trois blanches et identiques sauf, si j'en crois ce que dit ma mère, la petite broderie tout aussi blanche du morceau qui apparaît hors de la chaussure si jamais on relève son pantalon pour on ne sait quelle obscure raison. Très important aussi la petite broderie…
Grrrr…Paire de chaussures maintenant…Et que nianiani et que nianiania…Mon Dieu elle sort ! J'y crois pas !
Ginny dit au revoir à Gypsi l'araignée qui s'était finalement très bien remise de sa chute et à Cracra la chaussette, puis se remit debout et contempla son très cher Harry transformé en pingouin.
>Superbe ! Fit-elle en se foutant « légèrement » de sa gueule.
>N'est-ce pas ? Dit-il avec un sourire crispé.
>Faut que je me rhabille maintenant !
>Mais tu es très bien comme ça.
>Je peux pas être pire que toi, ça c'est sûr
Harry regarda d'un air piteux sa cravate et dit :
>Pourquoi est-ce que les mecs doivent tous porter des cravates ?
>Parce que c'est plus joli qu'une laisse voyons.
>Méchante…
Elle sourit et le tira par la cravate jusqu'à ses lèvres.
Au moment où ils échangeaient un baiser plutôt passionné, Mrs Weasley entra à nouveau dans la chambre avec des boutons de manchette en main.
Ginny et Harry se décollèrent très vite et rougirent violemment.
>Hum…Désolée…Je repasserais plus tard, fit-elle en…souriant ?
Ginny et Harry se regardèrent surpris, toujours un peu sous le choc.
>C'était bien la peine que je fasse la causette à Gypsi et à Cracra, fit Ginny en soupirant.
>Qui ?
>Oublie.
>On en était où ?
>A peu près ici, dit-elle en reposant ses lèvres sur les siennes.
>Où est-ce que j'ai mis ce foutu collier ! Fit Ginny au comble de l'exaspération.
Les invités allaient arriver d'une minute à l'autre et elle n'avait encore mis que le dessous de sa robe.
>Mon Dieu Ginny, j'adore ta tenue ! Lança Harry qui venait d'entrer dans sa chambre.
>Hé, tu n'es pas censé me voir avant que je descende les escaliers !
>Trop tard. Tu as égaré ton haut ?
>Non, il est juste là…euh…il était juste là…
>Oh non, fit Harry en se massant la tempe.
>T'inquiète je vais le retrouver !
Elle regarda un peu alentours et s'exclama :
>Ah ben tiens, le voilà. Je m'en sors bien cette fois-ci.
>Bon je vais te laisser, si tu as encore un problème je mettrais un cierge à St-Antoine.
Ginny enfila rapidement son haut avant qu'il n'ait l'idée saugrenue d'aller s'égarer ailleurs, puis se maquilla légèrement et se regarda dans la glace. Elle était assez contente de sa tenue : c'était une petite jupe dans les tons de vert assez moulante et dont le bord était de longueur inégale. Le tout était surmonté d'un petit dessus assorti avec des manches courtes et un joli décolleté. Au moment où elle commençait à s'inquiéter du sort de ses chaussures, la sonnette du terrier retentit en semant la panique parmis ses habitants.
>Et merde c'est pas des invités ça ! Quelle idée d'arriver à l'heure ? Un invité correct se doit d'être toujours en retard.
Elle enfila ses chaussures en sautillant dans le couloir, retrouva Harry qui l'attendait sur le palier et ils descendirent tous les deux saluer les premiers invités à savoir Dean Thomas et une jolie brune dont personne ne se souvenait du nom.
Tous les convives arrivèrent assez rapidement et la soirée put commencer. Harry se rua sur les amuse-gueules et se dépêcha d'en laisser tomber un sur sa sublime cravate, ayant ainsi un bon prétexte pour se décravater.
Le dîner se passa sans problème. Ginny avait pris soin d'expédier la très belle et très célibataire Cho Chang à trois tables d'elle et Harry, et n'avait entouré celui-ci que de garçons et de filles casées. Restons prudent. Elle avait aussi, ô miracle, réussit à ne pas salir sa robe. Une très bonne soirée en perspective !
Bientôt, les lumières se tamisèrent et Harry tira Ginny par le bras :
>Tu viens danser ?
>Mais il n'y a encore personne.
>C'est normal, on doit ouvrir le bal.
>Quoi ?
>Allez viens.
>Mais je ne sais pas danser !
>Moi non plus.
>C'est tout ce que t'as trouvé pour me rassurer ?
Ils s'avancèrent sur la piste de danse. Ginny enroula ses bras autour du cou de Harry et ce dernier enserra sa taille. Ils commencèrent à tourner lentement au rythme de la musique. Enfin, c'est ce qu'ils espéraient.
>Je déteste sentir tous ces regards sur moi, se dit Ginny, je parie qu'un marsouin atteint d'obésité en tutu rose est la grâce réincarnée par rapport à moi. Aïe, aïe, aië, je viens d'enfoncer mon talon dans la chaussure d'Harry, heureusement, il a l'air de s'en remettre. De sa blessure en tout cas parce que de son fou rire…On ne se moque pas de moi impunément, étouffe-toi sale balafré! Nah ! Je lui ai de nouveau broyé le pied. Exprès. Heureusement que d'autres couples nous ont rejoints sinon tout le monde aurait remarqué les petits bonds de mon douillet de petit copain.
Finalement, le slow fit place à un tube du moment et Harry partit s'asseoir sur une chaise pour masser son pauvre petit panard meurtri.
>Bordel Ginny, t'y va pas de main morte !
>Tu connais Fifi Brin Dacier ? Demanda-t-elle en ramenant ses cheveux roux en deux petites couettes.
Ils commencèrent à rire puis Harry alla chercher des boissons. Pendant ce temps, Ginny observa ave méfiance Cho qui restait seule sur sa chaise.
>Pourquoi est-ce qu'elle refuse les multiples invitations à danser qu'elle reçoit ? On dirait qu'elle attend quelqu'un en particulier et j'ai bien ma petite idée sur son identité. Avec tous le regards qu'elle lui jette, on se croirait sur un trottoir mal famé. Pourtant c'est elle qui l'a plaqué, elle n'avait qu'à se le garder si elle l'aimait tant que ça… Oh merde, c'est vers moi qu'elle vient là, au secours !
Ginny n'eut même pas le temps d'esquisser un mouvement que Cho Chang se tenait déjà devant elle.
>Mon Dieu, qu'est-ce qu'elle à me fixer comme ça avec son regard dégoulinant de rimmel ?
Qu'est-ce qu'il y a ? Demanda Ginny.
>Je voulais juste te dire que j'adore ta robe.
>Euh…Merci…
>Bon je te laisse, y a ton petit copain qui se ramène avec vos boissons.
Harry arriva devant Ginny et lui demanda :
>Qu'est-ce que tu lui as dit ?
>A qui ?
>Ben à Cho.
>Oh rien d'important. Tu veux d…. ?
>Harry, s'écria la jolie chinoise en coupant Ginny au beau milieu de sa phrase, tu viens danser ave moi ?
>Ca ne te dérange pas Ginny ?
>Bien sûr que si !
>Non, non, pas du tout.
Ginny resta là à faire tapisserie et à surveiller Harry jusqu'à ce que le couple soit englouti par des poireaux en botte qui n'avaient rien trouvé de mieux à faire que de saboter sa mission d'espionnage.
Quand elle vit réapparaître Cho, Harry n'était plus avec elle.
>Où est passé Harry ? Demanda-t-elle alors que cette dernière allait faire un tour du côté du bar.
La chinoise composa sur son visage sa plus belle expression de tristesse et de pitié, puis dit :
>Je suis désolée Ginny.
>Pourquoi ?
Cho regarda ses pieds et murmura :
>Harry est parti.
>Hein ?
>Il aurait voulu te le dire lui-même mais il n'en avait pas la force.
>La force de me dire quoi ?
>Je suis désolée Ginny mais Harry en aime une autre.
>Ah ?
>Elle s'appelle Chloé. Je suis désolée.
Puis, Cho Chang tourna les talons et disparut dans la foule.
>Mon Dieu, c'est pathétique, si elle pense que je vais la croire ! Ca sent le coup fourré à plein nez ça. Bon c'est pas tout ça mais j'ai un Harry à retrouver moi.
Elle croisa Ron et Hermione qui s'étaient arrêtés de danser et qui picolaient gaiement autour d'une table.
>Vous n'avez pas vu Harry ?
>Si il est monté dans sa chambre.
>Pourquoi ?
>J'en sais rien, il avait l'air triste.
>Triste ?
>Comment ça triste ? Cette salope de Cho n'a quand même pas dit la vérité ?
Elle rentra rapidement dans la maison et se retrouva bientôt devant Harry qui faisait les cent pas dans sa chambre.
Ils se regardèrent un instant puis Ginny comprit qu'il y avait quand même quelque chose de bizarre. Elle demanda à mis-voix:
>Cho a…. ?
>Oui, murmura-t-il.
>Bon ben alors….Je…
>Je crois que le truc à dire dans ces circonstances c'est : au revoir.
Ginny fut décontenancée par ses paroles mais trouva quand même la force de s'en aller et de refermer la porte avant que ses yeux ne la trahissent.
Après être redescendue, elle s'assit sur une chaise et regarda fixement devant elle.
>Ce n'est pas possible ! S'il ne m'aimait pas, il n'aurait pas joué le jeu jusqu'au bout, il avait l'air de m'aimer pendant qu'on dansait. Puis, voilà qu'il part se trémousser avec Cho et puis pfffit, il décide de s'embarquer pour l'Amérique afin de roucouler avec cette cruche de Chloé. Il y a du louche là-dessous. Mais s'il n'avait rien dit à Cho, il ne serait pas dans cet état là et il aurait nié. J'arrive pas à y croire. Harry m'a laissé tomber pour une autre et sans même avoir les couilles de me le dire en face. Je suis maudite !
Elle resta un moment la tête dans ses mains, à se demander ce qu'elle avait fait ou ce qu'elle n'avait pas fait pour qu'ils en arrivent là. Elle tourna la tête sur le côté et avisa une table remplie de jus de fruits. Elle descendit un premier verre cul sec, puis un deuxième, puis un troisième…Bien qu'au fond d'elle, elle sache pertinemment que ce n'était pas des jus de fruits.
Pendant ce temps-là, Harry repensait à ce qui venait de se passer.
>C'est trop con ! Qu'est-ce qu'il lui a pris de vouloir me quitter et sans raison en plus ? Je croyais qu'elle m'aimait moi. Et puis pourquoi est-ce qu'elle a été se confier à Cho, Ginny la déteste. Si elle n'était pas venue me voir dans la chambre, j'aurais juré que c'était un coup monté mais là, elle m'a dit que…Merde, en fait elle n'a rien dit du tout, elle bégayé deux trois trucs que j'ai pas compris et je me suis contenté bêtement d'incliner la tête sans lui demander d'explications. Si ça tombe, c'est Cho qui a tout organisé. Moi qui la trouvait sympa ! Il faut que j'en aie le cœur net.
Il descendit en courant les escaliers et finit par retrouver Ginny vautrée sur sa chaise, un verre vide à la main.
>Ginny ?
>Grmmmfff ?
>Mais qu'est-ce que tu fais ?
>Je noie mon chagrin. Ces jus de fruits sont délicieux, tu veux goûter, Arnold ?
>Euh moi c'est Harry et ça, ce ne sont pas des jus de fruits.
>Ah bon ? C'est curieux ça. Dis, Henri, tu ne veux pas arrêter de tourner une minute.
>Je vois. Dis, Ginny, qu'est-ce qu'elle t'a dit Cho avant que je ne revienne avec les boissons ?
>T'es sûr que c'est pas des jus de fruits ?
>Réponds à ma question s'il te plaît.
>Ta question ? Ah oui…Euh…Attends…Elle m'a dit que j'avais une jolie robe, oui c'est ça, une jolie robe! Et c'est vrai, regarde, elle vole! Dit-elle en tournant sur elle-même.
>Oui, très jolie. Et elle ne t'a rien dit d'autre ?
>Non. Tu veux me repasser un jus de fruit s'il te plaît ?
>Tout de suite.
Il revint bientôt avec un grand verre aux couleurs bariolées.
>Mais, ce n'est pas un jus de fruit, ça !
>En effet, c'est une potion de désaoulage.
>Insinuerais-tu que je suis saoule ?
>Euh, je n'oserais pas, mais bois-la quand même.
>C'est bien pour te faire plaisir.
Elle but le liquide épais d'une traite puis s'écroula dans le bras de Harry. Quand elle ouvrit les yeux quelques minutes plus tard, elle sourit en s'écriant :
>Harry !
>Ah, content de ne plus m'appeler Arnold.
>Mais de quoi tu parles ? Et pourquoi est-ce que je suis dans tes bras ?
>Ginny, tu te souviens de ce qui s'est passé avant ton réveil?
>Euh, on a dansé, puis tu as dansé avec Cho et puis…et puis tu m'as plaqué en fait ! Alors je repose ma question, qu'est-ce que je fous dans tes bras ?
>Il y a eu comme qui dirait un petit malentendu et nous sommes tombés comme deux gros nigauds dans le panneau.
Ginny réfléchit une seconde puis s'exclama :
Cho ! Elle m'a fait croire que tu voulais me quitter pour cette garce de Chloé.
>Et moi, elle m'a dit que tu ne voulais plus de moi.
Ils se regardèrent un instant puis s'exclamèrent :
>Vengeance !
>C'est censé ce mangé froid, ça, fit Harry à la réflexion.
>Non, c'est elle qui va déguster et je peux te dire qu'elle aura chaud !
Ils établirent un plan d'attaque puis Harry s'élança d'un pas rapide vers la chinoise.
>Hé Cho !
Cette dernière se retourna avec un savant mouvement de hanche et dit d'un ton suave :
>Oui ?
>Euh…Je voulais te dire.
Quoi ?
>J'aime beaucoup danser avec toi.
>C'est vrai ? Fit la chinoise en jubilant.
>Oui.
>Il faudra qu'on remette ça alors.
>Avec plaisir, j'avais justement pensé t'inviter, fit Harry.
>Ah oui et quand ?
>Pour un mariage.
>C'est peut-être un peu trop rapide mais bon, j'accepte ta proposition.
Elle sauta au cou de Harry et l'embrassa.
>Waw ! Je ne savais pas que ça te ferait autant plaisir !
>Mais si bien sûr. Il va falloir que je choisisse une robe.
>Oh oui.
>Que penses-tu d'une robe fendue à mis cuisse et largement décolletée ?
>Super.
>En plus le blanc me va à ravir.
>Le blanc ?
>Mm mm.
>Mais c'est la mariée qui s'habille en blanc !
>Justement.
>Attend là Cho, je ne te suis plus !
La chinoise parut décontenancer et bégaya :
>Ben, tu as dit que…
>Que je t'invitais à mon mariage.
>Ton mariage ? Tu veux dire, notre mariage.
>Non, notre mariage à Ginny et à moi.
>…
>Et oui ma poule, fit Ginny qui était restée derrière pour bien profiter du spectacle, faut pas jouer avec nous.
Harry et Ginny plantèrent Cho Chang au milieu de la piste de danse et allèrent rejoindre Ron qui entamait un numéro de danse turque sur la table sous les fervents encouragements d'Hemione. Comme quoi, les jus de fruits ne réussissent pas à grand monde.
Bon, demain je pars en vacances et j'espère que quand je reviendrai, il y aura une montagne de reviews qui m'attendra.
Laure: J'espère que tu n'es pas en train de gidrure au fin fond de l'Atlantique. Si tu lis ce message, sache que moi, avant de me choper une comossion cérébrale en m'écrasant contre un poteau, je connais l'infinitif de ce verbe qui nous a trop fait marrer: C'est gésir (et oui j'avais raison chtoc!) Salut et à la prochaine! Si tu vois Sarah, dis lui bonjour de ma part.
Mathilde: Juste un petit coucou avant de partir, je t'ai fait un long chaitre comme tu les aimes! J'ai le DVD de Big fish! Et aussi, vendredi aprem, Laure, Sarah et moi,on a poursuivi X-Tombola dans la rue, on a voulu le filer mais il marchait trop vite pire que Baby face dans sa poussette hypersonique. Salut!
R.A.R:
Arathorn: Merci beaucoup! Là, ne te plains plus de la longueur parce que je me suis surpassée!
Lunenoire: Ouais, c'es vrai. On dirait moi!
Micy: Je suis désolée! J'aime bien Rogue mais à petites doses et je l'imagine très mal en train de fiare gouzigouzi avec un petit poupon rose mais je n'aurais pas du le dire à voix haute. Merci quand même pour la review.
Cath: Et te voilà exaucée!
Phoque: Merci pour la review!
Allima: Mais si, Hazry l'aime bien...erreur de conjugaison...il l'aimait bien. Ils se sont disputés mais jamais haïs, enfin c'est ma vision des choses... Merci pour lareview!
Touffue: Très bien! Meci beaucoup pour ta longue review et pour le petit dialogue intercérébrale. J'espère que la suite te plaît.
Les-divans-infernales: Voilà, une chicane! Non, ça va pas être toujours tout calme sinon je ne continuerais pas la fic. Là, je ne suis même pas à la moitié! Merci pour la review!
Beru ou blub: Voilà, pas tout à fait gâché mais bon...Merci pour la review.
