KIKÔÔ !

Alors comme promis, me revoilà pour un dernier gros kissouxxxx et les réponses à vos RAR. Je suis positivement ravie, et je tenais avant tout à vous remercier de m'avoir suivit tout le long.

Ça ne fait en gros que deux mois que je connais le Yaoï et les fanfictions. Donc, on peut considérer que je suis encore toute nouvelle parmi vous.

Depuis que j'ai mis les pieds dans cet univers, j'en suis devenue folle : allier imagination, écriture, lecture, sans tabou aucun, c'est une sensation enivrante.

Bref ! J'ai décidé de vous mettre un petit bonus. Et oui, un tout dernier chapitre pour clore l'abracadabrantesque histoire que je vous ai servi et que vous avez apprécié malgré mes appréhensions.

J'avais prévu de vous mettre le bonus dès le départ. Car il y a malgré tout encore une question à laquelle j'avais fait exprès de ne pas répondre. Et ensuite, j'ai noté que certains ne voulaient pas voir la fic se terminer comme ça. Alors pour votre plus grand plaisir voici le petit bonus de fin !

Une POV de notre cher professeur de Potion et de sa conscience.

Encore un truc tordu sans queue ni tête ne m'en tenez pas rigueur mdrrrr... mais c'était trop tentant.

POTTER !

Ce sale petit raton laveur de carreaux, lécheur de bottes et de c... (Non Severus ne pense pas à cela !).

Ne pas penser à Potter entrain de... et Draco qui... et ils... TOUS LES DEUX !

Oh ! Mon dieu ! Par tous les saints !

Je vais les trucider tous les deux ! Notez bien le TOUS LES DEUX !

Potter pour avoir débauché Draco et Draco pour s'être laissé faire !

« Ne serais-ce pas plutôt parce qu'ils ont à tous les deux failli faire quelque chose que même Voldemort n'a jamais réussi à faire ? »

Et quoi donc je te prie ?

« Te tuer. »

Pff ! Ridicule ! J'ai eu une soudaine bouffé de chaleur certes mais...

« Mais quoi ? dis plutôt que tu as honte d'avoir failli mourir d'une crise cardiaque ! C'est vrai que, pour un sorcier, ce n'est pas très glorieux comme décès... surtout si la cause en est... »

LA FERME CONSCIENCE ! Je ne veux pas que tu continues sur cette voie !

« Bon bon... ne le prend pas comme ça... »

Où en étais-je ? Ah oui !

Et dire que c'est grâce à moi qu'ils se sont mis ensemble... non, rectification. À cause de moi ! Oui, c'est à cause de moi qu'ils sont ensemble ! À cause de moi que toute cette horrible tragédie est survenue.

Brrr ! Mais pourquoi ? POURQUOI ais-je fait cela ?

« Hem hem... »

Bon, soit, la question ne se pose pas...

Je voulais protéger mon filleul. Je voulais le sauver. Je voulais voir fleurir sur son visage un sourire. Le sourire qu'il faisait quand il était haut comme trois pommes. Haaaa ! Que de souvenirs. Mon petit Draco assis sur mes genoux et jouant avec une tête d'elfe de maison un grand sourire éclairant ses traits d'aristocrate et de futur professeur de Potion...

« Mon pauvre Severus. Arrête, tu deviens gâteux... »

Va te faire $/#$£ ! conscience !

« Ouh mais c'est qu'il est grincheux le Sévy. C'est pas ma faute si tu vieillis... »

Je ne suis pas vieux ! Je suis dans ce qu'on appelle la fleur de l'âge.

« Ouais, la fleur de l'âge chez les vieux alors. Il date de quand ton bouquet ? »

Conscience.

« Moui ? »

Je vais te tuer !

« Bon euh... où en étais-tu ? »

Mais quand même ! Je n'aurais jamais dû intervenir ! Je n'aurais jamais dû les mettre ensemble ! Un superbe serpent et un raton laveur, non mais a-t-on déjà vu pareille tableau ?

« Quatrième étage, deuxième couloir à gauche après le grand escalier de marbre et avant le portrait du marquis de Sade. »

Tu n'étais pas obligé de répondre tu sais. D'ailleurs, permet-moi de te rappeler que c'est un lion et un serpent. Rien à voir avec un raton laveur !

« Ah bon ? Marrant. Ça ressemble à s'y méprendre à un raton laveur... en même temps, je me suis toujours demandé pourquoi l'artiste avait peint la fourrure du raton en jaune et pourquoi il lui avait peint une grosse tignasse broussailleuse. Je me suis toujours dit que ça devait être de l'art abstrait ou un truc dans le genre. »

C'est un lion ! UN LION !

« Bon bon... ça va, j'ai compris c'est un lion... ascendant raton laveur. » ( XD. C morte de rire)

Je t'interdis de te moquer de l'artiste !

« Pourquoi ? Oh. Mon. Dieu. C'est toi qui a peint cette horr... »

Continue et je te promets de te faire subir les pires tortures jamais endurées par les consciences.

« Ce chef d'œuvre ! »

Tu viens juste de t'en rendre compte. Tu es ma conscience non ?

« Oui, mais bon à l'époque tu n'étais pas encore schizophrène Sévy. »

Je te hais.

« Je sais. Alors où en étions-nous ? »

À quoi pensais-je donc ? Je sais ! Je sais !

J'étais dans le bureau de Dumbledore à écouter son plan à deux noises quand il m'a drogué ! Oui, c'est bien cela, ce vieux fou sciatique m'a drogué ! Il m'a mis ces délicieux petits bonbons aux citrons devant le nez... les a agités sournoisement devant mes yeux, me laissant me délecter de leur odeur, de leur apparente saveur... Avec sa question perverse et douteuse : « Un petit bonbon Severus ? »

Comment résister ?

« En disant non merci peut-être..(regard intérieur noir de Rogue) M'enfin, c'est juste un exemple aussi. »

Par Merlin si j'avais su que ces bonbons avaient été ensorcelés, empoisonnés... Dumbledore m'a HONTEUSEMENT corrompu ! Oui ! Tout est la faute à ce vieillard sénile et à ses sucreries du diable !

« Ben voyons... C'est la faute aux bonbons maintenant. Qu'est-ce qu'il faut pas entendre. Des bonbons du diable... tsssk ! »

Parfaitement : du diable ! Car diablement tentant...

« Roh ! Le jeu de mot. »

Raaaah ! Citrons satanique ! Bonbon de la mort !

« Ton cas s'aggrave mon pauvre Sévy... »

Que tu dis, stupide conscience ! Sans eux je n'aurais jamais eu l'idée saugrenue de me frotter à Potter pour que deux secondes plus tard il copule avec MON filleul !

« Se mettre en couple serais plus juste... »

N'importe quoi ! Moi je dis que ce qu'ils faisaient n'avait rien d'innocent ! Tu l'as bien vu non ?

« Bah... ils sont jeunes et puis franchement tu t'attendais à quoi ? Les hormones, ça joue... »

Justement ! Jamais dans l'histoire de Poudlard, nous n'avions subit une pareille humiliation. Voldy à côté, c'était de la tartelette au citron. Au moins, celui-qui-nous-fait-chier-parce qu'on-ne-doit-pas-prononcer-son-nom, connaissait le mot DECENCE.

« Oué oué, tu fais bien de parler toi. Ca n'avait pourtant pas l'air de te déranger qu'un certain Gryffondor te fasse des cochoncetés, il y a quelques années. J'avoue que j'ai été surpris d'ailleurs... je ne savais pas que ta voix pouvait monter dans de tels aigus. C'est digne de la plus grande diva ça. Remarque... c'était p'tète dû aux échos de la salle de bain des préfets ! »

Comment est-ce que...

« Bah ! À défaut d'avoir des conversations captivantes avec toi, je m'amuse à fouiller dans ta mémoire. Faut bien que je me renseigne un peu non ? Bon, j'avoue que j'ai fait l'impasse sur tes talents d'artistes, mais faut avouer que ce n'était pas le plus intéressant. »

Espèce de...

« T'étais une véritable bête ! »

CE N'EST PAS LE SUJET DE CETTE CONVERSATION ESPECE DE CONSCIENCE PERVERSE ET DEVERGONDEE !

« Entre nous ça se comprend. Même Harry et Draco ne vous arrivent pas à la cheville à toi et... »

TAIS-TOI PAR TOUS LES SAINTS !

« Severus, me surprend une voix. Je vous prierais de vous taire ! Nous sommes dans une infirmerie ici ! »

Je tourne la tête et je vois Pomfresh me lancer un regard noir. Je soupire, véritablement agacé.

« Je me porte très bien Pommy, et j'aimerais sortir d'entre les murs blancs de votre antre de torture afin d'aller me ressourcer auprès de mes potions adorées ! »

Elle pousse un soupir las ponctué d'une remarque bougonnée, puis elle se tourne vers le Professeur Flitwick afin de lui prendre sa tension. Elle hausse une sourcil, saisi une bouteille à l'allure étrange avant d'en verser le contenu dans une verre qu'elle lui tend. Le lutin approche son nez puis grimace en secouant énergiquement la tête.

« Je vous en prie Professeur, hurle-t-elle presque. Je n'ai pas que ça, à faire, alors ne faites pas l'enfant et buvez ! »

« Mais je... »

« Il n'y a pas de mais qui tienne ! Vous allez me faire le plaisir d'avaler cette potion cul sec ou je vous jure de trouver une autre entrée par laquelle je vous la ferais avaler, menace-t-elle d'une voix passablement irritée. »

Flitwick grogne, mais accepte finalement, tandis que Pomfresh se dirige vers moi, le regard fatiguée, la mine blême. Elle n'a pas encore eu l'occasion de se reposer. Elle doit terriblement en vouloir à Potter et Draco. En même temps je la comprends... hier a été la pire journée de notre vie. Je suis relativement satisfait que Minerva ait renvoyé nos deux dégénérés en mal d'amour ! Mais dès qu'ils remettront le pied à Poudlard, je jure de me venger. De me venger de Potter surtout ! J'ai déjà une petite idée de ce que je pourrais lui faire subir. C'est tout simplement diabolique...

« Oh ! Non, je t'en supplie Sévy pas... »

MOUAHAHAHAHAHAHA

« ... Le rire démoniaque du méchant en manque de méchanceté. »

Désolé. Mais c'est plus fort que moi. Ma vengeance sera terrible et Potter s'en souviendra toute sa vie !

« Et je peux savoir pourquoi tu ne punirais pas Draco aussi ? »

Bah. Parce que c'est mon filleul. Je n'en ai qu'un. Je ne veux pas l'abîmer. Tu as de ces questions toi.

« Effectivement... »

Par Salazar rien qu'imaginer Potter subir les plus atroces souffrances me met en joie... Quel bonheur... C'est presque orgasmique...

« AAAAAAHHHHH ! »

Je sursaute violemment en me mettant sur mon séant. Je cligne un peu des yeux, avant de tourner la tête vers une Pomfresh : les yeux écarquillés, une main posées sur sa bouche qui forme un « ah » silencieux. Visiblement c'est elle qui vient de hurler.

« Que vous arrive-t-il donc Pommy, je demande en calmant les battements effrénés de mon cœur. »

« Pfffrrrr... tu te fais vraiment vieux mon pauvre Sévy. »

Kesketuraconteencoremauvaiselangue ?

« Encore un peu et tu clamsais d'une crise cardiaque. »

JE NE SUIS PAS VIEUX !

« Et quel âge as-tu, rappelle-le-moi? »

Grumspfhsozd...

« Oh ! Et ça fait combien d'anneaux d'arbres ça ? Sept ou huit ? »

VA TE FAIRE CONSCIENCE !

« Maieuh tu sais que ce... »

« Je suis désolée Severus, répond l'infirmière. J'ai été... surprise. »

Je hausse un sourcil perplexe, tout de même ravi que Pomfresh aie coupé la parole à ma conscience.

« Surprise ? »

Elle rougit un peu puis dégluti avant de s'approcher.

« C'est la première fois que je vous voyais sourire, avoue-t-elle gênée. »

« »

« Pfffrrrr... MOUAHAHAHAHAHAHA... HIHIHIHIHI... HOHOHOHO... HAHAHAHA MOUARF ARF ARF ! »

« Je... c'est tellement rare que... hem... pardonnez-moi Severus. »

« Alors là ! Si je m'attendais à ça ! Le titre de la prochaine Gazette : Le Professeur Rogue et son sourire ravageur ! MOUAHAHAHAHA... »

Gnagnagni gnagnagna... Non mais quel toupet ! C'est la première fois que je vous voyais sourire Severus gnagnagna... désolée.

J'en ai marre que les gens me prennent pour un Serpentard frigide qui confond rictus et sourire.

« C'est pourtant l'image que tu donnes Sévy... »

Oh ça va ! La ferme. Si on a plus le droit de sourire maintenant. Si c'est comme ça je ne sourirais plus jamais. Na !

« Rooh ! Tu boudes, c'est meugnon... »

« Groumpf ! »

« Voyons Severus, ce n'est pas la peine de bouder. Je me suis excusée non ? »

Je grogne en croisant les bras sur mon torse puis j'affiche une moue vexée quand elle roule des yeux avant de me lancer un regard : « C'est de votre faute aussi. Sourire comme ça d'un coup sans avoir prévenu. C'est choquant ! » Je t'en ficherais moi.

« La prochaine fois j'enverrais un faire part, je lance sèchement. »

« Ne le prenez pas comme ça Severus, on dirait un enfant. Comme si je n'en avais pas assez avec le Professeur Flitwick, il faut que vous vous y mettiez aussi ! »

Je lui tire superbement la langue et elle roule encore une fois des yeux en secouant la tête avant de se saisir de mon bras. Puis d'un coup de baguette, elle prend ma tension et je me met à prier intérieurement pour qu'elle ne me donne pas son remède aux vapeurs âpres et à la consistance hasardeuse.

« Vous devriez vous calmer Severus, dit-elle après quelques minutes. Votre tension est anormalement élevée. »

« Si vous vous avisez de me donner ne serais-ce qu'une goutte de l'infâme remède que... »

« Vous n'en aurez pas besoin rassurez-vous. Le Professeur Flitwick en a bu, car il a perdu beaucoup de sang l'hors de... enfin, vous comprenez. »

J'acquiesce d'un mouvement de tête. J'avais oublié que ce cher Flitwick avait comme qui dirait abondamment saigné du nez... comme la majorité des professeurs ici présents d'ailleurs. Je me rappelle encore de la tête de Minerva. Elle avait le visage d'une personne partagée entre dégoût et excitation. Elle devait certainement se poser le genre d'énigmes existentielles à savoir les rejoindre ou pas les rejoindre, tel est la question.

« Puis-je m'en aller maintenant ? »

« Non pas encore, répond-t-elle. Vous pourrez partir demain, mais pour le moment vous avez encore besoin de repos. »

« Mais... »

« Il n'y a pas de mais ! Cessez vos enfantillage, m'intime-t-elle durement avant de se lever pour rejoindre le lit du professeur Chourave. »

C'est pas vrai ! J'en ai assez. Je jure de me venger de Potter, de ses maudites inhibitions, et de ses penchants exhibitionnistes.

Me voilà donc cloué sur un lit d'infirmerie, ma tension frôlant des chiffres astronomiques, avec l'envie de me droguer aux bonbons citronnés, et des images de mon filleul en plein recensement des grains de beauté de Potter... Eurk ! Draco avait-il réellement besoin d'aller vérifié son déganté de petit ami en avait entre les fesses ?

« Et bien, si tu veux mon avis... »

Je ne veux pas connaître la réponse. Déjà, qu'il mettait difficile d'approcher Potter... brrr ! Mon corps frissonne encore à ce contact. Quelle horreur ! Non mais comment Draco peut-il lui courir après ? Non... Comment peut-il être tombé amoureux d'une patate pareille ?

« Je te signale que c'est ce que tu pensais de... »

Tais-toi !

Je ne comprendrais jamais les jeunes... toujours en désaccord avec l'esprit mature et réfléchis des adultes.

« Hem... j'espère que tu ne parles pas de toi là. »

Je suis maudit. MAUDIT. Au-delà de tous mes malheurs, il a fallu que Saint Merlin me donne une conscience pareille...

« SEVYYYYYCHOOOUUUU ! Nous sommes de retours ! »

OH NON ! Mourir. Je veux mourir. PAS ELLES.

Je lance un regard apeuré vers deux boules de chaires en approche avec un étrange sourire carnassier sur le visage. Bon que faire ? Que faire ? Réfléchit Severus... je sais !

Optons pour une retraite stratégique sous mes draps. Au moins comme ça elles croiront que je suis endormi.

« Ne te fais pas d'illusion mon petit Sévy... elles arriveront à te réveiller. La dernière fois qu'elles l'ont fait tu as failli passer par la fenêtre de l'infirmerie. Et encore, tu venais à peine de te remettre du choc de l'Illusionnum. »

C'est vrai. Brrr. Bon alors une autre idée ! Vite. Je sens que je ne vais pas tarder à ... peut-être que si je me glisse sous le lit ou si je me transforme en mouche ou encore je pourrais...

« Trop tard. »

Sans que je n'y comprenne rien, quatre bras s'enroulent autour de mon cou et de ma taille. Je sens deux têtes se frotter contre moi. Je suis pétrifié. Mais qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ?

Pourquoi moua.

« Que faites-vous là ? Vous n'avez donc personne d'autre à aller étouffer ? »

« Non, me répond Angel. C'est Pomfresh qui nous a envoyé, pour que l'on s'occupe personnellement de toi. »

« Alors on t'a manqué ? me demande Cely. »

« Non. »

« Oh ! Ce n'est pas bien de mentir, me dit-elle. »

Quoi ? Non mais elle s'est bien regardé l'autre là ? Je lui lance un regard noir made in moi et j'affiche en prime un rictus dégoûté. J'espère que ça suffira à l'éloigner.

« Qui vous dit que je mens ? »

Elle me fait des yeux de chiens battus. Quelle horreur. J'ai toujours détesté les marques d'affections.

« Pas toujours... dois-je te rappeler le gentil Gryffy du nom de... »

LA FERME !

« Ah non... ce n'est pas le surnom que tu lui as donné... je crois bien que ça avait un rapport avec... »

JE T'AI DIT DE LA BOUCLER ! Tu es sourd ma parole. Je refuse que tu me parles encore de lui. C'était une passade. Une simple erreur. Ça n'a jamais compté ni pour moi, ni pour lui d'ailleurs...

« Oh ! Est-ce une pointe de tristesse que j'ai décelé là ? »

Non. C'est une pointe de je-vais-finir-par-te-liquider-si-tu-ne-la-ferme-pas !

« Soit, mais je soutiens le fait que tu ne t'en soit toujours pas remis. »

Tu me fatigues. Je préfère t'ignorer et me concentrer sur comment me débarrasser des deux pseudo-assistantes de Pomfresh. Depuis que je suis à l'infirmerie, elles n'arrêtent pas de me coller. Elles ont élues domiciles à mes côtés et c'est pour le moins agaçant.

L'une parce qu'elle semble être en manque de quelque chose... et l'autre parce qu'elle fantasme en live sur mon filleul. Je lui ai pourtant dit et répété une bonne centaine de fois que Draco est gay et qu'il aime un maudit raton laveur rouge et or, mais elle ne semble pas m'avoir écouté. Je crois que son cerveau doit être percé quelque part.

De toute façon, ça fait un moment que je ne cherche plus à comprendre les femmes. Elles ont un système de pensées qui me dépasse complètement. Quand on leur dit non, elles comprennent oui. On les repousses, elles se transforment en pot de glue. Et hyper résistante la glue.

Non mais franchement : « Tu m'énerve casse-toi » ce n'est pas un code pour dire « Essaie encore ».

Bon, une chose de bien elles ont arrêté de se frotter contre moi. Je ne suis pas une peluche. J'ai toujours vomis les peluches.

« Ah oui ? Et Niouffy alors ? C'est pas une peluche ça ? »

Ca n'a rien à voir ! Et d'où tu tiens que Niouffy est une peluche d'abord ?

« Et bien... un lion avec une fourrure toute douce et de la mousse à la place des entrailles, moi j'appelle ça une peluche vois-tu. Mais bon les avis diverges, bien entendu. »

Bon alors je vomis toutes les peluches mis à part Niouffy. Et puis, arrête de m'interrompre dans mes pensées.

« Ah parce que la psychologie féminine tu trouves ça intéressant toi ? »

Beaucoup plus que de disserter sur le pourquoi du comment Niouffy est une peluche en tout cas. D'ailleurs avant que tu ne me coupes, j'allais dire que c'est pour cette raison que les femmes m'ont toujours horripilé.

Outre le fait que je sois gay, je ne supporte pas le contact avec le sexe opposé... particulièrement quand je suis obligé de me coltiner deux potiches dans le genre d'Alerte à Malibu. Je ne comprend toujours pas comment il a réussi à me faire regarder ça. Une série moldus où l'on voit une joyeuse bande de jeunes filles à moitié nue avec des baloches plus grosses que les fesses de la Grosse Dame, qui se balancent dans tous les sens au moindre mouvement.

D'ailleurs, c'est littéralement impossible d'avoir une aussi grosse poitrine naturellement. Et même si c'était le cas, comment font-elles pour rester debout ? Ca doit peser une tonne ! Je comprend pourquoi les statistiques disent que la majorité des sciatiques sont des femmes. A force de devoir se pencher en avant pour pouvoir marcher, elles doivent forcément avoir des rhumatismes.

Non mais franchement. C'est d'un stupide. En tout cas, il a voulu me faire apprécier le monde moldus, il n'a pas réussi. Ca m'a juste renforcé dans l'idée que les moldus sont des êtres incroyablement inférieurs au cerveau aussi primitif que le premier des primates ayant posé le pied sur terre.

D'ailleurs je pense que...

« Sévy chou, me coupe une voix. »

Je commence à en avoir marre qu'on me coupe sans cesse dans mes réflexions hautement philosophiques. A défaut de pouvoir lire ou faire autre chose, il faut bien que je me trouve une occupation non ?

Bon j'admet que penser à la manière dont les moldus femelles se déplacent avec des obus à la place de la poitrine ce n'est pas l'un de mes sujets favoris, mais au moins je ne m'ennuie pas et je ne suis pas obligé de faire la conversation aux deux sangsues que j'ai pour infirmières.

Je lance un regard noir à Angel. Celle qui s'imagine se marier avec Draco. Elle n'est pas laide, mais elle n'a aucune chance avec lui. On comprend tous pourquoi n'est-ce pas ? Bon, certes, Draco est bi... mais tant qu'elle n'aura pas les cheveux noirs, les yeux verts, une affreuse cicatrice sur le front, un sourire niais et le plus important, un braquemart entre les jambes, elle n'aura définitivement aucune chance avec mon filleul.

Je lui sert un regard noir de mon cru.

« Quoi ? Et je ne m'appelle pas Sévy chou ! »

« Je trouve que ça te scié merveille pourtant. Sévy chou... et puis franchement Rogue ce n'est pas très folichon. Donc puisque nous sommes destinés à nous côtoyer un minimum de temps, il faut bien que nous nous mettions à l'aise non ? »

« Je ne m'appelle pas Sévy chou ! Et je ne vois pas en quoi nous pourrions être à l'aise puisque votre présence m'insupporte au-delà de ce que vous pouvez imaginer. »

Mon ton est froid, distant, irrité... c'est du Serpentard à l'état pur. Je suis fier de...

« Ne me parle pas sur ce ton Sévy chou, minaude-t-elle. »

Non mais, comment elle me parle ! Y'a pas marqué tête de choux sur mon front que je sache. Elle m'agace.

« Je vous parle sur le ton que je veux, je répond froidement. »

Faisons l'impasse sur le côté légèrement puéril de ma réplique, je vous prie.

« Oh ! Tu le prend comme ça ? Très bien, dit-elle une étrange lueur sadique dans le regard. »

Je ne sais pas pourquoi, mais je commence à frissonner. Je n'aime pas, mais alors pas du tout le regard qu'elle me lance. On dirait, un assoiffé prêt à se jeter sur un pauvre petit verre d'eau sans défense.

Sans se départir de son sourire, elle ouvre le tiroir de la table de chevet à ma droite, et en sort...

« Que... qu'est-ce c'est, je demande stupidement. »

Je sais très bien ce que c'est... l'objet de toutes les tortures. L'objet que je hais. L'objet qui a fait de mon postérieur une vraie passoire depuis que je suis à l'infirmerie. Mais, quand on est pris d'une soudaine peur panique, le cerveau à tendance à ne pas fonctionner. Et l'on a la fâcheuse tendance à se torturer l'esprit pour rien. Etrange comme la peur peut vous déconnecter de toute pensée un temps soit peut cohérente.

« C'est ton remède Sévy, répond-t-elle en riant. »

Ses lèvres s'élargissent davantage et épouvanté je tourne mon regard vers Cely. Au moins, elle ne me tortureras pas... Je sais qu'elle m'apprécie un peu. Du moins, je l'espère sincèrement. Bon, je l'admet j'ai été légèrement médisant au sujet de cette charmante jeune fille, mais tout de même, ce n'était pas si terrible. Si ?

Je ne mérite pas le sort que cette diablesse d'Angel me réserve. Remplis d'espoir je plonge mes yeux dans ceux de la jeune Cely, mais ce n'est que pour m'apercevoir avec horreur, qu'elle arbore la même lueur mi-lubrique, mi-sadique que sa collègue.

Effaré, je descend lentement mon regard sur ses mains, et je la voit tripoter avec dextérité une seringue à l'aiguille plus longue qu'une queue d'hippogriffe.

MAMAN ! Je me tasse un maximum contre mes oreillers, remontant la couverture jusque sous mon menton.

« Eloignez-moi ça de là, je lance la voix tremblotante. »

« Désolée, mais c'est l'heure de ton remède Sévychou, d'ailleurs si tu veux sortir demain il faut que tu... »

Ni une ni deux, mon cerveau se connecte sur la bonne partie de mon anatomie et je m'éjecte du lit illico presto, fonçant droit vers mon éden : la porte de sortie.

« Ouah ! Quelle preuve de courage Sévy. Non vraiment, je t'admire... »

LA FERME TOI ! Pourquoi n'essayerais-tu pas de m'aider et de me soutenir pour une fois ? J'essaye un sort puis deux puis trois, mais manque de pot, la porte semble être bien fermée. Il faut que je m'échappe avant qu'elles ne m'atteignent.

« Parce que je suis ta conscience. La chose qui te ramène sur terre de manière très brutale. C'est mon job ! »

Donc je ne peux pas compter sur toi n'est-ce pas ? Je tourne frénétiquement la tête de gauche à droite essayant de repérer un autre point de sortie, mais rien, que dalle, nada, nitch, niet, zéro, des clopinettes...

« Rah ! Les Serpentard on vraiment le don de vous énerver en posant la question à laquelle on ne veut absolument pas répondre. Mais juste pour t'embêter, je dirais : non. »

Espèce de...

« Hey ! A maître Serpentard conscience Serpentarde. »

Evidemment tu as toujours la réponse à tout. Et la solidarité dans tous ça ?

« C'est pour ton bien Sévy, en matière de santé, il n'y a pas de solidarité qui tienne. »

OH ! Merlin. Ennemies en approche. Ennemies en approches.

« Sévychooouuu, ce n'est pas bien de vouloir nous fausser compagnie, lance Angel. »

« Tu es un vilain garçon, ajoute Cely sa seringue fièrement pointée vers moi. »

« Tu sais que ça pourrait prêter à confusion ce que tu viens de penser ? »

BOUCLE-LA TRAITRE DE CONSCIENCE ! Tu as parfaitement compris ce que j'ai voulu dire. Espèce d'esprit tordu !

« Si on peut plus s'amuser. »

Pas à mes dépens poids chiche.

« Eloignez-vous de moi espèces de pseudo-infirmières sado masochistes ! »

« Tsst tsst tsst... fait Angel en secouant la tête. Ce n'est pas très gentil ça... »

Alors qu'elle s'avance un sourire carnassier aux lèvres, j'avise une faille entre les deux monstres en robe blanche et je m'élance aussitôt...

Manque de pot, je n'avais pas prévu qu'elles soient aussi rapides. Quelqu'un s'agrippe fermement à ma robe de sorcier, et je me sens basculer en arrière.

Je vois Cely se pencher immédiatement sur moi, poser une main sur mon pantalon pour en défaire les boutons. Je tente de me débattre, mais Angel me retient fermement.

« NAAAON ! FICHEZ-MOUA LA PAIX DEMONES ! »

« Sévy, c'est pour ton bien ! Arrêtes de t'agiter dans tous les sens, dit Angel tandis que sa collègue finit de retirer mon pantalon. »

« OSKOOOUUUURRRR ! »

« Mais que se passe-t-il, donc ici, mugit une voix familière. »

« Pommy, je supplie toute fierté envolée avec mon pantalon, ne les laissez pas me toucher avec ces objets de vices ! »

Elle me toise un moment d'un œil qui me paraît affreusement moqueur, avant de hausser les épaules et de se détourner non sans lancer :

« Ce ne sont rien que deux petites piqûres Severus, ce n'est pas la mort. Et cessez de faire du bruit dans mon infirmerie ! Vous dérangez les autres patients. »

« KOUA ! Comment osez-vous m'abandonnez ? Mais on s'en fou des autres patients, je hurle, ils sont littéralement mort de rire ! »

Je me débat encore et je sens soudain la prise d'Angel se desserrer, pour que l'autre pimbêche puisse me mettre à plat ventre. Profitant de ma chance, je les repousse toutes les deux, et me traîne à quatre patte, les fesses à l'air jusque sous le premier lit que je trouve.

Mais, Merlin ayant choisi de m'abandonner en même temps que tout le monde, les deux ignobles tortionnaires m'attrape par une jambe et me tire à la lumière du jour au vue et au su de tous.

« Très joli boxer, Severus me lance Flitwick de son lit. Je ne savais pas que les petits pères noëls pouvaient orner aussi bien un sous-vêtement, ajoute-t-il à moitié mort de rire. »

Celui-là je vais le tuer à petit feu, le faire rôtir dans un de mes chaudrons pour en faire un farci de lutin bouillit façon Rogue dix étoiles. Il va souffrir.

« Severus... vous avez le même que Dumbledore, c'est plaisant, me lance Minerva qui lève son nez d'un énorme livre pour la première fois depuis des lustres. »

Là. Je manque de souffle... Plaisant a-t-elle dit ? Et j'entend Flitwick lui demander :

« Comment pouvez-vous savoir quels genres de sous-vêtements porte le Directeur ? »

Je ne la vois pas, mais je sais qu'elle doit rougir. Beurk ! C'est affreux. Il faudra que je pense à jeter se boxer à la poubelle.

Mais pour le moment, j'ai autre chose à penser. Et c'est dans un cri étranglé que je sens un poids sur mon dos et un autre sur mes cuisses. Puis comme si mon boxer avait pris vie, je le sens descendre le long de mes jambes, dévoilant mon postérieur pâle aux yeux du monde.

Désespéré, je hurle, je crie, je maudis, mais rien n'y fait. Personne ne vient m'aider. C'est alors qu'une claque s'abat durement sur mes fesses.

Puis, une douleur lancinante remonte de mon derrière jusque dans ma tête et explose alors que je hurle :

« POTTER TU VAS MOURIR ! »

Une deuxième claque brûle ma peau suivie de la piqûre d'un objet identifié comme définitivement nuisible à la race humaine et au monde des postérieurs pâles de tous Professeurs de Potions.

« POTTEEEEEEEERRRRRR JE VAIS TE TUEEERRRRR AAAYYYYAAAAAAA BORDEL CA FAIT MAAALLL ! »

« MOUAHAHAHAHAHAHA... »

Quelque kilomètre plus loin au manoir Malfoy (pendant que le père Malfoy n'est pas là et que la mère est en vadrouille on-ne-sait-où).

« ATCHOU ! »

Draco retira ses lèvres du cou de son petit ami et lui lança un regard inquiet.

« Ca va Harry ? Tu as froid ? Tu n'arrêtes pas d'éternuer depuis tout à l'heure. »

Le brun sourit affectueusement au Serpentard et l'embrassa.

« Ne t'inquiète pas, tout va bien. Mais pendant un moment j'ai cru entendre la voix de Rogue. »

Draco fronça les sourcils, quelque peu écoeuré.

« Tu es dégoûtant Potter, dit-il en s'éloignant de lui. Je suis entrain de te faire le plus beau suçon de toute l'histoire et toi tu penses à Rogue. »

Harry pouffa de rire et saisi son amant par la taille avant de l'allonger sous lui, non sans une protestation de Draco.

« Ne dis pas de bêtise amour, susurra-t-il en le chevauchant. Il n'y a que toi qui hante mes pensées... ajouta-t-il en se mouvant lascivement contre lui. »

Draco gémit, face à tant de dextérité, puis une question lui revint soudain en tête.

« Harry, dit-il en s'agrippant à sa taille, alors que les mouvements du Gryffy se faisaient plus précis, plus durs. Merlin... c... Comment... qui... sexe... et... ah ! Toi ? »

Certes, ce n'était pas dans ses conditions que Draco avait souhaité poser la question mais bon... c'était fait et puis les fesses de son merveilleux petit ami sur son érection naissante n'étaient pas pour arranger sa concentration. Mais le sourire mutin qu'Harry afficha le rassura. Il avait compris.

« Et bien... disons que certains garçons de mon dortoirs cachent très mal leur magazine... le PlayWizzard est une bible... »

Draco fut quelque peu interdit.

« Alors... alors... à l'infirmerie c'était... c'était ta première fois, s'exclama-t-il. »

Harry eut un hoquet de surprise. Il n'aurait jamais songé que Draco puisse s'en soucier. Après quelques secondes il se pencha vers son amour et déposa un millier de petits baisers papillons.

« Dans un sens oui et non. Non, parce qu'une fois j'ai tenté l'expérience avec Seamus. Il m'a juste fait jouir avec ses doigts et oui, parce que le premier à m'avoir pris c'est toi mon amour, murmura-t-il tout contre les lèvres purpurines du blond. »

Draco était mitigé. D'un côté il était heureux d'apprendre qu'il était le premier d'Harry, mais de l'autre la lame de la jalousie lui fourrageait les entrailles.

« Harry, c'est impossible, qu'avec juste une expérience sexuelle se limitant à la masturbation anale, tu puisse être aussi réceptif et habile. »

Harry éclata de rire, puis il saisit le visage de Draco en coupe et força les yeux d'un gris parfait à croiser leur homologue émeraude.

« Dray, amour... Je n'ai pas eu besoin d'entraînement ou de quoi que ce soit d'autre pour te faire l'amour. J'ai simplement suivi mon instinct, mes sentiments et quelques conseils de PlayWizzard je l'avoue, mais... tu es mon premier et tu le resteras, parce que je t'aime. Et puis comme beaucoup d'autres garçons, je me masturbais souvent... tout seul. Seamus ce n'était qu'une passade. D'ailleurs, je te trouve bien culotté ! Je suis certains de ne pas avoir été le premier, Monsieur, je suis le mec le plus canon de tout Poudlard. Le tombeur de ses messieurs dames.»

« Il ne faut pas croire les rumeurs Potter... J'ai couché avec trois filles et deux garçons. En encore, j'étais le dominant avec les deux garçons donc... »

Ce fut au tour d'Harry d'écarquiller les yeux en s'exclamant :

« Alors toi aussi tu étais vierge ? »

Le blond soupira en secouant la tête d'un air désespéré avant de lui faire un sourire éclatant.

« Je t'aime Harry Potter. »

« Je t'aime Draco Malfoy, répondit le brun en l'embrassant fougueusement. »

Quelques secondes plus tard le Serpentard glissa une petite phrase de son cru à l'oreille du Gryffondor qui rougit violemment avant d'afficher un sourire coquin très inspiré dans le genre d'un certain magazine pour le moins inventif... Mais juste avant qu'ils ne se mettent à l'œuvre on entendit un sonore :

« ATCHOU ! »

Décidemment se dit Harry... je dois manquer à quelqu'un... Je me demande bien qui ?

FIN.

Et voilà ! C'était très court, mais j'espère au moins que ça vous a plu °v°...

Comme vous l'avez compris, Draco a enfin eut sa réponse lol. A savoir, qui a appris à Harry à baiser comme un dieu... En clair... Harry a appris dans un bouquin, avant de tester avec un pote et de faire plaisir tout seul. Bah... Finalement ils étaient vierges tous les deux... et ont tous les deux perdus leur virginité dans des positions pour le moins originales et... de manière assez brusque °v° mdrrrr...

Pour ce qui est du mystérieux amant de Rogue dans sa jeunesse, j'ai fait exprès de ne jamais préciser autre chose que le nom de la maison, pour que vous puissiez à loisir choisir avec qui notre cher Professeur de Potion a pris des court de chant dans la salle de bain des préfets.

UN DERNIER MERCI A VOUS TOUS ET TOUTES POUR VOS REVIEWS ET POUR CEUX QUI REVIEWERONS CE BONUS LOL. KISSOUXXXXX HK.

Maintenant passons aux RAR.

J'espère n'avoir oublié personne, si c'est le cas je suis désolée et je vous fais un kissouxxxx et je vous dis merci de m'avoir lu.

Ishtar205 :

Ce sont des filles qui le massent parce que 2 fanficeuses m'ont suppliées de les mettre en scènes. Elles voulaient toues les deux êtres infirmières lol.Moi aussi j'aurais voulu que ça marche le coup de L'Illusionnum, mais bon, faut pas oublier qu'il y a des gosses kan même. Lol. Merci de m'avoir lu et suivit jusque là. J'espère que tu as aimé le bonus aussi.

Adam Rose :

Tu n'es pas la seule. Beaucoup auraient aimé être à leur place moi la première lol. Au fait ma puce j'accepte ton défit, mais tu devras attendre lol. J'ai plein de boulots en ce moment. En tout cas merci de m'avoir lue.

Zaika :

Merci. Merci. Merci de m'avoir suivi jusque là. Tu as aimé le bonus ?

Mariannella :

Sadique, salaud tout ce que tu veux, mais il a réussi mdr ! En tout cas j'espère que tu as aimé le bonus lol.

Chi no hana :

Le reste de la populace comme tu dis a entre 11 et 17 ans lol. Je suppose que même chez les sorciers les pornos c'est pas avant 18 ans, surtout si c'est en live MDR !

Merci de m'avoir lu.

Kimmy Lyn :

Une bible tu dis O.o... C'est trop tu ne crois pas, mais merci à toi de m'avoir lue. Et pour FB, j'ai plein d'idées mais malheureusement pas le temps de les mettre sur ordi lol. Peut-être à Noël qui sait.

Jouzetsuka :

Maintenant tu le sais lol. Tu m'as prise de court, c'était sensé être une surprise. Mais au moins ça prouve que tu lis bien et que tu suis puisque tu es la seule à l'avoir remarqué mdr. Merci de m'avoir lu.

CamDark :

Bah ! C'est le courage qui caractérise tout Serpentard : « Vas-y d'abord on verra pour moi » lol. Merci pour tes compliments et je serais ravie de te voir sur mes autres fics lol.

Merci aussi de m'avoir lu.

Onarluca :

A toi qui m'a suivi depuis le tout début un GROS MERCI. Et je te dis à très bientôt.

Elrienne :

Héhéhé... Harry n'est pas comme les autres. Le bonus était déjà prévus donc tu m'as prise de court. Comment as-tu deviné pour le bonus à l'infirmerie ? Ce n'est pas exactement ce à quoi tu t'attendais mais j'espère que tu as aimé.

Merci de m'avoir lu.

Celymoony :

Ah ! Ma petite sœur spirituelle. Moi aussi je t'aime lol. J'espère que tu as aimé le bonus. Tu es sado sadique non ? Merci de m'avoir lu.

Lovely A :

Le plus important est que tu aies lu et aimé. Ce n'est pas grave pour les reviews. Merci de m'avoir lu.

Angel Malfoy :

Contente que ça t'ai plu. Pour la divination je n'en suis pas certaine lol, disons que j'ai un sixième sens... un tout petit lol. Désolée pour II et toute la clique, mais à défaut tu as eu le bonus lol. J'espère qu'il t'a plus. Merci de m'avoir lu.

Hana Uchiwa :

Ta première fic en HP ? O.o... Wouah ! Je suis honorée et plus encore puisque tu as aimé. Merci beaucoup.

La-shinegami :

Oh ! Moi aussi lol. Merci bcp de m'avoir lu, j'espère que tu as apprécié le bonus de fin ? °v°

Lo hana ni :

Contente de t'avoir fait rire autant. Pour ce qu'ils font à Harry, ils se vengent TOUS.

Faut dire que faire passer un porno en live ça craint lol. Merci de m'avoir lu.

Miss Black :

Héhéhé... j'espère que tu as aimé le bonus ? Histoire de se marrer un dernier coup. J'aime les gens délurés parce que je le suis au moins autant que toi.

Merci.

Miss Felton/Malfoy :

MDR ! Tu as oublié qu'Harry s'est fait mordre par la Sensitive et qu'il a fallu une semaine pour que la potion de guérison soit prête. Donc, voilà pourquoi il es à l'infirmerie lol.

Merci de m'avoir lu en tout cas.

Serpentis-draco :

J'espère que tu as aimé le bonus aussi. Merci de m'avoir lu et pour tes compliments.

Lyra Parry :

Pour la suite je ne te promet rien parce que j'ai une tonne de travail en ce moment et plusieurs fics en cours... Mais j'espère que le bonus t'aura contenté lol. Merci bcp !

Ariane Malfoy-Shinigami :

Merci pour tes compliments et merci à toi de m'avoir lu. Moi je ne suis là que pour vous faire plaisir.

Vert emeraude :

Harry l'avait mérité lol. Tu en penses quoi du bonus ? lol.

Merci de m'avoir lu.

Milii :

Contente que tu as aimé. Merci bcp de m'avoir lu.

Missbooyaka et sa conscience :

Merci pour ta reviews et tes compliments. Dis donc conscience, tu pense koi de ton homologue Roguien ?

-winks- :

Merci. Ne t'en fais pas lol. Dès que mon inspi revient tu le sauras °v°... En attendant merci pour tes compliments et surtout pour m'avoir lu.

Lili :

Merci de ma part et de celle de Juju. Ca lui fait toujours plaisir qu'on la félicite lol. J'espère que le bonus t'a plu aussi lol.

Merci de m'avoir lu.

Melissandre :

YUME ! Enfin lol. Depuis le temps. Merci pour le prix (clap clap clap) En tout cas c'est grâce à toi si j'ai pu mettre mes fics sur le net, donc merci, car dans un sens c'est grâce à toi que j'ai des reviews lol.

Merci.