ZONE EROGENE
Auteuse : KKK
Titre : Zone érogène
Base : Harry Potter
Genre : Yaoï ; Rated : M NC-17 (donc comprenez par là, pas de mineurs, pas d'homophobes et pas de prudes... du moins si vous souhaitez préserver votre pudeur) ; POV alternée d'Harry et Draco. (Ne tiens pas compte du HP 6)
Statu : Pour tout vous dire je n'en ai plus la moindre idée ! lol ! Mais j'ai comme l'impression que ça va être un tout petit peu plus long que prévu. J'espère que ça ne vous dérange pas.
Couple : c'est un Drarry en bonne et due forme.
Disclaimer : Propriété de JKR toujours aussi talentueuse
Résumé : Zone érogène ou comment Malfoy se divertit de l'étrange maladie d'un survivant ma foi très sensible...
Note :
Bon alors... est-ce le dernier chapitre ? Pour tout vous dire je n'en sais rien ! Nous verrons jusqu'où me pousse mon inspiration ? En tout cas, je vous demanderais une chose ! Et c'est très sincèrement un avertissement dont il faut que vous teniez compte !
Pourquoi ?
Tout simplement parce que le chapitre qui arrive est d'un, tout droit sortit de mon cerveau déjanté et tordu l'extrême ! De deux, parce qu'il est préférable que les âmes sensibles s'abstiennent de lire.
Draco : C'est un peu présomptueux de ta part, de penser choquer tes lecteurs non ?
KKK : Probablement, mais j'ai pas envie de me faire taper dessus !
Draco : Mais tu parles quand même à des lecteurs avertis non ? Ils ont en vu d'autres !
KKK : J'espère...
Harry : Je dois quand même dire que le rating n'est absolument en aucun cas exagéré...
Draco : -.-... En effet...
KKK : Qu'est-ce que je disais !
Enfin, mis à part ça je vais maintenant répondre à toutes vos superbes reviews.
Loryah : Tu as raison sur toute la ligne ! Ryry va très vite lui ouvrir les yeux, et d'une manière assez particulière je dois dire ! Enfin, merci pour ta review et surtout pour tes conseils en matière d'informatique. C'est très gentil d'avoir voulu m'aider ! Kissouxxxx
Onarluca : Roh lala ! Merci bicou, tu es très motivante. En tout cas j'espère que ce chapitre sera à la hauteur de tes espérances. Je me permets d'ajouter que tu pourrais même l'adorer à la condition que tu sois aussi vicieuse que moi... Au sens large du terme, bien entendu. Kissouxxxx
Mariannella : Ma chtite sœur que j'aimeeeuuuhhhh ! Tes reviews me ferons toujours autant rire ! Et oui, ce chap promet d'être... riche en surprise lol ! Voire même très riche ! Pour ne pas dire Hot ! Enfin, tu me manques beaucoup ça fait un moment qu'on n'a pas discuté, mais bon, je te fais un gros kissouxxxx de notre part à tous les trois ! J'espère que ton cadeau continuera de te plaire !
Jessy : OUAIS ! À fond avec toi ! . ! Héhé... Ils vont en baver tous les deux par contre ! Allez, Kissouxxxx et merci !
Crystal d'Avalon : XD ! °w°... hum on verra bien lol ! Merci et gros kissouxxxx
Momo13 : MDR ! J'espère que Dray va bien ! Lé légèrement violente Kitsu ne ? Bref ! Dommage pour la cassette TT.TT, mais bon, prépare ton magnéto, je crois que tu auras de quoi faire ! Merci, Kissouxxxx
Sahada : Trop bô ! °o°... Merci infiniment ! Kissouxxxx
Egwene Al'vere : lol ! Moui, c'est promis ! Le Lemon est là et il n'attend que toi, mais mais mais... kom beaucoup tu risques d'être fortement frustrée à la fin... nyéhéhé, je peux pas m'empêcher d'être sadique. Kissouxxxx
Ishtar205 : Lol ! Mééééé oui ! Tu ne pense pas qu'à ça... Autant que Dray dit kil n'est pas amoureux hein ? lol ! T'inkiète si je n'ai pas mis de lemon dans le chapitre précédent c'est parce qu'il est ICI ! Allez, file le lire espèce de... lol ! Je t'adore, Kissouxxxx et merci ! Mais fais attention, paske tu risques de te sentir très frustrée vers la fin... moua haha - rire diabolique -
Dark Amy : Rooh ! ( Vire pivoine) Merci du compliment, il me va droit au cœur ! Allez zou, pour un autre chapitre ! lol ! Kissouxxxx
Zaika : Déjà ! Et on est qu'au troisième chapitre là lol ! Tu vas sûrement adorer celui-là, surtout si tu montres certaine prédisposition tout comme moi, pour ce qui est déluré, pervers et autres joies de ce monde. Lol ! Allez Kissouxxxx
Emery : Ma tendre pitchoune ! Tu me fais toujours autant délirer lol ! J'aime bien Pansy, je trouve qu'on devrait plus souvent lui donner un gentil rôle mais bon... (en méchante elle est pas mal non plus !) Et tiens toi bien, ma soi-disant prude et innocente marite paske là t'aura sûrement besoin d'une quantité non négligeable d'eau glacée. Lol ! Kissouxxxx de notre part !
Patdrue : Merci et je pense que tu as vraiment raison pour Pansy. Lol ! Kissouxxxx
Lysanthius : Un gros merci à toi, mais tu sais pourquoi... Enfin, ça c'est dans l'optique où tu as bien reçu mon mail ! lol ! Kissouxxxx
Angel Malfoy : Ne t'inkiète pas elle sera finie ! Je ne sais pas exactement quand, mais elle sera finie ! et puis qui sait c'est peut-être le dernier chapitre celui-là ! Je ne sais pas lol ! Tu n'es pas obsédée par Dray ? Laisse-moi rire ! Autant qu'il est un Serpentard dans ce cas non ? MDR ! Tu sais ce que Dray te dirait ? Avoue donc tes sombres et égrillardes inhibitions... lol ! Merci encore et gros kissouxxxx
Celymoony : Merci –stop- bicoup –stop- MDR ! –stop-... Allez, j'arrête les conneries, mais c'est de ta faute ! J'étais explosée de rire devant ta review... mdr ! Enfin, bon... En effet il va y avoir du sport à Poudlard, mais pas le genre de la coupe de feu si tu vois où je veux en venir ! Un autre feu brûle... Kissouxxxx
Vert emeraude : Héhé ! Comme beaucoup tu partage l'avis de Pansy et il n'y a en effet que Dray pour ne pas voir ce qui est en plein milieu de sa belle gueule d'ange ! Enfin bon... Les garçons blond Serpentards, ne sont pas connus pour leurs clairvoyances ! Enfin, dans des domaines bien précis évidemment ! Allez, Merci et gros Kissouxxxx !
Namasta : XD ! J'adore ta manière de dédramatiser les choses lol ! Dray va faire une bêtise et qui va consoler le pauvre Harry ? Hum... C'est ce qui s'appelle profiter de la situation. Mais personne ne peut t'en vouloir, et surtout pas moi. Je ferais la même chose à ta place ! XD ! Mais bon, c'est mal connaître Harry, car quand il veut quelque chose, c'est un acharné lol ! Allez, merci bicou et zou, file lire la suite ! Kissouxxxx
Miss Black : Au contraire. J'adore qu'on me pose des questions. Ça prouve que les gens s'intéressent à ce que j'écris. Pour répondre à tes questions : A force de lire des fics où les sales gosses ici présents jouissaient presque rien qu'en se léchouillant le cou, je me suis dit, pourquoi ne pas faire en sorte que ça arrive pour de vrai ? Ça pourrait être marrant. Et je suis heureuse de constater que ça plaît, paske je pensais que les gens trouveraient ça trop tordu pour être lu. Lol. En ce qui concerne mon imagination, elle va, elle vient, tout dépend du sujet ou du petit truc même con, qui me fait flasher et délirer grave. En tout cas, merci bicoup pour ta review elle m'a touchée. Kissouxxxx miss.
Voilà ! J'espère n'avoir oublié personne et si c'est le cas, je tiens à dire pour ma défense que c'est absolument indépendant de ma volonté... Merci !
Un gros kiss à ma béta-lectrice Juju pour ses commentaires de fin !
Encore une chose : PARDON pour le terrible retard. Mais j'ai pris quelques jours de vacances à l'improviste et je n'ai pas pu poster la suite tout de suite. PARDON. Pas taper é.è... mais comme tout le monde j'ai besoin de repos.
Allez bonne lecturrreeeuuuuuuuuhhhhhh...
POV Draco :
Non franchement ! Mais qu'est-ce qu'elle croit celle-là hein ? Me dire que je suis amoureux de Potter est vraiment la pire insulte qu'elle puisse me faire.
Je. Ne. Suis. Pas. Amoureux. De. Potter. ((1))
En quelle langue faut-il que je m'exprime pour enfin me faire comprendre de mes pairs ? J'en ai vraiment assez de toutes ses personnes qui croient ou pensent me connaître. Je suis quand même le mieux placé pour savoir de quoi je parle non ?
Bon. Puisqu'il lui faut une preuve, et bien je vais lui en donner une et tout de suite même. Je t'aime bien Pansy, mais là, tu m'as cherché. Et tu vas te rendre compte que mieux vaut mesurer la portée de ses paroles avant de s'adresser à un Malfoy.
À Draco Malfoy en particulier.
Me dirigeant d'un pas rapide, vers la tour des Gryffondors où je suis persuadé de trouver Potter, je me saisis de ma baguette, avant de murmurer « Illusionnum ». ((2))
Une fine volute verte s'échappe de l'embout de ma baguette et satisfait, je peux me concentrer sur la meilleure manière de pénétrer la tour maudite des lionceaux enragés.
Réfléchis Draco. À moins de torturer une première année pour lui faire cracher le mot de passe, je ne sais pas comment entrer. C'est frustrant et ça ne fait qu'exacerber mes sens. Bon. Je ne suis quand même pas stupide. Il faut que je trouve une solution.
Plongée dans ma réflexion, je ne regarde évidemment pas devant moi et je finis par buter contre quelqu'un. Un quelqu'un très grand soit dit en passant. Titubant un peu, je me recule néanmoins prêt à incendier l'inconnu quand mon regard se fige.
« Pr... Professeur Rogue, dis-je. »
« Monsieur Malfoy, peut-on savoir où vous courrez comme ça, me demande-t-il froidement. »
Merde. Manquait plus que lui pour gâcher ma journée. Bon, une excuse et vite.
« Euh... À la bibliothèque professeur. »
Ouh. Excuse bidon et bancale. Mais bon... espérons que ça marche. Il me toise d'un œil circonspect, puis hausse un sourcil. Son regard se pose sur mes mains et j'ai l'impression qu'il devient plus pâle encore. Je ne comprends pas, mais je n'ai pas le temps de m'occuper de ça. Il faut que j'arrive à me débarrasser au plus vite de lui.
« Très bien Monsieur Malfoy, finit-il par dire. Mais la prochaine fois tâchez de regarder où vous allez. »
J'acquiesce vigoureusement de la tête et je me carapate vite fait. J'ai dû perdre deux bonnes minutes. Rah ! Si ça continue, je ne pourrais jamais prouver à Pansy qu'elle a tort. Et puis, là franchement je suis chaud.
Bon alors... où en étais-je déjà ? Moui. Comment entrer dans la tour de Gryffondors ?
Ah ! La chance me sourit peut-être enfin... Un groupe de première année de la maison des Gryffy passe près de moi et manifestement ils se dirigent vers leur tour.
Je souris. J'ai une très brillante idée. Non. Je ne suis pas désespéré au point de me déguiser en Gryffondor, mais je suis suffisamment malin et énervé pour le faire. Et hop ! En un tour de baguette, le magnifique vert et argent de ma robe s'est transformés en un rouge passion criard et un jaune poussin très laid. Le magnifique écusson des Serpentards c'est changé en un horrible lion aux allures féroces.
Mais la grosse dame n'est pas idiote. Et si je dois passer par la salle commune des Gryffy il faut que je me fasse remarquer un minimum, voire pas du tout. Seulement, avec mes cheveux plaqués sur mon crâne, être discret risque d'être difficile.
Qu'à cela ne tienne, mon « Illusionnum » ne durera pas une éternité et si je veux prouver à Pansy le bien fondé de mes paroles, il faut que je me dépêche. Ça me fait un peu mal au coeur de le faire, mais pour parfaire ma transformation, il faut que j'ébouriffe un maximum mes cheveux. Ce que je fais après les avoirs nettoyés de toute trace de gel, grâce à un sort.
Et c'est fin prêt que je me glisse enfin dans le petit groupe d'andouilles, faisant tout mon possible pour paraître désinvolte. Et c'est bien malgré moi que j'entends leur conversation, dont le sujet est oh-oh ! Surprise : Saint Potty.
Ça ne m'étonne pas vraiment remarquez. Ça va faire deux jours que Potty Gryffy est le centre d'intérêt de nombres de Poudlardiens et ses mésaventures alimentent presque toutes les conversations. Enfin, bon... il y a les mésaventures et aussi son extraordinaire arrière-train.
« Merlin, s'exclame une jeune fille aux cheveux d'ébène, il était vraiment à croquer aujourd'hui vous ne trouvez pas ? »
Entièrement d'accord avec toi.
« Oh oui ! S'extasie la brunette à ses côtés. Quand je l'ai vu entrer dans la grande salle, j'ai bien cru que j'allais m'étouffer tellement il était beau. »
Dommage...
« Ne vous faites pas trop d'illusions les filles, lance un grand brun aux yeux ambres, Harry est pour moi. »
QUOI ! Répète un peu salopard ? Comment ça Harry est à toi ? IL est à MOI ! ((3))
Ouh ! J'ai bien envie de te faire ravaler ton sourire de pervers là tout de suite. Et je le ferais d'une manière très lente et douloureuse.
Quand comprendront-ils qu'ils n'ont aucune chance avec Potter ?
Le seul qu'il désire c'est moi. Le seul qui l'excite c'est moi. Le seul qu'il a envie de baiser c'est moi. Je le seul et l'unique d'Harry. Et je compte bien faire en sorte que ça le reste.
Tu as vraiment de la chance que j'ai besoin de toi pour entrer dans la tour des Gryffondor petit con prétentieux, sinon tu rivaliserais déjà de beauté avec le plus ravissant tas d'hémoglobine visqueux c'étant jamais étalé sur le sol de Poudlard.
Perdu dans mes pensées vengeresses, je ne m'aperçois pas tout de suite que nous sommes déjà face au tableau. Reprenant mes esprits, je me tasse un peu pour éviter de me faire remarquer. La brunette s'avance et quand la grosse dame lui demande le mot de passe, répond : « Anguille farcie. »
C'est ça leur mot de passe ? Ridicule. Vraiment grotesque. C'est du n'importe quoi, mais bon, c'est Gryffondor aussi alors évitons de nous poser trop de questions.
Bon, le passage s'ouvre et là, mon cœur commence à légèrement tambouriner. Il faut dire que j'entre directement dans une arène remplie de lion.
Mais je suis un valeureux gladiateur et puis surtout... Si je veux prouver une bonne fois pour toute à Pansy que ce qu'elle a dit est faux, je suis obligé de le faire. C'est l'honneur d'un Malfoy qui est en jeu. Et plus encore, le mien. Personnellement.
Inspirant profondément, je suis le petit groupe qui entre en une joyeuse cacophonie. C'est fou que les Gryffondors peuvent être bruyant. Ça ne leur arrive jamais de se taire ?
Jetant un rapide coup d'œil autour de moi, je remarque vite fait l'escalier menant à la chambre privée de Potter. Et oui. Il a une chambre privée. Mais ça se comprend. Il est harcelé par tout et tout le monde, donc quoi de plus naturel de mettre son pauvre petit corps à l'abri de quelconques assauts enfiévrés.
Bon, c'est pas le moment de traîner. Pourvu que je ne me fasse pas remarquer. Inspirant profondément, je me lance essayant tant bien que mal de ne pas courir, et Ô joie ultime, j'arrive sains et sauf à la première marche.
Bien. Je commence donc à monter l'escalier en colimaçon et alors que je me sens presque soulagé d'être à l'étage...
PUTAIN
DE
MERDE !
Devinez qui est entrain de descendre ? Indices : brun, une tignasse ébène en bazar, des lunettes rondes dissimulant un magnifique regard émeraude, et le détail qui tue, un cul sur lequel je salive depuis un moment.
Bon sang ! Potter, mais qu'est-ce qu'il fout là ? Question stupide je sais, mais je comptais vraiment aller le retrouver dans sa chambre et si jamais il me chope ici, non seulement il va se foutre de ma gueule, mais en plus il serait capable de crier un « MALFOY ! » tellement sonore, que je me ferais dévorer sur place par tous les Gryffy présents.
Putain ! Je suis vraiment malchanceux. Comment me sortir de là ? Et Potter qui se rapproche.
Bien évidemment, la poisse étant ma meilleure amie, ne me lâche pas et arrive ce que je redoutais. Potter lève la tête vers moi, fronce un peu les sourcils et soudain écarquilles les yeux ses lèvres formant un immense O silencieux.
Certains qu'il va hurler mon nom (bien que ça ne me dérangerais pas d'autres circonstances) je me précipite vers lui et plaque un peu brutalement ma main sur ses lèvres.
Il n'a donc pour ainsi dire pas eu le temps de comprendre ce qu'il lui arrivait.
Le cœur battant la chamade, je me place derrière lui, sans ôter ma main de sa bouche, et je me penche un peu.
« Potter, nous allons gentiment rejoindre ta chambre, c'est compris ? »
Il a l'air pétrifié. Si je n'étais pas en danger imminent, je me serais délecté de cette sensation de pouvoir sur lui, mais en l'occurrence mon joli postérieur risque gros, donc je n'ai pas de temps à perdre. Je réitère mon ordre, mais il ne réagit toujours pas.
Qu'à cela ne tienne, je sais comment le faire réagir. Je l'attire tout contre moi avant de poser une main ferme sur son épaule dénudée. Et là, réaction immédiate, j'entends un gémissement étouffé. Mais, il ne bouge toujours pas, comme si ses pieds étaient collés au sol. Agacé et terrifié que l'on puisse me découvrir à tout moment, j'accentue la pression de ma main, tout en passant une langue provocatrice le long de sa nuque, espérant par la même lui faire comprendre l'urgence de la situation.
Je le sens frissonner et son gémissement se fait plus long, à mesure que ma langue experte court sur sa peau et que ma main masse son épaule.
Diable. Si je ne craignais pas autant pour la vie de mon cul, je me sentirais passablement excité... D'ailleurs, je le suis. À croire que le danger échauffe davantage mes sens et... mon corps. ((4))
Potty, loin de se dérober à mes caresses, se presse plus étroitement encore contre moi, plaquant ses fesses sur mon érection naissante et déjà bien conséquente. Merlin. Ce sale petit con de Gryffy cherche à me tuer ou quoi ?
« Potter, murmure-je la voix rendue rauque par le désir, je n'ai pas de temps à perdre. Alors, conduit-moi à ta chambre ! »
Mais il ne bouge pas. Enfin, pas comme je le veux. Enfin, si mais... oh ! Et puis merde ! Ce sale petit sagouin au lieu de bouger son cul pour m'emmener dans sa chambre, bouge son cul contre ma queue tendue pour de bon.
Et malheur à moi, je laisse m'échapper un soupir rauque, tandis que son putain d'arrière-train se meut de plus en plus sensuellement.
Je sens ses lèvres s'étirer en un large sourire contre la paume de ma main. Le con ! Il sait exactement ce qu'il fait. Il est entrain de me provoquer. Il est entrain de me provoquer. ((5))
Il sait que je me sens mal à l'aise dans cette situation. Il sait que je n'ai pas envie d'être découvert par les lionceaux affamés de sa maison et il en joue. Il me lance un défi. Mais s'il croit que je vais le laisser gagner, il se trompe.
Oh ! Oui, il se trompe lourdement. Et je vais le lui prouver. Au jeu de la provocation, je suis le plus fort et je suis certains de gagner celui-là. Il aime le risque. Il aime le danger. Ça le fait bander et malgré tout moi aussi.
Tu veux jouer petit Gryffy ? Et bien on va jouer. Mais c'est moi qui fixe les règles, connard. Je vais amèrement te faire regretter ton audace.
Déterminé, et oubliant ma peur d'être grillé dans l'escalier entrain de peloter Potter, je me jette sur son cou pour le dévorer avec rage et passion. Il tressaille et son cul se fait plus pressant contre ma bite.
Excité, je libère ses lèvres et l'entends haleter fébrilement, et murmurer quelque chose tandis que ma langue s'active sur sa peau satinée, et que mes mains caressent avec langueur ses épaules offertes. Le gémissement qu'il pousse ensuite me fait alors totalement perdre le contrôle de moi-même, et je le placarde avec brusquerie contre le mur de l'escalier, lui faisant lâcher baguette et livres qu'il tenait en main. ((6))
Dos à moi, ses mains se perdent sur les briques froides du mur, pendant que j'asticote avec ferveur son cou, pétrissant encore et toujours ses épaules si réceptives. Son front est collé sur la pierre, son corps tremble, sa respiration s'accélèrent en même temps que le rythme de ses fesses contre ma verge douloureuse d'anticipation, augmente.
Mon désir est au maximum, et d'un coup de rein, je le fais gémir plus fort encore, avant de commencer à mimer l'acte. Mes coups de boutoir son dur et précis, juste sur la raie de ses sublimes fesses, là ou le tissu de son pantalon m'empêche de le pénétrer.
Délaissant son cou, je colle mon corps au sien sans cesser le mouvement de mes hanches et de mes mains. Je sais qu'il adore ça.
C'est alors que je le vois tourné la tête sur le côté. Dans le mouvement, ses lunettes tombent sur le sol, mais ne se brisent pas. Elles doivent êtres habitués aux chutes à force.
La vision que m'offre Potter de son visage rougi par le désir, de ses lèvres entrouvertes sur des anhélations saccadées, de son regard dissimulé sous une frange de broussaille brune, est presque suffisante pour me faire venir et attise encore plus mon appétit. ((7))
J'accélère la cadence et je l'entend gémir avant de passer une langue tremblotante sur ses lèvres sèches. J'ai subitement besoin de sentir le velouté de cette chair rose sur mes doigts. J'abandonne une de ses épaules, humidifie un doigt pour qu'il sente mon goût avant de me pencher pour le passer suavement sur sa bouche.
Il ouvre alors les yeux, fixe mon doigt un moment, avant de le happer et de se mettre à le sucer tout en mouvant sa tête d'avant en arrière comme s'il suçait une autre partie de mon anatomie soudain beaucoup plus guillerette.
Grisé par cette langue épaisse, je retire mon doigt m'attirant un geignement courroucé qui se mue en hoquets ravis quand ma main se pose vivement sur son entrejambe et la serre avec force.
Mais, je n'ai pas l'intention de caresser son membre à travers le tissu de son pantalon, non. Il faut que je le punisse. Que la vengeance est douce. Et alors, je me mets à tapoter doucement mais fermement son sexe grossi à l'extrême, tout en me délectant de ses petits cris plaintifs mais extatiques. ((8))
Merlin Potter si tu savais comme j'ai envie de toi. Si tu savais à quel point je peux aimer te donner du plaisir. Si tu savais combien j'aime sentir et entendre ton plaisir.
« Tu aimes ça Potter, hein ? »
Pas de réponse. Juste de profonds soupirs de gorge. Je n'aime pas qu'on m'ignore et je meurtris son épaule tout en serrant pleinement sa queue. Il pousse un petit cri de douleur mêlé au plaisir.
« Répond Potty... tu aimes ce que je te fais, sale pervers ! » ((9))
« Oh ! Putain Malfoy... va... va te faire foutre ! »
« Mauvaise réponse Potty. Tu vas amèrement regretter de ne pas m'avoir conduit jusqu'à ta chambre... »
Il éclate de rire. Ce con éclate de rire. Pourquoi éclate-t-il de rire ?
« Je... aaah !... Je ne crois paaah... »
« Tu me provoques ? Mais qu'est-ce que tu cherches ? Tu veux que je te viole là tout de suite ? »
« Mmmnn ! Ose... ose si tu peux... aaah... »
Pour le coup. Je suis sur le cul.
Tant d'audace, de la part de Potter, me déroute complètement. Il n'est pas comme ça d'ordinaire. Il ne se laisserait jamais faire.
Et puis où sont passées ses éternelles remontrances au sujet du « je ne suis pas à toi », « je ne t'appartiens pas », « je ne suis pas ton objet » ?
Je ne le comprends pas. Je ne le comprends plus. Pourquoi ne se défend-t-il pas ?
Se laisserait-il par le plus grand des hasards, prendre par n'importe qui ? Non. Je ne peux pas le croire. Je ne veux pas le croire. Il ne peut pas me tromper de la sorte. C'est impossible. C'est moi qu'il veut. Ça ne peut-être que moi.
Mais pourquoi me laisse-t-il faire ? Pourquoi accepte-t-il de n'être qu'un simple objet entre mes mains ?
Je sais très bien, que la morsure de la Sensitive fait effet sur lui, et que ses sens le bouleversent. Ils sont exacerbés en permanence, et je sais qu'il est difficile pour lui de se contrôler. C'est la raison qui me pousse à en jouer. Mais...
Mais, ça ne lui ressemble pas de se laisser dominer ainsi. Ce qui s'est passé dans l'infirmerie était différent. Je le voulais et il me voulait, mais je n'avais aucun doute sur son consentement, parce que c'est lui qui me l'avait demandé. De manière implicite, certes, mais il m'avait demandé de le prendre et je lui ai obéi.
Le jour où je l'avais acculé contre un mur dans une salle vide, j'avais clairement senti son désir. Je savais qu'au moindre geste de ma part, il succomberait mais je n'ai rien fais. Je n'ai rien fais parce que ce jour-là, sa volonté était nettement ébranlée par le poison du désir de cette plante... Ce jour-là, il ne m'avait rien demandé. Il me désirait, mais ne m'avait rien demandé...
Et aujourd'hui encore, c'est le même scénario. Il a envie de moi. Il me veut en lui, il veut que je m'enfonce, et que je le culbute avec fièvre sans aucune retenue, je le sais, je le sens, mais... mais il ne me le demande pas.
Pourquoi ne me le demande-t-il pas ? Pourquoi, cherche-t-il simplement à me troubler sans rien me demander en retour ? Pourquoi, s'offre-t-il à moi de cette manière ? Sans rien en échange.
Je ne comprends pas ? Mais, ce que j'ai encore plus de mal à saisir, c'est pourquoi, MOI, je ne peux rien lui faire sans un véritable assentiment ?
Pourquoi ne puis-je pas tout simplement succomber à mes désirs et laisser nos deux corps se consumer de plaisir ? Je suis Draco Malfoy par Merlin ! Je prends ce que je veux, quand je le veux et si je le veux !
Pourquoi diable Potter remet-il en question mon impérialité ? Pourquoi est-ce différant uniquement avec lui ?
Bon sang, avec tout ça, j'ai perdu toute envie de le baiser sauvagement, comme j'en avais l'intention avant d'arriver ici.
La flamme qui brûle entre mes jambes s'atténue et meurs... Je n'ai plus envie de lui. ((10))
Enfin, si... mais, j'ai envie de lui d'une autre manière. Je ne sais pas encore laquelle mais je le découvrirais. En attendant, je ne peux pas, je ne peux plus prendre Potter dans ces escaliers bien que l'idée eût été alléchante.
Criant presque de frustration, je me détache de lui avec rudesse. Potter, le front toujours plaqué sur le mur, halète et frissonne encore de mon contact, de mon toucher. Ses jambes le trahissent et il s'affale sur les marches.
Je lui lance un dernier regard méprisant avant de m'éloigner. Mais alors que je descends les marches, je l'entends m'appeler. Je m'arrête, mais ne lui fait pas face. Je ne peux pas.
« O... On a peur Malfoy, halète-t-il sarcastique. »
« Ta gueule Potter ! »
« M... Mais, je... je croyais pourtant... que... que tu avais envie de moi ? » ((11))
Il a encore du mal à retrouver son souffle.
« As-tu seulement lu ma lettre Potter ? Je n'ai pas envie de baiser un mec transformé en légume asservit par le plaisir à cause d'une stupide plante. »
Et sur ce, je le laisse ignorant les insultes qu'il crache. Une fois au pied des marches, mon cœur recommence légèrement à s'emballer, mais dame chance me sourit, il n'y a personne dans la salle commune.
Souriant, et pressé de sortir de cet antre couleur de sang et de feu, je me dépêche de traverser la pièce sans un regard en arrière.
Une fois sortit de là, je saisis ma baguette et m'empresse de changer la couleur de mes vêtements, mon écusson ainsi que ma coiffure.
Me voilà redevenu un parfait petit Serpentard. Enfin... le mot est étrangement amer dans ma bouche, car, depuis quand un Serpentard est-il censé avoir des états d'âme ? ((12))
POV Harry :
Par merlin ! J'en suis encore tout retourné. Mais que foutait-il ici bon dieu ? Il m'a pris au dépourvu là.
Je sais parfaitement qu'il voulait me baiser, mais bon sang, il a bien faillit faire rater tout mon plan ! Un plan soigneusement élaboré par mes bons petits soins. Mah ! Je n'y avais pas réfléchis bien longtemps certes, mais bon, il y a bien une expression quelconque qui parle « d'illumination » non ?
Bref ! J'ai vraiment. Vraiment. Vraiment, eut très chaud. Putain, Malfoy il n'y a que toi pour m'allumer et me chauffer comme ça. À croire que tu as passé des ASPICS sur le sexe.
Ce n'est pas Merlin possible d'être à ce point excitant. Et puis franchement c'était quoi cette coiffure ? Sa chevelure blonde d'habitude si parfaitement coiffée, complètement ébouriffée sans aucune trace de gel. Je ne l'avais jamais vu aussi beau qu'à cet instant. Raah ! Je perds carrément la tête là. Il faut que je me ressaisisse. Et puis, malgré tout, même s'il était censé se trouver partout ailleurs dans Poudlard sauf ici, pour des raisons que nous comprenons tous, j'ai quand même réussi à faire en sorte que mon plan fonctionne.
En clair.
Ça a marché ! Ça a marché !
Malfoy est tombé dans mes filets et je n'ai plus qu'à le laisser mariner encore un peu avant de le tirer hors de l'eau et de dénouer les mailles de mon plan parfait de son parfait petit corps.
Bon. Je l'avoue ça va être assez difficile voire carrément une torture pour moi de ne pas lui sauter dessus pendant ce temps. Mais, je suis fort et j'ai une énorme réserve de volonté. Il faut juste que je la trouve.
J'admets quand même, que j'ai été à seulement Deux. Tous. Petits. Minis. Doigts. De le supplier de me prendre là tout de suite, maintenant, illico presto dans les escaliers. J'ai failli craqué lamentablement, mais qu'est-ce que j'aurais pris mon pied n'empêche. ((13))
Enfin bon. Il faut que je me relève et que je retourne dans ma chambre, histoire de prendre une bonne douche froide. Ce qui ne va pas être une partie de plaisir, je peux vous l'assurer. L'eau coulant sur mes épaules, c'est déjà dur à supporter, mais indubitablement associée au souvenir ardent d'un Malfoy excité... ce sera le supplice assuré et la main au panier.
Je ramasse mes affaires, et en prenant ma baguette je souris et je soupire de soulagement. Je suis certain que Malfoy a du se demander pourquoi je le provoquais ainsi sans craindre l'arrivée importune d'un Gryffondor ?
Tout simplement parce que j'avais réussi malgré la brume de plaisir, à murmurer un sort de répulsion. De sorte que si l'un de nous deux finissaient par craquer, personne ne puisse nous déranger. Heureusement, que je suis habitué à réfléchir rapidement... M'enfin, heureusement surtout que jeter ce sort faisait déjà parti de mon plan.
Plan qui, en y réfléchissant bien, était assez voire même très casse gueule.
Rien n'était certain, pourtant, je devais le faire.
Il m'a demandé si j'ai lu la lettre. Bien sûr que je l'ai lu et même relus. Et c'est justement en la relisant que j'ai compris une chose. Une chose que ma colère, ses sous-entendus fripons et ses paroles crues m'avaient dissimulé. Cette chose qui justement m'a poussé à concocter ce plan, non seulement pour lui ouvrir les yeux, mais aussi pour me convaincre.
Malfoy tient à moi. Il tient beaucoup plus à moi que ce qu'il veut bien le laisser entendre. ((14))
Pourquoi ?
Tout simplement parce que contrairement à ce que j'avais cru au départ, il ne me considère pas comme une pute. Bien au contraire. Il me respecte.
Une pute n'a pas le choix, qu'elle ait envie d'être baisée ou pas. Une pute vend son corps.
Moi, j'ai le choix, parce que justement, Malfoy me le donne. J'ai le droit de dire oui, tout comme celui de dire non. Je ne me vend pas. Je me donne. Et c'est cela, que j'ai compris à travers le déluge mots coquins.
Il ne veut pas me prendre, il veut que je me donne à lui. Il veut être certains que je sois entièrement à lui.
Je crois que lui aussi l'a compris. Inconsciemment peut-être mais il l'a compris. Je pense sincèrement que toutes mes réprimandes au sujet du « je ne suis pas à toi », « je ne t'appartiens pas », « je ne suis pas ton objet », l'ont beaucoup plus marqué qu'il ne veut bien l'admettre.
Sinon pourquoi se serait-il embarrassé à me demander si je le voulais, quand nous étions à l'infirmerie ? C'est vrai quoi. C'est un Malfoy. Un monsieur j'obtiens tout ce que je veux quand je veux si je veux.
Pourquoi ce jour-là, ne m'a-t-il pas tout simplement pris comme il pourrait le faire avec un objet ?
Tout comme la fois où il m'avait coincé dans une salle de classe vide. Là encore, en sachant mes sens émoustillés à cause de la morsure, il aurait simplement pu me baiser et me jeter ensuite.
Encore aujourd'hui, il aurait pu, pourtant il ne l'a pas fait. ((15))
Mais Malfoy étant Malfoy, même sous la torture, il refuserait d'avouer ses véritables sentiments, de se dévoiler.
Voilà pourquoi mon plan en gros était, d'abandonner l'idée de répondre à sa lettre par une autre (parce que ça n'aurait pas eu autant d'impact) de le coincer quelque part, de jeter un sort de répulsion, de l'allumer à mort tout en le provoquant. En le traitant de lâche. En le titillant sur son incapacité à honorer ses principes.
Je suis un Malfoy donc j'ai tout ce que je veux rien qu'en claquant des doigts.
Et en agissant ainsi. En faisant semblant de renier mes propres paroles, de me comporter comme une traînée, j'allais lui ouvrir les yeux. Et j'ai réussi. La preuve en est :
« As-tu seulement lu ma lettre Potter ? Je n'ai pas envie de baiser un mec transformé en légume asservit par le plaisir à cause d'une stupide plante. »
Et voilà. Le mystère est résolu et je suis convaincu de ses bonnes intentions à mon égard. M'enfin... la partie n'est pas gagnée pour autant. Car encore faut-il que lui ai saisi toute la subtilité de mon plan casse-couilles.
Tout ce que j'espère maintenant c'est qu'il avoue enfin ressentir plus pour moi que de la simple attirance sexuelle. Parce que c'est ce que moi je ressens pour lui. Je ne peux évidemment pas encore mettre un nom sur ce sentiment étrange qui étreint mon cœur chaque fois que mes pensées dérivent vers lui, mais je sais qu'il est bien présent en moi.
Je sais que ce sentiment est puissant. Je sais qu'il est fort, car curieusement, j'ai envie d'appartenir à Malfoy. Mais pas seulement physiquement, car en prenant conscience qu'il tenait à moi, j'ai également réalisé le véritable sens des mots : « Lui appartenir entièrement, corps et âme. »
Tout ce que je souhaite c'est que lui aussi réalise à quel point il a besoin de moi. Mon dieu Malfoy, je t'en supplie...
Je veux devenir ta nécessité, ta drogue tout comme tu l'es devenu pour moi.
Une fois dans ma chambre, je balance mes affaires sur mon lit, me déshabille en quatrième vitesse et court sous la douche.
J'ai véritablement besoin d'être refroidi là, mais même en ayant réglé le jet d'eau sur « Froid atrocement polaire » je sais que ça ne me fera aucun effet. Ce dont j'ai besoin c'est de me soulager et surtout de me détendre.
Mon sexe n'a pas dégrossi d'un iota. Fièrement et douloureusement gonflé, il est dressé contre mon ventre.
Avec précaution, je me glisse sous le jet d'eau glacée, et invariablement, je me mets tout de suite à gémir et à me contorsionner de plaisir. Certes les gouttes gelées rafraîchissent ma peau brûlante, mais n'atténuent en rien la chaleur qui s'empare de mon corps.
C'est comme se sentir mal tout en étant bien. C'est paradoxal, mais c'est l'effet que ça me fait.
L'eau se fracasse avec violence sur la peau sensible de mes épaules. Elle les caresses tout en les maltraitant délicieusement. Je sens d'interminables frissons remonter le long de mon épine dorsale pour exploser dans ma nuque.
Impossible de résister. Le désir est soutenu alors que le plaisir s'intensifie. Alors que je m'adosse contre le carrelage froid du mur, je me mets à penser à cette plante. La Sensitive : extraordinaire mais tellement dangereuse. Une simple morsure et elle peut rendre fou n'importe qui.
Un peu comme à l'image de Draco Malfoy : extraordinaire mais dangereux. Il me rend fou.
L'eau continue de s'abattre sur mes épaules, me faisant tremblé, gémir, souffrir de plaisir. Je saisis le gel douche et m'en verse un peu dans la main, avant de commencer à me laver. C'est une véritable torture pour moi de prendre mon bain.
Les professeurs auraient quand même pu penser à me donner une baignoire au lieu d'une cabine de couche, très étroite. L'ont-ils fait exprès ? Je ne veux même pas le savoir. ((16))
Je commence par le cou, puis la nuque avant de directement descendre sur mon torse, mon ventre et mes jambes, évitant soigneusement et le plus longtemps possible tous les endroits stratégiques.
Puis, prenant une profonde inspiration, je commence à me laver les épaules, mais c'est vraiment horrible. Que mon mouvement soit lent ou rapide, doux ou brusque, je ne peux pas m'empêcher de me contorsionner de plaisir.
Et alors le désir prend peu à peu possession de mon esprit et je n'arrive plus à me contrôler, ma volonté ayant fini par abdiquer.
N'ayant plus conscience, ni de mes gestes, ni de mes pensées, mes mains s'activent sur mes épaules. Je les malaxés accentuant davantage, les frissons de ravissement qui m'enveloppent et les grognements rauques de ma gorge.
Rapidement, perdu dans les limbes du plaisir, mes mains se font plus avides. Elles cherchent la source de mon bien-être. Elles en veulent plus. Alors, seulement je délaisse mes épaules, les laissant caresser le carrelage mouillé et glissant, pour prendre ma virilité en main et relâcher la tension qui me tourmente.
Ma main est enduite de gel et elle glisse aisément le long de ma verge tendue. Puis, après avoir esquisser quelques mouvements circulaires de mon pouce sur mon gland rougis, j'empoigne ma queue et me masturbe avec énergie, impatient de faire venir la jouissance.
Puis soudain, la sensation de la bite durcie de Draco contre mes fesses dans l'escalier, ses attouchements brutaux sur mon sexe me foudroient violemment. J'éprouve alors le besoin pressant de me sentir empalé. J'en veux plus. Nettement plus. Je suis horrifié par mes propres désirs, mais je ne peux résister à ce qu'exige impérieusement mon corps.
Jetant un coup d'œil rapide autour de moi, je ne vois rien qui puisse me satisfaire. (ndla : je vous jure que là, j'ai du me faire violence pour pas vous mettre un truc tordu et dévergonder un max notre Ryry lol) Je dois donc m'en remettre encore une fois à mes doigts. Me laissant lentement tomber à genoux sur le sol, je passe une main entre mes fesses et caresse doucement mon anus, sans cesser les frictions sur mon sexe.
Me sentant prêt, j'engage doucement un doigt en moi, puis un deuxième et un troisième le rejoignent rapidement. Commence alors un vif va-et-vient en mon sein, tentant un maximum de m'embrocher le plus profondément possible.
Comme à chaque fois les souvenirs du moment passer à l'infirmerie avec Draco me prennent d'asseaux m'excitant encore plus. C'est comme si je pouvais encore sentir la verge turgescente de mon Serpentard s'enfouir en moi, m'écarter et m'irradier de sa chaleur. C'est comme si chaque goutte d'eau roulant sur ma peau, prenaient la place de sa langue humide et douce.
Tout en gémissant, je sens le plaisir m'envahir par vague contractant tous les muscles de mon corps. Ma gorge se réchauffe, ma vision se trouble, et bientôt, l'orgasme m'emporte et je jouis fortement dans ma main et sur mon ventre.
Le corps flageolant, je m'écroule sur le sol, appréciant enfin à sa juste valeur l'eau froide qui continue de couler le long de mon corps.
Tremblant encore, mon désir provisoirement comblé, je me dépêche hors de la douche, et me sèche rapidement après mettre rincé et avoir fermé le jet.
Merlin. J'aurais tant voulu que Draco soit avec moi. ((17))
À SUIVREEEEUUUUHHHHHH...
MOUAHAHAHAHA °--------------------------------------°... Alors avais-je raison de penser que certaines ou certains allaient sentir le feu de la colère grimper en eux contre moi, tant ils sont frustré ? Ou bien êtes-vous satisfaits de ce chapitre débile mdr ?
Bon sang qu'est-ce que je suis contente d'avoir fini ce chapitre ! Mais plus sérieusement j'espère qu'il vous a plu.
Je sais, je sais, je suis une incorrigible sadique et une allumeuse de première. Je suis aussi une grande malade et tout ce que vous voudrez ajouter lol.
Mais franchement ça me plait de tenir le lecteur en haleine. Vont-ils le faire, vont-ils pas le faire ? MDR !
Mais vous ne pouvez pas m'accuser de ne pas avoir mis de Lemon. Parce qu'il y en a un même deux. Bah, j'admet quand même que je me suis avancée en vous promettant une GROSSE surprise lol... paske j'avais sincèrement pensé terminer la fic là et vous mettre un MEGA LEMON pour la fin. Mais, je me suis aperçu qu'il me fallait encore deux ou trois chap supplémentaires pour démêler tout ça.
Et puis franchement, je me suis attachée à cette fic et je n'ai pas vraiment envie de la boucler tout de suite. J'espère que vous ne m'en voulez pas trop.
Par contre je ne crois pas avoir mentis quand j'ai dit qu'il y allait avoir de l'action.
Il n'y a pas encore les réponses aux questions du chapitre précédent, mais je pense quand même avoir éclairer certains points obscurs de l'intrigue.
MAIS LA QUESTION IMPORTANTE EST : Voulez-vous que je continue ? Ou bien vous ais-je tellement déçu, frustré, énervé, bref vais-je recevoir le châtiment divin de devoir arrêter la fic ?
A vous de me le dire, de commenter, de pester contre mon incompétence notoire, de me conseiller... et pour ça un seul et unique moyen : LES REVIEWS LOL en revanche pour ceux et celles que le chapitre a choqué abstenez-vous de me faire tout commentaire, parce que je vous avais prévenu d'entrer de jeu. Sinon ce serais vraiment faire preuve de mauvaise foi.
En tout cas je tiens à vous remercier de me suivre, de me reviewer mais surtout de me lire et d'apprécier ce que j'écris. Il n'y a pas meilleure friandise au monde.
KISSOUXXXX Hisokaren.
COMS DE JUJU Lisez-les, ils sont délirants et pi... instructif je pense lol.
((1)) : Oué. Oué. Cause toujours Dray... on te crois tous. --.--'''
((2)) : Juju : À quoi ça va lui servir ce sort ? ê.e...
KKK : Bah tu le sauras au prochain chap. °v°
((3)) : Et après il dit qu'il l'aime pas. Quelle blague. Tssk. --.-- L'a du caca dans les yeux ou quoi ?
((4)) : Bah, on dit que le danger est une sorte d'aphrodisiaque lol. Ça doit être vrai.
((5)) : NAN ! Tu crois ? MDR !
((6)) : Nan... Ô.o... Vont pas le faire là kan même ?
((7)) : Le miens aussi... - bavebavebave -
((8)) : C'est pas un peu sado ça ê.e ?
((9)) : Si ça l'est --.--...
((10)) : KOUAAAA ! NON ! NON ! NON ! ET NON ! T'arrêter en si bon chemin ! Draaaacccoooooo baise-moi vite Harry !
((11)) : Juju : OUAIS ! è.é ! Rabat-joie, despote, tortionnaire, nazi !
Draco : Dis donc, c'est pas à moi kil faut s'en prendre è.é ! C'est à l'autre fanficeuse là ! J'y peux rien moi !
Juju : Kaaaaaaaaa !
KKK : °°° K ki s'enfuit en courant °°°
((12)) : Juju : Justement ! Depuis JAMAIS ! Nan mais je rêve ! C'est koua ce Serpentard à la noix que tu nous as fait K ? è.é
KKK : °°° vous êtes au numéro de K ki est abs pour le moment. Veuillez rappeler ultérieurement voire jamais, surtout si vous vous appelez Juju °°°
((13)) : Oué ben,t'aurais pas été le seul --.-- ! Si une certaine personne que je ne nommerais pas...
((14)) : Entièrement OKI avec toua mon chou. °v°
((15)) : Bah... ça va tant que c'est pour lui faire avouer son amour pour Harry...
((16)) : Juju : À mon avis c'est plutôt la fanficeuse qu'il faudrait allez voir --.-- ! Kaaaaa ? Kaaaa ?
KKK : °°° K est parti pour une durée indéterminée à Tombouctou°°°
((17)) : T'es pas le seul Harry chéri. Vraiment pas le seul. K, je te jure que quand je te chope je te tue !
