La vengeance est un plat qui se mange froid

Ce rythme dura plusieurs jours. Puis arriva le mercredi. Pendant le petit déjeuner, le professeur Dumbledore fit une annonce qui plut à tout le monde.
-Chers élèves, je vous demande un petit moment d'attention. J'ai le plaisir de vous annoncer que le match Gryffondor/Serpentard aura lieu mercredi prochain. Voldemort essaye de nous déstabilisé mais il n'y arrivera pas je vous le promet. Nous continuerons à accomplir nos taches habituelles comme d'habitude. Soit pour lui monter que nous nous laissons pas faire, soit pour l'embêter, c'est votre choix.
Cette nouvelle fut acclamée par tous les élèves. De même que les Serpentard, mais c'était surtout point de vue Quidditch.
Le soir après le cours de duel, Harry glissa discrètement à Drago :
-Après la réunion de l'A.D, on ira se coucher.
Drago affirma par un signe positif de tête. Donc comme prévus, tous allèrent dormir après les minuits passés.
-Je vais enfin dormir à tes côtés. Dit Ginny en se rapprochant dangereusement d'Harry.
Pour seule réponse, il lui enserra la taille et ils allèrent tous les deux se coucher sans un mot à leurs amis.
JamesJ et LilyJ souriaient de ce comportement.
Vers trois heurs du matin, Ginny se réveilla mais au lieu de sentir et de voir son fiancé à ses côtés, il y avait une place vide et froide. Elle fronça les sourcils mais attendit car elle savait qu'elle ne devait pas se faire de soucis, pourquoi ? Elle n'en savait rien, elle le savait c'est tout.
Ce fut une demi heure plus tard, Harry rentra mais pas de la manière habituel, on ouvrit une porte on la referme mais il y avait eu un bruit d'ailes et Harry apparut de dos à Ginny. Cette dernière eu le souffle coupé Harry venait d'apparaître devant elle, alors que l'on ne peut transplaner dans l'intérieur du Château. Cependant autre chose vint lui frapper aux yeux, la jambe droite d'Harry était ensanglantée. Elle eut en premier un haut le cœur mais en voyant la souffrance qu'Harry avait au fond des yeux, elle eut pitié de lui. Mais elle ne pu aller vers lui, pétrifié à la vue de tout ce sang. Il était là, assis sur une chaise essayant de se calmer. Après un moment LilyP apparut.
-Est-ce que ça va ?
-Ca fait mal, mais j'attends un petit peu.
Elle s'agenouilla près de lui.
-Plus tu attendras, plus la douleur sera forte
-Je sais.
-Alors fais le.
Il prit sa baguette et dit plusieurs formules à la suite. En premier le sang qui était par terre ainsi que sur sa jambe s'estompa, en deuxième lieu, la blessure se cicatrisa et pour terminer, une énorme fumée noire s'éleva de sa jambe. La mère d'Harry posa sa main sur sa bouche, car celui-ci voulait hurler de douleur. Quand cela se termina, Harry pleurait silencieusement, sa mère lavait pris dans les bras et le berçait doucement en attendant que cela passe. C'est à peine qu'à quatre et demi du matin qu'il commença à aller vers le lit, malheureusement, la douleur était encore bien présente et il tomba à la première démarche. Sa mère vint vers lui et lui proposa son bras, même s'il ne pouvait sentir la chaleur de son bras, cela faisait comme un support et puis ne pouvant plus se retenir, LilyP prit Harry dans ses bras. Ce dernier fut étonné mais ne protesta pas, elle le coucha au près de Ginny qui était restée silencieuse.
-Fais attention, pour demain. Lui dit doucement sa mère
-Oui, c'est promis, mais là, je préférerais dormir car je n'en peux plus.
-Cela peut se comprendre.
Elle l'embrassa sur le front et partit rejoindre JamesP et Sirius.
Il se tourna vers Ginny et l'enserra pour la maintenir près de lui. Il lui caressa doucement les cheveux pendant un moment, puis sombra dans le sommeil. Ginny avait enlacé sa main avec celle de son amant et c'était rendormit presque en même temps que lui.

Le lendemain matin, Harry se fit réveiller par de tendre caresses ne venant bien sûr que de sa bien aimé.
-Mon chéri, il faut te lever, les cours commencent dans une heure.
Il lui sourit, il la regardait tendrement, elle s'était déjà habillée et elle était prête.
-Je t'ai emmené quelques toasts.
-Tu peux les laisser là, je te rejoindrais plus tard. Lui dit il en repensant a la cicatrice encore visible, pour le moment.
-Non, non, je reste avec toi.
-Mais c'est bon, je peux m'en sortir tout seul
-Tu dis ça parce que tu ne veux pas que je voie la cicatrice à ta jambe droite ou parce que tu ne veux pas que je te voie souffrir.
Harry ouvrit la bouche, stupéfait, comment, comment a-t-elle su ?
-Co…comment ?
-Je n'ai plus senti ta présence, alors je me suis réveillée.
-Sais tu pourquoi ? Demanda t'il sur un ton qui semblait dire « moi j'ai la réponse ».
-Mmmmmm, laisse moi réfléchir, cela ne viendrait il pas de mon pouvoir caché ?
-Exactement
-Peux tu me l'expliquer ?
-Le pouvoir que tu as en toi et qui c'est développer après notre nuit ; il la regarda intensément ; c'est un pouvoir qui est lié à moi. Tu pourras sentir ma présence, si tu la sens c'est bon, si tu la sens plus pose toi des questions. Il lui sourit puis continua.
Tu es aussi la seule à pouvoir me rejoindre à part Neville, car lui, il n'a pas besoin de la marque pour venir.
-Mais tu leurs avais dit pendant la réunion de l'A.D qu'il pourrons aller chez les autres s'il y a un problème.
-Oui, si je donne ma permission, sinon, aucun ne pourra ressentir la présence de l'autre.
-Mais alors …
-Oui, tu as compris, je leur ai donné la marque pour les mettre sous ma surveillance, il n'y aura que moi qui pourra ressentir s'ils sont en danger ou non.
-Tu es fou, s'exclama t'elle.
-Ca je le savais. Bon je vais prendre ma douche.
Mais au moment ou il se mit debout, il tomba en ce tenant la jambe droite.
-Attend, je vais t'aider.
Ginny alla vers lui et le hissa debout. Le sceptre apparu, et Harry, alla en boitant fortement, vers la salle de bain.
Pendant ce temps à la Grande Salle, ses amis discutaient de tout et de rien. Lorsqu'une chouette grise fendit l'air.
-C'est pas l'heure du courrier. Déclara JamesJ pendant qu'elle allait devant Luna.
-Non, tu as raison. Affirma Hermione
Luna lisait la lettre, lorsqu'elle eut fini, elle se tourna rapidement vers la table des Gryffondor et cherchait quelqu'un mais il n'y avait personne.
Un quart d'heure plus tard, Harry rentra la main dans la main avec Ginny, qui avait tenté de le tenir à l'écart de l'agitation de la Grande Salle mais elle avait échoué. Il avait toujours le sceptre dans la main droite pour s'empêcher de trop s'appuyer sur sa jambe encore endolorie. Luna se leva et pris Harry dans ses bras. Toutes les personnes ainsi que fantômes les regardaient sans comprendre.
-Merci, merci, lui disait elle en pleurant à moitié.
Seul Ginny savait puisqu'il lui avait raconté sa mésaventure. Il lâcha la main de Ginny pour entourer la taille de Luna.
-Aller, c'est fini.
Elle desserra son étreinte et l'embrassa sur la joue. Drago qui les regardait sentait un sentiment qu'il n'avait jamais ressenti. La jalousie.
-Merci, grâce à toi, il est toujours en vie, il ne me restait plus que lui, sans toi, il serait mort à l'heure qu'il est. Mais pourquoi mon père, il n'avait rien fait.
-Si, il a publié l'article.
-Et c'est pour ça !
-Oui, il n'est pas très intelligent ni très futé donc il fallait si attendre. Heureusement, qu'il avait accepté de recevoir la marque, sinon, je n'aurai pas pu le sauver.
-Merci, je c'est pas comment te remercier.
-Ne le fais pas, tu ai déjà de notre côté, donc c'est suffisant.
Elle lui sourit et l'embrassa à nouveau. Drago voulait se lever pour aller casser la figure d'Harry mais pas pour la même raison que ses gorilles.
Il s'assit à côté de ses amis. Les conversations reprirent mais elles avaient toutes le même sujet. Qu'est ce qui c'était passé.
-Harry, qu'est ce qui t'ai arrivé à ta jambe ? Demanda Ron
-Rien, rien, je me suis fais mal, ne t'inquiète pas, je serai d'attaque pour le match de mercredi.
Malheureusement, pendant les entraînements, Harry était moins rapide. Plus rapide que Malefoy, certes, mais pas à son maximum. A la fin du dernier entraînement qui avait eu lieu mardi soir, Ron vînt lui parler.
-Ecoute, je comprendrais que tu ne veuilles pas faire ce match demain, tu ne donnes pas le maximum de toi-même, ta jambe continue à te faire souffrir, je le vois. Je peux toujours te remplacer mais je ne veux pas te faire prendre de risques.
-Ron, ce soir je dois aller à l'infirmerie pour prendre ne potion qui m'enlèvera la douleur. Mentit Harry
-Alors tout est réglé, s'écria t'il joyeusement.
Et ils partirent tous les deux rejoindre leurs amis et femme respective.
Le lendemain Harry se leva en laissant les autres dormir encore un peu, il n'était que 8H du matin. Malheureusement, en mettant pied à terre, il avait encore mal et il culpabilisait en même temps. Il avait mentit à son meilleur ami. Alors il décida de feinter. Il prit une douche s'habilla et mit sa tenue de quidditch.
Il laissa un mot à Ginny pour qu'elle ne s'inquiète pas et partit vers la Grande Salle ou il gardait son sceptre. Même si personne, à par lui, ne savait que c'en était un, il le gardait avec lui. D'ailleurs il en avait besoin pour marcher. Arrivé dans la Grande Salle, il n'y avait presque personne, à part quelques professeurs. En le voyant arriver, Dumbledore se leva et alla vers lui.
-Harry je ne veux pas que tu fasse un match de quidditch dans cette état. Il pourrait t'arriver n'importe quoi.
-Ne t'inquiète pas, c'est juste une feinte. Il regarda autour de lui pour bien faire croire son stratagème. Nous faisons croire aux Serpentard que je suis toujours blesser et bonjour l'effet de surprise sur le terrain.
Dumbledore le cru et sourit.
-Excuse moi, je l'ai vraiment cru, tu joues très bien la comédie.
Harry sourit et alla manger avec sa culpabilité qui continuait à grandir. Lorsque Ron arriva et qu'il vit le sceptre, Harry le fit asseoir à ses côtés et lui parla de cette « ruse ».
Ron très joyeux de cette idée, accepta. Ses amis qui était venus entre temps le cru, sauf Neville et Ginny. Ils essayèrent de dire quelque chose mais à chaque fois Harry les coupait en parlant du match. JamesJ et LilyJ étaient aussi de la partie mais trouvait l'idée bizarre et farfelue.
Quand il fut l'heure d'y aller Ginny le prit dans un coin de la Grande Salle.
-A quoi joues tu ? Tu veux mourir ?
Harry l'embrassa tendrement et répondit :
-Non, je veux juste montrer à Voldemort que même avec des blessures telles que celle que j'ai en ce moment, je continuerais à vivre normalement.
Et il s'en alla.
Ron fit un rapide discours. Ginny regardait Harry avec inquiétude mais ne dit rien. Neville s'était placé à côté de JamesJ et il allait regarder le match et surtout, regarder Harry.
Toute l'équipe entra sur le terrain. Harry pas bête, si quand même, endormi sa jambe pour qu'il ne la sente pas pendant le match, il savait quand faisant cela, il ne pourrait se tenir s'il faisait un tonneau droit mais il prit le risque.
Les capitaines se serrèrent la main. Drago et Ron. Puis le match commença.
Harry faisait des rondes autour du terrain pour attraper le vif dés qu'il le pouvait comme ça le match serait terminé. Cela faisait plus de 20 minutes qu'il avait commencé. Les Gryffondor venait de 80 à 0. Le stade était fou de joie, surtout ceux qui étaient à ou pour Gryffondor. Puis il le vit. Le vif venait de passer devant lui il fonçait, Harry était tellement canalisé par le vif, qu'il ne vit que trop tard, les étincelles vertes allant directement sur lui. Par malheur, elles venaient du côté gauche. Harry fit une embarcation à droite et comme sa jambe ne répondait pas, il tomba de son balai, il était en train de faire une chute de plus de 45 mètres de haut, ce qui le conduisait à une mort certaine. C'était comme un film au ralenti. Harry tombait, les joueurs s'étaient arrêtés et le regardait tombé sans rien faire paralysés. Drago qui lui avait encore tous ses esprit venait d'apercevoir le vif quand un hurlement se fit entendre. Il regarda instinctivement vers le bas et il vit Harry tomber, sans même penser qu'il pouvait gagner le match, il fonçait déjà droit vers le sol. Il attrapa le poignet d'Harry d'extrême justesse. Il ne restait environ 5 mètres avant l'impact définitif. Harry le regarda, les yeux remplis de terreur et lui dit « merci ». Il siffla grâce à son autre main. L'éclair de feu alla vers et il se mit dessus en gardant sa jambe recourbée pour ne pas qu'elle bouge de trop. Le stade était silencieux puis tout le monde, tous les spectateurs à part les Serpentard, hurlèrent en même temps et dans une même voix : Merci Drago.
Harry eut un faible sourire et reparti à la conquête du vif encore sous le choc.
Maintenant Gryffondor venait 150 à 30. Ron avait laissé renter trois but d'affilé tellement il avait eu peur pour son meilleur ami, mais il repris bien vite ses esprit. Le match se termina avec la victoire des Gryffondor. Harry avait réussi à attraper le vif à quelques secondes de Malefoy.
Tous allèrent au vestiaire. Harry se laissa tomber et sortit sa baguette pour réveiller sa jambe. Qu'elle ne fut pas la douleur. Elle le transperça le long de la cuisse pour finir jusqu' à dans le pied. Il cria un peu, ce qui fit réagir Ron et Ginny immédiatement.
-Harry, ça va ? Demanda Ron, il y avait dans le ton de sa voix un peu de rancune.
-Harry, pourquoi as-tu rendormi ta jambe, tu sais que cela fait plus mal quand elle se réveille.
-J'ai fait ça pour lui prouver que je ne me laissais pas impressionner. Dit il d'une voix faible.
-Ron je t'expliquerais pourquoi Harry a voulu jouer même en ayant mal à la jambe. Il a une raison parfaite même s'il a faillit se faire tuer.
Ron hocha la tête et partit sous la douche. Harry regarda s'il n'y avait personne et commença à pleurer. Ginny le prit dans ses bras. Ron sortit en entendant les pleurs de son ami.
-J'ai tellement mal, je n'arrive pas à calmer la douleur.
Ginny le berçait doucement comme pour le calmer.
-Tu ne peux pas savoir à qu'elle point je m'en veut ; Ron se rapprochait, Harry ne pouvait le voir puisqu'il avait la tête contre la poitrine de Ginny ; j'ai menti à mon arrière grand père et à mon meilleur ami, ainsi que tous ceux qui me faisait confiance.
-Ils te le font toujours, répondit Ron.
Harry le regarda, Ron pouvait voir à travers ses yeux, la peine et la souffrance. Sans honte, il prit Harry dans ses bars et lui dit :
-Ne t'inquiète pas, on va trouver une solution mais d'abord promet moi de ne plus jamais me faire une peur pareil.
-C'est promis, il sourit, il avait retrouver son meilleur ami.
Il était l'heure du déjeuner, Harry boitait encore plus qu'avant, Harry avait été aller voir son arrière grand père pour s'excuser et lui expliquer le pourquoi du parce que.
Il était déjà installé quand Malefoy entra avec Goyle et Crabbe à ses côtés. Il était très amoché. Des ecchymoses un peu partout sur la peau visible. Harry sentait une colère qui dépassait facilement la douleur qu'il ressentait. Il déposa le ragoût qu'il avait pris et ce servi que de plat froid. Ses amis le regardèrent, seul Neville comprit et sourit.
Le reste de la journée se passa tranquillement. Ils étaient restés avec Harry dans la salle commune. Après avoir fini les devoirs qui s'entassaient un peu plus chaque jour, ils commencèrent à parler. Neville ramena la conversation sur ce qui s'était passé le soir où Harry eu cette cicatrice.
-Harry s'il te plaît, peux tu nous dire ce qu'il s'est réellement passé ? Demanda Hermione après que Neville lui ai posé des tas de questions.
-Ben voilà, il était à peu près 2H30, quand j'ai senti un picotement sur mon épaule droite alors j'ai voulu savoir qui était en danger et j'ai vu, grâce au sortilège de vision que le père de Luna s'était fait kidnapper. Alors j'y suis allé et j'ai capturé deux mangemorts qui ont étaient condamnés, il y a deux jours. C'est le premier mangemort qui m'a fait cette blessure. C'était des nouvelles recrues de Voldemort. Alors après les avoir envoyer au ministère, j'ai ramené le père de Luna chez lui et j'ai jeté un sort de protection sur la maison et je suis revenu en me téléportant.
-En te quoi ? Demandèrent tous ses amis à part Neville qui souriait
-En me téléportant. C'est ce que peuvent faire des sorciers qui ont atteint une puissance phénoménale qui peuvent se téléporter. C'est comme transplaner sauf que nous pouvons le faire n'importe où et n'importe quand.
-Cool, fut le seul mot prononcé par JamesJ
-Excusez moi j'a oublié quelque chose à la bibliothèque, dit Harry et il s'en alla en boitant.
Le soir arriva, Harry discutait avec ses amis et les discutions fusionnaient lorsque le professeur Dumbledore pris la parole.
-Mes chers élèves, j'ai une bien triste nouvelle à vous annoncer. Deux élèves se sont fait agresser.
Les élèves se regardaient apeurés.
-Il s'agit e Mr Goyle et de Mr Crabbe. Reprit le directeur.
Le changement de sentiment fut radical. Les ttes qui exprimait la peur avait été remplacé par une désinvolture. On entendait même « Bien fait pour eux, ils l'avaient chercher », ou, « dommage qu'ils soient encore en vie ».
-Bien, alors je voudrais savoir qui les a attaqué.
-C'est moi, professeur, Déclara Harry en se lavant tant bien que mal.
-Non c'est moi. Neville venait de se lever.
-Vous mentez tous les deux, c'est moi. Dit Luna
Puis cela continua jusqu'à ce que les trois tables soient debout. Le professeur Dumbledore ne savait plus quoi faire, alors il déclara simplement.
-Comme la seule façon de trouver le coupable, est illégale, alors les charges sont abandonnées. Mais je voudrais juste savoir une chose, pourquoi les avoir mis dans un tel état.
Neville regarda Harry qui souriait.
-Pourquoi professeur, dans quel état sont ils ? Demanda t'il avide de savoir
Le directeur sourit et répondit :
-Ils sont tous les deux à l'infirmerie, dans un grand état de choc, livide de peur.
Harry éclata de rire ainsi que les Serdaigle et les Poufsouffle.
-Voilà pourquoi, commença Luna, ils ont tabassé Malefoy car il avait sauvé Harry d'une mort certaine.
Tout le monde affirma et s'assit. Ils rigolèrent de l'état des deux « gorilles ». Harry jeta un œil à Malefoy qui le regardait. Harry lui lança un clin d'œil que Drago lui rendit en souriant.
-Harry pourquoi manges tu froid depuis midi ? Demanda Ginny en le voyant prendre de la salade de pommes de terre pour la troisième fois.
-Car, il existe un dicton moldu qui dit « La vengeance est un plat qui se mange froid ».