Hello tout le monde ! Alors comment ça va ? je vous met en ligne le chapitre 14 aujourd''hui. J'éspère qu'elle va beaucoup vous plaire, c'est un chapitre très important à mes yeux. Je dois vous avouez que c'est l'un de ceux que je préfère pour l'instant (bien que le 16 me plaise aussi beaucoup, il faut bien l'avouer).

Je tiens à remercier ceux qui m'on envpyé des reviews, Stephanie, Hermignonne-1133, lou biloute, lilouthephoenixx et surtout mm w.malfoy qui m'a laissé une review pour chaque chapitre qu'elle (il me s'emble bien qu'il s'agit d'un "elle", désolée si je me trompe) a lu.

Je vous fais à tous des gros bisous, et vous donne rendez vous disons ... dans 15 jours pour le chapitre 15 (mais si j'ai une semaine de retard, ne m'en voulez pas trop quand même !). Je vous promet que je vais esssayer de garder mes délais. Au jour d'aujourd'hui je suis en train de rédiger le chapitre 17, qui es, je pense, le chapitre vital de la fic. Il sera plus long que les autres, sauf si je le dédouble, j'ai déja du en écrire environ 10 pages sous word, mais pas adapté web, c'est à dire que tout est collé, il n'y a pas d'espaces entre les lignes de textes (je sais pas trop si vous voyez ce que je veux dire, mais si c'est pas le cas, c'est pas tros grave, c'est juste pour vous dire qu'il est déja assez long). J'ai même pour ce chapitre rédigé un annexe (vous verrez en temps voulu de quoi je veux parler...même si j'ai beaucoup de mal à tenir ma langue !!!)

Je pense que cette fic fera 20 chapitre...je vois par rapport ou j'en suis et je pense qu'elle ne dépassera pas ce nombre (21 si je dédouble le chapitre 17). Donc vous voyez, on approche de la fin !

Bon aller, je vous laisse ! Gros bisous , Cris...


Chapitre 14 : Conte de fée

Le vendredi soir des vacances donc, Hermione se retrouva comme à l'accoutumer seule dans la salle des préfets en chef. Harry et Ginny étaient dans le parc en train de faire une balade romantique à ce qu'avait entendue dire Hermione. Draco faisait une dernière ronde dans le château pour vérifier que tout était en ordre, quand à Ron, il passait un peu de temps avec Luna dont il semblait être un peu plus proche, amicalement du moins, depuis quelques semaines. Il s'avérait quelle avait des opinions sur le quidditch très intéressante et qu'elle était plutôt une bonne joueuse d'échecs, ce qui n'était pas pour déplaire à Ron.

Hermione prenait donc un peu de bon temps seule, à lire un livre, pour le plaisir, affalée dans un confortable canapé de la salle, devant le feu. Mais au bout de quelques dizaines de minutes elle n'arrivait plus à se concentrer sur le livre. Son esprit revenait sans cesse sur sa relation avec Draco.

Ils sortaient ensemble depuis trois mois et demis et Hermione se demandait ce quelle ressentait pour lui. Ils ne s'étaient jamais dit « je t'aime », ces petits mots si simple mais qui peuvent changer de manière fulgurante une relation. Elle ne s'avait pas si lui l'aimait. Elle, elle en était maintenant certaine. Elle éprouvait de l'amour pour lui. Si il venait à disparaître elle ne survivrait pas. C'était sur et certain. Mais lui ? Quels étaient ces sentiments ? Elle n'en savait fichtrement rien.

Elle restait donc assise, les yeux dans le vague, à réfléchir.

Draco revint environ une demi-heure plus tard. Souriant.

- Coucou, dit il en l'enlaçant. Tout est calme. Il faut dire qu'on est pas très nombreux aux château pendant ces vacances. J'ai appercue par la fenêtre Harry et Gin qui se baladaient dans le parc du château.

Hermione fronçât les sourcils.

- Ils ne sont pas encore rentrés ? On ne devrait peut être pas les laisser dehors, après tout, si ils n'étaient pas nos amis nous ne laisserions jamais sortir si tard les soirs dans le parc.

Draco fit un petit sourire, on reconnaissait bien là tout l'esprit d'Hermione.

- Oui, c'est vrai. Mais ce sont nos amis, on les connaît et on sait donc qu'ils ne font pas de bêtises. Donc, on peut les laisser dehors encore un peu.

Sur ces mots il se penchât et l'embrassa délicatement dans le coup. Sous la sensation Hermione frémit. Elle se retournat vers Draco qui était derrière lui et lui fit un grand sourire.

- Que me vaut ce plaisir ? Questionna-t-il

- Rien de particulier. Juste que tu es là, avec moi. Je suis tellement heureuse. Heureuse comme je ne l'ai jamais été je crois.

Draco eut un sourire.

-Qui aurait pu croire que tu dirais ça un jour à un Serpentard, moi qui plus est.

- C'est vrai, on a peut être pas toujours été les meilleurs amis du monde mais comme quoi... les opposés peuvent s'attirés.

Draco fit le tour du canapé et vint s'asseoir à coté de la jeune Gryffondor. Elle posa sa tête sur ses genoux et ferma les yeux. Il lui caressait les cheveux doucement mais très tendrement. Ils restèrent ainsi paisiblement devant le feu, sais dire un mot pendant une bonne dizaine de minute. Puis rompant le silence, Hermione murmura ces simples mot d'une voix presque éteinte :

-Je t'aime...

Il lui avait semblé que s'était le moment le plus propice à sa confession, que jamais plus il n'y aurait de moments aussi romantiques dans toute leur vie, que c'était LE moment ou jamais .

Draco arrêta de lui caresser les cheveux, à la fois surpris et non surpris par ses mots. Surpris car il ne pensait pas qu'elle lui dirait ça si tôt dans leur relation, comme personne dans sa vie ne l'avait jamais aimé, il ne savait pas vraiment ce que ça faisait de s'entendre dire ces mots. De plus il ne pensait pas qu'un être humain puisse l'aimer. La seule personne qui ne lui avait jamais dit qu'elle l'aimait était Pansy Parkinson, mais venant d'elle, cette déclaration n'avait rien de vraiment trépidant. Aussi ne s'attendait-il pas à entendre Hermione prononcer cette phrase. D'un autre côté il ne fut pas surpris car c'était ce que lui aussi ressentait. Il était sûr d'aimer Hermione, une « sang de bourbe » comme il l'aurait appelé auparavant, il n'en avait que faire des « qu'en dira-t-on » et de l'opinion de son père. Tout ce qu'il savait c'est qu'il était amoureux de la magnifique jeune fille qui avait la tête posée sur ces genoux. Alors entendre dire ces mots, c'était à la fois un soulagement et un bonheur sans nom. Sans vraiment savoir comment, sa réponse sortie de sa bouche dans un murmure :

- Je t'aime aussi...

Hermione se redressa d'un coup. Elle ne s'attendait vraiment pas à une réponse aussi franche. Au mieux à un baiser, au pire il se serait levé et aurait été dans sa chambre. Mais alors l'entendre lui dire que lui aussi il l'aimait, alors là ça lui coupé le souffle :

- Tu...tu m'aimes aussi ?

Draco était tout penaud

qu'est ce qui lui prend ? C'est pas ça qu'on est sensé répondre quand quelqu'un nous dit qu'il nous aime ?

- J'ai... j'ai dit une bêtise ?

Hermione avait maintenant la main sur la bouche de surprise, mais de voir l'air dépité de Draco la fit fondre. Elle se rendit compte que sa réaction n'était vraiment pas très sympa pour le beau blond.

- Non ... ho Non Dray ! C'est ... c'est que je ne m'y attendais pas. Je ne pensais pas que tu me le dirais, je ne t'en aurais pas voulu. Je pensais qu'au contraire tu aurais peur que je te l'avoue. Je sais que tu n'as pas eu une vie toute rose, et que probablement jamais personne ne te l'as dis. Ho Dray ...

Elle se jeta dans ses bras et se sera le plus fort qu'elle pu contre lui. Une larme coula le long de sa joue, non pas une larme de douleur, mais une larme de joie. Draco lui ne savait plus trop quoi dire, il ne pensait pas que pour Hermione ces simples mots signifiaient tant de choses. Mais ils les avaient dit sincèrement, et c'était vrai, Hermione Granger était définitivement la première personne au monde qu'il aimait de toute son âme.

Il resserra son étreinte avec Hermione et lui murmura à l'oreille :

-Oui je t'aime, et pour l'éternité.

Il lui déposa un baisé sur front puis se leva et la pris dans ces bras telle une jeune mariée, puis il la porta jusqu'à son lit.

Hermione avait un grand sourire qui épanouissait son visage. Avant de la déposé sur le lit, Draco plongea sont regard dans celui de la Gryffondor et ce qu'il vit lui fit perdre pied dans la réalité. Jamais il n'avait vu quelque chose d'aussi beau. Ses yeux chocolat avaient des éclats d'or dedans. Son regard était lumineux et intense. Il reflétait à la fois une très grande confiance, un immense bonheur et une attente de quelque chose. Il la déposa délicatement sur son lit et l'embrassa. Une fois le baiser terminé, Hermione le regarda intensément et se remis à l'embrasser avec fougue. Draco ne connaissait pas ce type de baisers venant d'elle, mais ils ne lui déplaisaient pas du tout. Les minutes passèrent et les baiser se firent de plus en plus insistant, jusqu'à ce qu'Hermione commence à enlever la robe de Draco. Celui-ci, reprenant ces esprits se recula.

- Ho là ma belle... si tu continue je ne répond plus de rien... je crois que ça à suffit pour ce soir !

Hermione le regarda alors d'un regard brûlant de désir. Elle lui répondit dans un souffle :

- Qui te dis que j'ai envie que tu répondes de quelque chose ?

Draco la regarda avec surprise, il ne s'attendait pas à ce quelle dise ces mots.

- Quoi ?

Hermione répondit dans un murmure, d'un ton presque suppliant :

- Fais moi l'amour ...

Draco la regarda avec de l'appréhension dans le regard. Faire l'amour ? Il ne savait pas vraiment ce que c'était... coucher avec quelqu'un oui. Mais faire l'amour ? C'est un acte qui demande plus que le simple contacte physique. Il s'avait que ce serait la première fois pour Hermione, il ne voulait pas la brusquer ou la décevoir. Mais un simple regard vers celle qu'il aimait lui fit comprendre ce que c'était que « faire l'amour ».

- Tu en es sur ?

- Certaine.

Il lui fit un sourire tendre et lui dit.

- Si tu as le moindre doute, n'hésite pas à m'arrêter.

En réponse elle lui offrit un de ses merveilleux sourires dont elle avait le don.

Il se penchât alors délicatement vers elle et lui déposa un petit bisou mouillé dans le coup. Puis il commença doucement à enlever sa cravate (celle d'Hermione), et il déboutonna un à un les boutons de son chemisier.

Ce fut la plus belle nuit de la vie d'Hermione et Draco. Jamais ils n'avaient été aussi en osmose avec quelqu'un. Ce ne serait plus jamais comme avant. Jamais plus ils ne pourraient faire marche arrière dans leurs sentiments.


Draco était réveillé depuis maintenant un bon quart d'heure et regardait, un sourire aux lèvres, la jeune femme qui dormait au creux de ces bras. Elle était vraiment magnifique. Elle était couchée sur le ventre et sa tête reposait sur le torse du jeune homme, une mèche de cheveux bouclés barrant son visage. L'un de ces bras passait de l'autre coté du Serpentard comme si elle voulait signifier « il est à moi ». Elle semblait si paisible dans son si rien ne pouvait la déranger. Elle fronçât légèrement les sourcils et resserra son étreinte autour du jeune homme, puis elle ouvrit un œil, et l'autre ; un sourire radieux illuminant son visage.

- Salut, dit elle d'une voix endormie.

- Bonjour, Belle aux bois dormant. Il déposa un tendre baiser sur les lèvres d'Hermione et lui souri.

- Tu connais ce conte de fée ?

- Tu vis dans le monde magique depuis maintenant plus de 6 ans et tu crois encore que les contes de fées ne se sont jamais produis ?

Hermione le regardait avec un air effaré, maintenant tout à fait réveillé.

- Tu veux dire que les histoires des contes de fées ont vraiment existé un jour ?

- Oui, mais elles ont été un peu embellies pas leurs auteurs. Je suis sur qu'un jour nous aussi on fera parti d'un conte de fée : « comment la plus belle jeune fille du royaume parvint à vaincre le pire méchant que la terre ai portée. »

- Arrête de te fiche de moi ! S'exclama Hermione en riant !

- Non, je ne plaisante pas ! Bon d'accord, la plus belle jeune fille du royaume n'était pas toute seule... mais sinon c'est vrai !

Hermione le regarda avec sérieux d'un coup :

- Je ne suis sûrement pas la plus belle jeune fille de quoi que se soit : je ne le suit même pas de mon année chez Gryffondor, Lavande est bien plus belle que moi. Donc tu vois ... au mieux je suis la plus jolie de cette chambre, ce qui ne semble pas être très dure vu que je suis la seule jeune fille de cette chambre ! Dit elle avec un sourire.

Draco la regardait maintenant avec sérieux :

- Je sais ce qu'il faut que je t'achète pour Noël : un miroir. Tu ne t'es pas regardé dans un miroir depuis quelle année ?

- Arrête...

- Je suis sérieux ! Toutes les filles voudraient te ressembler et tous les mecs voudraient être à ma place.

- Ne dit pas de bêtises.

Draco eut un petit sourire indulgent.

- Pense ce que tu veux. Mais je connais la vérité. Bon dis moi, quel est ton « conte de fée » préféré.

- Cendrillon, répondit sans hésité Hermione.

- M'étonne pas. Répondit sur un ton taquin Draco.

- Quoi ? demanda Hermione en fronçant les sourcils.

- Je plaisante ma belle, c'est celle que je préfère aussi. Ma mère me la racontait toujours quand j'étais tout petit et qu'elle ressemblait encore à une mère digne de ce nom. Aller, je vais te la raconter. Mais je te préviens, elle est un peu moins gaie que celle de Cendrillon. Allonge toi confortablement.

Hermione entoura Draco de ses bras et posa sa tête sur son torse, elle pouvait entendre très nettement les battements du cœur du Serpentard, ce qui avait un effet calmant instantané. Elle se sentait tout de suite calme et apaisée.

- Je ne suis pas trop lourde ?

- Ca fait trois mois qu'on dort comme ça et je ne m'en suis encore jamais plaint.

Il déposa un baisé sur les cheveux d'Hermione et commença son récit.

- Je vais donc te raconter la vraie histoire de celle que l'on appela par la suite Cendrillon. Dans l'histoire originale, la jeune fille en question s'appelait Elisabeth Tucley. C'était une jeune fille très belle qui avait notre age au moment des faits. Elle était brune et avait de très longs cheveux châtains. Ces yeux étaient immenses et bleus, d'un bleu si limpide qu'ils donnaient envie de s'y noyer. Malheureusement pour elle son père s'était remarié avec une vielle mégère qui avait déjà une fille, elle aussi très belle, mais une beauté glaciale. La pauvre Elisabeth était obligée de travailler toute la journée pour servir sa belle mère et sa demi-sœur. Son père ne l'aimait guère, contrairement au conte, et il n'avait que faire de cette fille née d'un précédent mariage. Son seul intérêt était sa nouvelle femme, sa novelle fille et son entreprise d'import-export vers les nouveaux pays colonisés. Il était très riche et avait depuis peu été introduit à la cour du roi. Il n'était pas noble mais espérait sous peu être anoblit par son altesse. Un beau jour, le roi l'invita à une réception avec toute sa famille. Non pas pour trouver une bru, mais une simple réception de divertissement. Mr.Tucley, sa femme et la fille de celle-ci se rendirent donc à cette réception, laissant la pauvre Elisabeth à la maison. Celle-ci pleura une bonne partie de la soirée, jusqu'à ce qu'un voyageur égaré vienne frapper à la porte de la demeure familiale et demande l'hospitalité pour la nuit. Etant le seul membre de la famille présent à la maison ce soir là, elle se devait de le recevoir convenablement, c'est donc ce qu'elle fit. Mais elle avait les yeux rougis par tant de pleurs, et le visiteur s'en rendit compte. Il la question à ce sujet. La douce Elisabeth, ne pouvant contenir son chagrin raconta à cet étranger le dédain envers elle de son père et la tyrannie de sa belle mère, ainsi que le fait qu'elle n'était même pas considéré comme faisant partie de la famille puisqu'elle n'avait pas été convié à la réception. Le visiteur, touché par la détresse et la douceur de la jeune fille décida de l'aider. Il s'agissait en réalité d'un sorcier au sang pur très puissant, ma mère me racontait qu'il s'agissait d'un Malefoy, mais je crois que chaque famille de sorcier de sans pur essaye de dire que c'est quelqu'un de chez lui. Enfin, ce sorcier, du nom de Romulus Malefoy selon ma mère, aida la jeune femme en lui fournissant une magnifique robe à l'aide d'un sortilège temporaire et en la faisant transplaner jusqu'au lieu de la réception. Lui disant qu'il reviendrait la chercher à la fin des douze coups de minuits, et que si elle ne revenait pas à ce moment, la robe s'évaporerait dans les airs.

- C'est terrible.

- Oui assez de se retrouver toute nue à une réception du roi n'était pas très bien vu à l'époque. En tout cas à cette réception elle rencontra le prince William Sherry, fils aîné du roi, et ils tombèrent éperdument amoureux l'un de l'autre.

- En une soirée ?

- Oui... comme toi et moi...

- On se connaissait depuis 6 ans. Et puis, je t'aimais déjà avant la rentrée.

- Moi aussi... en tout cas ils tombèrent amoureux, mais aux douze coups de minuits Elisabeth du s'enfuir car sa robe menaçait de s'évaporer. Mais dans sa course précipité elle perdit une chaussure au moment tu transplanage de retour. Le prince, après l'avoir poursuivit ne découvrit que cette unique chaussure. Il connaissait lui aussi un grand sorcier, tu sais que les dirigeants du pays sont au courrant de l'existence du monde magique, et celui-ci lui permis de découvrir dans quelle maison vivait la jeune femme qu'il aimait. Il la reconnu immédiatement. Il fit anoblir son père et se fiança sur le champs à la jeune fille.

-Mais ! C'est ignoble ! Son père ne l'aimait même pas !

- Oui... mais il n'en tint pas compte, et Elisabeth s'en fichait à présent. Elle s'était mariée à l'homme de ces rêves.

- Et ils ont vraiment tous existés ?

- Oui, si tu cherches dans des archives et sur des arbres généalogiques, tu verras que le William et Elisabeth ont eu cinq enfants...William junior, Christopher, Guillaume, Mary et ... attend que je me souvienne de nom de la seconde fille... Julianna.

- Tu connais bien cette histoire ! je te l'ai dit : c'est ma préférée aussi. Et le mieux, je te le réserve pour la fin. Deux d'entre eux étaient des sorciers, ou des sorcières devrais-je dire.

- Non !!!

- Et si, Devine quel fut le nom de famille de Mary après son mariage... Black. Elle se maria avec un sorcier : Mortimer Black évidemment, une longue ligné de sang pure. Mais la famille royale, ce n'est pas vraiment « souiller » son sang. Et ils eurent des petits Blacks, qui eux aussi eurent des Blacks ...

- Tu veux dire que Sirius était un descendant de Cendrillon ?

- Exactement, lointains, mais descendant. Il n'y a jamais eu qu'une seule famille de Black.

- Et quel est l'autre sorcier ?

- Sorcière...

- Les deux filles étaient des sorcières ?

- Oui, Julianna : elle épousa un sorcier, un homme blond aux yeux acier. Du nom de Malfoy.

- C'est pas vrai ?

- Si, je te jure. C'était un sorcier lui aussi issu d'une longue lignée de sang pure. Ils eurent plusieurs enfants, dont Epyphène, Lucius (et oui, le nom remonte à loins), Conrad, Harry et Eléonore.

- Je rêve ou tu as dit Harry ?

- Tu ne rêve pas ... il y a bien eu un Harry Malefoy ! Mais ne t'avise pas d'en parler à mon père, ça a le don de l'énervé.

- Tu descend duquel des fils Malefoy ?

- Lucius évidement... Devine comment celui-ci avait prénommé son fils ?

- Draconus ?

- La vie est un éternel recommencement n'est ce pas ?

Hermione eut un petit rire.

- Donc si j'ai bien suivis...tu es un descendant de Cendrillon par ton père ET par ta mère ?

- Exacte. C'est pour ça que j'aime tellement cette histoire. C'est celle de mes ancêtres.

- Je comprends mieux... Mais dis moi ? Qu'est il devenu de la ligné des garçons qui n'étaient pas sorciers ?

- Je n'en ai aucune idée. Je ne suis pas arrivé là dans mes recherches. Je dois avouer que j'ai commencé par le plus facile, les ancêtres sorciers qui ont plus tendance à conserver pleins d'archives que les moldus. En plus c'était directement mes ascendants. Mais je compte bien chercher les descendants actuels de Cendrillon. Va savoir, peut être que certains d'entre eux sont des sorciers. Et ils seraient mes cousins très très éloignés.

- Le fait d'être cousins n'empêchait pas tes parents de se marier ?

- Ils sont vraiment cousins éloignées, il y plus de sept générations, et tu sais, on peut se marier à partir de trois sans problème.

- Je vois. Ce serait drôle de retrouver d'autres descendants. Je pourrais t'aider ?

-Si tu veux, on avancera plus vite à deux. Je pensais faire quelques recherches pendant les vacances de toute manière. J'aimerais bien en trouver d'autres. Certains on peut être mon age...va savoir !

- Se serait amusant...tout les sorciers savent que les comptes de fées ne sont pas inventés ?

- Je pense, mais ça semble tellement évident pour la plus part d'entre eux qu'ils ne pensent pas rapidement à le dire aux enfants de moldus, il faut dire que ce n'est pas dans les priorités.

- Je comprend...Au fait, il est quelle heure ?

- Encore très tôt. Pourquoi ?

- Comme ça...

Draco fit un sourire à sa belle et l'embrassa tendrement, puis il l'enlaça et il se rendormirent pour quelques heures, enlacés dans les bras l'un de l'autre.


Alors ça vous a plu? si oui vous savez ce qui vous reste à faire !!! Bis