My Megami-Sama
- Author : Hyline
- Genre(s) : Romance
- Couple : Draco / Narcissa
Bonne Lecture!
Chap.7: Acte interdit
Draco prit la couverture de ses mains et la fit glisser le long du corps de sa mère et la lui retira. La fenêtre de sa chambre était toujours fermé, l'atmosphère y était douce et chaude. On pouvait entendre le léger vent à l'extérieur faire sonner les clochettes du jardin, ainsi que celles du balcon. À l'aide de son index droit, il suivit les formes de sa colonne vertébrale le long de son dos. Son corps était parfait, doux et chaleureux. Comme Draco n'avait pas sa chemise, et qu'il transpirait, sa sueur fit piqué les écorchures que Narcissa avait. Elle tenta de se dégager de cette étreinte, mais elle était trop faible face à ces caresses. Elle ne pouvait pas faire ça! Ils ne pouvaient faire ça!
- Draco, je t'en pris, ne me touche pas...
- Non maman, je ne peux pas, ton coprs m'a envouté, tu m'as charmé. Tu es ma mère, je le sais, mais je t'aime, je suis amoureux de toi et de personne d'autre. C'est toi que je veux et n'es pas peur, je ne te ferais pas de mal.
- Ne dis pas de pareilles choses, retir tes mains et calme toi.
- Je suis impuissant face à mes sentiments. Je caresse ton corps comme si je caressait une lyre de mes doigts. Je ne peux cesser cette douce musique à mes oreilles, sinon je risquerais de devenir fou.
Arrivé en bas de son dos, il lui caressa les hanches, puis s'avança un peu plus d'elle, jusqu'à la faire asseoir sur lui. Narcissa tourna sa tête et ses cheveux, qui lui arrivaient aux cuisses, frôlèrent le torse athlétique de son fils, ou pouvons-nous dire, de son amant.1 Elle s'allongea sur le lit et il lui monta dessus. Une jambe de chaque côté d'elle, il se baissa vers son cou et l'embrassa sensuellement. Sa main droite se promenait sur ses cuisses humides, et sa main gauche lui emprisonné les poignets en haut de sa tête.
Narcissa ferma les yeux, comme pour se dire que se n'était qu'un rêve, que ce qu'elle vivait n'était pas réelle. Mais les sensations qu'elle ressentait étaient bien vrai, ils la faisaient frissoner et trembler. Elle avait peur, peur de se que lui faisait ressentir Draco. C'était son fils et elle l'aimait aussi, de tout son coeur, mais le fait d'être si proche l'un de l'autre, la rendait fiévreuse et nerveuse. Mais maintenant, leur deux corps s'enflammaient et fusionnaient, pour ne former qu'un seul être, la mère et le fils, le ciel et la terre.
- Oh! Draco, gémit-elle, arrête-toi, s'il-te-plaît. Que sommes-nous entrain de faire? C'est contre la nature, contre la loi, contre...
- Tu es ma génitrice et moi ton fils, lui chuchota-t-il à l'oreille, nous sommes des humains libres de nos faits et gestes. Je t'aime et je sais que tu ne veux pas que je me sépare de toi. À chaque nuits, j'espère ressentir ta chaleur sécuratrice proche de mon corps glacé. Si un jour tu me quittais, je ne serrais que faire et je m'en voudrais de te perdre dans les ténèbres.
Narcissa ferma les yeux de bonheur et serra son fils contre elle. Draco quitta le cou de sa mère et sortit sa langue pour délecter son corps. Un gémissement franchit les lèvres de Narcissa et son corps se paralysa de plaisir. Des larmes lui coulèrent des yeux, cela la faisait tellement souffrir de voir son fils épris de son corps et de son âme. C'était son unique enfant, et elle l'aimait d'une manière plus intense qu'une mère aime son fils. La jouissance qu'il lui faisait éprouvé était nouvelle, elle n'avait jamais ressentit cela avec Lucius. Draco était sensuel et passionné. Cette émotion très forte vainquait la raison et la poussait vers un amour extrême. Elle eut soudain un mouvement violent de l'âme et son coeur faillit lui déchirait la poitrine. Elle savait que ce qu'ils faisaient été insensé et déraisonnable, mais la demence les avait envahi et ils étaient inséparables. C'est comme s'ils écoutaient une musique leur murmurer de continuer et de suivre son rythme long et charnelle. Elle se sentait enchaîné, prisonnière de ces caresses qui lui faisaient émerger un nouvel instinct, un ancien instinct où pendant l'antiquité, les relations qu'on appelle complexe d'oedipe était ordinaires et possibles. Elle ne se compliqua plus les idées et laissa faire son fils sans l'arrêter.
Draco parcourait le coprs de sa mère avec plaisir, en ne laissant un endroit vierge sans y imprégner sa signature. Il laissait ses lèvres se promener et ses cheveux glisser sur sa peau. Mais une peur qui le possédait depuis le début ne le quitta pas, la peur de l'offenser ou de la choquer. Il avait peur qu'après que tout ceci soit terminé, qu'elle ne veuille plus le revoir, et l'éviterais. Cela le tuerait et le rendrais malheureux au point de perdre la raison. Mais pour l'instant, les yeux fermé, il ne pensait qu'à la folie qui commençait à le dévorer et au bien-être qu'il éprouvait à dévisager sa mère de cette manière. Il se sentait revivre et en sécurité près de se corps et cet esprit bienveillant.
- Maman je t'aime, se disait-il en la touchant avec crainte et attention, je t'aime. Mon sang coule dans tes veines, mon corps touche le tien et mon amour atteint ton coeur. Nous sommes liés depuis la naissance et jusqu'à la mort.
On entendit le vent souffler au dehors, traversant les volés de la chambre, accompagné d'un son qui semblait être les pleurs d'un bébé et les cris d'une mère.
- Oh maman!
À suivre...
1 Puré, qu'est-ce que j'ai pas chavirer de ma chaise en écrivant cette partie, j'ai fondu comme un beurre sur une poêle. P.S En lisant cette partie, si vous pouvez écouter en même temps la chanson Cold de Everly Brothers & Jim Steinman, (pour ceux qui aime le rock et qui connaissent la reine des damnés),je vous jure que ça m'a donné des frissons
Ou sinon, si vous n'aimez pas, écoutez donc une chanson oriental du désert, style: les milles et une nuit! Par exemple: Terra Firma de Delerium feat Aude ou Oriental Taboo de Arabian Spices ( très vivement conseillé).
Dans cette fic (vous devez vous demander comment j'ai pu écrire une chose pareille?), j'ai plutôt voulu viser les sentiments des personnages et non la description de la scene d'amour. Ce qu'il ressentait et se disait était plus important, la relation physique des deux corps vient en second plant, même si elle est importante aussi. Je ne voulait pas faire quelque chose de pervers mais de sensuelle.
