Des cadeaux, pas toujours appréciés

Le merveilleux groupe après plus d'une heure et demi de spectacle, ce permit de prendre une pause. Severus avait la petite Sophie dans les bars. Elle refusait de le lâcher se qui faisait beaucoup rire le professeur Dumbledore. Pendant ce temps Harry avait pris à part son père et son oncle et leurs avait tiré les oreilles, au sens propre, pour que l'un pardonne à l'autre. Lily et Pétunia qui les observaient de l'autre côté de la salle se tenaient les côtes à force de rire. Cédric parlait à ses parents qui étaient fou de bonheur. Narcissa et Remus étaient inséparables jusqu'au moment où Drago vint les déranger pour avoir des réponses à ses questions. Nous y reviendrons plus tard. Le ministre de la Magie discutait avec Arthur, les jumeaux prévoyaient une farce pour quelqu'un de spécial, les habitants du village étaient fascinés par le manoir et la magie qui se dégageait des murs. JamesJ et LilyJ qui étaient partis où je ne sais où, revenaient de dehors Lily les yeux pétillants. Leurs doubles qui s'étaient remis ensemble après la remontrance d'Harry dirigée vers les hommes, étaient en train de danser la valse qui résonnait doucement dans la salle, d'ailleurs, si l'on regardait de plus près la piste de danse, nous pouvions apercevoir, sur l'étonnement de beaucoup d'élèves, le professeur de potion dansant avec la petite Sophie qui ne voulait toujours pas partir. Les parents à la petite demoiselle dansaient non loin de là dans les bras de l'un de l'autre, mais pas du tout à l'allure de la musique, sur un style plus lent, comme si ils n'entendaient pas la musique, nous pouvions conclure qu'ils étaient indifférents au monde réel. Vous saurez plus tard dans ce chapitre quel est ce phénomène.
Mais fermons cette parenthèse pour revenir à l'histoire.
Neville était en train de parler avec Hermione lorsqu'ils virent Ginny arriver, mais elle chavirait et risquait de tomber dans les pommes. Neville accourut aussitôt.
-Ginny, qu'est ce qui ce passe ?
-Je ne sais pas, je tourne et je ne me sens pas bien.
-Ginny as-tu bu de la bièraubeurre ?
-Oui, un petit verre, pourquoi ?
Neville lui examinait les pensées de Ginny mais il n'y arrivait pas, mais cela était plutôt normal, les pensées qu'il entendait étaient doubles.
(pensées de Ginny, pensées de Sophie)
Mais qu'est ce qui m'arrive, je n'arrive même plus à tenir debout
A quelle horreur, c'était quoi cette chose qu'elle a voulu partager
C'était juste un verre, je ne comprends pas, cela ne m'a jamais rendu malade
Il est hors de question qu'elle réessaye de boire quelque chose d'aussi abominable, il en ait absolument hors de question.
Neville était perplexe, il n'arrivait pas à saisir.
Puis Hermione le fit sortir de ces propres réflexions.
-Ginny, ne crois tu pas que c'est normal ?
-Pas vraiment, je n'étais jamais malade avant.
-Oui mais maintenant, quelque chose n'a-t-il pas changé ?
Ginny la regardait avec de grands yeux, pour enfin s'illuminer.
-Tu crois que c'est ça ?
-Oui, absolument
Hermione et Ginny se sourirent avant qu'Harry ne revienne.
-Ginny tu ne finis pas ton verre ; il lui tendait la bièraubeurre ; fini le.
-Ah non ! Il en ait hors de question. Elle prit le verre d'Harry et le sien et les posa sur la table. Je veux danser.
Harry sourit et la prit dans ses grands bras où elle aimait s'y réfugier quand cela n'allait pas.
-Alors allons danser.
Tout deux se dirigèrent vers la piste de danse vers un côté plus sombre.
Le temps passa, Ron dansait avec sa Mione, Neville avec Lavande, Drago toujours en train de parler avec Remus et une Narcissa rouge comme une pivoine. D'ailleurs Remus lui fit la remarque.
-Ma narcisse, les narcisse n'essaye pas de ressembler à des pivoine pourquoi es tu rouge comme cela ?
Pour seule réponse, Narcissa lui envoya un regard noir. Pendant que Remus et Drago éclataient de rire.
Mais ce rire s'estompa bien vite comme tout autre activité quand ils entendirent des cris, pas des cris de frayeurs ou de douleurs, non des cris de colères. Quand toutes les personnalités virent qui était le couple en désaccord, quelle n'était pas leur stupeur en découvrant que ce n'était autre que Harry et Ginny. Lorsque toutes personnes s'arrêtèrent de parler, nous pouvons comprendre les phrases dites.
-Je t'ai déjà dit que c'était non, combien de fois faudra t'il que je te le dise ? (Harry)
-Pourquoi ne leur dis tu pas ? (Ginny)
-Pourquoi faire ? Pour voir de la pitié ? Tu sais que je ne le veux pas, on en a déjà parlé.
-Et on en reparlera encore.
-Non, la discussion est clause
-Tu es lâche, trop lâche, pour en parler à tes amis. Mais à ma mère la tu peux, inquiéter les personnes ça tu peux.
Les quelques personnes qui regardaient Harry à ce moment comme Ron, Neville, Sirius ou James, pouvaient dire que Ginny allait beaucoup trop loin, les yeux d'Harry devenaient sombres et remplis de flammes dansantes.
-Il retient sa colère, souffla Sirius à James.
-Oui, mais la phrase qu'il va sortir ne va pas faire de bien.
Ginny continuait jusqu' à ce qu'elle voit les yeux d'Harry, elle s'arrêta de parler. Sophie regardait le couple puis ses parents. Eux souriaient. Katerina était choquée de l'attitude prise par Ginny puis regarda son mari qui lui souffla doucement à l'oreille.
-Alors qui pique facilement des crises ?
Elle lui lança un regard noir pour rediriger son regard sur le couple toujours muet.
Puis Harry reprit d'une voix calme mais froide et dure.
-Maintenant que tu as fini de dire de se que tu penses de moi, je vais juste te dire deux choses. La première étant que tu n'aurais jamais du savoir ce qu'elle contenait, ni qu'elle existait, la deuxième, en ayant entendu tes remarques me concernant, je te dirais que tu as fais un erreur en ayant accepté la bague de fiançailles, mais si cela peu te rassurer tu peux changer d'avis et partir, je ne te retiendrais pas.
C'est sur ces mots qu'Harry sorti en claquant une des portes allant à l'extérieur. Ginny après un moment ayant compris le sens des mots prononcés par son futur époux qu'elle n'était plus trop sûre d'avoir, elle éclata en sanglot et parti vers une des chambres situé à plusieurs étages au dessus, celle qui aurait du les réunir ensemble pour la nuit et même plus. Elle ne savait même plus si elle pouvait espérer un avenir avec son Harry maintenant, sa dignité refusait qu'elle aille faire des excuses, elle en oubliait la présence de Loïc et de Katerina avec leur petite fille qu'elle attendait. Par contre elle releva la tête des couvertures, son enfant, l'enfant d'Harry, que va-t-il devenir ? Quel sera son destin ? Elle ne l'avait même pas annoncé à Harry. Sur cette pensées, elle s'endormi tout en pleurant. Elle ne vit jamais la petite tête de Sophie dans l'embrasure de la porte.
En bas JamesP ainsi que Sirius étaient tous les deux ennuyer, James savait que son fils allait réagir comme ça, car il l'avait fait, la veille de son propre mariage, tout s'était arrangé, grâce à l'aide de Sirius et de Remus mais cela n'avait pas été facile.
LilyP regarda son époux, les larmes aux yeux. James la prit dans ses bras. Personnes n'osait parler alors tout le monde entendit se que disait JamesP se qui les rassurèrent un peu.
-Ne t'inquiète pas, tout va s'arranger, tu sais comment cela s'est déroulé avec nous pourquoi cela ne s'arrangerait pas pour eux ?
Tu ne crois pas ?
Lily releva la tête.
-Oui tu as raison, mais pourquoi, nous ne nous en souvenons pas ?
-Je ne sais pas, peut être que nous avons tout simplement oublié.
Les invités recommençaient à se détendre en se disant que tout irait mieux jusqu'à se que des pleurs se firent entendre.
Sophie venait d'entrer.
-Ma chérie, qu'est ce qui ne va pas ? Demanda sa mère
-Gi…Ginny est … est en pleurs … Elle … Elle … aime Harry … mais elle ne voulait pas … c'est pas sa faute …
-Mais calme toi, tout va s'arranger. Déclara son père en la prenant dans ses bras. Il faut que tu saches que dans chaque couple il faut des disputes.
- Non, … on n'est pas … pas obligé.
-Ecoute moi, Sophie.
Sa fille le regarda droit dans les yeux, espérant trouver une lueur d'espoir, ce quelle trouva.
-Les disputes servent à encore plus s'aimer, tu as vu comme ils étaient bien avant, quand ils dansaient ?
Sophie hocha la tête.
-Dis toi qu'après, se sera encore pire, son père souriait et Sophie reprit son sourire d'ange dont elle faisait craquer tout le monde.
-Imagine, qu'ils ne pourront plus se perdre de vu, que personne ne pourra leur parler.
Sophie rigolait mais une détonation, puis encore une autre se fit entendre.
Presque tout le monde se dirigea vers la fenêtre et se qu'ils virent laissa le résonnement de Loïc sur le bénéfice du doute. Harry transformait des pierres en assiette cette fois et les réduisait en miette en les catapultant en l'air et les brisant en lançant une boule feu, que son poing droit déjà en flamme lançait un peu partout sans brûler les fleurs ni quelconque malheureuse feuille.
Après un moment quelqu'un s'éclaircit la gorge. Ce n'était autre que Drago.
-Madame, mesdemoiselles et messieurs, je vous conseillerais de continuer de danser et de vous amuser, je sais que les récents événements nous le permettent pas mais il le faut, car si Harry vous voit entrain de l'épier à travers les vitres il risque de très mal le prendre.
A la fin de sa déclaration, toutes personnes se trouvant près d'une fenêtre partirent, ils firent tous semblant de s'amuser, mais bientôt le sentiment de malaise disparu chez certains mais pas tout le monde.
Sophie était cette fois ci dans les bras de sa grand-mère.
-Mamy Fleur de Lys ?
-Oui mon ange ?
-Tu crois qu'Harry et Ginny vont se remettre ensemble ?
-Mais bien sûr, que vas-tu t'imaginer ? Dit Lily en essayant de se convaincre elle-même.
Sophie sourit et posa sa tête contre l'épaule de sa grand-mère.
Personne n'avait remarqué la disparition de Loïc et de Katerina.
Ginny entendit que quelqu'un ouvrait la porte mais fit semblant de continuer de dormir.
-Ne fais pas semblant, je suis venue pour régler un point de cette histoire.
Ginny releva la tête, c'était Katerina.
-Que, que fais tu ici, dit elle d'une voix pleins de sanglots refoulés
-Je viens de le dire, elle souriait, bon, dit elle en s'asseyant sur le lit, Ginny, il faut que tu saches que dans chaque disputes que tu auras avec Harry, il y aura une part de faute de chaque côté.
-Mais non, moi je n'est fais que dire la vérité.
-Vraiment ? En ais tu sûre ?
Katerina fit juste un geste de la main, un écran apparu, il montrait tous ce que Ginny avait déclaré à son amour. Ginny tout en regardant l'écran ne cessait de répéter les mêmes mots.
-Ce n'est pas vrai, je n'ais pas pu dire cela !
-Alors, ce n'est que la vérité ?
-Non, la moitié est fausse, je ne le pensais pas et je lui ais quand même dites, sa réaction est normale, maintenant à cause de moi tout est fichu, adieu l'amour parfait sanglota t'elle dans les bras de Katerina qui soufflait s'exaspération.
-Ginny, ce que tu as dit n'est pas de ta faute, ce sont les sautes d'humeur.
-Les quoi ?
-Les sautes d'humeur, cela arriva chez les femmes attendant un enfant. Elle souriait
Ginny eu un petit sourire.
-Mais cela Harry ne peut pas le savoir, et il a réagit sous le coup de la colère, donc c'est en partie sa faute et …
Mais un bruit l'interrompit.
-Je crois que cela est pour toi, je te laisse.
Elle se dirigea vers la porte, l'ouvrit et …

Pendant ce temps, dehors, un Harry toujours dans une colère noire jetait des boules de feu sur les pauvres assiettes. Mais d'un coup, toutes assiettes et boules de feu disparurent. Harry se retourna pour faire fasse à Loïc. Celui-ci alla vers le banc lorsqu'il fut assis, il lui demanda gentiment :
-Viens t'asseoir, j'ai à te parler.
-Personne ne me donne d'ordre, répliqua t'il d'une voix rêche
Loïc fronça les sourcils puis claqua des doigts, Harry disparut pour réapparaître assis à côté de lui. Harry le regardait stupéfait.
-Sache que personne de me désobéit et ce n'es pas toi qui va commencer.
-Que me veux tu, continua Harry sur le même ton de l'autre fois.
-Te dire à quel point tu as été affreux avec ta future femme.
Harry le regarda avec incrédulité.
-Il faut que tu saches que ce ne sera pas ta dernière dispute, il y en aura d'autres, mais chaque couple en ont, mais ceux qui s'aiment avec passion. Il sourit à ces mots, Harry le suivit.
-Ginny a un caractère spécial en ce moment mais ce n'est pas de sa faute, tu le sauras plus tard ce soir. Mais revenons à cette phrase si douloureuse qui lui a brisé son cœur de femme, oui Ginny n'est plus une enfant ni une jeune fille mais une femme et c'est parce qu'elle ait avec toi, elle savait les risques que cela impliquait mais elle voulait être avec toi, regarde bien.
Il fit apparaître le même écran que sa femme et Harry put voir ou plus exactement entendre sa phrase car il refusait de voir sa Ginny. Lorsque l'écran disparut Harry était sous le choc, comment avait il pu être aussi odieux envers celle qu'il aimait. Comme si Loïc avait lu dans ses pensées, ce qui serait probable, il lui répondit :
-Tu as réagit sous le coût de la colère, maintenant tu sais ce qu'il te reste à faire.
Loïc n'avait pas besoin de redire sa phrase deux fois, Harry s'était téléporté juste devant la porte de sa chambre. Il toqua à la porte mais ce ne fut pas Ginny qui ouvrit mais Katerina, elle sourit et dit avant de partir :
-Je vous laisse tous les deux vous avez besoin de parler.
Sur ces mots Ginny tourna la tête et vit Harry au bas de la porte.
Harry rentra et la ferma. Il regarda partout sauf en direction de Ginny qui elle le regardait avec espoir, lorsque leurs yeux se rencontrèrent enfin, il céda.
-Ginny je suis désolé, je n'aurais jamais du te dire ça, je …
Mais il n'eut pas le temps de finir que Ginny lui sauta au cou et l'embrassa avec une passion débordante. Lorsqu'ils arrêtèrent, donc un bon moment après, Ginny prit la parole.
-Je n'aurais pas du dire ce que j'ai dit, rien était vrai, certains points quand même mais je ne voulais pas te blesser ou te mettre en colère.
-Je n'aurais qu'une seule condition pour que je te pardonne, dit tranquillement Harry
-Quoi ? Ginny n'était pas très contente à ce moment
-Que tu restes avec moi et que tu deviennes la future madame Potter.
Ginny rigola et l'embrassa à nouveau.
Dans la salle de bal, sauf les amis et la famille du couple s'inquiétaient. Seul Drago avait l'air assez content, Luna était dans ses bras et se faisait consoler par les caresses et les mots tendres que lui soufflait Drago, cela la soulageait et rendait Drago heureux. Toutefois un cri se fit entendre. C'était Harry qui criait contre les jumeaux et Ginny tentait de retirer l'amuse-gueule que tenait la tante Pétunia.
-Comment osez vous vous prendre à eux ? Vous savez quelle serait leur réaction.
Il reprit avec un sourire.
-Vous ne changerez jamais n'est ce pas ?
-Non, dirent ils en chœur
Harry rigola pendant que Ginny s'approchait de lui. Les invités les regardaient en attendant le coup fatal, mais il n'y eut jamais lieu. Ginny était dans les bras d'Harry et souriait à tout le monde. Personne ne disait rien mais ils étaient tous étonnés. Un léger « pop » résonna dans la salle silencieuse. Un lapin rose sautillait gentiment au milieu. Il était adorable.
-FRED, GEORGES, hurla Harry.
POP, Albus Dumbledore venait d'apparaître à la place du lapin.
-On a eu notre directeur, on a eu notre directeur, scandaient ils.
Pendant que tous les élèves regardaient leur directeur avec appréhension, mais le sentiment de gène disparut très vite pour être remplacé par des éclats de rire lorsque le directeur demanda :
-Je ne sais pas ce qui m'ais arrivé mais j'ai envie de carottes, pourriez vous m'expliquer ?
Lorsque les jumeaux eurent réussis à maîtriser leur fou rire et expliquer la situation antérieure le directeur les suivis quelques instants après. Un slow commença juste à l'instant, Harry était sur la piste avec Ginny et ils dansaient serré l'un contre l'autre. Personne n'osait demander comment ils s'étaient remis ensemble. Soudain un cri résonna, un cri d'effroi. Harry et Ginny n'étaient plus sur le sol, ils dansaient sur un nuage à environ deux mètres du sol. Albus Dumbledore se lança un sort d'amplification de voix.
-Venez, je vais vous expliquer ce qui ce passe.
-Professeur, moins fort, demanda Hermione, vous risquez de les déranger, dit elle en désignant Harry et Ginny toujours sur leur petit nuage.
Contre toute attente le directeur rigola. Toujours avec sa voix amplifiée il déclara :
-Non, je ne vais pas les déranger, il ne m'entende pas, de même que vous tous si vous hurleriez.
Tous les adultes et enfants s'étaient regroupés autour du professeur Dumbledore.
-Ce phénomène est appelé 'le nuage d'enivrance' ce nuage est fabriqué par l'un des deux, ici, c'est Harry, car il faut une grande puissance magique pour le créer. Et bien sur un amour sans limite. Chez les moldus, il y a un dicton envers les couples, quand ils sont ensemble, quand ils n'entendent pas se qu'o leur dit, qu'ils sont complètement déconnecté de la réalité. Nous disons souvent, ce n'ai pas la peine, laissons les, 'ils sont sur leur nuage'. Cet enchantement marche chez eux aussi sauf qu'ils ne sont pas en lévitation. Prenons Harry et Ginny, nous ne pourrons pas leur parler tant qu'ils seront en haut.
-Mais pourquoi cela se produit ? Demanda un adulte moldu.
Albus Dumbledore sourit un peu gêné, se qui étonna beaucoup de monde.
-Cela se produit quand les deux tourtereaux se désirent, qu'ils veuillent rester seuls, juste eux deux, personne qui les dérangent. Si vous préférez, c'est la volonté du cœur et de leur désir partager qui compte ici. Les deux seuls sorciers à être parvenu à le former étaient Merlin et Godric Gryffondor.
A la fin de sa déclaration il était rouge. Les élèves auraient rient si eux aussi n'étaient pas aussi rouge.
Cela faisait environ deux heures qu'Harry et Ginny étaient en l'air, « suspendu en l'air » comme dirait Ron. James et Sirius parlaient à Remus. Narcissa, elle, elle était en compagnie de ses deux meilleures amies avant que sa mère ne l'en empêche d'être en leurs compagnies.

-Alors Luny, j'ai vu que tu parlais avec Drago juste avant, qu'est ce que vous vous êtes dit ? Demanda Sirius
-Patmol, tu n'es qu'un curieux, s'exclama James
-Non, c'est bon James, et bien, en fait, il me racontait ce que disait sa mère sur moi.
Sirius et James le regardait incrédule.

Flash Back

-Professeur Lupin, maman, je peux vous parler ? Demanda Drago
-Oui, bien sûr mais appelles moi Remus, ici en tout cas. Il lui souriait.
Drago le lui rendit. Ils s'installèrent à une table et commencèrent à discuter.
-Remus, Drago se sentit gêné, je voudrais savoir quelques points pour voir si ma mère disait vrai.
-Tu savais que je sortais avec Narcissa ?
-Que tu es avec moi, rectifia Narcissa
-Oui, d'accord, il lui sourit, vas y je t'écoute.
-Tout d'abord, je vous connais en tant que Lunard ; Remus sourit ; en fait j'aimerai savoir si c'était vrai , que, c'était vous qui envoyez un bouquet de rose toutes les saints Valentin.
Narcissa tourna rapidement la tête vers Remus pour avoir confirmation.
-Si je répondrai non, je mentirai, donc oui, c'est bien moi.
-Tu n'as pas failli à ta promesse, déclara Narcissa avec une larme solitaire.
-Non, je te l'ai promis, il passa son pouce sur sa joue pour lui enlever toute trace de tristesse.
Drago souriait, sa mère était heureuse, c'était tout ce qui comptait à ce moment.
-Est ce que vous étiez ensemble jusqu'au point de … Drago rougissait à vu d'œil, comme sa mère.
-Non, nous nous sommes séparés avant, car je savais que ma narcisse n'était pas prête même si elle me disait le contraire ; Remus ne savait même pas qu'il employait son surnom, c'était comme une habitude ; mais je suis sûr que l'autre s'en moquait.
Drago comprit qu'il parlait de sa mère. Il la regarda, et il la vit baisser les yeux, Remus passa un bras protecteur autour d'elle en lui promettant que maintenant tout serai fini.
-Si cela peut vous rassurer, je peux vous jurer qu'elle vous aime ou plus exactement, qu'elle est toujours aussi folle de vous.
Sa mère rougit instantanément.
--Ma narcisse, les narcisse n'essaye pas de ressembler à des pivoine pourquoi es tu rouge comme cela ?
Narcissa le regarda en lui lançant le pire regard, pendant que son amant et son fils rigolaient. Elle sourit en constatant qu'ils s'entendaient bien, se qui la rendit plus heureuse qu'elle ne l'était déjà et ça elle le devait à Harry. Mais tout ceci se volatilisa car des cris se firent entendre.

Fin du Flash Back

-Et ben, tu as passer un bon interrogatoire, déclara Sirius.
-Il s'inquiète pour sa mère c'est normal, dit Remus en regardant Drago et Luna parler.

Lorsqu' Harry et Ginny décidèrent enfin de descendre, il était minuit pile. Harry prit la parole dès qu'ils touchèrent le sol, se qui fit sursauter plusieurs personnes.
-Il est minuit, le père noël à du passer, veuillez me suivre s'il vous plaît.
Il se déplaça vers le mur, quand il le toucha une entré se fit et dans la salle se trouvait des milliers de cadeaux.
-Allez y les cadeaux sont arriver, il n'a pas oublié de mettre de nom devant tout le monde pourra les trouver.
Tous les enfants se précipitèrent au pas de course car normalement le père noël passait la nuit et ils les recevaient que le matin, ils étaient tous fou de bonheur de les avoir plus tôt.
Lorsqu' Harry et ses amis entrèrent ils virent les adultes ainsi qu'enfants devant leurs cadeaux en train de déchirer le papier les entourant. Harry sourit à cette vue. Mais quand il arriva à la hauteur de son nom, il dut lever la tête vers le plafond.
-Je vais en avoir pour des heures, déclara t'il en observant sa pile de cadeaux.
Ses amis, eux, étaient morts de rire.
Trois heures du matin, Harry n'avait toujours pas fini, il décida d'abandonner et d'aller vers sa fiancée qui ouvrait son dernier cadeau. Elle eu un cri lorsque le contenu bougea, elle se leva et voulu aller près d'Harry lorsqu'elle se cogna à sa poitrine.
-Chéri, il y a quelque chose qui bouge à l'intérieur.
-Oui, c'est mon cadeau, ne t'inquiète pas.
Il s'assit près d'elle et près de se mystérieux paquet. Elle voulu le prendre quand il bougea à nouveau reculant sa main précipitamment. Mais qu'elle ne fut pas sa surprise quand un petit museau sortit pour renifler dehors. Ginny attendrit, enleva le couvercle et elle vit le plus adorable des petits chiots. C'était un chien couleur crème, il ressemblait à une petite boule de poil, se qui fit craquer Ginny. Elle le prit immédiatement dans ces bras.
Les personnes ayant entendu son cri, souriaient à présent.
-A t'il déjà un nom ? Demanda Ginny
-Oui, il s'appelle Sniffle
Plusieurs éclats de rire survinrent à leurs oreilles. Lorsqu'ils regardèrent ils purent constater que JamesP et LilyP était dans le lot mais pas Sirius qui était plutôt mécontent.
-Aller, Patmol, ne soit pas défaitiste, dis toi que cela te fera un nouvel ami, rigola Remus pendant que les deux James (le jeune et l'adulte) n'en pouvaient plus.
-Mais qu'est ce que c'est ? S'écria Drago
Un petit lézard courait sur tout le corps de se dernier.
-Oh mon dieu, mais c'est un Désamour, déclara sa mère
-Un quoi ?
-Un Désamour, c'est un demi lézard et demi serpent, la seule personne capable de te l'offrir et celle que ton cœur désir, et c'est lui qui vous conduira tous les deux vers votre amour, c'est la que vient son nom, dés, désir, amour, là pas besoin de te l'expliquer, elle souriait.
-Par Merlin c'est magnifique, Luna venait d'ouvrir un coffret où était enfermé un simple collier avec une marine en son centre.
-Hermione peux tu me l'accrocher. Dit elle encore sous le choc.
-Oui bien sûr.

Ginny le savait c'était maintenant ou jamais.
-Harry ?
-Oui !
-J'aimerai te parler, et t'offrir mon cadeau
-D'accord je viens.
Luna, Hermione et Lavande souriaient.
Lorsque le couple se retrouva dans un coin assez distant Ginny commença à se tordre les mains. Harry qui commença à s'inquiéter les prit dans les siennes.
-Ma douce, calme toi et dis moi ce qu'il ne va pas.
-Tout va très bien mais je dois te dire quelque chose d'important.
-Je t'écoute, il lui souriait tendrement.
-Il va falloir faire une nouvelle chambre près de la notre.
Harry la regardait sans comprendre.
-Nous avions préparé note chambre pour deux personnes mais …
Harry écoutait et ses yeux s'agrandirent de plus en plus au fur et à mesure de ses paroles.
-Il faut que nous l'arrangions pour trois.
-Com… Comment cela ? Dégluta Harry
-Te rappelles tu la nuit d'Halloween ? Notre amour a créé un petit être qui grandit en moi.
Un silence pesant s'installa autour d'eux, Harry comprit, il allait devenir père, ce moment était plus fort que tout, il était à lui et à Ginny, à eux seuls. Ginny qui ne supportait plus ce silence leva les yeux vers lui.
-Harry ? Demanda t'elle doucement
-Je t'aime.
Elle eut juste le temps de comprendre les mots qu'il venait de dire avant qu'un sentiment d'amour et de passion se propage dans tout le manoir. Les invités se retournèrent tous vers le couple qui s'embrassait sans vouloir s'arrêter.
-Mais qu'est ce que ce passe ? Demanda Ron
-Ginny vient d'avouer à Harry que tu vas devenir tonton Ronnie. Déclara Hermione en souriant.
Ron la regardait puis Ginny, pour revenir à Hermione. Il pensa que c'était le moment parfait.
-Donc toi tu seras tata Mione ?
Hermione le regarda et vit que ses yeux étaient dirigés vers ses mains, elle prit la boîte des mains de son petit ami pour y découvrir un bague de fiançailles, elle était en or avec un rubis.
Hermione qui ne savait que répondre à cette joie, à ce bonheur. Elle éclata en sanglot dans les bras de son fiancé.
-Est ce que tu le veux ?
-De quoi ?
-Est-ce que tu veux m'épouser quand tout sera terminer ?
-Oui, dit elle la voix déformée par les larmes.
Ron prit la bague et la glissa à son doigt. Tout le monde applaudit, même Harry et Ginny qui avaient enfin fini.
-Maintenant, il reste encore un bonheur a recréé, déclara Harry.
Harry se dirigea vers Albus, il lui tendit un morceau de papier et une fiole.
-Lis cette formule et fini là par Sarah et brise la fiole par terre.
Albus le regarda mais fit se qu'il voulait. Un vortex apparut et Harry sauta à l'intérieur.
-HARRY, hurla Ginny.
-Ne t'inquiète pas, il va ressortir.
Plusieurs minutes plus tard, une femme d'un certain âge y sorti, mais elle était magnifique, ces cheveux blanc neige émanait sa pureté, ses yeux étaient d'un bleu cristallin et son sourire aurait pu faire fondre n'importe quels récidivistes.
-Sarah, murmura Dumbledore.
Elle sourit, à ce moment Harry ressortit.
-Finite Incantatem
Le vortex disparu.
-C'était le paradis la dedans, déclara Harry
-Oui, mais j'étais seule, répondit une voix envoûtante, comme celles des sirènes
-Oui, c'est vrai, ce n'est pas une vie.
-Grand-mère ?
Beaucoup se retournèrent pour voir JamesJ mais cette fois avec sa véritable apparence.
-James ? Comment se fait il ?
-Grand-mère, il ne prit pas de répondre à sa question et sauta dans ses bras pour une énorme étreinte.
-James, tu sais quelqu'un ici, ne la pas depuis plus longtemps que toi. Déclara l'autre James.
James J s'écarta de sa grand-mère avec des larmes qui coulaient sur ses joues.
-Désolé, il s'essuya.
Sarah, regarda JamesP.
-Mon dieu, comme tu as grandi
James souri.
-Tu m'as manqué grand-mère
-Toi aussi, elle sourit
Puis elle se tourna vers Albus qui n'avait plus parlé, il faut dire que de revoir sa femme depuis tant d'années d'absence.
-Sarah, dit il d'une petite voix
-Albus, tu m'as tellement manqué.
Elle alla tranquillement dans ses bras, Albus la tenait comme si elle allait repartir et le laisser à nouveau, il ne voulait pas.
Mais cet instant fut troublé par quelqu'un qui tombe. C'était Harry.
-Il a utilisé trop de puissance et d'énergie pour me trouver, déclara Sarah, Ginny il a besoin de toi.
Ginny qui savait comment faire s'approcha et embrassa doucement ses lèvres, mais le désir commençait à nouveau à monter. Elle se retient en se disant qu'elle avait toute la nuit.
Elle se retira et Harry ouvrit les yeux la même lueur que celle de Ginny. Il lui sourit mais d'un sourire carnassier, elle répondit en rougissant. La famille Weasley était sous le choc.
-Tu vas mieux ? Demanda Sarah
-Oui, bien mieux et j'irai encore mieux, dit il tout e regardant Ginny.
Elle rigola, mais lorsqu'elle fut levée, deux bras l'entourèrent, c'était Albus.
-Tu ne partiras plus loin de moi.
-Non, plus jamais
Et c'est sur ces mots qu'il l'embrassa.
Plus tard, Harry leur expliqua pourquoi Sarah était dans cette dimension qui était appelé la dimension de la lumière.
Sarah travaillait sur la boule de lumière qu'Harry avait lancé à Voldemort, mais elle alla plus loin et sa magie devenait plus puissante, un jour, elle découvrit un sortilège mais ce même jour, elle fut attaquée par les adeptes de Grindelwald donc elle utilisa la formule qu'elle avait trouvée et elle se retrouva dans la dimension de la lumière. On peut qualifié cette dimension comme le paradis, il y a tout ce que l'on a besoin mais vivre une vie tout seul dans cette atmosphère douce et féerique, ce n'est pas drôle.
Albus et Sarah dansaient au son de la musique qui était douce et rassurante. Harry refusait catégoriquement que Ginny parte de ses bras.
-Harry, j'ai soif, et je voudrais aller me chercher mon jus de citrouille.
-Mais il n'y qu'à demander,
Il claqua des doigts et un verre de jus de citrouille apparût.
-Est-ce que cela te va ?
-Je voudrais danser.
-Tous tes désirs sont des ordres
-Je vais en prendre note, il lui sourit.
Quatre heures du matin, des trompettes retentirent. Tout le monde alla se coucher guidé par les elfes de maison mais il y avait un problème, il y avait un couple ou plutôt une famille en trop. Harry stoppa les derniers.
-Ecouter il y a un problème, il me faut une chambre de libre alors je voudrais savoir si Narcissa ne pourrait pas dormir avec Remus ce soir ?
Narcissa rougissante accepta de même que Remus qui était un peu plus enthousiaste.
Tous allèrent se coucher, en ayant la même penser, c'est un noël que l'on oubliera jamais.

Maintenant que tout le monde dormait, le manoir était plongé dans un silence complet. Mais dans une chambre une fille se réveilla en sursaut.
Luna se leva précipitamment et alla à la porte voisine qui était celle de Drago. Elle toqua timidement.
-Drago, demanda t'elle en larmes, Drago réveilles toi.
Elle n'eut pas besoin de faire plus, que la porte souffrir, Drago était torse nu mais Luna s'en fichait, elle alla dans ses bars et pleura toutes les larmes de son corps. Drago réagit immédiatement en l'entourant de ses bras et essaya de la calmer avec des mots tendres. Luna après un bon moment, reprit la parole.
-Ne vas pas avec eux, restes avec nous, nous sommes tes amis, eux ils te tueront, restes avec nous, restes avec moi.
Drago la regarda, il comprit, elle avait rêvé qu'il devenait un mangemort et que ses 'compagnons' le tuaient.
-Luna, Luna répéta t'il, regarde moi.
Mais elle refusait, donc il lui prit le menton et lui caressa la joue.
-Je suis avec toi et avec toi seule.
Ses lèvres caressèrent timidement celles de Luna pour devenir plus profond et plus passionnel. Après ce moment intense.
-Il faut que tu ailles voir Harry pour qu'il assure ta protection.
-Cela ait déjà fait.
-Quoi ?
Drago montra son épaule, et c'est qu'elle vit la marque, il l'avait, il resterait avec elle, pour toujours.
-Viens,
Il la t'ira dans sa chambre, ils laissèrent la porte entrebâillée et ils purent voir un Harry très en colère, il avait quelques marques qui laissaient à deviner ce qu'il avait fait cette nuit mais ses yeux étaient effrayants.
-Drago, qu'est ce qui ce passe ?
-Ce n'est qu'une hypothèse mais j'ai l'impression que Voldemort a reprit du service.
Il la prit dans ses bras et la logea dans son où ils s'endormirent dans les bras de l'autre.

Il était 12H, Ginny se réveilla, le sourire aux lèvres mais il disparu lorsqu'elle vit qu'Harry n'était plus à ses côtés, elle sortit de la chambre pour tombé sur la petite Sophie qui essayait de s'échapper de la chambre de ses parents. Elle se tapit près de sa porte lorsque Loïc sortit, torse nu lançant apparaître un phoenix tatoué à la place du coeur ainsi que le pendentif avec la tête de lion gravé dessus. Elle l'avait vu cette nuit et avait demandé des explications à son fiancé. Il lui avait expliqué, que c'était son héritage et qui le distinguait des autres. Elle n'avait pas très bien comprit mais elle savait qu'un jour il lui expliquerait mieux.
-Où tu vas chipie ? Demanda Loïc
-Je vais, je vais, je vais prendre un verre d'eau. Dit elle sur un ton peu convaincant.
-Oui et moi je suis la reine d'Angleterre.
Sophie fit une petite moue boudeuse.
-Dis moi alors tu as vu, tu as ta réponse à ta question ?
-Oui, bien sûr, elle sourit, tu m'as aimée dès le premier instant mais on peut rester encore un peu ?
-Oui, mais tu restes avec nous.
Elle se renfrogna mais ne dit rien alors que son père riait.
Ginny sourit, s'était sa famille, son futur mari et sa fille qu'elle portait, elle soupira de bonheur.
Elle descendit les marches pour arriver dans le petit salon, Harry regardait le feu, mais de ce feu, on entendait des voix, une voix glaciale, et des voix apeurées.
-Harry ?
Celui-ci éteignit tout de suite le jet de flamme et vit Ginny.
-Ma douce ? Mais que fais tu ici, tu n'es pas entrain de dormir ?
-Tu n'étais plus à côté de moi donc je ne peu plus.
Il sourit.
-Viens, dit il en lui offrant ses bras.
Il ne se fit pas prier et s'installa confortablement.
-Harry qui tu espionnais ?
-On rien d'important.
-Harry, dis moi la vérité.
Il soupira
-Voldemort à regagner ses pleins pouvoirs, il est revenu.
Ginny alla plus contre lui.
-Quel beau cadeau de noël, souffla Ginny
-Oui, comme on voit, tous les cadeaux ne sont pas toujours remplis de joie et de bonheur.
-Oui.
-Aller, dors, tout ira bien, je te le promet.
Sur ces mots ils s'endormirent tous les deux pour ce faire réveiller par des voix qui hurlaient.
-ATTAQUE DE MANGEMORTS.
Harry se réveilla en sursaut et jeta des sortilèges sur ses amis.
Maintenant ils étaient par terre attachés et bâillonnés.
Quand il vit la situation au lieu de rire comme ses parents et femmes, il les libéra et leur hurla dessus mais sa colère était elle, qu'il parlait dans une langue totalement inconnue, enfin inconnue, non, perdue oui. C'était la langue de Merlin, c'était avec celle là, qu'il travaillait ses sorts et métamorphoses. Quand il eut fini, il partit dans sa chambre essayant de se calmer.
-Mais qu'est ce qui lui prend ? Demanda Neville
Ginny le regarda froidement.
-Pour ton information et pour vous autres, Voldemort a récupéré tous ses pouvoirs, Harry étaient en train de les espionner quand je suis arrivée, et vous qui hurliez ça, je comprends sa réaction et ne peux qu'approuver.
Et elle partit laissant leurs amis complètement abasourdis.
-Ron, je crois qu'Harry à une mauvaise influence sur ta sœur. Déclara Neville.
-Je crois que c'est plutôt les hormones du à sa grossesse, reprit Molly Weasley en souriant.
-Comment le sais tu ? Demanda Ron
-Je penses avoir déjà eu assez de grossesse pour en voir une et à identifié les symptômes.
Il faut dire que l'enfant de Ginny était passée très bien même si sa mère et Lily les trouvaient trop jeune.
Le repas de midi finit, tous allèrent dehors admirer le jardin, Harry et Ginny n'était pas descendu, vers le soir, Quand ils firent leurs apparitions, James, Sirius, Remus, Narcissa et Lily étaient là, Cédric était repartit au grand malheur de ses parents. Mais quelque chose n'allait pas, Lily était normal, alors que James et Sirius étaient à nouveau Célestat. Harry fit passer quelques sorts par ci par là lorsqu'il déclara avec un teint pâle.
-Nous avons un petit problème. MERLIN, MERLIN.
Quand celui-ci arriva, il regarda Lily, sourit puis regarda Harry qui se mordait la lèvre.
-Qu'est ce que l'on fait ?
-C'est à elle de décider et de toute façon, tu as déjà cette manœuvre en route donc, où y a-t-il un problème ? Demanda Merlin.
Harry sourit.
-Tu es pire qu'Albus.
Il rigola.
-Est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer ce qui se passe, demanda James
-Mr et Mme Potter je vous félicite, dit il avec un grand sourire, vous allez avoir un enfant.
Les bouches s'ouvrèrent, mais que va-t-il se passer ? Comment un bébé peut naître alors que la mère qui le porte n'est autre qu'une morte vivante sous un sortilège ? Qu'est ce qui va se passer ? Quelle est cette manœuvre dont parlait Merlin ? Nous le saurons bientôt.