Voldemort, l'espion en herbe
On
était Mercredi, Harry se réveilla par la voix
d'Hermione qui lui disait de ce lever car les cours commençaient
dans une heure. Harry se leva mais trouva bizarre que Ginny soit
partie sans lui dire bonjour. Il alla rapidement prendre sa douche et
partit dans la salle commune. Ginny n'y était pas, mais d'un
seul coup le tableau bougea et Ginny entra. Harry alla vers mais la
regarda bizarrement. Ce n'était pas Ginny, cette personne en
avait l'apparence mais ce n'était pas elle. Bientôt
il fut rejoint par Ron et toute la bande. Celui-ci eu le même
réflexe qu'Harry et s'arrêta en dévisageant
sa sœur.
Harry la prit dans ses bras.
-Où étais
tu ? Tu n'étais pas dans la salle commune.
Hermione voulu
ajouter quelque chose mais Ron l'en empêcha en l'embrassant
tendrement. Neville et Lavande trouvait se comportement bizarre.
-Je
suis désolée, mais après être sortie de
mon dortoir, je suis allée à la bibliothèque,
finir mon devoir de métamorphose.
Neville, Lavande ainsi
qu'Hermione ne firent rien remarqué sur leur étonnement
et à leur suspicion. D'une première part, Ginny ne
dormait plus dans son dortoir, et son devoir de métamorphose,
elle l'avait fini hier avec Harry.
-D'accord ma chérie.
Il
la regarda dans les yeux et la fixa pendant plusieurs minutes. Puis
son visage s'assombrit et devint blanc.
-Oh non ! Pas là
! Il s'enfuit en courant à toute jambe.
Ginny étonnée
et suspicieuse, demanda :
-Mais qu'est ce qu'il lui arrive
?
Ce fut Ron qui répondit tout aussi blanc qu'Harry.
-Il
a du encore oublier un de ses devoirs dans la réserve, allez,
vous venez, je meurs de fin.
-Très bonne idée,
renchérit JamesJ
-Vous les garçons, vous ne pensez
qu'à manger, s'exclama LilyJ
Ginny ri d'un rire
plutôt glacial.
Cela faisait un peu plus d'une demi heure
qu'Harry était parti, quand il apparût aux grandes
portes, il souriait et avait les joues rouges.
-Alors ? Demanda
Ron d'un un empressement
-Mon devoir de potion est en sécurité
dans notre dortoir.
Ron souffla de soulagement avant que les deux
se mettent à rire. Les filles qui avaient rien comprit
haussèrent les épaules. Soudain elles firent au petit
bond de surprise ainsi que beaucoup d'autres élèves
que « Ginny » ne vit pas.
C'était Harry qui
communiquait avec eux, l'A.D, sauf les professeurs à part
Remus et Drago mais lui, il en avait l'habitude et fit comme si de
rien était, continuant à beurré ses toasts.
«
Bon, voilà, Ginny, n'est pas la vrai Ginny pour être
plus clair, c'est Tom, enfin, Voldemort, je ne sais pas comment il
a fait pour que ma cicatrice ne le perçoit pas mais bon, c'est
comme ça, il est sûrement là pour espionner donc,
plus de réunion après le club de duel. Mais faites
comme si c'était ma Ginny ; beaucoup sourirent après
cette remarque ; la vraie Ginny est en sécurité dans
mon dortoir un peu secoué car il l'avait enfermé à
nouveau dans la chambre des secrets que j'ai maintenant
officiellement détruit. Bon, tout ce que je vous demanderais,
c'est d'être naturelle et de lui donné de fausses
informations, ce sera notre première bataille et la seule où
nous allons nous amuser, fin de transmission »
Harry rouvrit
les yeux et regarda les élèves, certains hochèrent
la tête sans ce retourner. Et d'autres firent comme si rien
ne c'était passé.
LilyJ et JamesJ regardaient
Ginny avec étonnement mais sans crainte. Puis JamesP, LilyP et
Sirius apparurent.
-Tient, cela faisait longtemps que l'on ne
vous avez pas vu, lança Harry sur un ton qui n'était
pas le sien.
JamesP le regarda, puis regarda Ginny pour revenir à
son fils qui hocha la tête.
-Oui, c'est vrai, depuis que
Voldemort nous a repéré nous sommes plus beaucoup
descendu.
Sirius et LilyP le regardaient et voulurent dire quelque
chose mais Neville intervint en leur envoyant le même message
télépathique, qu'Harry avait leur avait transmis.
Remus sourit et failli commencer à rire en voyant Harry se
rapprocher de Ginny la prenant par la taille. Pour faire de la place
à ses parents ainsi qu'à son parrain. Celle-ci se
raidit, mais ne fit rien, tout le monde les regardait. Certains leur
adressèrent un bonjour poli, les autres pouffaient de rire car
GinnyV (Ginny Voldemort), tremblait. Harry l'attira plus contre
lui. Les conversations reprirent. Neville demandait des nouvelles
d'un haut, …
Un quart d'heure s'était passé
et Harry se leva pour aller en cours avec ses amis.
-Tu ne
m'accompagnes pas en cours ? Demanda GinnyV
-Tiens, c'est la
première fois que tu me le demandes, j'aurai bien voulu mais
je dois aller chercher mes affaires il s'approcha d'elle, et
l'enlaça tendrement. Elle ou plutôt il se recula un
peu de peur de se qu'allait faire Harry. Celui-ci souriait
intérieurement.
Ron et Neville commencèrent à
pouffer de rire. Drago, lui se contenta de redevenir comme
avant.
-Encore une série de pelotage, vivement que le
maître se débarrasse d'eux vous ne croyez pas ?
Demanda t'il à ses gorilles
-Tout à fait d'accord
avec toi. Répondirent ils en même temps.
Harry
approcha ses lèvres et ………………………………………….
L'embrassa sur le front.
-A tout à l'heure ma
chérie.
GinnyV complètement éberluée,
prit ses affaires et partit en courant. Dès qu'elle fut
assez loin, tous les élèves éclatèrent de
rire (sauf les Serpentard et Drago se retenait). Les professeurs à
part Remus, ne comprenaient rien à la situation.
JamesJ
s'approcha de Remus.
-J'ai hâte de voir la suite de
l'histoire.
Harry était rentré dans son
dortoir et alla vers son lit à baldaquin. Ouvrit les rideaux
et vit SA Ginny en train de pleurer silencieusement. Il la prit dans
les bras, la rassurant doucement.
-C'est fini, ma chérie,
c'est fini, je suis là, tout est arrangé.
Ron alla
près de sa sœur et lui caressa doucement ses cheveux.
-C'est
fini Ginny, Harry est là, il ne t'arrivera plus rien.
Elle
releva la tête, des larmes coulaient en abondance sur ses
joues, Harry entreprit de les sécher en l'embrassant. Ses
amis étaient autour d'eux et les regardaient en souriant.
JamesJ et LilyJ étaient dans les bras de l'un de l'autre
en pensant la même chose. « Notre fils est formidable ».
Neville sourit et dit :
-Pourquoi ne pas le lui dire ?
-Dire
quoi ?
-Que vous le trouvez formidable.
LilyJ se leva et
regarda Neville dans les yeux.
-Ne lis plus dans nos pensées.
Ses
yeux naturellement si tendres étaient menaçants.
-Oui,
Mme fit il en faisant la révérence.
-Il
m'énerve.
Pendant ce temps Harry embrassait tendrement
Ginny qui lui répondait.
-Tu es partit trop vite avant ;
dit elle les joues rouges.
-Ah ! Dirent les six autres
derrière.
-C'est pour ça que tu avais l'air si
heureux. Déclara Lavande
-Et que tu avais les joues comme
la couleur des cerises. Continua Hermione
Harry rougit et eu droit
à un dernier baiser avant de devoir aller ; en sprintant ; à
son cours de défense contre les forces du mal.
L'après
midi, tous les élèves avait exceptionnellement libre.
Les professeurs n'avaient pas donné de réponse. En
fait, ils enquêtaient sur le comportement bizarre des élèves
ainsi que Drago.
Nous pouvions voir GinnyV parler avec beaucoup
d'élèves mais elle n'était pas avec Harry.
Puis elle s'approcha du directeur.
-Bonjour professeur
-Bonjour
Ginny, belle journée n'est ce pas ?
-Oui, magnifique,
nous pouvons en profiter.
-Que veux tu savoir ?
-Comment savez
vous que …
-Cela fait des années et des années que
j'enseigne et dirige, alors ce n'est pas aujourd'hui que l'on
va m'apprendre quelque chose, sauf ton petit ami.
-Pourquoi
?
Cette fois ci c'est Remus qui coupa le directeur.
-Ginny tu
sais très bien de quoi nous parlons alors arrêtes ton
petit jeu et d'ailleurs, il y a quelqu'un qui se languit de
toi.
-Ah oui ! Qui ça ?
Deux bras passèrent
autour de sa taille et une bouche lui murmura à l'oreille
:
-Moi.
GinnyV se retourna et vis Harry qui lui souriait.
-Avec
les autres nous t'avons cherchée partout, où tu étais
?
-Je … Je …
-Elle est allée discuter avec tous ses
camarades. Répondit Remus
Harry sourit et resserra son
étreinte.
-Maintenant que tu as discuté avec tout le
monde, tu vas venir discuter avec nous.
-Mais … Enfin…
-Cette
discussion est stérile, aller vient.
Il lui prit la main et
l'emmena avec lui. Remus commença à pouffer de
rire.
-Mr Lupin, vous êtes au courant de quelque chose que
nous cherchons, déclara le professeur McGonagall, dites le
nous.
-Non, je n'ai pas le droit de vous le dire.
Et il
partit vers Harry.
Harry et ses amis, c'étaient assis
près du lac, Parvati et Luna les avaient rejoint ainsi que
Remus quelques instants plus tard.
Harry avait toujours GinnyV
dans les bras quand il grimaça.
-Qu'est ce qu'il y a ?
Demanda GinnyV
-Il faut que j'aille à l'infirmerie, la
potion anti-douleur que m'a donnée Mme Pomfresh est en train
de s'arrêter.
-Ce Voldemort tant fais toujours voir de
toutes les couleurs, soupira GinnyV
(Pensées) Ne
t'inquiète pas, ça va continuer jusqu'à ce
que tu souffles ton dernier soupir
Contre toute attente, Harry se
mit à éclater de rire.
-Qu'est ce qu'il y a de
drôle ? Demanda Ron qui lui était devenu légèrement
inquiet.
-Ginny, répondit Harry ; toujours en riant ; la
blessure que m'a fait Voldemort, cela fait longtemps qu'elle est
guérie. Cette cicatrice ; il montra la cicatrice que Voldemort
lui avait fait le jour où Harry avait sauvé le père
de Luna ; c'est Malefoy qui me la fait.
-Malefoy ?
-Le fils,
bien sûr. Lors d'un de nos duel qu'on s'était
fixé, malheureusement Hagrid est sorti de sa cabane et on a du
arrêter.
-Ouai, n'empêche que l'autre jour j'aurai
quand même pu le massacrer, déclara Ron
-Ron, tu
l'aurais tué si je n'étais pas intervenu.
-Et
alors, cela n'aurait pas été une grande perte.
-Oui,
tu as rai…… argggg !
-Harry ! S'inquiéta Neville
-Il
faut que j'aille à l'infirmerie.
Harry se leva, le
sceptre apparu et il marcha vers le château.
-Arrivé
à deux couloirs de l'infirmerie, Crabbe et Goyle
arrivèrent.
-Tient, tient, tient, mais n'est ce pas
Potter ? Déclara Goyle
-Non, c'est le canard boiteux,
reprit Crabbe
Tous les deux s'esclaffèrent de rire.
-Dégagez, je dois passer.
-Oui, bien sûr.
Crabbe
s'écarta pur laisser Harry passer. Celui-ci s'avança.
Goyle qui avait voulu taper dans le sceptre tomba par terre car il
avait disparu au moment où il allait shooter
dedans.
Malheureusement Harry du s'appuyer sur sa jambe et la
douleur était telle, qu'il ne pouvait la supporter.
Enervé
et souffrant, il expédia les deux chimpanzés à
l'opposé du couloir.
Le sceptre réapparut mais la
douleur était toujours présente.
Arrivé à
la fin du couloir, il se laissa tomber par terre ramenant sa jambe
vers lui puis essayer de calmer la douleur ; en vain.
La douleur
n'arrêtait pas d'augmenter d'intensité. A tel haut
point, que des larmes commencèrent à couler sur ses
joues.
Quelques instants plus tard une voix l'interpella.
-Harry
?
Harry releva la tête pour croiser le regard de glace de
Drago Malefoy.
-Drago, que fais tu ici, dégage avant qu'il
te voit.
-Mais non, aller vient, je dois moi aussi venir à
l'infirmerie, je vais t'aider à t'y rendre.
Drago
remit Harry debout, celui-ci passa un bras autour des ses épaules
et Drago, un bras autour de la taille d'Harry. Et ils allèrent
tous les deux à l'infirmerie pour leur traitement. Harry se
souvenait quand Rogue lui avait annoncé qu'il avait trouver
un moyen pour guérir cette cicatrice, mais il était
très douloureux et durait une semaine sans aucun changement et
lorsque la procédure est accomplie, la cicatrice sans va sans
laisser de trace.
Le soir arriva, Harry s'était rendu
plusieurs fois dans son dortoir et était ressorti toujours
plus rouge que la fois précédente. Ce que fit remarquer
JamesJ immédiatement pour le mettre en garde. Alors il resta
avec ses amis.
JamesP, LilyP et Sirius arrivèrent et
sourirent en voyant GinnyV dans les bars de leur fils unique.
Harry
parlait discutait puis sentit un sentiment d'ennui qui ne lui
appartenait pas. Il regarda GinnyV et s'aperçu que c'était
lui.
Il se pencha vers elle et lui souffla doucement mais assez
fort pour que ses amis l'entendent.
-Si tu es fatiguée,
vaut mieux que tu ailles te couche ou que nous allions nous coucher.
GinnyV se releva d'un bond.
Non, c'est bon, je dormirais
dans ma chambre et tu as raison il faut que j'aille me
coucher.
-D'accord, bonne nuit ma chérie.
Et sans
demander la permission, il posa ses lèvres sur celle de
GinnyV.
Tous les élèves les regardaient. Ce qui
étonna le plus c'est que GinnyV répondait avec fougue
et désir.
Lorsqu' Harry rompit le baiser, elle le regarda
sans savoir ce qu'il c'était passé puis elle 'il)
ouvrit de grands yeux puis partit en courant.
Harry restait sans
parler.
Au bout de quelques secondes LilyP voulu dire quelque
chose mais Harry l'en empêcha.
On entendit une porte
claquée violement.
Harry regarda vers les escalier venant
au dortoirs puis se leva et en courant le plus vie possible, il se
dirigea vers les toilette. La seule remarque que l'on pu entendre
avant qu'il ferme la porte était :
-C'est
dégoûtant.
Les élèves ainsi que les
Célestats étaient morts de rire. Cinq minutes après,
les professeurs entrèrent suivi de Remus l'air coupable et
humilié.
-Où est il ? Demanda glacialement le
professeur Dumbledore
Les élèves n'ayant jamais
entendu leur professeur parlé ainsi montrèrent à
peine les dortoirs des filles.
Juste après cette remarque
une Ginny apparu. Neville la regarda puis sourit.
-C'est bon,
c'est bien l'originale.
Mais quelque chose effaça son
sourire puis il mit Ginny invisible.
GinnyV apparu et avec un air
menaçant demanda pourquoi ils riaient.
Ce fut ce moment où
Harry décida de revenir des toilettes.
Il regarda GinnyV
puis une place vide où se trouvait la vraie Ginny. Il fit
plusieurs fois ce geste puis alla vers la place vide et mis ses bars
autour de quelque chose ou plutôt de quelqu'un d'invisible.
Il bougea un peu les lèvres et la vraie Ginny apparu sous les
yeux effarés de GinnyV.
-La prochaine fois que tu veux
essayer de m'espionner essaye d'abord quelque chose de moins
difficile. An revoir Tom.
Il lança une boule orange sur
Ginny - Voldemort et elle disparu.
-Harry, qu'est ce qui c'est
passer ? Demanda le professeur Dumbledore.
Je veux des
explications.
-Ce n'est pas que je n'est pas envie de tant
donner mais écoute, je viens de subir la pire chose qu'il pu
m'arriver dans la vie, pourrais avoir un peu de repos ?
Quand il
eut fini cette phrase, la salle commune des Gryffondor éclata
d'un rire unique mais communicatif mais si les professeurs n'en
savaient rien.
