Le plus mauvais souvenir
Harry
voulait être avec ses parents le plus longtemps possible. Il ne
les avait jamais connu de leur vivant enfin jusqu'à ses 1an
et 3mois. Mais à 23H30 ses parents l'obligèrent
d'aller se coucher.
Il monta avec Ron, Ginny, Hermione, James,
Lily et Neville qui restait maintenant tout le temps avec eux.
Ginny
s'installa sur les genoux d'Harry.
-Je me demande se que font
tes parents ainsi que ton parrain et ta marraine. Dit Ron
-Moi ils
m'ont paru très pressé, avoua Hermione
-Moi je le
sais pourquoi, répondit Harry
-Ah oui! demanda Ginny
-Ils
en profitent
-De quoi? demanda Neville
-De leur statut, ils ne
sont plus des Célestats en ce moment et eux ... Harry
s'interrompit en rougissant fortement mais en ayant un sourire sur
le visage.
-C'est bon, tu n'es pas obligé d'aller
plus loin, nous avons compris, reprit Hermione en rougissant à
son tour.
Bien entendu Neville et Ron éclatèrent de
rire et Ginny les fit taire d'un regard. James et Lily, eux étaient
dans un coin de la salle commune et ils se calinaient tendrement.
Ils continuèrent à parler jusqu'à ce
qu'Harry remarqua que Ginny s'était endormie dans ses
bras.
-Elle a l'air si paisible, déclara Hermione
envieusement
-C'est parce qu'elle est dans les bras de celui
qu'elle aime, dit Ron
Harry ne les écoutait pas, il
préférait regarder sa princesse. Il passa un de ses
bras sous ses genoux et l'autre sous sa nuque et la porta vers
l'escalier.
-Harry, tu sais pertinemment que nous ne pouvons pas
aller dans le dortoir des filles.
-Mais qui t'a dit que j'allais
dans le dortoir des filles?
Harry monta toujours avec Ginny dans
les bras, dans le dortoir des garçons.
Ron était
bouche bée.
Neville et Hermione éclatèrent de
rire. James et Lily annoncèrent qu'ils allaient prendre un
bain. James demanda discrètement à Ron le mot de passe
pour aller dans la salle de bain des préfets et ils s'en
allèrent main dans la main. Neville décida lui aussi
d'aller se coucher. Hermione et Ron étaient désormais
tous seul. C'est Ron qui rompit le silence.
-Dit c'est bien
demain que le bal aura lieu n'est ce pas?
-Oui, après la
sortie de Pré au Lard
-Tu as trouvé un
cavalier?
-Non, et toi?
-Non plus, mais demain je vais avouer à
celle que j'aime mon amour éternel, en espérant ne
pas avoir de râteau.
A cet instant aucun des deux n'avaient
repensé à la fin ou les visiteurs du futurs sont
apparus.
-...mais est ce que tu voudrais bien y aller avec
moi?
-Oui, d'accord, répondit Hermione assez tristement
au goût de Ron
-Ca ne vas pas?
-SI si mais je crois que
moi aussi je suis fatiguée
-Dit j'aurai une question,
crois tu que l'on verra Harry et Ginny? demain pendant la
sortie.
-Non, elle riait à présent, je crois qu'ils
voudront la passer seuls.
-On sera à nouveau tous seul, Ron
souriait et regardait Hermione avec une intensité
phénoménale.
Celle ci ne tarda pas à sans
apercevoir et commença à rougir. Près d'un
quart d'heure c'était écoulé depuis ce
moment et ils n'avaient pas sortit un seul mot.
-Bon, bien, moi,
je pense que je vais aller me coucher, répondit maladroitement
Hermione.
-D'accord, répondit Ron je t'accompagne
jusqu'à l'escalier.
Il l'accompagna et juste avant de
partit il l'embrassa sur la joue (un peu trop près des
lèvres se pensa Hermione) mais elle ne dit rien et il lui dit
simplement :
-Fais de beaux rêves Mione
Et il s'en alla
à son tour. Lorsqu'il fut arrivé dans le dortoir, il
découvrit Ginny dans une magnifique nuisette en soie bleu,
dans les bras de son bien aimé qui était torse nu avec
juste le bas de pyjama. Il sourit et rie à l'intérieur
de lui même en pensant aux verres qui avaient explosés
dans la Grande Salle quand Ginny se mit dans une colère noire.
Il se déshabilla et se mit au lit.
Le lendemain matin
Ginny se réveilla, toujours dans les bras d'Harry, en ayant
fait un merveilleux rêve. Elle se tourna pour mieux voir le
visage de son ange gardien. Ce qu'elle ne savait pas, c'était
que Harry était réveillé.
-Je me demanda si
c'est encore un de tes pouvoirs, car lorsque je suis dans tes bras
je suis sur que rien ne peut m'arriver sauf peut être ne plus
vouloir te lâcher, elle rigola.
Harry sourit pour lui
même.
-Tu aurais dû voir hier comme j'étais
en colère quand tu as dit bonjour à Agara, tous les
verres de la Grande Salle avaient explosés, mais les elfes
prirent les choses en mains en les remplaçant. Même si
tu dors, et que tu ne m'entends pas, il y a une chose que je ne
supporterai jamais, c'est qu'une fille autre que moi, soit dans
tes bras lorsque tu es vêtu comme cela, est ce clair?
-Très
clair ma chérie, répondit Harry en faisant sursauter
Ginny
-Harry? Tu es réveillé?
-Comme tu peux le
voir
-Tu as tout entendu?
-Oui, je suis réveillé
depuis plus d'une heure
-Pourquoi n'es tu pas parti?
-Et te
laisser, et puis quoi encore, je ne te quitterai jamais.
Il
l'embrassa doucement mais s'écarta violemment en tenant sa
cicatrice dans ses mains.
-Harry qu'est ce qui arrive?
-Il
est furieux
-Tu ne peux rien faire?
-Si, mais promets moi que
tu ne diras rien à personne
-Promis
A ce moment, Harry
disparu et à la place se trouvait un magnifique phénix
aux yeux verts.
-Harry, c'est toi?
Le phénix
s'approcha de Ginny et se mit dans sa main. Elle le caressa, elle
vit que l'oiseau fermait les yeux. Quand elle arrêta, Harry
déploya son aile droite et caressa la joue de Ginny. Il sauta
sur le matelas et repris sa forme humaine.
-C'est la seule
transformation où je n'est pas ma cicatrice en signe
distinctif
-Oui, mais tu as gardé tes magnifiques yeux
verts
Harry sourit, il voulut dire quelque chose mais Ginny l'en
empêcha et l'embrassa tendrement et amoureusement. Puis
quelqu'un rentra, c'était Hermione.
-Ah, vous êtes
enfin réveillé, est ce que Ron l'est aussi?
-Non,
je crois qu'il dort toujours, déclara Ginny
-Quel
paresseux, dit elle en secouant la tête et en souriant, elle se
dirigea vers le lit de Ron et passa derrière les rideaux et
dit ;
-Ron, il faut se réveiller, il est 11H
-Non, pas
encore, je suis trop fatigué
-Ronald Weasley, vous allez
vous lever immédiatement, dit Hermione sur un ton
autoritaire
-Maman, s'exclama Ron
Hermione commença à
rire.
-Non, ce n'est que moi, mais dit tu n'as pas chaud, tu
as toutes les couvertures jusqu'au menton
-Non, ça va
mais toi qu'est ce que tu fais ici?
-Je t'appelle pour que tu
te réveilles, ordre de Molly
-Elle est restée?
-Non,
elle vient juste de partir, mais elle vient ce soir pour surveiller
le bal avec les autres professeurs et Fred et Georges viennent pour
faire les barmans, ils ont eu l'accord de Dumbledore.
-Où
sont Harry et Ginny?
-Sûrement encore en train de
s'embrasser
-Hermione fermes-là, s'écrièrent
Harry et Ginny ensemble
-Je crois que tu avais raison
-Moi
aussi, allez lèves toi
-Oui j'arrive
Hermione sortit
de derrière les rideaux et vit Harry qui retenait Ginny par le
poignet.
-Restes ici
-Mais je dois aller prendre ma
douche
-Prends là ici
-Mais je n'ai pas d'habits de
rechange
-Attend, Harry fit tourner sa baguette et un pantalon
ainsi qu'un débardeur blanc apparurent sur le lit, est ce
que ça te plait?
-Oui, mais la douche je la fais toute
seule, car je t'es vu venir
-C'est toi qui le penses pas moi,
il lui sourit malicieusement
-Mais bien sûr, bon j'y vais,
à toute à l'heure
-A toute à l'heure mon
ange.
Ginny se dirigea vers la douche des garçons et on
entendit l'eau couler
-Tu as du passer une bonne nuit aux côtés
de Ginny, demanda Hermione
-Quand elle est prés de moi, je
ne rêve ni de lui ni des événements
antécédents
-Je vois, donc, tu voudrais que Ginny
dorme avec toi tout le temps
-Tu vois que tu arrives à lire
dans les pensées toi aussi.
Harry et Hermione
rigolèrent.
-Qu'est ce qu'il y a de si drôle,
demanda la voix encore ensommeillée de Ron
-C'est qu...,
commença Hermione mais elle s'interrompit en voyant Ron
torse nu, tout comme Harry avec un short comme bas de pyjama.
Elle
admirait la musculature de Ron mais elle rougissait en même
temps, elle s'en aperçu quand Harry lui doucement à
l'oreille :
-Alors comme ça, c'est le plus bel homme
sur terre?
-Tu n'as pas le droit de lire dans mes pensées,
hurla t'elle
-Je l'ai fait depuis le début de l'année
c'est pas le fait que tu le sache que cela va changer grand
chose.
Hermione bouillait de colère pendant que Ron n'avait
rien compris.
-Qu'est ce qui ce passe? demanda ce dernier
-Rien,
dit précipitamment Hermione
Le bruit de la douche cessa.
Harry rentra dans la salle de bain. On entendit un grognement puis
des éclats de rire.
-Ca recommence, déclarèrent
Ron et Hermione en même temps.
Ils éclatèrent
de rire mais Ron commença à s'impatienter.
-Harry
sort de là, arrête d'embrasser Ginny moi aussi
j'aimerais prendre une douche.
Ron bougeait la mâchoire
mais aucun son n'en sortit. Hermione vit que Ron était très
en colère. Il mit sa main gauche sur son épale gauche
et Hermione entendit de la salle de bain :
-ENLEVES MOI SE SORT DE
SILENCE ET LAISSE MOI PRENDRE MA DOUCHE. FRANCHEMENT HARRY. TU PEUX
ÊTRE AGACANT DES FOIS,
Ron enleva sa main et Hermione pu
voir une colombe blanche sur son épaule.
-Tu as la marque?
demanda Hermione
Ron bougea les lèvres comme aucun ne
sortit, il remit sa main et on entendit un hurlement
:
-HHHHAAAARRRRYYYY!
-Oui, je suis marqué, réussi
t-il a dire, à quand même, c'est pas trop tôt.
La
porte s'ouvrit (de la salle de bain) et Harry sortit il était
trempé et avait une serviette autour de sa taille suivi de
Ginny habillée.
-Tu n'avais pas à crier comme ça,
réprimanda Harry, j'étais en train de prendre la
mienne.
-Deux fois j'ai du le faire pour pouvoir aller prendre
une douche et je ne crois pas que tu n'es fais ta douche tout seul,
dit il en voyant Ginny rouge de plaisir
-Qu'est ce que cela peut
te faire, demanda celle ci
-Rien, alors les câlins de mon
meilleur ami sont bon à ce que je vois.
-RON, s'écria
Ginny, rouge mais de colère cette fois ci.
Ron et Hermione
éclatèrent de rire et Ginny remarqua la colombe sur
l'épaule de Ron.
-Tu as la marque?
-Oui, bon j'en
profite je vais prendre ma douche.
Harry sourit et alla vers son
lit et fit apparaître un tee short sans manche blanc et un
pantalon noir. Il s'habilla, Hermione se tourna mais Ginny alla
vers lui et profita de ce court moment pour l'embrasser.
Lorsqu'il
eut fini. Hermione se retourna et lui demanda :
-Harry je pourrais
l'avoir moi aussi?
-Quoi?
-La blanche colombe à la
branche d'olivier
-Ah ça!
-Moi aussi? demanda
Ginny
-Très bien mais il va falloir boire quelque chose.
Il
claqua des doigts et deux bouteilles (flacons) bleus avec une colombe
gravé dessus.
-Buvez ça,
Elles s'exécutèrent.
Quand elles eurent fini de boire la potion, elles rendirent la petite
bouteille à Harry. Celui ci les fit disparaître d'un
coup de baguette.
Peu de temps après, le contour de leur
corps commença à émettre une magnifique couleur
dorée. Harry sourit et alla vers Hermione. Il posa ses deux
mains, l'une sur l'autre, sur l'épaule droite d'Hermione
(cela était facile puisse qu'elle portait un débardeur
violet). Lorsque les mains touchèrent son épaule,
Hermione sentit une chaleur rassurante, douce et envoûtante.
Lorsqu'il les retira une magnifique colombe y était gravée,
il avança vers Ginny et fit la même chose. Quand il eut
fini avec Ginny, il recula dit quelque chose en latin qu'aucune des
deux ne savais ce que cela voulait dire mais le faisceau de lumière
s'évapora. Ginny et Hermione le regardaient puis regardèrent
leur épaule où était gravé à même
la peau une magnifique colombe blanche tenant dans son bec une
branche d'olivier.
Quelques minutes plus tard Ron sortit de la
salle de bain, il était habillé à peu près
comme Harry sauf qu'il était tout en blanc comme sa soeur.
Puis il vit la marque sur l'épaule d'Hermione et de
Ginny.
-Tu les as marquées elles aussi?
-Nous ne sommes
pas des animaux, s'exclama Hermione.
-Désolé
Mione, alors Harry vous a inscrit la marque du bien?
-Oui, mais
cela ne fait pas mal, déclara Ginny songeuse
-Tu croyais
quand même pas que j'allais vous faire souffrir, déclara
Harry, au fait il faut que je vous révèle quelque
chose, après avoir subit une émotion forte, vous aurez
un pouvoir que j'ai également sauf en plus développé,
bon je vous ai tout dit alors allons manger car il nous reste 40
minutes avant que les cours ne commence.
Il descendirent tous les
quatre et trouvèrent Neville qui était au bout de la
crise de nerfs, il était entouré de dizaines de
personnes qui n'arrêtaient pas de lui poser des questions. Il
se tourna vers ses amis :
-Aidez moi, ils ont entendu le message
et depuis ils ne me lâchent plus.
Harry rigola puis ordonna
à Neville de remonter son tee short qui cachait la marque.
Plusieurs élèves la demandèrent eux aussi. Alors
Harry sortit un Gallion et le tapa avec le bout de sa baguette et dit
:
-Je veux vous voir demain à 20H au 7ème étages,
en face de la tapisserie qui représente Barnabas le Follet
battu par les trolls. Puis il se tut et descendit dans la Grande
Salle où il espérait voir ses parents (jeunes et
adultes) ainsi que son parrain et sa marraine mais aucun des membres
de sa famille étaient présents sauf son arrière
grand père et Remus.
Il alla s'asseoir sans lui jeter un
seul regard car il ne voulait pas l'avertir de l'humeur de
Voldemort. Ginny le vit et respecta son choix. Le petit déjeuner
avait commencé depuis plusieurs minutes, Ginny lisait la
Gazette du sorcier puis éclata de rire.
-Tiens Harry, lui
dit elle en lui passant le journal, lis cet article tu vas comprendre
pourquoi il était si furieux ce matin.
Pendant qu'Harry
commençait à lire, et lorsqu'il eut fini sa lecture,
il rigola, se leva et alla vers la table des professeurs et alla vers
Remus.
-Tiens, lis ça tu vas rire
-Je peux lire moi
aussi, demanda le professeur Dumbledore
-Oui bien sûr
Remus
et le directeur lisaient l'article quand ils l'eurent fini, le
professeur Dumbledore était stupéfait pendant que Remus
pouffait de rire.
-Alors, il faudra t'appeler comme ça?
demanda t'il en sachant la réponse
-Bien sur que non, je
que tout le monde m'appelle par mon véritable nom
-Très
bien Mr qui a le pouvoir absolu
-Remus, dit Harry sur un ton de
reproche
Il rigola. A ce moment les parents de Harry (adulte)
entrèrent, James et Lily abordaient un sourire radieux. Harry
alla à leur rencontre :
-Bonjour papa, bonjour maman,
regardez et lisez cet article, il leurs souriait.
James prit le
journal et fut imité par presque tous ceux de la Grande Salle.
Lily lisait par dessus son épaule. Elle avait un sourire
radieux ainsi que James. Harry en profita pour lire dans leurs
pensées. Il s'arrêta quand il su que son hypothèse
de l'autre soir était vérifiée. Il sourit.
Puis ses parents rigolèrent.
-Bien je vois que le
ministère ta donné un autre nom que le notre lequel
choisis tu? Harry? Ou Celui qui as le pouvoir absolu? demanda son
père
-Harry Potter, tu crois vraiment que je prendrai
l'autre?
-Non, mais nous avons bien le droit de t'embêter
un peu, lui répondit son père
Lily secoua la tête
en souriant. Le regard de James rencontra celui de Rogue et tous
pouvaient voir un regard de haine partagé.
-Maman, tu t'es
jamais demandé pourquoi papa et le professeur Rogue se
détestaient?
-Si, la seule explication que j'ai eu, était
que Severus était jaloux de talent de James au Quidditch et la
rivalité Gryffondor-Serpentard.
-Je vais te dire que cette
explication est totalement fausse.
-Ah oui! s'exclama Lily, sais
tu quelle est la vrai raison?
-Oui
Son père le regarda
étonné.
-Personne ne sait pourquoi
-On pari? La
vrai raison et que tu as dans ta vie, deux hommes.
-C'est vrai
James?
Mais elle n'eut aucune réponse car James envoyait
un regard de haine à Rogue.
-Très bien, donc je vais
prendre un autre homme pour ne pas faire de jaloux.
-Ah oui et
pourrais savoir le quel, demanda sarcastiquement James
-Remus, dit
elle simplement.
Remus leva précipitamment la tête.
-Ah
non Lily, laisse moi en dehors de tout ça, je n'ai rien
avoir avec cette histoire.
Harry et ses amis rigolèrent.
-Donc
je garde mon fils, Lily posa sa main sur l'épaule de son
fils et alla s'asseoir laissant son mari stupéfait. Mais il
ne tarda pas pour aller s'asseoir à ses côté
Harry
regarda son père, il semblait triste il le regarda
attentivement puis sourit à nouveau. Il se tourna vers sa
mère. Il lui dit tout bas :
-Maman parle à papa, il
est triste
-C'est vrai? Elle souriait
-Oui, moi je sais que
tu l'as fait pour rigoler mais pas lui
Son sourire s'élargit
un peu plus et se tourna vers son mari et l'embrassa
tendrement.
-Tu croyais quand même pas que j'étais
sérieuse
-Bien sûr que non, répondit
James
-Mais bien sûr, à d'autres, ricana Harry, en
tout cas, c'est ce que tu pensais.
James le regarda
férocement.
-Je déteste ton pouvoir de lire dans les
pensées.
-Moi je l'adore, tu n'as pas de chance, il
rigola accompagné de ses amis.
Sirius, Arabella, et ses
parents (à l'âge de 16ans) entrèrent et
regardèrent Harry ainsi que James et Lily.
Tout d'un coup
un éclair retentit dans la Grande Salle, un sorcier
encapuchonné dans une cape noir s'exclama :
-Nous allons
bien voir si Celui qui as le pouvoir absolu est si puissant, voyons
voir comment il va réagir fasse à son pire souvenir
qu'il a essayé d'oublier, EFFESSIO DETRAQUOUM. (effet d'un
détraqueur mais en prolongé pour faire revivre le pire
événement qu'il nous ait arrivé). Le sort
atteint Harry en pleine poitrine et au même moment, Voldemort
s'en alla.
Harry était blanc comme un linge. Il se
leva mais lorsqu'il fut arrivé à la table des
professeurs tout le monde pu entendre la voix d'une femme.
-Dors
Harry, il est tard, il faut ...
Cette fois ci une voix d'homme
la coupa.
-Lily! Prends Harry et va t'en! C'est lui! Va-t'en!
Cours! Je vais le retenir...
Harry glissa inconscient sur le sol,
pendant que tous ses amis, parents, parrain, professeurs allaient
vers lui.
On entendit quelqu'un qui trébuchait, puis une
porte qui s'ouvrait à la volée et un gloussement d'un
rire suraigu se fit entendre.
On pouvait entendre une porte se
fermant doucement mais en entendant toujours deux hommes se
combattants.
-Ne t'inquiètes pas Harry, toi tu survivras
mais moi je pourrais jamais vivre sans lui, je sais que je parais
égoïste mais nous serons toujours prêts de toi,
tant que tu montras tes sentiments. Bon essayons d'aller plus long
dans le rituel.
On entendit du latin et l'incantation se fini
par \\\\\"Harry Potter\\\\\".
-Voilà mon fils, tu
survivras grâce à mon sacrifice mais il faut que je
l'oblige à me tuer.
Un hurlement entendre et un bruit
sourd, comme si quelqu'un tombait se firent entendre. Ils furent
suivis par un éclat de rire.
-Personne ne peut vaincre le
seigneur des ténèbres, même pas toi Potter.
Le
bruit d'un porte volant et un rire sadique suivi.
-Que voulez,
pourquoi nous?
-La prophétie, je dois tuer ton enfant, ton
mari a voulu vous sauvez, je ne voulais pas le tuer enfin si, pour
m'amuser mais celui qui m'importe le plus est ton fils, alors
donnes le moi.
-NON, hurla la femme
-Allez pousse toi, exigea
Voldemort
-Pas Harry, pas Harry, je vous en supplie, pas
lui!
-Pousse-toi, espèce d'idiote ... Allez,
pousse-toi...
-Non, pas Harry, je vous supplie, tuez-moi si vous
voulez, tuez-moi à sa place- -Je veux ton fils, pas toi. -Non,
pas Harry, je vous en supplie ! Ayez pitié… Ayez pitié…
Une
voix suraiguë se mit à rire. Un hurlement de femme
déchira le coeur de certains élèves. Des larmes
coulaient en abondance sur les joues d'Harry. Ceux qui étaient
autour de lui essayaient de le réanimé mais en
vain.
-Elle a essayé de me défié, quelle
idiote tout comme ton père
-Ma-man, pa-pa
-HAHAHA, ne
t'inquiète pas tu vas les rejoindre, \\\\\"Avada
Kedavra\\\\\".
-Mais qu'est ce qui ce passe,
NNNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNN
Un bruit de vent
survint.
-Qu'est ce qui c'est passé? demanda une voix
qui était celle d'un enfant, Maman, qui c'était?
Maman? Réveille toi, maman, tu dois être très
fatigué pour dormir comme ça.
Dans la Grande Salle,
plusieurs filles pleuraient, mais Albus ainsi que Sirius ainsi que
les parents d'Harry (adultes), Arabella et Remus, étaient
profondément touchés.
-Maman, relèves toi,
s'il te plaît, maman, cette fois ci l'enfant pleurait, me
laisse pas tout seul, MAMAN, cria le garçon.
On entendit
des bruits de pas qui cours.
-Papa, toi aussi tu dors, répond
moi, papa, PAPA.
Cette fois il hurlait.
-Ne Me laissez pas tout
seul, PAPA, MAMAN, NNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNN.
Le bruit
de plusieurs éclairs survint plus le bruit d'une explosion.
L'enfant continuait à pleurer jusqu'à ce que l'on
entende des bruits de pas qui devaient être énormes.
-Mon
dieu, la maison est complètement détruite.
Tout le
monde reconnu la voix d'Hagrid.
-Harry, te voilà, qu'est
ce que tu t'es fais au front, dis moi
-Areuh, areuh
-Arrêtes
ces plaisanteries, tu peux parler, alors dis moi,
-Areuh
Une
claquement de fouet retentit.
-Non Hagrid, il ne peut plus parler,
dès qu'il a compris que ses parents n'étaient plus,
toute sa puissance s'est envolée, mais il la retrouvera un
jour.
-Vous voulez dire que James et Lily sont ... sont ...
-Oui,
Lily et James Potter rejoignent le rang des Célestats. Je dois
vous laissez, je dois allez les accueillirent, au revoir Hagrid
-Au
revoir Godric Gryffondor.
Un grondement sourd se fit
entendre.
-Hagrid? Mais que faites vous ...
Il ne fini pas sa
phrase.
-James? Lily? NON
On pouvait entendre le bruit de
quelqu'un faisant bouger de grosses pierres.
-Lily, LILY,
réponds, d'autres bruits, James, JAMES, NOON, ils sont
morts, morts, où est Harry? Ne me dis pas que lui aussi,
-Non,
je l'ai dans les bras, il pleure
-James, Lily, pourquoi eux, ils
voulaient juste vivre heureux, l'homme sanglota
-Allons, Sirius,
reprends toi
Les professeurs regardaient Sirius, celui ci baissait
la tête. James posa une main sur son épaule.
-Donne-moi
Harry, Hagrid, je suis son parrain, je m'occuperai de lui.
-Non
Dumbledore a dit que Harry devait être confié à
sa tante et à son oncle.
-Mais James et Lily ont dit que
s'il leurs arrivaient quelque chose, Harry devaient mettre
confié.
-Sirius n'insiste pas, les ordres de Dumbledore
sont clairs.
-Bon, puisse que c'est comme ça, prends ma
moto pour emmener Harry, Je n'en aurai plus besoin,
maintenant.
-Attends, tu as l'air hors de toi, où vas
tu?
-Venger, James et Lily
Un claquement de fouet
s'entendit
-Bon, il faut y aller, adieu James, Adieu Lily et le
bruit de moto se dissipa.
Ensuite, tout s'arrêta.
Les
professeurs regardaient Harry, il était blanc et avait des
spasmes et il marmonnait toujours la même chose :
-Papa
mort, ma faute, maman morte, ma faute, Cédric mort, ma faute,
Sirius mort, ma faute.
Personne ne savait quoi faire sauf un.
