Titre : Amours au Japon (hmmmmm… Tentant, non ?… NON ?)

Auteurs : Mamie Séraphin, mamie Mahra (dites les perverses de Papy Duo et Papy Heero (comme témoins)…

Genre : Craquage de câble (pour changer)… Vous pouvez considérez ceci comme un requiem (c'était Mamie Mahra) ou un bel assemblage de conneries (c'était Mamie Séraphin)…

Nous tenons a préciser que nous n'utilisons que des substance issues de l'agriculture biologique pour écrire ceci (on peut être folle et avoir ses convictions, tout de même ! un esprit malsain dans un corps sain, telle est notre vedise… euh.. divese… euh… DEVISE, CONNASSE D'ANGE À LA NOIX ! (c'était Mamie Mahra… Toujours à râler, celle-là ! Je vous jure, c'est pas une sinécure de la supporter comme colocataire !).

Origine : UA de Gundam Wing.

Disclaimer : ils ne sont pas à moi… etc…

Cette fic, nous tenons à vous en prévenir immédiatement, est dans la lignée des « sept commandements du sexe » écrit précédemment par Mamie Séraphin (disponible dans tous les bons points de vente)…

Donc, personnes dépourvues de sens de l'humour graveleux, s'abstenir. Si vous êtes étudiant (ou futur étudiant, bien sûr) en médecine, ceci est un aperçu de la mentalité carrabine…

Résumé : Si vous avez aimé les « 7 commandements du sexe », à que j'ai encore beaucoup craqué, moi ! Mais cette fois-ci, mamie Mahra m'accompagne dans cette aventure. Plongez au cœur d'une UA dont vous ne ressortirez pas indemne (nous ne payons pas les frais de teinturerie…) : Pour ses deux petits frères, Quatre et Trowa, Duo a toujours voulu être une seconde mère… (ça commence bien). Mais voilà, Heero s'en mêle et le fragile équilibre familial est menacé… Suspensssssssssssss !

Amours au Japon

Chapitre 1 : Départ.

Duo Maxwell, le cœur gros, fit une dernière fois le tour de l'appartement parisien qu'il occupait depuis bientôt trois ans avec ses deux petits demi-frères (il leur manquait les jambes ! lol… Bon, je sais, ce n'est pas drôle, mais ça nous a fait rire de l'écrire… et aussi de le relire, d'ailleurs).

Durant tout ce temps-là, ils n'avaient pas revu leur père. En effet, Georges Maxwell (qui se faisait appeler G par ses proches) était de ces hommes qui aiment à se faire passer pour des aventuriers en étant toujours par monts et par vaux (même si c'est en fait pour échouer, en définitive, dans un bar miteux à l'autre bout du monde, coincé entre deux prostitué(e)s). Il ne se souciait guère d'être présent pour soutenir sa famille dans les moments difficiles et, d'ailleurs, en général, n'était même pas au courant de ce qui arrivait aux siens…

Lorsque, dix ans plus tôt, la mère de Duo était morte, il se trouvait en Amérique du sud. Il était revenu rapidement pour enterrer sa femme et liquider sa succession. De nouveau, il s'était évanoui dans la nature. Et Duo, alors âgé de dix ans, s'était retrouvé pensionnaire dans un lycée religieux qu'il avait en horreur (particulièrement à cause de la sœur Marie-Une, la cuisinière en chef de l'établissement, à l'expression de gobie mort, qui voulait absolument le forcer à manger sa nourriture infâme).

À peine deux ans plus tard, Monsieur Maxwell avait cru bon — et, selon son fils, il s'était trompé — de réapparaître en France, ramenant dans ses bagages sa deuxième femme, une jeune japonaise (et pas un jeune japonais travesti ainsi que le pensa de prime abord Duo, en toute innocence, lorsqu'il la rencontra… Ce dernier en eut la preuve concrète et définitive lorsque sa belle-mère tomba enceinte).

Hikari était, comme le disait le jeune garçon à ses amis, bien brave. Grâce à elle, il avait même pu quitter sœur Marie-Une (qui garda un souvenir ému de Duo suite à la découverte dans son lit d'un nid de cafards accompagné d'un mot éloquent de la main du petit garnement).

Hikari avait pris l'adolescent sous son aile et, bien qu'il se plaignit parfois de l'odeur, il lui en était reconnaissant. En fait, mis à part quelques inconvénients en rapport avec la pilosité exubérante de cette japonaise, il ne s'entendait pas trop mal avec elle…

Hikari parlait un excellent anglais (ce qui ne servait absolument à rien en France, comme le lui faisait souvent remarquer son beau-fils). Elle se faisait comprendre par gestes, au début, puis, non sans difficulté, elle apprit le français.

La vie était bien triste pour cette femme dont le mari était souvent, d'après plusieurs sources de toute confiance, dans les bras de jeunes conquêtes et qui n'osait pas enfreindre les lois sacrés du mariage… (Sauf, bien sûr avec le facteur, mais, cela, tout le monde le fait, alors ça ne comptait pas vraiment…).

Duo s'était rendu compte qu'elle aurait eu la vie plus facile chez elle, au Japon. Toujours souriante, pourtant, Hikari ne se plaignait (presque) jamais. (En réalité, lorsqu'elle commençait à pleurnicher et à renifler, son beau-fils, toujours plein d'à propos, avait pris l'habitude de s'enfoncer des boules Quiès dans les oreilles et de hocher la tête à intervalles réguliers, ce qui semblait suffire à la contenter).

Pendant les cinq ans et demi qu'avait durés leur union, la jeune Japonaise avait donné un petit garçon à son mari et un autre à son facteur…

Duo était pour eux le plus gentil des demi-frères (et des riens-du-tout élevés ensemble, pour le second). Quand Hikari était morte, peu après la naissance du deuxième, en se noyant dans sa soupe (« eh oui ! Ça n'arrive pas qu'aux autres, ma petite demoiselle ! », ainsi que le fit judicieusement remarquer la concierge lorsqu'elle appris la nouvelle à Duo alors qu'il revenait des courses, ne l'ayant pas reconnu). Le jeune homme avait été effondré (et la remarque de la concierge n'avait rien arrangé) : il avait complètement oublié de la forcer à le coucher sur son testament et à déshériter tous les autres…

Cette disparition avait été d'ailleurs beaucoup plus cruelle pour lui que pour G (puisque lui, au moins, gardait la dot).

Celui-ci était revenu enterrer sa femme et consoler son fils avec une certaine désinvolture, sans manifester beaucoup de chagrin (je cite : « Bof ! C'était une pute ! Pas la peine de faire cette tronche ! De toute façon avec ta gueule d'homosexuel enfariné, tu devais même pas te la taper alors fais pas semblant de chialer, bourricot ! »).

Le lendemain, il était reparti, le cœur léger et le sourire aux lèvres, ne se rappelant même plus, après une bonne cuite au bar du Trocadéro, pourquoi il avait eu l'étrange idée de revenir voir la face déplaisante de ses rejetons. Il laissait donc ses deux fils (enfin, plutôt son fils et celui du facteur qu'il avait quand même reconnu après avoir tabassé son géniteur et l'avoir sodomisé pour faire bonne mesure) à la garde de leur frère qui venait de fêter ses dix-sept ans.

Duo avait dû se débrouiller comme il avait pu pour trouver un appartement avec le peu d'argent que leur père avait oublié de leur voler. Il apprit plus tard que G s'était envolé pour l'île d'Oz, au large du Japon, mère patrie de sa seconde femme. Il y avait des intérêts dans une compagnie d'exploitation de gundanium appartenant à la famille d'Hikari et qu'elle lui avait apporté en dot (c'était d'ailleurs la raison pour laquelle il avait accepté de l'épouser, malgré sa fourrure de yéti et son odeur de phoque faisandé).

Depuis, ni Duo, ni ses petits frères ne l'avaient revu. Étant donné l'agréable caractère de G, ils ne s'en portaient pas plus mal. Mais Duo avait toujours espéré qu'il s'intéresserait un peu plus à ses fils qu'à lui-même et qu'il leur fournirait un peu d'argent pour les aider à vivre. En effet, G lui avait fait savoir, lors de son bref séjour, qu'il était inférieur aux hommes car il l'avait toujours considéré comme une fille. D'ailleurs, et Duo allait devoir bientôt en subir les conséquences, il était même allé jusqu'à modifier l'état civil de son fils (euh…fille) et l'avait ensuite présenté à la famille d'Hikari sous le prénom de Duoline, nom qui figurait aussi sur sa nouvelle carte d'identité.

Trois semaines plus tôt était arrivée une lettre d'aspect officielle leur apprenant la mort de G (quelle hécatombe ! À ce rythme, la fic va être vite bouclée).

G, en pleine étude des éléphants et de leur anatomie, avait malencontreusement glissé sur l'une des crottes du fameux pachyderme qu'il était en train d'escalader et s'était, en tombant, coincé la tête dans le pot d'échappement du majestueux animal…

N'étant pas parvenu à l'extraire à temps (principalement parce qu'ils étaient secoués par un inextinguible fou rire), ses collègues l'avaient vu s'étouffer de fort méchante façon…

La lettre, peu avare en détails choisis, était signée Heero Yuy (roulement de tambour… Vous avez vu cette putain d'introduction que nous lui avons faite, au Hee-chan ! Respect, brothers…).

Duo n'avait guère pleuré son père (contrairement à ce que d'aucuns crurent en voyant ses yeux rouges et gonflés à la suite de la réception de cette missive et qui ignoraient que c'était en fait la conséquence d'un fou rire… cruel enfant !).

G était resté pour lui le pauvre crétin d'antan qui l'avait ridiculisé en le forçant à se faire passer pour une fille à chaque fois qu'il devait faire une démarche officielle.

Quant aux deux autres garçons, ils ne se souvenaient même plus de leur père et, d'après Duo et comme il ne se priva pas de le leur faire savoir, cela valait mieux pour eux.

Le jeune homme n'avait pas pu se rendre aux obsèques de G. Celles-ci avaient eu lieu très vite après l'accident (l'odeur avait empêché une veille mortuaire). Impossible de trouver assez rapidement quelqu'un pour s'occuper des enfants en son absence (c'était, du moins, l'excuse officielle qu'il avait servi sans remords. Officieusement, ainsi qu'il le confia à ses amis, il s'était déjà fêlé deux côtes à force de rigoler lorsqu'il avait reçu la lettre alors il préférait ne pas se retrouver devant la dépouille de son défunt pater familias, de peur de faire mauvaise impression…).

Peu après, il avait reçu une seconde lettre des plus protocolaires, également de la main de Heero Yuy (le revoilà), lui expliquant la raison de cette cérémonie précipitée. L'expéditeur, après quelques nouvelles lignes consacrées avec une certaine délectation à la description de la fatale insuffisance respiratoire de G, avait enchaîné avec un certain brio sur les insuffisances paternelles de ce dernier (comme il se doit).

Ce Heero Yuy était en fait le frère d'Hikari. Cela, Duo le savait grâce à la jeune femme qui n'arrêtait pas de lui raconter sa vie au Japon alors qu'il ne savait même pas, bien qu'il ne le lui eût avoué pour rien au monde, avant qu'elle ne lui en parle, que ce pays existait… Il savait aussi, par une des rares lettres de son père, reçues peu après la mort d'Hikari, que cet oncle si charmant avait émis le désir de s'occuper de ses neveux. Étant le chef de famille, il estimait de son devoir de recueillir les orphelins (aaaaaaahhhhhhh ! Jouissansce suprême…. Le mââââââââââââle absoluuuuuuu — après Walter de Shesbury, bien sûr — vient de rentrer dans l'arène).

À cette époque-là, G avait refusé l'offre de Heero, ne tenant probablement pas à voir sa famille se rapprocher de son lieu de travail. De son côté, Duo fut infiniment soulagé de garder les deux petits à sa charge, car, s'il détestait cordialement son père et qu'Hikari lui avait bien pris la tête, il adorait Trowa et Quatre, ses « petits bouts de chou », comme il aimait à les appeler…

Mais G avait dû réfléchir par la suite (il aurait dû s'abstenir d'une tentative si incongrue de sa part et vouée à un échec certain) et se rendre compte qu'il était un peu léger de sa part d'abandonner ses deux fils à leur demi-frère, encore si jeune.

Quinze jours auparavant, Duo avait reçu une lettre d'un homme de loi.

Celle-ci l'informait que G avait exprimé le désir de voir Trowa et Quatre confiés à leur oncle si, par malheur, (enfin, c'était, bien sûr, une question de point de vue) il venait à disparaître…

Quel choc pour Duo d'apprendre avec cette brutalité qu'on allait lui arracher les petits frères auxquels il s'était consacré avec tant d'amour depuis la mort d'Hikari !

Les yeux emplis de larmes, il relut un nombre incalculable de fois les lignes sèches, incapable de réagir d'une autre manière face à une si atroce nouvelle.

Il n'avait pas encore eu le courage d'annoncer aux garçons qu'ils allaient vivre dans un pays étranger chez un oncle inconnu et qu'ils ne le reverraient probablement plus. Lui-même n'arrivait pas à y croire et ne pouvait s'habituer à cette idée.

Il était entendu que Duo devait les accompagner jusqu'à Tokyo, où leur oncle viendrait les chercher. Il s'agirait, pendant le voyage, de leur expliquer ce qui les attendait là-bas.

Quelle allait être la réaction du petit Quatre en comprenant qu'il ne reverrait plus sa chère Duette, ainsi qu'il nommait affectueusement son grand frère-sœur (il n'avait jamais compris) ? Duo, pour lui, c'était sa mère. Il n'en avait jamais connu d'autres (mais non, il ne lui avait pas donné le sein, bande de pervers !).

À trois ans et demi, c'était encore un bébé, toujours fourré dans ses pantalons (ou jupes, à l'occasion des visites de l'assistante sociale). En dépit de ses cinq ans, Trowa, lui, était encore bien petit pour affronter un pareil changement mais, lui, avait au moins compris que Duo était une fille...

Comment allaient-ils réagir tous les deux en apprenant qu'il repartirait à Londres sans eux, les laissant au milieu d'étrangers ?

On fit de grands adieux à l'employée de maison imaginaire, Madame J. Affreusement émue, la brave femme imaginaire avait essuyé une larme (imaginaire, elle aussi, bien sûr) en embrassant les deux petits garçons et avait hoché tristement la tête en regardant Duo à travers ses lunettes imaginaires.

Pour l'instant, les deux gamins étaient ravis à l'idée de ce voyage dont ils ne connaissaient pas encore la raison. Au milieu des bagages amoncelés dans le salon, ils bavardaient comme des pies en attendant le taxi. Duo s'était déjà arraché la totalité du fin duvet qui poussait au-dessus de sa lèvre supérieure, en se retenant de leur faire bouffer les valises.

Assis dans un fauteuil, le jeune garçon faisait de son mieux pour leur cacher ses sentiments, mais son visage devenait de plus en plus cramoisi au fur et à mesure que le temps avançait…

Sous une apparence de fragilité, il cachait heureusement une très grande énergie et beaucoup de dynamisme. Les jeunes gens avec lesquels il sortait ne s'y trompaient pas. Il était très courtisé… Mais, jusqu'ici, qu'ils soient hommes ou femmes, son cœur n'avait jamais battu pour aucun de ses soupirants (ouh, c'est mignon… Un peu de douceur dans ce monde de brutes).

Il avait un visage infiniment plaisant auréolé d'épais cheveux châtain aux reflets dorés qu'il ramenait en une longue tresse qui tombait avec grâce dans son dos. On ne pouvait pas ne pas être séduit par ses immenses yeux améthyste bordés de longs cils noirs, par son petit nez un rien impertinent et sa belle bouche aux lèvres pleines qui invitaient aux baisers… (ou aux claques, d'après son père, lorsqu'il l'ouvrait un peu trop…).

Il faisait chaud ce jour-là. Étant obligé de se faire passer pour une fille de peur de se faire refuser l'accès à l'île d'Oz, il avait mis une légère robe de coton vert pâle qui lui donnait un air de petite fille assez attendrissant. En pensant à ce qui les attendait, il poussa un soupir involontaire. Par bonheur, les petits ne s'en aperçurent pas (malgré la grosse glaire qui voltigea par dessus leur tête et alla s'écraser avec un bruit mat sur la figure de leur voisine (pas imaginaire, celle-là, malheureusement pour elle)). Il réussit même à sourire à Quatre lorsque celui-ci vint s'appuyer sur ses genoux, ses grands yeux bleus brillant de malice alors que la voisine, outrée par une telle conduite de la part d'une si jolie et frêle jeune fille (peut-être n'aurait-elle pas dû lui dire qu'il était certain que l'on ne pouvait pas la confondre avec un garçon, vêtue de cette jolie robe), quittait la pièce, la mine hautaine.

« PROUT ! » argumenta Duo, en pensant à Heero, avec cette délicatesse qui le caractérisait.

Physiquement, Quatre ressemblait beaucoup à sa mère et il fronça son petit nez avant de menacer son grand frère de son minuscule index.

— Duette ! Tu te rends compte que tu es en train de flinguer la couche d'ozone en émettant une telle dose de méthane !

— Ta gueule, petit surdoué de merde ! Je pète quand je veux !

Et il ponctua cette affirmation de l'un de ses plus fameux dégazages.

— Aaaaaaahhhhh… Je crois que je suis fin prêt pour ma rencontre avec ce brave Heero… Hin ! Hin ! Hin ! Ça doit être un vieux schnock décrépit… Il en crèvera, avec un peu de chance et on sera riche.

Duo prit Quatre dans ses bras pour le consoler. Sans doute, pensa-t-il lorsque l'enfant eut retrouvé le sourire en même temps que la totalité de ses capacités respiratoires, Quatre s'adapterait-il facilement au Japon (je serais bien incapable d'expliquer pourquoi il songea à cela en cet instant, je ne fais que retranscrire la vérité…).

Trowa, lui, était un peu moins mat de peau que Quatre et d'un tempérament plus réservé. On pouvait espérer que leur futur tuteur se laisserait attendrir par eux en dépit de l'impression de raideur dégagée par ses brèves missives.

Pendant quelques secondes, il se demanda avec angoisse si Quatre allait recommencer à lui poser des questions embarrassantes (comme, par exemple, la taille du zibouiboui des filles…).

À cet instant précis, retentit par bonheur la sonnette de l'entrée. « Ouf ! Le taxi ! », pensa Duo, soulagé et honteux de se sentir aussi lâche de ne pas oser avouer que les femmes — les pauvres malheureuses — n'étaient pas équipées en série d'un zibouiboui.

C'était reculer pour mieux sauter. Il le savait bien. Mais il espérait qu'un miracle se produirait au dernier moment (que Heero meure subitement en léguant toute sa fortune à ses neveux, par exemple… ce qui occuperait les esprits pendant un certain temps et lui éviterait d'avoir à s'étendre sur ce genre de sujets)…

Voulez-vous connaître la suite ?

Non ?

Il y aura du cul !

Aaaaaahhhhh… Je savais que nous finirions pas nous entendre…

Le couple Heero-Duo(line) arrive…