Le plus mauvais souvenir

Harry voulait être avec ses parents le plus longtemps possible. Il ne les avait jamais connu de leur vivant enfin jusqu'à ses 1an et 3mois. Mais à 23H30 ses parents l'obligèrent d'aller se coucher.
Il monta avec Ron, Ginny, Hermione, James, Lily et Neville qui restait maintenant tout le temps avec eux.
Ginny s'installa sur les genoux d'Harry.
-Je me demande se que font tes parents ainsi que ton parrain et ta marraine. Dit Ron
-Moi ils m'ont paru très pressé, avoua Hermione
-Moi je le sais pourquoi, répondit Harry
-Ah oui! demanda Ginny
-Ils en profitent
-De quoi? demanda Neville
-De leur statut, ils ne sont plus des Célestats en ce moment et eux ... Harry s'interrompit en rougissant fortement mais en ayant un sourire sur le visage.
-C'est bon, tu n'es pas obligé d'aller plus loin, nous avons compris, reprit Hermione en rougissant à son tour.
Bien entendu Neville et Ron éclatèrent de rire et Ginny les fit taire d'un regard. James et Lily, eux étaient dans un coin de la salle commune et ils se calinaient tendrement.
Ils continuèrent à parler jusqu'à ce qu'Harry remarqua que Ginny s'était endormie dans ses bras.
-Elle a l'air si paisible, déclara Hermione envieusement
-C'est parce qu'elle est dans les bras de celui qu'elle aime, dit Ron
Harry ne les écoutait pas, il préférait regarder sa princesse. Il passa un de ses bras sous ses genoux et l'autre sous sa nuque et la porta vers l'escalier.
-Harry, tu sais pertinemment que nous ne pouvons pas aller dans le dortoir des filles.
-Mais qui t'a dit que j'allais dans le dortoir des filles?
Harry monta toujours avec Ginny dans les bras, dans le dortoir des garçons.
Ron était bouche bée.
Neville et Hermione éclatèrent de rire. James et Lily annoncèrent qu'ils allaient prendre un bain. James demanda discrètement à Ron le mot de passe pour aller dans la salle de bain des préfets et ils s'en allèrent main dans la main. Neville décida lui aussi d'aller se coucher. Hermione et Ron étaient désormais tous seul. C'est Ron qui rompit le silence.
-Dit c'est bien demain que le bal aura lieu n'est ce pas?
-Oui, après la sortie de Pré au Lard
-Tu as trouvé un cavalier?
-Non, et toi?
-Non plus, mais demain je vais avouer à celle que j'aime mon amour éternel, en espérant ne pas avoir de râteau.
A cet instant aucun des deux n'avaient repensé à la fin ou les visiteurs du futurs sont apparus.
-...mais est ce que tu voudrais bien y aller avec moi?
-Oui, d'accord, répondit Hermione assez tristement au goût de Ron
-Ca ne vas pas?
-SI si mais je crois que moi aussi je suis fatiguée
-Dit j'aurai une question, crois tu que l'on verra Harry et Ginny? demain pendant la sortie.
-Non, elle riait à présent, je crois qu'ils voudront la passer seuls.
-On sera à nouveau tous seul, Ron souriait et regardait Hermione avec une intensité phénoménale.
Celle ci ne tarda pas à sans apercevoir et commença à rougir. Près d'un quart d'heure c'était écoulé depuis ce moment et ils n'avaient pas sortit un seul mot.
-Bon, bien, moi, je pense que je vais aller me coucher, répondit maladroitement Hermione.
-D'accord, répondit Ron je t'accompagne jusqu'à l'escalier.
Il l'accompagna et juste avant de partit il l'embrassa sur la joue (un peu trop près des lèvres se pensa Hermione) mais elle ne dit rien et il lui dit simplement :
-Fais de beaux rêves Mione
Et il s'en alla à son tour. Lorsqu'il fut arrivé dans le dortoir, il découvrit Ginny dans une magnifique nuisette en soie bleu, dans les bras de son bien aimé qui était torse nu avec juste le bas de pyjama. Il sourit et rie à l'intérieur de lui même en pensant aux verres qui avaient explosés dans la Grande Salle quand Ginny se mit dans une colère noire. Il se déshabilla et se mit au lit.
Le lendemain matin Ginny se réveilla, toujours dans les bras d'Harry, en ayant fait un merveilleux rêve. Elle se tourna pour mieux voir le visage de son ange gardien. Ce qu'elle ne savait pas, c'était que Harry était réveillé.
-Je me demanda si c'est encore un de tes pouvoirs, car lorsque je suis dans tes bras je suis sur que rien ne peut m'arriver sauf peut être ne plus vouloir te lâcher, elle rigola.
Harry sourit pour lui même.
-Tu aurais dû voir hier comme j'étais en colère quand tu as dit bonjour à Agara, tous les verres de la Grande Salle avaient explosés, mais les elfes prirent les choses en mains en les remplaçant. Même si tu dors, et que tu ne m'entends pas, il y a une chose que je ne supporterai jamais, c'est qu'une fille autre que moi, soit dans tes bras lorsque tu es vêtu comme cela, est ce clair?
-Très clair ma chérie, répondit Harry en faisant sursauter Ginny
-Harry? Tu es réveillé?
-Comme tu peux le voir
-Tu as tout entendu?
-Oui, je suis réveillé depuis plus d'une heure
-Pourquoi n'es tu pas parti?
-Et te laisser, et puis quoi encore, je ne te quitterai jamais.
Il l'embrassa doucement mais s'écarta violemment en tenant sa cicatrice dans ses mains.
-Harry qu'est ce qui arrive?
-Il est furieux
-Tu ne peux rien faire?
-Si, mais promets moi que tu ne diras rien à personne
-Promis
A ce moment, Harry disparu et à la place se trouvait un magnifique phénix aux yeux verts.
-Harry, c'est toi?
Le phénix s'approcha de Ginny et se mit dans sa main. Elle le caressa, elle vit que l'oiseau fermait les yeux. Quand elle arrêta, Harry déploya son aile droite et caressa la joue de Ginny. Il sauta sur le matelas et repris sa forme humaine.
-C'est la seule transformation où je n'est pas ma cicatrice en signe distinctif
-Oui, mais tu as gardé tes magnifiques yeux verts
Harry sourit, il voulut dire quelque chose mais Ginny l'en empêcha et l'embrassa tendrement et amoureusement. Puis quelqu'un rentra, c'était Hermione.
-Ah, vous êtes enfin réveillé, est ce que Ron l'est aussi?
-Non, je crois qu'il dort toujours, déclara Ginny
-Quel paresseux, dit elle en secouant la tête et en souriant, elle se dirigea vers le lit de Ron et passa derrière les rideaux et dit ;
-Ron, il faut se réveiller, il est 11H
-Non, pas encore, je suis trop fatigué
-Ronald Weasley, vous allez vous lever immédiatement, dit Hermione sur un ton autoritaire
-Maman, s'exclama Ron
Hermione commença à rire.
-Non, ce n'est que moi, mais dit tu n'as pas chaud, tu as toutes les couvertures jusqu'au menton
-Non, ça va mais toi qu'est ce que tu fais ici?
-Je t'appelle pour que tu te réveilles, ordre de Molly
-Elle est restée?
-Non, elle vient juste de partir, mais elle vient ce soir pour surveiller le bal avec les autres professeurs et Fred et Georges viennent pour faire les barmans, ils ont eu l'accord de Dumbledore.
-Où sont Harry et Ginny?
-Sûrement encore en train de s'embrasser
-Hermione fermes-là, s'écrièrent Harry et Ginny ensemble
-Je crois que tu avais raison
-Moi aussi, allez lèves toi
-Oui j'arrive
Hermione sortit de derrière les rideaux et vit Harry qui retenait Ginny par le poignet.
-Restes ici
-Mais je dois aller prendre ma douche
-Prends là ici
-Mais je n'ai pas d'habits de rechange
-Attend, Harry fit tourner sa baguette et un pantalon ainsi qu'un débardeur blanc apparurent sur le lit, est ce que ça te plait?
-Oui, mais la douche je la fais toute seule, car je t'es vu venir
-C'est toi qui le penses pas moi, il lui sourit malicieusement
-Mais bien sûr, bon j'y vais, à toute à l'heure
-A toute à l'heure mon ange.
Ginny se dirigea vers la douche des garçons et on entendit l'eau couler
-Tu as du passer une bonne nuit aux côtés de Ginny, demanda Hermione
-Quand elle est prés de moi, je ne rêve ni de lui ni des événements antécédents
-Je vois, donc, tu voudrais que Ginny dorme avec toi tout le temps
-Tu vois que tu arrives à lire dans les pensées toi aussi.
Harry et Hermione rigolèrent.
-Qu'est ce qu'il y a de si drôle, demanda la voix encore ensommeillée de Ron
-C'est qu..., commença Hermione mais elle s'interrompit en voyant Ron torse nu, tout comme Harry avec un short comme bas de pyjama.
Elle admirait la musculature de Ron mais elle rougissait en même temps, elle s'en aperçu quand Harry lui doucement à l'oreille :
-Alors comme ça, c'est le plus bel homme sur terre?
-Tu n'as pas le droit de lire dans mes pensées, hurla t'elle
-Je l'ai fait depuis le début de l'année c'est pas le fait que tu le sache que cela va changer grand chose.
Hermione bouillait de colère pendant que Ron n'avait rien compris.
-Qu'est ce qui ce passe? demanda ce dernier
-Rien, dit précipitamment Hermione
Le bruit de la douche cessa. Harry rentra dans la salle de bain. On entendit un grognement puis des éclats de rire.
-Ca recommence, déclarèrent Ron et Hermione en même temps.
Ils éclatèrent de rire mais Ron commença à s'impatienter.
-Harry sort de là, arrête d'embrasser Ginny moi aussi j'aimerais prendre une douche.
Ron bougeait la mâchoire mais aucun son n'en sortit. Hermione vit que Ron était très en colère. Il mit sa main gauche sur son épale gauche et Hermione entendit de la salle de bain :
-ENLEVES MOI SE SORT DE SILENCE ET LAISSE MOI PRENDRE MA DOUCHE. FRANCHEMENT HARRY. TU PEUX ÊTRE AGACANT DES FOIS,
Ron enleva sa main et Hermione pu voir une colombe blanche sur son épaule.
-Tu as la marque? demanda Hermione
Ron bougea les lèvres comme aucun ne sortit, il remit sa main et on entendit un hurlement :
-HHHHAAAARRRRYYYY!
-Oui, je suis marqué, réussi t-il a dire, à quand même, c'est pas trop tôt.
La porte s'ouvrit (de la salle de bain) et Harry sortit il était trempé et avait une serviette autour de sa taille suivi de Ginny habillée.
-Tu n'avais pas à crier comme ça, réprimanda Harry, j'étais en train de prendre la mienne.
-Deux fois j'ai du le faire pour pouvoir aller prendre une douche et je ne crois pas que tu n'es fais ta douche tout seul, dit il en voyant Ginny rouge de plaisir
-Qu'est ce que cela peut te faire, demanda celle ci
-Rien, alors les câlins de mon meilleur ami sont bon à ce que je vois.
-RON, s'écria Ginny, rouge mais de colère cette fois ci.
Ron et Hermione éclatèrent de rire et Ginny remarqua la colombe sur l'épaule de Ron.
-Tu as la marque?
-Oui, bon j'en profite je vais prendre ma douche.
Harry sourit et alla vers son lit et fit apparaître un tee short sans manche blanc et un pantalon noir. Il s'habilla, Hermione se tourna mais Ginny alla vers lui et profita de ce court moment pour l'embrasser.
Lorsqu'il eut fini. Hermione se retourna et lui demanda :
-Harry je pourrais l'avoir moi aussi?
-Quoi?
-La blanche colombe à la branche d'olivier
-Ah ça!
-Moi aussi? demanda Ginny
-Très bien mais il va falloir boire quelque chose.
Il claqua des doigts et deux bouteilles (flacons) bleus avec une colombe gravé dessus.
-Buvez ça,
Elles s'exécutèrent. Quand elles eurent fini de boire la potion, elles rendirent la petite bouteille à Harry. Celui ci les fit disparaître d'un coup de baguette.
Peu de temps après, le contour de leur corps commença à émettre une magnifique couleur dorée. Harry sourit et alla vers Hermione. Il posa ses deux mains, l'une sur l'autre, sur l'épaule droite d'Hermione (cela était facile puisse qu'elle portait un débardeur violet). Lorsque les mains touchèrent son épaule, Hermione sentit une chaleur rassurante, douce et envoûtante. Lorsqu'il les retira une magnifique colombe y était gravée, il avança vers Ginny et fit la même chose. Quand il eut fini avec Ginny, il recula dit quelque chose en latin qu'aucune des deux ne savais ce que cela voulait dire mais le faisceau de lumière s'évapora. Ginny et Hermione le regardaient puis regardèrent leur épaule où était gravé à même la peau une magnifique colombe blanche tenant dans son bec une branche d'olivier.
Quelques minutes plus tard Ron sortit de la salle de bain, il était habillé à peu près comme Harry sauf qu'il était tout en blanc comme sa soeur. Puis il vit la marque sur l'épaule d'Hermione et de Ginny.
-Tu les as marquées elles aussi?
-Nous ne sommes pas des animaux, s'exclama Hermione.
-Désolé Mione, alors Harry vous a inscrit la marque du bien?
-Oui, mais cela ne fait pas mal, déclara Ginny songeuse
-Tu croyais quand même pas que j'allais vous faire souffrir, déclara Harry, au fait il faut que je vous révèle quelque chose, après avoir subit une émotion forte, vous aurez un pouvoir que j'ai également sauf en plus développé, bon je vous ai tout dit alors allons manger car il nous reste 40 minutes avant que les cours ne commence.
Il descendirent tous les quatre et trouvèrent Neville qui était au bout de la crise de nerfs, il était entouré de dizaines de personnes qui n'arrêtaient pas de lui poser des questions. Il se tourna vers ses amis :
-Aidez moi, ils ont entendu le message et depuis ils ne me lâchent plus.
Harry rigola puis ordonna à Neville de remonter son tee short qui cachait la marque. Plusieurs élèves la demandèrent eux aussi. Alors Harry sortit un Gallion et le tapa avec le bout de sa baguette et dit :
-Je veux vous voir demain à 20H au 7ème étages, en face de la tapisserie qui représente Barnabas le Follet battu par les trolls. Puis il se tut et descendit dans la Grande Salle où il espérait voir ses parents (jeunes et adultes) ainsi que son parrain et sa marraine mais aucun des membres de sa famille étaient présents sauf son arrière grand père et Remus.
Il alla s'asseoir sans lui jeter un seul regard car il ne voulait pas l'avertir de l'humeur de Voldemort. Ginny le vit et respecta son choix. Le petit déjeuner avait commencé depuis plusieurs minutes, Ginny lisait la Gazette du sorcier puis éclata de rire.
-Tiens Harry, lui dit elle en lui passant le journal, lis cet article tu vas comprendre pourquoi il était si furieux ce matin.
Pendant qu'Harry commençait à lire, et lorsqu'il eut fini sa lecture, il rigola, se leva et alla vers la table des professeurs et alla vers Remus.
-Tiens, lis ça tu vas rire
-Je peux lire moi aussi, demanda le professeur Dumbledore
-Oui bien sûr
Remus et le directeur lisaient l'article quand ils l'eurent fini, le professeur Dumbledore était stupéfait pendant que Remus pouffait de rire.
-Alors, il faudra t'appeler comme ça? demanda t'il en sachant la réponse
-Bien sur que non, je que tout le monde m'appelle par mon véritable nom
-Très bien Mr qui a le pouvoir absolu
-Remus, dit Harry sur un ton de reproche
Il rigola. A ce moment les parents de Harry (adulte) entrèrent, James et Lily abordaient un sourire radieux. Harry alla à leur rencontre :
-Bonjour papa, bonjour maman, regardez et lisez cet article, il leurs souriait.
James prit le journal et fut imité par presque tous ceux de la Grande Salle. Lily lisait par dessus son épaule. Elle avait un sourire radieux ainsi que James. Harry en profita pour lire dans leurs pensées. Il s'arrêta quand il su que son hypothèse de l'autre soir était vérifiée. Il sourit. Puis ses parents rigolèrent.
-Bien je vois que le ministère ta donné un autre nom que le notre lequel choisis tu? Harry? Ou Celui qui as le pouvoir absolu? demanda son père
-Harry Potter, tu crois vraiment que je prendrai l'autre?
-Non, mais nous avons bien le droit de t'embêter un peu, lui répondit son père
Lily secoua la tête en souriant. Le regard de James rencontra celui de Rogue et tous pouvaient voir un regard de haine partagé.
-Maman, tu t'es jamais demandé pourquoi papa et le professeur Rogue se détestaient?
-Si, la seule explication que j'ai eu, était que Severus était jaloux de talent de James au Quidditch et la rivalité Gryffondor-Serpentard.
-Je vais te dire que cette explication est totalement fausse.
-Ah oui! s'exclama Lily, sais tu quelle est la vrai raison?
-Oui
Son père le regarda étonné.
-Personne ne sait pourquoi
-On pari? La vrai raison et que tu as dans ta vie, deux hommes.
-C'est vrai James?
Mais elle n'eut aucune réponse car James envoyait un regard de haine à Rogue.
-Très bien, donc je vais prendre un autre homme pour ne pas faire de jaloux.
-Ah oui et pourrais savoir le quel, demanda sarcastiquement James
-Remus, dit elle simplement.
Remus leva précipitamment la tête.
-Ah non Lily, laisse moi en dehors de tout ça, je n'ai rien avoir avec cette histoire.
Harry et ses amis rigolèrent.
-Donc je garde mon fils, Lily posa sa main sur l'épaule de son fils et alla s'asseoir laissant son mari stupéfait. Mais il ne tarda pas pour aller s'asseoir à ses côté
Harry regarda son père, il semblait triste il le regarda attentivement puis sourit à nouveau. Il se tourna vers sa mère. Il lui dit tout bas :
-Maman parle à papa, il est triste
-C'est vrai? Elle souriait
-Oui, moi je sais que tu l'as fait pour rigoler mais pas lui
Son sourire s'élargit un peu plus et se tourna vers son mari et l'embrassa tendrement.
-Tu croyais quand même pas que j'étais sérieuse
-Bien sûr que non, répondit James
-Mais bien sûr, à d'autres, ricana Harry, en tout cas, c'est ce que tu pensais.
James le regarda férocement.
-Je déteste ton pouvoir de lire dans les pensées.
-Moi je l'adore, tu n'as pas de chance, il rigola accompagné de ses amis.
Sirius, Arabella, et ses parents (à l'âge de 16ans) entrèrent et regardèrent Harry ainsi que James et Lily.
Tout d'un coup un éclair retentit dans la Grande Salle, un sorcier encapuchonné dans une cape noir s'exclama :
-Nous allons bien voir si Celui qui as le pouvoir absolu est si puissant, voyons voir comment il va réagir fasse à son pire souvenir qu'il a essayé d'oublier, EFFESSIO DETRAQUOUM. (effet d'un détraqueur mais en prolongé pour faire revivre le pire événement qu'il nous ait arrivé). Le sort atteint Harry en pleine poitrine et au même moment, Voldemort s'en alla.

Harry était blanc comme un linge. Il se leva mais lorsqu'il fut arrivé à la table des professeurs tout le monde pu entendre la voix d'une femme.
-Dors Harry, il est tard, il faut ...
Cette fois ci une voix d'homme la coupa.
-Lily! Prends Harry et va t'en! C'est lui! Va-t'en! Cours! Je vais le retenir...
Harry glissa inconscient sur le sol, pendant que tous ses amis, parents, parrain, professeurs allaient vers lui.
On entendit quelqu'un qui trébuchait, puis une porte qui s'ouvrait à la volée et un gloussement d'un rire suraigu se fit entendre.
On pouvait entendre une porte se fermant doucement mais en entendant toujours deux hommes se combattants.
-Ne t'inquiètes pas Harry, toi tu survivras mais moi je pourrais jamais vivre sans lui, je sais que je parais égoïste mais nous serons toujours prêts de toi, tant que tu montras tes sentiments. Bon essayons d'aller plus long dans le rituel.
On entendit du latin et l'incantation se fini par \\\\\"Harry Potter\\\\\".
-Voilà mon fils, tu survivras grâce à mon sacrifice mais il faut que je l'oblige à me tuer.
Un hurlement entendre et un bruit sourd, comme si quelqu'un tombait se firent entendre. Ils furent suivis par un éclat de rire.
-Personne ne peut vaincre le seigneur des ténèbres, même pas toi Potter.
Le bruit d'un porte volant et un rire sadique suivi.
-Que voulez, pourquoi nous?
-La prophétie, je dois tuer ton enfant, ton mari a voulu vous sauvez, je ne voulais pas le tuer enfin si, pour m'amuser mais celui qui m'importe le plus est ton fils, alors donnes le moi.
-NON, hurla la femme
-Allez pousse toi, exigea Voldemort
-Pas Harry, pas Harry, je vous en supplie, pas lui!
-Pousse-toi, espèce d'idiote ... Allez, pousse-toi...
-Non, pas Harry, je vous supplie, tuez-moi si vous voulez, tuez-moi à sa place- -Je veux ton fils, pas toi. -Non, pas Harry, je vous en supplie ! Ayez pitié… Ayez pitié…
Une voix suraiguë se mit à rire. Un hurlement de femme déchira le coeur de certains élèves. Des larmes coulaient en abondance sur les joues d'Harry. Ceux qui étaient autour de lui essayaient de le réanimé mais en vain.
-Elle a essayé de me défié, quelle idiote tout comme ton père
-Ma-man, pa-pa
-HAHAHA, ne t'inquiète pas tu vas les rejoindre, \\\\\"Avada Kedavra\\\\\".
-Mais qu'est ce qui ce passe, NNNNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNN
Un bruit de vent survint.
-Qu'est ce qui c'est passé? demanda une voix qui était celle d'un enfant, Maman, qui c'était? Maman? Réveille toi, maman, tu dois être très fatigué pour dormir comme ça.
Dans la Grande Salle, plusieurs filles pleuraient, mais Albus ainsi que Sirius ainsi que les parents d'Harry (adultes), Arabella et Remus, étaient profondément touchés.
-Maman, relèves toi, s'il te plaît, maman, cette fois ci l'enfant pleurait, me laisse pas tout seul, MAMAN, cria le garçon.
On entendit des bruits de pas qui cours.
-Papa, toi aussi tu dors, répond moi, papa, PAPA.
Cette fois il hurlait.
-Ne Me laissez pas tout seul, PAPA, MAMAN, NNNNNNNNNOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNN.
Le bruit de plusieurs éclairs survint plus le bruit d'une explosion. L'enfant continuait à pleurer jusqu'à ce que l'on entende des bruits de pas qui devaient être énormes.
-Mon dieu, la maison est complètement détruite.
Tout le monde reconnu la voix d'Hagrid.
-Harry, te voilà, qu'est ce que tu t'es fais au front, dis moi
-Areuh, areuh
-Arrêtes ces plaisanteries, tu peux parler, alors dis moi,
-Areuh
Une claquement de fouet retentit.
-Non Hagrid, il ne peut plus parler, dès qu'il a compris que ses parents n'étaient plus, toute sa puissance s'est envolée, mais il la retrouvera un jour.
-Vous voulez dire que James et Lily sont ... sont ...
-Oui, Lily et James Potter rejoignent le rang des Célestats. Je dois vous laissez, je dois allez les accueillirent, au revoir Hagrid
-Au revoir Godric Gryffondor.
Un grondement sourd se fit entendre.
-Hagrid? Mais que faites vous ...
Il ne fini pas sa phrase.
-James? Lily? NON
On pouvait entendre le bruit de quelqu'un faisant bouger de grosses pierres.
-Lily, LILY, réponds, d'autres bruits, James, JAMES, NOON, ils sont morts, morts, où est Harry? Ne me dis pas que lui aussi,
-Non, je l'ai dans les bras, il pleure
-James, Lily, pourquoi eux, ils voulaient juste vivre heureux, l'homme sanglota
-Allons, Sirius, reprends toi
Les professeurs regardaient Sirius, celui ci baissait la tête. James posa une main sur son épaule.
-Donne-moi Harry, Hagrid, je suis son parrain, je m'occuperai de lui.
-Non Dumbledore a dit que Harry devait être confié à sa tante et à son oncle.
-Mais James et Lily ont dit que s'il leurs arrivaient quelque chose, Harry devaient mettre confié.
-Sirius n'insiste pas, les ordres de Dumbledore sont clairs.
-Bon, puisse que c'est comme ça, prends ma moto pour emmener Harry, Je n'en aurai plus besoin, maintenant.
-Attends, tu as l'air hors de toi, où vas tu?
-Venger, James et Lily
Un claquement de fouet s'entendit
-Bon, il faut y aller, adieu James, Adieu Lily et le bruit de moto se dissipa.
Ensuite, tout s'arrêta.
Les professeurs regardaient Harry, il était blanc et avait des spasmes et il marmonnait toujours la même chose :
-Papa mort, ma faute, maman morte, ma faute, Cédric mort, ma faute, Sirius mort, ma faute.
Personne ne savait quoi faire sauf un.