Disclaimer et rating : voir chapitre 1

Chimgrid : Merci, voilà la suite… Pour Severus, bah, tu me connais !

Silmaril666 : En effet, très chère, cette fiction servira de véhicules à mes considérations profondes sur les éléments du tome 6. Bon, en fait de théories, dans ce premier chapitre, elles n'y sont pas trop, mais d'ici la fin, oui, je pense…

Ferdounette, dragon rouge, sandjo, marilyn: Merci à vous tous, voilà la suite !

Nefra : Eh ben, quelle enthousiasme ! tu as de la chance que j'ai du temps, du coup le chapitre 2 arrive vite !

Chapitre 2

L'autre côté de la barrière

Assis à la droite de Minerva McGonagall, Harry réajustait nerveusement le col de sa cape. C'était la première fois qu'il portait une robe de sorcier en dehors de son uniforme scolaire, de sa robe de quidditch, ou de sa robe de bal. Il était étrange de penser que désormais, il serait tout le temps habillé, en sorcier, et même s'il savait que cela n'avait pas de rapport, il se sentit plus adulte.

« Nerveux, professeur Granger ? »

Harry sursauta. Il avait encore un peu de mal à réaliser que c'était désormais son nom. Penser que « Professeur Granger » s'adresserait un jour à un autre qu'Hermione ! Harry se tourna vers le professeur McGonagall, qui le regardait avec un léger sourire.

« Un peu, mais j'imagine que c'est normal… »

McGonagall hocha la tête. Harry s'était surpris à la trouver plutôt pas mal, avec plus de 20 ans de moins. Pas belle, non, avec son visage mince et sévère, son nez osseux… Mais un physique intéressant. Et même si elle semblait tout aussi stricte que la McGonagall qu'il avait connu, son statut de professeur le mettait cette fois-ci à l'abri des remontrances qu'il avait pu s'attirer élève.

Elle-même et les autres enseignants s'étaient montrés plutôt perplexes lorsque Dumbledore leur avait présenté Harry. Ce gamin, professeur ? Harry s'était surpris à imaginer la tête qu'aurait fait Rogue si, Maître des Potions, il s'était vu ravir le poste tant convoité par l'élève qu'il haïssait le plus. Cette pensée l'aurait amusé quelques mois auparavant, mais à présent, l'idée même de Rogue le révulsait. Dire qu'il faudrait dissimuler ses sentiments…

« Il me faudra être un comédien encore meilleur que lui. » s'était dit Harry.

Mais après quelques démonstrations, conjuration de patronus comme bouquet final, l'équipe enseignante s'était montrée rassurée sur les capacités d'Harry. Du moins ses pouvoirs, car enseigner à une classe, c'était autre chose. Harry avait donc passé le peu de jours qui précédaient la rentrée à consulter le programme et préparer ses premiers cours. Mais à présent…

Les portes de la Grande Salle s'ouvrirent, laissant entrer un flot d'élèves qui discutaient avec animation. C'était étrange d'être de l'autre côté de la barrière, pour une fois, d'avoir le point de vue d'un professeur… Instinctivement, Harry dirigea son regard vers la table des Gryffondors. Ils étaient là, en train de s'asseoir.

Son père racontait quelque chose avec de grands gestes de la main, comme s'il mimait une prise de souaffle périlleuse, et prenant place à ses côtés, Lupin et Sirius le regardait avec un petit sourire. Pettigrew faillit se laissait tomber à côté du banc, tant il n'osait détourner le regard de James, qu'il fixait avec admiration.

Harry, le cœur serré, détourna le regard avant qu'on ne remarque son regard insistant sur les Maraudeurs, et ses yeux tombèrent sur une jeune fille à la chevelure auburn, qui discutait avec animation avec une brunette de son âge. Lily…

Harry passa rapidement sur les tables des Serdaigles et des Poufsouffles pour s'arrêter sur un groupe d'adolescents de Serpentard qui s'étaient installés le plus loin possible de la table des Professeurs. Comme le faisait James chez les Gryffondors, un jeune homme élancé captivait son auditoire, trois jeunes garçons de son âge et deux filles. À la périphérie du groupe, écoutant l'orateur tout en feignant l'indifférence, se tenait sans erreur possible Severus Rogue.

Harry serra les dents. Rogue était très semblable à l'image qu'il en avait eu dans la Pensine ; maigre, le teint cireux, les cheveux gras, le dos rond…

L'arrivée des Premières Années fut une distraction bienvenue. Le Choixpeau chanta une chanson inédite, mais brassant toujours les mêmes thèmes (Harry se demanda combien de variations il était capable de faire au sujet des Fondateurs et des qualités propres à chaque maison) et la répartition commença.

Lorsqu'elle fut enfin achevée, ce fut au tour du festin de débuter. Harry n'avait pas particulièrement faim. Bientôt, Dumbledore le présenterait à ses élèves… Et demain, il commencerait les cours. Heureusement, il n'aurait pas les sixièmes années avant lundi, mais l'appréhension lui nouait l'estomac.

« Mes chers élèves, votre attention un aussi cours instant que possible, je vous prie ! »

Dumbledore s'était levé tandis que les murmures s'éteignaient et que les dernières miettes de gâteaux disparaissaient des assiettes.

« Alors que débute cette nouvelle année, je tiens à rappeler aux élèves de la deuxième à la septième année, et apprendre à ceux de la première année… Ainsi qu'à certains élèves d'un niveau supérieur à la mémoire parfois étrangement sélective… (son regard glissa vers le coin où étaient assis les Maraudeurs avant d'englober toute la salle) qu'il est interdit de se rendre dans la Forêt Interdite, ainsi que de se rendre à Pré-Au-Lard en dehors des visites prévues. Notre nouveau concierge, Mr Rusard, a également eu l'obligeance d'établir une liste de tous les artefacts dont la présence est indésirable en ces murs. »

Dumbledore se tourna alors vers Harry.

« Permettez-moi à présent de vous présenter votre nouveau professeur de Défense contre les Forces du Mal, le Professeur Harry Granger ! »

Il y eu des applaudissements polis, mais la plupart des élèves semblaient dubitatifs devant sa jeunesse. Harry vit James faire le geste de sucer son pouce, ce qui amusa beaucoup son entourage. Il détourna rapidement le regard en faisant comme si de rien n'était, pour croiser celui de Rogue, qui ne lui révéla rien de ses sentiments.

« Au moins, cette année, il ne cherchera pas à obtenir le poste pour lui. » pensa Harry.

Maigre consolation.

« Et pour ceux qui suivent cette option, sachez que votre professeur d'étude des Runes, Mme Asgaard, a pris une année sabbatique pour avancer la rédaction de sa nouvelle méthode d'apprentissage… Voici donc son remplaçant, le Professeur Baltus Coomer. »

Un jeune homme au menton presque inexistant assis à côté du professeur Slughorn se leva pour recueillir des applaudissements indifférents.

Puis, le brouhaha revint quand les élèves se levèrent.

« Les premières années, suivez-moi ! cria Lily en se frayant un chemin vers les nouveaux élèves.

« Je te suivrais au bout du monde ! » lui lança James, mais Lily ne se retourna pas pour lui accorder l'honneur d'une réponse. Harry vit que son visage s'était nettement durci.

« Une élève en or, cette miss Evans, fit Slughorn qui, malgré sa masse, s'était approché d'Harry sans que celui-ci n'y prenne garde. Elle vous épatera en cours, croyez-m'en. Riche en talent, cette promotion, mais Miss Evans… Vous verrez ! »

Avec un clin d'œil, Horace Slughorn alla rejoindre Dumbledore, tandis qu'Harry regagnait ses appartements.

Il devait avouer qu'être professeur à Poudlard avait des avantages, une suite luxueuse n'étant pas le moindre. Mais cela ne calmait pas son inquiétude. Et s'il n'arrivait pas à faire ses preuves ? S'il n'arrivait pas à être un professeur respecté ? Il imagina un chahut mené par son père et Sirius, un chahut encore pire que ceux qui avaient pu se déclencher lors des cours du professeur Quirell…

Harry passa le reste de la soirée à consulter son emploi du temps du lendemain, un vendredi.

Première année de Serdaigle, puis les troisièmes années de Poufsouffle… Et l'après-midi, les Septièmes années en cours commun. Il survivrait, n'est-ce pas ? Au moins jusqu'à lundi, où il aurait les sixièmes années en cours commun juste avant le déjeuner. Les Maraudeurs, Lily et Rogue dans la même classe, et lui au milieu…

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L'un dans l'autre, sa journée ne se passa pas trop mal. En fait, à part un événement plutôt embarrassant, elle fut idéale. Sa voix était au départ un peu hésitante, mais il prit vite de l'assurance. Les premières années étaient sages, un peu intimidées, mais il sut vite les captiver, même si ce premier cours se contenta d'être une introduction générale sur ce que l'on regroupait sous le terme de Forces du Mal.

L'incident eut lieu au cours suivant, alors qu'Harry avait divisé les élèves en paire pour organiser de minis duels, afin d'évaluer leur niveau. Depuis le début du cours, un bruit infernal avait raisonné dans la salle voisine, qu'Harry avait tout d'abord essayé d'ignorer, mais cela n'était tout simplement plus possible.

Que pouvait-il bien se passer ? Les seuls cours qui pouvaient être bruyants étaient ceux de Défense contre les Forces du Mal, ou de Sortilèges. Or, Flitwick faisait cours dans l'aile opposée… Harry en conclut que des élèves en intercours avaient dû se réunir pour se détendre. Eh bien, les salles communes étaient faîtes pour ça, non ?

« Attendez-moi un instant, et ne vous jetez aucun sort en mon absence, » dit-il à ses élèves en sortant.

Il ouvrit violemment la porte de la salle voisine, où le bruit avait atteint son paroxysme.

« C'est pas bientôt fini, oui ? Il y a un cours à côté ! » hurla-t'il, espérant avoir l'air suffisamment autoritaire.

Une vingtaine d'élèves s'arrêtèrent net en plein mouvement pour le dévisager. Lily Evans, assise au premier rang leva les yeux du cahier dans lequel elle écrivait (« elle n'a pas trouvé meilleur endroit pour faire ses devoirs ? » pensa bêtement Harry), un élève de Poufsouffle qui faisait le poirier sur un bureau s'écroula dans un fracas de chaises renversées, deux élèves de Serdaigle interrompirent la partie de bras de fer qu'ils avaient improvisé, et Rogue, assis au fond de la salle, les pieds sur la table, leva un œil moitié intéressé, moitié blasé du magasine qu'il était en train de lire, consacré aux potions, si l'on en croyait le chaudron bouillonnant sur la couverture.

« Ici aussi, il y a un cours, » fit une voix à la fois faible et légèrement froissée.

Harry tourna la tête et à sa grande horreur, découvrit le Professeur Coomer, debout sur l'estrade, une craie à la main, le visage empourpré. Le ricanement de Rogue fut clairement audible dans le silence enfin rétabli.

« Oh, euh… Très bien… » balbutia Harry, en devenant lui aussi très rouge.

Tous les élèves le dévisageaient, l'air plutôt amusé pour la plupart. Seule Lily semblait comprendre son embarras, et son sourire à elle était compatissant.

« Eh bien, je vous laisse, alors. »

Coomer répondit par un grognement, tandis qu'Harry battait en retraite. Il eut encore le temps d'entendre Coomer, dans un sursaut d'autorité, faire remarquer à Rogue que son cours n'était pas le lieu pour lire des magasines et de lui apporter le sien sur le champ, et Rogue lui répondre d'une voix ennuyée d'attendre qu'il soit arrivé à la fin de l'article qu'il lisait.

Le reste de la journée se passa sans nouveau problème, même si le professeur d'étude des Runes lui jeta un regard plein de rancœur au déjeuner, et l'ignora pendant tout le dîner, bien qu'ils fussent assis côte à côte.

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La matinée était déjà bien avancée lorsque Harry se réveilla le lendemain matin. On était samedi et à en juger par ce qu'il voyait par la fenêtre, le temps était particulièrement beau. Eusse t'il était encore élève qu'il se serait précipiter sur le terrain de quidditch, mais que pouvaient bien faire les professeurs le week-end ? Harry se laissa retomber sur son oreiller, et ne se leva finalement que bien plus tard, pour le repas de midi, avec son estomac criant famine.

La grande salle était à moitié vide lorsqu'il prit place au côté de Dumbledore, qui entamait une tourte au pigeon d'un air guilleret.

« Bilan de votre première journée, Harry ? » demanda t'il après être venu à bout de la première bouchée.

Harry se demanda s'il était déjà au courant de son intervention pendant le cours de Coomer.

« Pas mal du tout, je dois dire. Les élèves sont assez sages. »

Dumbledore eut un petit sourire.

« Vous changerez sans doute d'avis après avoir eu les Sixièmes Années. Mais je ne voudrais pas vous gâcher la surprise… Que diriez-vous d'une promenade dans le parc, après le repas ? J'aimerais discuter avec vous de la situation actuelle. Sans doute êtes-vous au courant de celle-ci dans les grandes lignes, mais si vous ignorez certains faits récents qui ont pu par la suite tomber dans l'oubli, cela pourrait paraître suspect. »

Harry y avait déjà pensé lorsqu'il avait croisé deux Serdaigles discutant des méfaits particulièrement sordides d'un Mangemort en cavale du nom de Scipio Robinson, dont il n'avait jamais entendu parler.

« Volontiers » répondit-il avec chaleur.

Aussi, quelques heures plus tard, Dumbledore et lui longeaient le lac, contemplant des massifs de roseaux qui le flanquaient. Le directeur avait résumé au Gryffondor les derniers événements, et la conversation avait dérivé vers des sujets plus plaisant. En fait de conversation, Dumbledore monologuait, racontant diverses anecdotes sur ses années d'enseignement, tandis qu'Harry l'écoutait avec un étrange mélange de joie et de tristesse. Dire qu'il avait pensé ne plus jamais entendre le son de la voix de Dumbledore ! Harry laissa son regard filer vers le terrain de quidditch, au-dessus duquel un élève enchaînait des figures aériennes spectaculaire. Était-ce son père ? Alors que les deux hommes approchaient d'un buisson de roseaux, celui-ci s'agita légèrement, malgré l'absence de vent.

« Tiens, tiens mais qu'est-ce qui, ou qui peut bien se cacher là ? » fit Dumbledore d'une petite voix amusée.

Les mouvements cessèrent puis un « Coin ! Coin ! » s'éleva du buisson.

« Ah, c'est vous, Mr Rogue ! continua Dumbledore, son sourire s'élargissant.

Les roseaux s'agitèrent plus violemment et Severus Rogue en sortit effectivement, les yeux baissés. Il avait les genoux et les mains boueux et trempés et son visage portait aussi des tâches de boues. Harry trouva qu'avec son air maussade, ses vêtements bon marchés et débraillés et son aspect négligé, il avait tout l'air d'un épouvantail dépressif.

« Votre marge de progression avant de pouvoir imiter parfaitement le canard est pour le moins impressionnante, Mr Rogue, » poursuivit aimablement le vieil homme.

Rogue leva brièvement les yeux vers ses professeurs, mais il était difficile de lire son expression. Il se concentra à nouveau sur ses chaussures, et marmonna :

« Je commence tout juste à imiter le canard. Mais mon imitation du héron est parfaitement au point. »

Dumbledore avait à présent l'air vraiment intéressé. Harry ressentait un mélange de fureur et de malaise à l'idée de voir le vieux directeur parler aussi gentiment à celui qui l'en remercierait de si horrible manière, des années plus tard.

« Vraiment ? »

Rogue hocha la tête, porta les mains à sa bouche, et fit la démonstration de ses talents d'imitateur. Harry n'avait jamais entendu de héron, mais il doutait que son cri fut aussi semblable à celui d'un cochon qu'on égorge.

« Impressionnant, je dois le reconnaître. Mais puis-je cependant vous demander ce que vous fabriquiez là ? » s'enquit Dumbledore.

Rogue sortit un gros pot de confiture qui déformait la poche de sa robe de sorcier. Il était rempli d'eau dans laquelle nageaient des têtards.

« Le professeur Slughorn nous a chargé, Evans et moi, de lui ramener des têtards, on en aura besoin la semaine prochaine pour la potion d'hallucination. Quoique des tritons seraient plus indiqués, mais je n'ai pas réussi à en attraper. » expliqua le Serpentard d'une voix morne. Il gardait les yeux sur ses chaussures, comme si elles présentaient un intérêt inégalable.

« Heureusement que je suis là, alors, » fit une voix claire et joyeuse.

Les trois autres tournèrent la tête vers un massif de roseaux situé un peu plus loin, d'où Lily Evans émergea, radieuse, un pot à confiture dans chaque main.

Tout comme Rogue, elle était débraillée, sale, et échevelée. Mais contrairement à Rogue, cela ne lui donnait rien de ridicule. Elle avait exactement l'air du genre de fille qui remplissait les tâches salissantes sans se gêner, en en riant même, ce qui ajoutait une touche de décontraction à son charme naturel.

« Comme ça, tu pourras me montrer en quoi les tritons donnent de meilleurs résultats que les têtards, Rogue. »

Celui-ci lui jeta un bref coup d'œil renfrogné avant de reporter son regard sur le pot à confiture. Les têtards qui s'y trémoussaient avaient l'air encore plus captivant que ses chaussures.

« Oui, compte là-dessus, Evans. » marmotta-t'il.

Lily fronça les sourcils, mais ne dit rien. Harry essayait tant bien que mal de garder un air dégagé seyant à une conversation non formelle entre professeurs et élèves, mais il bouillait intérieurement. Comment cette punaise osait-elle parler sur ce ton à sa future mère ?

« Puisque la pêche a été bonne, fit gaiement Dumbledore, je vous propose de rentrer vous débarbouiller avant le dîner. Oh, et évitez de croiser Mr Rusard, visiblement, il est très à cheval sur l'hygiène, celle du bâtiment, en tout cas. Il a littéralement terrorisé ce pauvre Dave Goujon pour avoir fait tomber une miette de sa barre chocolatée dans un couloir… »

Lily leur souhaita une bonne soirée et se dirigea vers l'école d'une démarche légère. Rogue lui emboîta le pas, ses chaussures faisant schlouik-schlouick et crachant de l'eau à chacun de ses pas.

Le cygne et le singe, pensa Harry en les regardant s'éloigner.

« Je suis comme sous l'impression, Harry, fit Dumbledore d'une voix beaucoup plus sérieuse, que vous avez appris, au cours de votre jeune existence, à dissimuler certains de vos sentiments. C'est une bonne chose. J'ignore quels torts Severus Rogue a pu vous causer dans le futur, mais il serait injuste d'en accabler un garçon encore innocent. »

Harry se demanda s'il parvenait à bien dissimuler les sentiments qu'avaient soulevés ces dernières paroles.

À suivre.

Et voilou ! Dans le chapitre suivant, premier cours avec les Sixièmes années !

En bonus : celui ou celle qui arrive à me dire de quel bouquin s'inspire la scène des roseaux gagne une photo dédicacée de mon pied gauche.