Bonjour à tous! Désolé pour le retard!
Alors, vous voulez savoir qui est le père de l'enfant que porte Hermione, et bien... patience!
Réponse aux reviews:
aiglus: Je te remercie encore une fois d'être un lecteur assidu. pour répondre à ta réview, les liens d'amitiés entre Ron et Harry se renous dans le chapitre 4, mais je ne suis pas certaine que ça va duré. Hey! J'en dit trop là!
Emma & Danaé: Merci beaucoup! Pourquoi vous dites que ça va être triste. mes fics ne sont jamais, au grand jamais triste!... bien! Peut-être un peu...
Kika: Merci! j'espère que la suite te plaira autant que les quatre premiers chapitres.
AnnaOz: Ce n'est pas cruel. c'est savoir garder ces lesteur en haleine. Si le quatrième chapitre t'a paru cruel, celui-ci est bien pire. Je suis désolé d'avoir tué den, mais ce n'est pas toujours des inconnus qui meurt! C'est vrai que dans le chapitre 4, la camaraderie entre Ron et Harry est sur la bopnne voie, maisêst-ce que ça va duré? Bah! Je ne le dit pas. Lit la suite et tu verras. Je te remercie!
Rebecca-Black et hermignonne malefoy: Merci beaucoup! Voilà la suite!
légion:l'étranger: Et bien, tu en avait sur le coeur! J'adore les longues reviews comme la tienne. Je veux faire une petite correstion: Ron n,était pas conscient du décalage temporel. Il s'en est aperçu en revenant... à la vu de ce que tu aimerais pour la suite, et bien je crois que ce que j'ai en tête, te plaira probablement. le chapitre 6 surtout. ne fin, j'espère! Merci énormément pour ta review. Génial. Voici la suite.
Bonne Lecture!
Chapitre 4 (deuxième partie)
En courant vers le bruit de la bataille, il s'étonna de découvrir les couloirs aussi désert. Aucun mangemort, aucune créature, même les personnages dans les tableaux accrochés aux murs avaient disparus. Il s'arrêta de courir pour examiner un peu plus les lieux. Cette situation de calme n'apportait rien de bon à son avis. C'était trop facile de se promener dans les couloirs. Où étaient passés tous les mangemorts? Où étaient passés tous les étudiants? Il croyait qu'il en rencontrerait qui essayeraient de prendre la fuite, de se cacher, mais rien. Le calme plat! Il devait se préparer à toute éventualité. Il était apparemment au premier étage à quelque tournant du grand Hall. La scène de guerre était tout près. Il devait faire vite!
Il fit alors l'inventaire de son attirail d'Auror, très mince d'après lui, car il avait laissé sa cape sur le corps inerte d'une jeune fille. Il mit sa main dans sa poche et il en sortit seulement que quelques Portoloins, qui était des pièces de monnaie moldu. Dans l'autre poche, il y avait un vieux bout parchemin et une clé dorée qu'il n'avait pas préalablement. C'était la clé qui avait permis à Harry d'ouvrir le bureau de McGonagall. « Sacré Potter! » pensa-t-il en dépliant la carte du Maraudeur. En examinant la carte, il s'aperçut que la majorité des élèves étaient enfermée dans la Grande Salle. Ils formaient un groupe serré et uni au centre de la salle, autour, cinq mangemorts gardaient la formation bien immobile. Rodolphus et Rabastan Lestrange ainsi que Fenrir Greyback gardaient la grande porte. Les professeurs s'afféraient à l'extérieur avec des élèves, probablement plus vieux. Ils avaient l'air à avoir besoin d'aide, mais Ron n'apercevait aucun Aurors, ni membre de l'Ordre à l'intérieur du château pour aller secourir les élèves enfermés dans le réfectoire. Il devait s'y rendre et venir à leur aide.
Mais comment y arriver sans devoir combattre trois mangemorts. Il y avait déjà les cinq à l'intérieur de la Grande Salle, pas la peine d'en rajouter trois! C'est à ce moment qu'il se souvint de la clé. S'il avait bien saisit le fonctionnement, la clé lui permettait d'ouvrir n'importe quelle porte en ayant la destination voulue derrière. Elle allait donc pouvoir l'aider à entrer dans la Grande Salle sans devoir s'y rendre. Et donc évité les deux Lestrange et Greyback.
Il s'approcha de la porte de classe la plus près, mais avant de l'ouvrir et de se jeter dans la gueule du loup, il examina les cinq mangemorts. Des noms connus, des connaissances même : Bellatrix Lestrange, Peter Pettigrow, Draco Malfoy et ses deux acolytes, Vincent Crabbe et Grégory Goyle. Les trois derniers seraient facilement déjoués, mais les deux autres restaient imprévisibles. Il n'avait jamais eut l'occasion de les combattre.
Le premier coup de huit heures résonna dans tout le château. Si Harry n'était pas parvenue à rejoindre Voldemort, un mangemort exécuterait un élève. Alors il regarda la carte et heureusement, aucun mangemort ne s'attaquait à un élève, donc Harry avait réussit à s'y rendre. Il restait à le défier maintenant…
Harry avait sa tâche, lui avait la sienne. Il devait se faire un plan. Sortir les élèves de la Grande Salle était une chose, mais les faire sortir de l'école en était une autre. Il regarda une seconde fois la carte, le château était entièrement entouré, aucun échappatoire sans devoir passer devant un géant, un dragon, un troll ou un Détraqueur. La seule solution restait le passage qui se rendait dans la cave de chez Honeydukes. Il regarda si la voie était libre. Dépliant la nouvelle partie de la carte, (la totalité du village de Pré-au-lard, un ajout fait en septième) il s'aperçut qu'il y avait une petite patrouille d'Aurors au village, la cave était peuplée de trois membres de l'Ordre et des cinq élèves que Harry et lui avaient sortit du passage et les trolls à l'entrée de la statut ne paraissaient pas bouger. La voie était libre! Neutraliser les mangemorts et faire sortir les élèves par le passage de la sorcière borgne. Son plan fait, il s'exécuta.
Regardant la carte une dernière fois, il la fourra dans sa poche, sortit la clé et l'inséra dans la serrure en pensant très fort la destination voulue. L'enchaînement de cliquetis se fit à nouveau entendre et il ouvrit lentement la porte. Baguette parée, il se colla le plus possible au mur et attendit qu'un mangemort sorte pour voir ce qui se passait.
" Cette porte doit rester fermer! s'écria Malfoy en passant sa tête dans l'embrasure de la porte.
Ron l'attrapa par le collet et lui prit la baguette des mains. Malfoy n'avait eut le temps de faire aucun geste.
" On se sent petit maintenant? le nargua Ron avant de le stupéfixier.
Malfoy tomba par terre et il lui glissa une pièce de monnaie dans la main.
" Tout droit à Azkaban, murmura Ron avec un sourire de délice.
Puis Malfoy disparu.
La porte toujours entre ouverte, Ron entendit Bellatrix ordonner à Crabbe et à Goyle : « Allez voir ce qu'il fabrique, et fermez-moi cette fichu porte! » Deux autres proies faciles! Les gorilles sortirent de la Salle et refermèrent la porte derrière eux, sans prêter attention à Ron qui était, encore un fois, accoté au mur. Il se glissa derrière eux, rouvrit la porte et entra dans la Grande Salle. En gardant la clé avec lui, bien entendu! Crabbe et Goyle étaient maintenant perdu quelque part au premier.
Il avait tous les regards tournés vers lui. Les yeux suppliants remplis de larmes des enfants capturés et les yeux hargneux des deux mangemorts. Comme il l'avait vu sur la carte, les élèves étaient rassemblés au centre de la pièce. Les tables et les bancs avaient disparus, le plafond magique s'était éteint, laissant voir les poutres et les charpentes. L'âme de la Grande Salle avait tout perdu de sa grandeur.
" Ronald Weasley, commença Pettigrow.
" Bonsoir Croûtard, répondit Ron en glissant rapidement la clé dans la serrure en espérant que ceux qui sont réellement derrière cette porte ne puisse l'ouvrir. Tu sais, tu étais vraiment pathétique en rat, mais, en te voyant ainsi accoutré, je crois que tu l'es plus en humain.
Bellatrix eut un rire discret et Peter la fusilla du regard en rougissant légèrement. Pendant ce laps de temps, Ron pu ouvrir légèrement la porte d'où s'échappait les ronflements de trois gros trolls endormis.
Peter n'avait pas réellement aimé ce sarcasme, surtout pas venant de son ancien maître. Un gamin, c'est tout ce que Ron était pour lui. Un gamin froussard, impulsif et jaloux, et comme toute sa famille, il avait un trop grand cœur. Pour l'avoir vu grandir, il connaissait ses forces et ses faiblesses.
Il dévêtit sa main droite et montra sa main argentée au groupe d'enfants. Il y eut un mouvement de recule, et Ron brandit sa baguette en direction de Peter.
" Tu touches à un de ses enfants et tu es mort Pettigrow, hurla Ron.
" Oouh! Je vais m'évanouir de frayeur, ricana Peter.
Il s'avança pour attraper un élève avec un sourire de défi, mais Ron le gifla au visage - ils étaient à une dizaine de mètre l'un de l'autre - d'un revers de la main. Leur montrant ainsi son nouveau pouvoir. Le sourire de Peter s'effaça immédiatement pour faire apparaître une rage meurtrière dans ses yeux, en se massant la joue de la main gauche.
" Je te préviens une dernière fois Pettigrow, tu touches à un de ses enfants et tu…, commença Ron.
" Tu en es incapable Ron, le coupa Peter. Tu en seras toujours incapable. Tu as un trop bon fond. Tu ne peux pas tuer…
" Mais, moi je le peux, intervient Bellatrix qui avait été resté muette depuis le début. Tu te souviens de mon cher cousin? Tu subiras le même sort. Tu n'es pas assez puissant contre nous Weasley…
" Le seul problème Bellatrix, lança Ron se tenant près pour une attaque, c'est qu'il n'y a pas de voile pour que tu m'y fasses tomber dedans!
" Voile ou pas Weasley, tu vas mourir! Mais avant tu vas souffrir! Cria-t-elle. Endoloris
Ron esquiva le rayon de lumière rouge de justesse en se jetant par terre et le sort de douleur alla se fracasser contre la porte entrebâillée qui éclata en morceaux. Il se remit sur ses pieds le plus rapidement possible, près à attaquer. Il regardait alternativement Peter et Bellatrix qui commençaient à avancer vers lui. La réalité lui frappa au visage. Il ne pouvait pas s'occuper de deux mangemorts à la fois. Il avait besoin d'aide. Non pas qu'il ne croie pas en sa force, il était tout simplement réaliste. Bellatrix avait plus de vingt ans d'expérience en tant que Mangemort et Peter connaissait ses faiblesses. Ils avaient tous les deux une avance sur lui.
Il regarda les enfants qu'il était venu sauver. Il voulait les épargner, il voulait les protéger, du plus profond de son cœur. C'est à cet instant qu'il sentit le sort de Bellatrix le frapper en pleine poitrine. Il ne l'avait pas entendu prononcer le sort impardonnable. Tout son corps brûlait, se déchirait, il criait de douleur espérant que son sacrifice allait sauver les enfants.
Bellatrix lâcha prise subitement, laissant Ron accroupit par terre encore larmoyant de douleur. Il se releva, ne voulait pas lui donner la joie de l'avoir atteint. Il la regarda et elle arborait un sourire victorieux mais ses yeux restaient inassouvis. Elle s'apprêtait à récidiver son sort quand un côté de la Grande Salle s'écroula. Les élèves avaient vu la menace du géant par les grandes fenêtres et ils avaient eut le temps de se disperser loin de l'endroit où le mur tomba. Un grand nuage de poussière étouffa la Grande Salle. Ron ne pouvait plus voir, ni ses adversaires, ni ses protégés. D'un coup de baguette, il fit se dissiper cette masse de résidu. Le bruit extérieur, qui était jusque là lointain et étouffé, résonnait maintenant avec plus de force. Le vent froid s'engouffrait à présent dans la salle, mêler d'échos meurtriers.
Les enfants avaient fui cet éboulis, mais Peter n'y avait pas échappé. Ron vit que plusieurs morceaux de pierres lui étaient tombés dessus, ainsi que le bras massif du géant. Il pouvait l'entendre supplier Bellatrix de venir en son aide, mais elle ne bougea pas. Du sang coulait de sa bouche, on ne pouvait voir que sa tête et un bras. Tout le reste de son corps était ensevelit. Malgré la hargne qu'il avait envers Queudver, il avait pitié de lui. Il méritait de mourir, mais il ne pouvait pas le laisser sans ne rien faire…
Avant de s'en approcher, il se retourna vers Bellatrix et il la vit près de lui. Elle le regarda à son tour et regarda avidement la sortie. Soudainement, de la fumée veloutée, de couleur violette pénétra dans la pièce par l'orifice que la porte éclaté avait laissé. Une silhouette mince se dessina aux-travers de cette brume épaisse et se dirigea sur Bellatrix. Celle-ci ne faisait aucun geste, immobile, fixant l'être parfait qui ne cessait de s'approcher. Après quelques secondes de surprise, Ron sut que le moment était arrivé de faire sortir les élèves de la pièce. Il leurs fit donc signe de sortir.
" Contournez les trolls, il y a un passage derrière la statut de la sorcière borgne, leur dit-il. Il vous conduira à Pré-au-lard, il y a des Aurors qui vous attende. Dépêchez-vous.
Un peu prit au dépourvu, les élèves avançaient lentement, craintivement mais au fur et à mesure, de débit de sortit s'accéléra. Les élèves passèrent près de lui, jetant des regards inquiets en direction des trolls et Ron les vit disparaître derrière la statut. Quand le dernier élève glissa dans l'étroit passage, Ron se retourna vers les deux femmes près de lui. Elles étaient face à faces. Bellatrix était hypnotisée par les yeux améthyste de l'étrangère, elle était donc pas en état de nuire. Jetant des regards déconcertés à la femme exotique, il se dirigea vers Peter qui n'avait pas bougé depuis quelque temps. Il s'accroupit près de lui et mit sa main dans son cou. Il sentit le léger battement irrégulier de son cœur sous ses doigts. Peter était encore vivant, mais c'était tout juste. Il prit une pièce de monnaie dans sa poche et la glissa dans la main de Pettigrow.
" Azkaban, murmura-t-il.
Peter disparut faisant tomber lourdement le bras du géant par terre. Il savait qu'à Azkaban, il y aurait une équipe médicale qui prendrait soin de lui, pour le tenir en vie. Peter avait raison, il était incapable de tuer, il était incapable de laisser mourir. Depuis qu'il était auror, il y eut plusieurs situations qui aurait mené un autre à tuer, mais lui préférait les envoyer à Azkaban et ne pas prendre la responsabilité du jugement dernier. C'est ce qu'il avait fait avec Peter.
Les deux femmes étaient toujours l'une en devant de l'autre, immobiles. Ron s'en approcha, aucune n'eut de réaction face à sa venue. Il regarda Bellatrix. Ses pupilles étaient dilatées, sa bouche entre-ouverte, son souffle lent et régulier, comme si elle s'était endormie, debout les yeux grands ouverts. Ron lui prit la main, elle n'eut aucune réaction, il y glissa la pièce de monnaie, murmura « Azkaban », puis elle disparut.
Il se retourna alors vers l'étrangère.
" Quatre jours nous ont séparé Ronald, commença-t-elle d'un ton lointain en caressant la joue de l'auror.
Il la regarda, quatre jours pour elle, mais quatre mois pour lui...
" Comment as-tu su? lui demanda-t-il.
" Quand nous avons fait le pacte du silence, tu nous as laissé un bout de ton cœur. C'est comme ça que j'ai su que tu avais besoin d'aide. Père m'a permis d'intervenir. Mais seulement pour cette fois. Tu devras faire le reste seul, Ronald.
Azenor se leva sur la pointe des pieds et déposa un baiser furtif sur les lèvres du rouquin avant de s'évaporer dans une brume de la couleur de ses yeux. Ron resta figé quelques instants, paralysé par le baiser. Quand elle s'était approchée, il a pu sentir le parfum floral de ses cheveux. Un parfum qui restera gravé dans sa mémoire pour le reste de sa vie, comme les douze jours qu'il avait passé sur Atlantide. Léchant ses lèvres, goûtant ainsi les effluves sucrés des fruits défendus, la réalité lui tomba dessus brutalement. L'horloge sonna le premier coup de neuf heures…
Il y avait une heure que Harry était descendu dans la Chambre des Secrets. Une voix résonna alors dans sa tête, plus fortement que le gong de l'horloge : « Si je ne suis pas revenu, ici, avec Ginny, dans une heure, c'est que je suis mort. Alors le monde reposera entre tes mains. » Son cœur s'arrêta et ses entrailles se comprimèrent. Il n'était pas près à l'affronter, mais il n'avait plus le choix, il avait donné sa parole. En se rendant rapidement aux toilettes des filles, s'apercevant ainsi que Harry n'était par réapparu, il espéra qu'il avait seulement prit plus de temps qu'il ne l'ait cru et qu'en descendant dans la trappe, il découvrirait Ginny et Harry en vie.
Le chemin fut facilement et rapidement franchit. Aucun mangemort, aucune créature ne vint interrompre sa marche vers l'ennemi. L'odeur qui régnait dans le passage souterrain était putride presque insupportable. Le tunnel était toujours dans une obscurité sinistre, les parois de pierres suintaient d'humidité et le gros trou qu'il avait creuser dans l'éboulis de rocs était toujours intacte.
Il avançait sans vraiment réfléchir. Il avait peur, terriblement peur de découvrir ce qui se cacherait derrière la porte de la Chambre. Il était terrifié à l'idée de retrouver sa petite sœur, morte sur le plancher, son meilleur ami à ses côtés et Voldemort debout l'attendant pour le combattre. Il ne pouvait entendre que le vacarme que faisait son cœur dans sa poitrine, il s'accrochait à sa baguette pour ne pas trop trembler, de grosses gouttes perlaient son front.
Il ne lui restait que quelques mètre à franchir avant d'atteindre la porte. C'est à ce moment qu'il trébucha sur quelque chose de froid. Il leva sa baguette allumée pour examiner ce qui était étendu par terre. C'était long, mince et vert. Il parcoura de sa baguette la silhouette serpentine et s'aperçu qu'elle était tranchée en deux. Harry avait combattu et vaincu Nagini. C'était un bon présage pensa Ron.
Il enjamba le serpent mort et avança vers la porte. Elle était entre-ouverte, retenu par une pierre. Il osa un coup d'œil à l'intérieur. La première chose qu'il aperçut, ce fut un corps allongé au pied d'un immense pilier de pierre faiblement éclairer par les torches. Il se sentit soudainement bizarre. Il avait mainte fois imaginé son corps, que le voir en chair et en os était impressionnant. Il était comme Harry l'avait décrit, mais cette fois, ses yeux de serpent rouge sang était clos, il était étendu par terre, mort. Le Seigneur des Ténèbres avait été vaincu.
Une joie indescriptible le submergea, tout allait enfin prendre fin… mais il restait encore une chose à voir. Il pénétra dans la Chambre, et chercha sa petite sœur des yeux. Et il la vit. Vivante, enlacer dans les bras de Harry. La joie qui l'avait envahit en voyant le corps de Voldemort, se quintupla. Ginny et Harry s'embrassaient et ils étaient vivants.
Mais toute cette joie s'écroula quand il vit le rayon de lumière verte entre les deux corps étreints, puis le corps de Ginny tomber abruptement contre le sol sous la baguette levée de Harry Potter.
Hahaha!À la prochaine!
Emily
