Et voilà le nouveau chapitre... comme promis ! Il ne reste que trois chapitres après celui-là. Deux sont déja écrits, et le troisième est bien entamé... ça me fait tout drole d'être en train d'écrire le dermier chapitre de ma fic !

Merci à tous-ceux qui m'ont maissés des reviexs... n'oubliez pas d'en poster de nouvelles, ça me fara plaisr ! La suite la semaine prochaine ou dans quinze jours.

Bisous


Chapitre 18 : Là ou tout s'achève…

En regardant la carte, ils pouvaient voir que Voldemort était maintenant dans le bureau du père de Draco, ils tendirent donc l'oreille pour savoir ce qui se passait de l'autre côté du mur. Le bruit était très étouffé, mais ils purent, à un moment, entendre un cris de douleur, ce qui leur glaça le sang à tous les deux, Hermione jetant un regard apeurée à son fiancé.

- Ils vont le tuer…

Draco posa sa main sur l'épaule de celle qu'il aimait pour la rassurer, puis, lui prenant la main, il allèrent jusqu'à la porte de la bibliothèque et l'entrouvrirent après avoir vérifié qu'il n'y avait personne dans le couloir sur la carte du manoir. Ils se glissèrent silencieusement hors de la bibliothèque, et avancèrent prudemment vers l'entrée principale, sans quitter des yeux le parchemin que Draco avait entre ces mains. Arrivés à la porte du Hall, s'arrêtèrent un moment pour étudier attentivement la carte, il y avait dans le hall deux Mangemorts : Dolohov et Macnair, deux de ceux qui étaient là lors de l'attaque du ministère. Hermione serra les dents, avant de prendre la parole.

- Ces deux là, j'ai déjà eu affaire à eux.

Draco fronça les sourcils.

- Au ministère ?

- Oui.

Draco voyait sur son visage qu'elle était très déterminée, et qu'elle pouvait leur faire du mal s'il le fallait. Il tenta de l'apaiser, afin qu'elle ne les tue pas.

- Mione, ne fais pas de bêtises…

Elle regarda d'un air lointain, comme absorbée par ses pensées, mais d'un autre côté, elle semblait distante.

- Mione, pas d'impardonnables, sauf si ta vie est plus qu'en danger, ou alors juste contre Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom, tu m'entends ?

Mione le regardait comme si elle ne comprenait pas ce que le blond était en train de dire. Draco commençait à paniquer, il ne voulait pas qu'Hermione tue ces gens, s'il elle n'était pas absolument obligé de le faire.

- Mione ! Dit-il d'un ton dur.

Elle sembla tout d'un coup revenir à elle, toute pensée de vengeance avait disparu de son esprit. Draco avait su la ramener à la raison. Elle le regardait maintenant avec des yeux effrayés, comprenant où ses pensées auraient pu la mener.

- Je…je suis désolée Draco…je me suis laissée envahir par la haine…je …je ne sais pas comment c'est arrivé…Dolohov…c'est lui qui m'a blessé il y a deux ans… je suis désolée.

Draco fit un petit mouvement de la tête pur lui signifier que tout aillait bien, et posa sa main sur l'épaule de la jeune fille. Puis regardant la carte :

- Si on arrive à les mettre hors service par surprise, on pourra sortir, il n'y a qu'eux dans le coin.

Il rangea le parchemin dans sa poche, remonta les manches de sa robe de sorcier, et saisi sa baguette fermement. Hermione , quand à elle, dégrafa sa cape qu'elle laissa tomber au sol. Elle était maintenant en robe de soirée.

- Que fais-tu ?

- Ma cape va m'embêter pour me battre…et puis, j'ai un plan…

Elle se pencha et déchira sur le coté sa longue robe d'un geste brusque jusqu'au milieu de la cuisse. Draco la regardait avec des yeux exorbités, ne comprenant pas ce qu'elle était en train de faire.

- Je vais faire distraction…

Le jeune homme fronça les sourcils et lui demanda comment diable elle voulait faire distraction.

- C'est très simple, je vais entrée dans la pièce avec ma démarche la plus féline et la plus aguicheuse, ils vont bien mettre trente secondes avant de comprendre qu'ils ne devraient pas rester à me regarder comme des idiots, mais toi, entre temps, tu les auras stupefixé. Ca te va ?

Draco acquiesça, que pouvait-il dire d'autre de tout manière ?

Hermione prit une profonde inspiration, fit un sourire confiant et compta jusqu'à trois avant de pousser le battant gauche de la porte.

Les deux hommes au centre la pièce se retournèrent d'un même mouvement, elle avançait vers eux en se déhanchant suggestivement.

- Bonjour messieurs…

Ils la regardaient tous les deux d'un regard que l'on aurait pu qualifier de pervers, la jaugeant de haut en bas. Hermione continuait d'avancer doucement vers eux, passant sa langue sur ses lèvres d'une façon provocante, les deux hommes semblaient avoir totalement oubliés pourquoi ils étaient là. Et avant qu'ils n'aient pu reprendre leurs esprits, Draco lança à la suite deux sortilèges de Stupéfixion qui atteignirent leurs cibles du premier coup. Les deux Mangemorts n'eurent même pas le temps de se rendre compte de ce qui leur arrivaient.

Draco couru jusqu'à Hermione et lui mit sa cape sur les épaules :

- Super plan, mais il est hors de question que quelqu'un d'autre que moi te vois dans cette tenue… dit-il en l'embrassant dans le cou.

Puis il la prit par la main, et ils coururent tous le deux dehors. Après avoir jeté un coup d'oeil à la carte, ils firent une vingtaine de mètres dans le noir avant de retrouver les membres de l'Ordre du Phénix. Tous ceux qu'ils connaissaient était là, plus quelques uns qu'ils n'avaient jamais vus. Même Rogue avait sa baguette sortie, aux côtés des membres de l'Ordre. Quand Ginny les vit arriver, elle se jeta dans leurs bras en pleurant.

- J'ai eu tellement peur pour vous… comment avez-vous fait pour sortir ? Ou est Harry ? Est ce que vous savez s'il va bien ?

- Allons, du calme Miss Weasley, demanda Dumbledore en s'approchant des nouveaux arrivants. Bien, maintenant que vous êtes là, nous allons nous séparer en deux groupes, nous allons attaquer chacun d'un côté. Je veux que vous trois restiez ensemble, dit-il en désignant Ron, Hermione et Draco. C'est sur vous que tout va se jouer. C'est très important. Vous allez aller avec Minerva, Severus, Rémus, Tonk, Bill, Charlie, Ginny, Alastor et Hagrid. Plus, que vous ne connaissez pas encore, Alan, Iphigénie, Colin, et Cassandre. J'irais avec les autre, dans le second groupe, nous ferons tout pour bloquer les Mangemorts dans d'autres parties du manoir, pour que vous puissiez atteindre Voldemort. Je vous rejoindrais lorsque vous aurez atteint le bureau.

Les trois concernés acquiescèrent, Hermione semblait hésiter à poser une question, Dumbledore le voyant la questionna.

- Qui a-t-il Miss Granger ?

- Est…est ce que le professeur McGonagall pourrait métamorphoser ma robe de soirée en quelque chose de plus chaud et plus confortable pour se battre ?

- Bien sur mon enfant ! S'exclama le professeur de métamorphose. Enlevez votre cape un instant.

Hermione s'exécuta sous les yeux médusés des hommes présents, et des regards menaçants de Draco envers ceux qui osaient regarder d'un peu trop près Hermione. Une fois celle-ci en tenue de sport bien plus confortable, ils se dirigèrent tous vers le manoir. Le groupe de Dumbledore pénétra en premier dans le hall, afin de faire le ménage et de laisser le champ libre au deuxième groupe. Draco pris la main d'Hermione dans la sienne et la serra fort, puis il lui dit d'une voix posée :

- Je t'aime, quoi qu'il arrive, ne l'oublie pas.

Hermione hocha la tête en murmurant un moi aussi. Ron les regardait d'un air attendri, pendant les quelques secondes de libres qu'ils avaient avant la bataille, il voulait dire à Draco ce qu'il aurait dû lui dire depuis longtemps :

- Draco ? Je voulais juste te dire que j'ai appris à te connaître, et à t'apprécier… même si je te l'ai jamais dis avant, je t'aime bien maintenant… Tu ne seras jamais mon meilleur ami, mais tu es sans hésiter un ami.

Draco hocha la tête et serra fortement la main de Ron, d'un geste fraternel. Ron déposa un baiser sur la joue Hermione et sur la tête sa petite sœur, avant de murmurer :

- Je vous aime tous.

Ginny avait les larmes aux yeux, elle prit une voix ferme et décidée :

- Arrête Ron, on dirait trop des adieux…aucun de nous ne va mourir…

Elle fut interrompue par Lupin.

- On y va !

Ils se regardèrent tous pour se donner du courage, et entrèrent d'un même mouvement dans le hall d'entrée du manoir. Dolohov et Macnair étaient encore stupéfixé, dans une expression complètement ébahie, au milieu de la pièce. Sur la carte, on pouvait voir que le groupe de Dumbledore avait pris un chemin opposé à celui du bureau de M. Malefoy, et qu'il avait déjà rencontré des forces de résistances. Au moment ou Ginny se pencha par-dessus l'épaule du Serpentard pour voir ce qui se passait dans l'autre aile du château, elle ne pu s'empêcher de pousser un tout petit cri de détresse lorsqu'elle vit le nom de « Mélinda Dinkens » disparaître du plan. Dans leur direction, les couloirs étaient vides. Le seul obstacle qui les séparait d'Harry était les sept Mangemorts et se Seigneur de Ténèbres qui se trouvaient dans le bureau principal du manoir. Arrivés devant l'entrée de cette pièce. Ils décidèrent d'un commun accord de faire sauter les grandes porte à double battant afin d'avoir un accès plus facile à la pièce, puisque de toute manière, l'effet de surprise était quasiment exclu. Lupin et Tonk, lancèrent d'une même voix un puissant « Destructo » qui fit follet en un millier d'éclat de bois la porte en chêne massif.

Les membres de l'Ordre entrèrent en premier dans la pièce, laissant durant quelques secondes les jeunes gens dans le couloir, ainsi étaient les ordre. Puis, ceux-ci les suvirent. Lorsqu'ils entrèrent, ils purent voir Harry, attaché à une chaise par des liens magiques. Il était très pâle, saignait du nez et avait plusieurs hématomes sur le visage, signe qu'il n'y avait pas que la méthode magique qui avait été utilisée pour lui infliger des blessures. Près de lui se tenait Voldemort. Il ne semblait prêter aucune attention à la scène de bataille qui se déroulait près de lui. Toute son attention était tournée vers Harry. Ses yeux rouges aux pupilles verticales semblaient lancer des éclairs. Sa voix, sifflante comme celle d'un serpent était menaçante, et aurait glacer les os de n'importe lequel du plus courageux des Gryffondor.

- Dis-moi comment tu es sensé me vaincre !

Harry le regarda avec une lueur de défi dans les yeux, et au lieu de lui répondre, il lui cracha dessus avec un sourire arrogant.

- Jamais !

Voldemort, furieux, gifla de toutes ses forces Harry, si bien que ses amis crurent qu'il allait lui arracher la tête. Harry, relevant les yeux, aperçu derrière le Mage Noir ces dernier, et leur sourit tristement. Tout autour d'eux, la bataille faisait rage. Deux membres de l'ordre étaient à terre : la dénommée Cassandre et Charlie. Ce dernier respirait toujours mais perdant beaucoup de sang, en revanche, pour la femme, il n'y avait aucun doute possible, elle avait reçut le pire des impardonnables. Mais il y avait aussi des pertes chez les Mangemorts qui n'étaient plus maintenant que cinq, deux d'entre eux ayant été stupefixé, dont Queudver, décidément toujours aussi peu doué pour la bataille. Dans ceux qui restaient on pouvait compter parmi les pires individus que la Terre ait portée : Malefoy et les Lestrange étaient toujours debout. Voldemort se retourna enfin et regarda la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il jeta alors un regard vers les quatre adolescents qui lançaient des sorts de désarmement en direction des Mangemorts.

- Comme c'est mignon, tes petits camarades sont venus te délivrer…

Choisissant une cible au hasard dans le groupe des jeunes, Voldemort lança un « doloris » sur la pauvre Ginny qui s'effondra en se tordant de douleur. Le Mage Noir parti d'un rire de dément alors qu'Harry hurlait pour l'empêcher de faire quoi que ce soit. Ron, dans un élan de colère, envoya l'ultime sortilège à Voldemort, mais celui-ci le para d'un habile « protego ». Pendant ce temps, Draco s'était précipité pour libérer Harry de ses entraves, sans grandes difficultés, grâce au sortilège « finite incantum ». Il redressa Harry, celui-ci ayant quelques difficultés à tenir sur ses jambes tout seul. Draco mis dans la main d'Harry sa baguette et le soutint afin qu'il ne tombe pas. Hermione s'était précipité aux cotés de Ginny et l'avait mis dans un coin pour être sûr qu'elle ne recevrait pas un sortilège perdu pendant le temps qu'elle mettrait à se remettre de l'impardonnable.

Voldemort se rendit compte que Draco avait libéré celui qui avait déjà survécu un nombre incalculable de fois.

- J'avais de grands projets pour toi Draco, dit le seigneur des Ténèbres. Tu aurais pu remplacer ton père à mes côtés, tu devenais plus puissant que lui de jours en jours… Mais, tu t'es perdu… Je vois en toi- il scruta un instant le jeune homme blond, puis les autres adolescents, son regard s'attarda un instant sur Hermione- tu t'es salis avec cette sang de bourbe ! Finit-il d'un ton dégoûté.

Hermione, à cette dernière remarque serra les dents. Draco, quand à lui, eu un sourire mauvais.

- Dois-je vous rappeler « monseigneur » que votre propre père était un descendant de moldu ?

Voldemort était furieux :

- Ne parle pas de mon père petit insolent ! « Avada Kedavra »

Mais Draco avait déjà bondi de coté, et le sort ne l'attend pas. Ils étaient tellement absorbés par leur propre combat contre Voldemort qu'ils ne se rendirent pas compte que plus personne ne se battait dans la pièce, tous les Mangemorts avaient été stupéfixé ou ligotés, les membres de l'Ordre du Phénix qui restaient debout (il y avait deux morts et trois blessés) regardaient maintenant la scène avec appréhension, attendant que la prophétie se réalise. Les quatre jeunes gens entouraient maintenant Voldemort, et sans même qu'il n'aient besoin de se concerté, ou même d'y penser, chacun d'entre eux se mis dans la direction de l'un des quatre points cardinaux. Voldemort riait ouvertement.

- Que croyez vous faire, misérable petite vermine ? Me tuer ? Mais je suis invulnérable ! Jamais personne de pourra me tuer. Même ce misérable sang mêlé n'a pas pu me tuer lors de cette nuit d'Halloween 1981 ! A qui croyez vous avoir affaire ? A un vulgaire petit sorcier ! Je suis Lord Voldemort, je suis si puissant que personne n'ose prononcer mon nom, de peur de provoquer ma colère !

Harry le regarda avec un air de défi sur le visage.

- Aucun de nous n'a peur…

Voldemort rit.

- Vous n'êtes que des stupides petits Gryffondor, vous croyez être courageux, mais ce n'est que de l'arrogance.

- Vous n'êtes rien Voldemort…

Ce n'était pas Harry, contrairement à ce qu'on aurait pu penser, mais Hermione qui venait de prononcer le nom du Mage Noir.

- Tait-toi sang de bourbe « Endoloris ».

Hermione s'effondra, n'ayant pas paré assez puissamment le sortilège, mais elle se releva rapidement. Les yeux injectés de haine.

- Elle a raison… nous n'avons pas peur d'un simple nom… Voldemort…

C'était maintenant au tout de Ron. Il avait dit cela d'un ton assuré, mais pourtant il n'en menait pas large. Puis, Harry repris ce nom, comme s'il s'agissait d'une arme :

- Voldemort….

C'était maintenant au tour de Draco de prononcer le nom de leur ennemi, celui-ci ne l'avait jamais prononcé auparavant, jamais il n'avait eu le courage, mais là, il ne se posa aucune question, et c'est avec un regard de défi qu'il prononça en dernier le nom de Celui-Dont-On-Ne-Devait-Pas-Prononcer-Le-Nom. Voldemort était furieux, il lança plusieurs sortilèges de morts, mais dans sa fureur il ne visait pas correctement, et il loupa par deux reprises Draco. Ce dernier rit d'une façon mauvaise :

- Même plus capable de lancer l'Ultime sortilège ?

Voldemort semblait plus en colère que jamais, une violente bourrasque de vent s'engouffra dans la pièce, faisant voler les capes et les cheveux.

- Vous allez tous mourir comme les sales petites vermines que vous êtes : « Avada Kedavra »

Mais curieusement, rien ne se produisit, du moins, aucun des quatre jeune gens ne fut frappé : l'éclair vert, qui était dirigé vers Harry, s'était répercuté sur un mur d'énergie qui s'élevait jusqu'au plafond.

- Mon…que…

C'est Hermione, qui avait peu prit la parole jusque là qui se mit a parler d'une voix rauque, comme possédée :

- Ensemble, nous sommes plus fort que tout ce qui vous a été permis de voir sur terre.

Voldemort rit.

- C'est ridicule ! Comment quatre enfants stupides pourraient-ils être plus puissant que moi ? Le sorcier le plus puissant que la terre ai portée depuis Merlin en personne !

Hermione avait maintenant un petit sourire en coin :

- Nous avons quelque chose que vous n'avez pas, et que vous n'aurez jamais, quelque chose que même en rêve vous ne pourrez jamais obtenir, car c'est une chose que vous ne pouvez pas comprendre…ou même imaginer.

Voldemort avait l'air perplexe, ne comprenant pas de quoi la jeune femme était en train de parler.

- Je veux parler de l'amour !

Voldemort parti d'un rire hystérique.

- L'amour ? C'est ridicule, comment une chose si inutile pourrait-elle me détruire ?

- C'est l'amour de sa mère qui a sauvé Harry il y a presque 17 ans. Dit Ron d'une voix froide.

- C'est l'amour que je porte dans mon cœur qui m'a empêché de vous rejoindre. Explica Draco avec un sourire mauvais sur le visage.

Puis Hermione reprit :

- L'amour de la mère d'Harry l'a sauvé, il nous aime, moi et Ron, et nous l'aimons en retour. Il nous a transmis, par son amour la force de sa mère. Ce pouvoir ancien, et oublier. Et moi, en aimant Draco, je lui ai donné une partie de ce pouvoir. D'autres que nous, que nous aimons, pourraient également faire parti de ceux qui vous vous battre… Ginny, les frères de Ron, ses parents… mais pour une raison ou une autre, ils ne peuvent pas être là, c'est pour ça que la prophétie ne parle que de nous quatre.

- La prophétie ? Quelle prophétie ? Demanda d'un ton brusque Voldemort.

- Celle qui dit que tous les quatre nous vous détruirons. Finit-elle avec un sourire mauvais sur le visage.

Voldemort semblait perplexe il se remis à lancer des sorts de mort, mais aucun n'atteignait sa cible, les quatre jeunes gens étaient protégés par ce mur d'énergie. Puis, sans vraiment qu'il y ai d'explication, la pièce se mit à s'assombrir, de plus en plus, et le vent se leva brusquement. Puis d'un même mouvement, alors que Voldemort, toujours au centre du cercle lançait des éclairs verts dans toutes les directions, en espérant toucher l'un des jeunes gens, les quatre adolescent levèrent leur baguette, se concentrèrent sur leur cible, et sans même se concerter et prononcer la moindre formule, et quatre éclair vert émeraude convergèrent vers le Seigneur des ténèbres. La pièce fut très lumineuse durant quelques secondes, aveuglant tous les spectateurs de la scène. Puis, le vent tomba, la lumière redevint normale, et les personnes présentent dans la pièce retrouvèrent une vision normale.

Les quatre adolescents étaient écroulés sur le sol, inconscients ou morts ? Nul ne pouvait le dire au moment présent. Au centre de leur cercle, se trouvait le corps de celui qui avait été le plus puissant des mages noirs que la terre est portée. Puis, une légère brise entra dans la pièce, et son corps tomba en cendre, sous l'effet de ce vent léger.

Tout était fini.


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