Découvertes...
Lorsque Draco se calma, une dizaine de minutes après l'entrée des filles dans le dortoire des garçons, ils décidèrent de discuter devant un plat chaud. Ils étaient assis dans la pièce principale qui leur servait de salle de cours et de dîner. Harry était assis entre Draco et Ron, Seamus se trouvait à côté du gryffondor, toujours aussi silencieux et poussant des mèches de cheveux de son meilleur pote à sa droite. Draco boudait et gardait les yeux sur son assiette. Il essayait de ne pas entendre les reniflements, pas si discret que cela, de son meilleur ami qui discutait tout bas avec Hermione, qui lui faisait face. Blaise tentait de calculer le restant de QI qui pouvait rester à la jeune fille. Pansy tournait des yeux de dérision aux réponses de la jeune fille qui ne voulait rien savoir du serpentard. La jolie fille se tourna vers Millicent qui était toujours le nez dans son magazine de vêtement. Elle ne faisait pas attention aux deux, communément appelé, chevaliers qui ne semblait pas avoir perdu leur appétit d'antan. Neville était finalement assis à côté de Gregory et lui, non plus, ne levait pas le nez de son assiette.
Pansy poussa un soupir, contrite. Tout le monde discutait de tout sauf de ce qui s'était passé dans le dortoir des garçons. Elle eut une moue en observant son petit ami qui était assis en face d'elle. Elle grogna doucement et dit :
"Alors ! Ces explications que vous nous avez promis ?"
demanda-t-elle, les paupières tombantes, attendant impatiemment ces
explications. Elle devait savoir où elle en était avec Draco.
"Explicatiooonnns ?"
"Draco Malachius Malfoy !" grincha la noiraude avec venim.
"Pourquoi quand tu dis mon nom de la sorte, tu me fais penser à ma mère
?" bouda le blond, tentant de porter la conversation dans une autre
direction.
"Tu as le complexe d'OEdipe assez dur, mon vieux," marmonna Dean, entre deux bouchées.
"Le quoi ?"
"Blaise, je ne veux pas savoir, revenons à ce qui s'est passé dans
votre dortoire," siffla la serpentarde qui jeta un mauvais coup d'oeil
à Dean. Le noir haussa des sourcils, lui demandant silencieusement ce
qu'il se passait. Elle ne lui répondit pas, mais continua plutôt
:"Pourquoi tu as attaqué Potter ? Est-ce que vous aurez mis la main sur
ce que serait ton anomalie, Drake ?"
"Oui," marmonna tout bas Draco.
"Vraiment ?" s'écrièrent Neville et Ron. "Alors, est-ce pire que la mienne ?" demanda Neville, sourire en coin.
"Non."
"Pourquoi réponds-tu à ma place, Potter ? Oui, elle est pire que la tienne !" siffla Draco, acerbe et dégoûté.
"N'exagère pas. Toi, nous pouvons contrôler tes envies meurtrières de
jalousie, mais les attaques de Neville... Elles vont et viennent."
"Une minute ! Jalousie ? De quoi ?" s'écria Pansy, perplexe.
"Je crois que l'on devrait se demander de qui," dit soudainement
Vincent, en secouant la tête. Il jeta un coup d'oeil en coin à Gregory
qui lui fit signe de continuer. "Nous ne savions pas que vous étiez
tout deux attirer par Neville ; Draco, Harry."
"..."
Harry, Blaise, Draco, Neville, Seamus et Ron étaient pétrifiés dans un silence horrifié par la suggestion du corpulent serpentard. Hermione, Millicent et Dean avaient un sourire amusé en coin devant la réaction des autres garçons. Pansy était seulement perplexe et légèrement curieuse. «Bah ! Ma mère me l'avait déjà dit. Si un homme est trop beau, soit il est gay ou il est déjà pris... Mais Longbottom ? Il... n'est pas vraiment le type de personne... Enfin, je ne crois pas. Il est peut-être mignon -si les embompoints attirent- mais à part ça, rien d'extraordinaire.»
"Eh ben... Félicitations, je suppose ?" marmonna la
serpentarde. Draco la regarda comme si tout d'un coup deux têtes
venaient de lui pousser sur les épaules. Elle eut une moue, en
regardant Harry, spéculant tout haut. "Je me demande comment Longbottom
va choisir, je veux dire... Vous êtes tous les deux un bon parti..."
"Un duel à mort, alors," dit sérieusement Gregory, attirant l'approbation de Vincent.
"C'est la seule issue," dit son compagnon, en secouant la tête, bras croisés sur sa poitrine.
"Il y a peut-être une autre issue," s'écria d'une voix tremblante et
étranglée Neville. "Peut-être que je ne suis pas attiré par aucun des
deux. C'est flatteur, mais... mai... moi ? Harry... J... Je suis
vraiment..."
"Non !" couina Harry, en repoussant son siège de la grande table. "Je ne suis pas attiré par toi et par personne d'autre."
"Pansy !" tonna Draco, finalement retrouvant sa voix et son indignation.
"Quoi ? Une fille se pose des questions... Mais qu'est-ce qui te fait
dire, Vincent, que ces deux-là soient peut-être en amour avec Neville ?"
"Hum ! Harry l'a embrassé et Draco a attaqué Harry pour lui faire payer ce mauvais pas," fit-il en haussant des épaules.
"D'accord ! J'ai embrassé Neville sur la joue
pour attendre la réaction de Draco dont je soupçonnais l'anomalie être
en rapport avec Neville. Souvenez-vous, mercredi dernier."
"C'est vrai," s'écria Dean. Il retira son attache-cheveu pour mieux le
serrer au bas de sa nuque. "J'étais parti avec Neville au toilette. Wow
! Personne ne pouvait se douter... Une potion d'amour. Tu n'as vraiment
pas de chance," marmonna le noir, avec un sourire moqueur sur les
lèvres.
"Ôte ce sourire suffisant de ton visage, Thomas !" cingla Draco,
réussissant à ne pas rougir de honte. Il se tourna vivement vers Blaise
et lui jeta un regard meurtrier.
"Quoi ! J... -snif- Je pleure, vieux... Je ne me... moque paaa-haahaaaa
!" renifla Blaise, en essuyant ses yeux avec un mouchoîre, cachant
efficacement un petit sourire.
"Pourquoi tu ne réagis pas plus vivement, Parkynson ?" demanda Ron,
avec une moue. "Je veux dire... Vous avez toujours le don de tout
dramatiser."
"Hum ! Je crois que tu te trompes de maison dans ta caractéristique.
C'est bien vous qui faîtes un océan d'une flaque d'eau," susurra Pansy,
en le regardant en dessous de ses cils. "Mais je ne dis rien parce
que... Ce n'est de la faute de personne. Un très mauvais concours de
circonstance. On ne peut qu'attendre que tout cela disparaisse de notre
système ou qu'un maître puisse trouver un antidote à tous nos maux."
"Mmmm !" fit Hermione, finissant son morceau de gâteau au fromage. "Ce
n'est pas pour jouer au pessimiste, mais est-ce que quelqu'un va
pouvoir trouver solution à nos problèmes ? Si personne ne sait quelle
quantité, quelle qualité de potion nous aurait touché, comment trouvé
la bonne antidote ?"
"Bah ! Les experts savent de quoi on souffre, ils pourront trouver
quelque chose," dit Dean. Il se tourna vivement vers Seamus qui l'avait
pincé pour lui montrer sa plaque. "..."
"Qu'est-ce qu'il dit ?" demanda Blaise, qui se calmait, finalement. Il
sursauta lorsque la tête de Pansy se cogna sur la table, en tombant
sans connaissance. Il soupira en tirant sa baguette. "Enervate ! Je ne sais pas ce que tes parents te diront en te voyant."
"J'ai tellement pas hâte à demain," soupira la serpentarde, après lui
avoir offert un petit sourire reconnaissant. Elle sursauta et se frotta
la machoîre.
"Seamus se dit peut-être que les experts ne tenteront rien de peur
d'empirer nos anomalies," marmonna Dean, en réfléchissant. "C'est
peut-être vrai. Ils vont sûrement nous envoyer à St-Mungo pour les
accidents magiques. Pas comme si nos problèmes nous empêchaient de
vivre."
"Parle pour toi," murmura Blaise. "Mon père va encore me descendre
demain et ça, s'il prend la peine de venir voir comment je me porte...
Mmm ! Peut-être viendra-t-il, puisque monsieur Malfoy sera là."
"Euh..."
"Pose pas de question, Potter," marmonna Draco, en haussant des épaules.
Harry ne fit qu'hausser un sourcil en regardant Draco et Blaise, à tour de rôle. Il tourna les yeux vers Pansy qui n'avait pas réagi aussi vivement qu'il l'aurait cru. Et il trouvait cela bizarre. Il eut une moue en observant les réactions de tout le monde. Les suggestions de Seamus, Dean et Hermione venaient de baisser le morale de quelques uns d'entre eux. Millicent ne semblait pas plus perturber qu'à l'annonce de Vincent sur leur attirance présumé de Neville. Ce dernier n'était plus aussi rouge, après les récris des deux garçons. Ron, non plus, ne semblait plus perturber par ce qui avait été dit de son meilleur ami. Seul Seamus semblait regarder Vincent avec reproche, mais cela pouvait être parce qu'il continuait à engloutir nourriture après plat de nourriture.
Le Survivant(e) avait remarqué que les deux garde-du-corps de Draco semblaient manger plus que d'habitude. Enfin, ils semblaient manger comme s'ils ne verraient pas demain, parce qu'il ne savait pas ce qu'ils avaient l'habitude de manger avant. Le noiraud poussa un soupir en passant la main dans ses cheveux.
"Pourquoi est-ce que personne n'est pas plus scandalisé par ce
qu'a suggéré Vincent, tout à l'heure ?" Harry regardait dans les yeux
Pansy et tentait de jauger les réactions de ceux qui se trouvaient dans
son champ de vision.
"De quoi tu parles ?" demanda la serpentarde, en se redressant. Elle
regardait avec Millicent les pages du magazine lui donnant quelques
conseils.
"Je crois savoir," dit Hermione avec un petit sourire. "Harry, tu
serais surpris. Les sorciers n'ont aucun problème avec l'homosexualité."
"Tu plaisantes ? Je ne penserais même pas annoncer une telle chose,
même en blague, aux Dursley, si je veux avoir un toit au-dessus de la
tête. Mais qu'est-ce que les voisins vont penser de cette dépravation ?" mimiqua Harry, voix aigue, mains sur les joues, roulant des yeux.
"Wow ! Ces moldus sont vraiment bigots," renifla Hermione avec dédain.
"Mes parents et tous leurs amis sont plus tolérants que cela. Il faut
dire qu'ils sont éduqués et adoptent la maxime de vivre et laisser
vivre, mais à un point tel..."
"Intéressant !" dit Blaise, en fouillant à nouveau dans ses poches pour
des mouchoîres. "Il faut se demander si les enfants de moldus pensent
pareil ?"
"Bah ! Je ne me suis jamais penché sur cette question," marmonna Harry.
«Pas avant que... Cela m'apprendra ! J'aurais juste dû lui passer le
bras autour des épaules.» Il tourna des yeux, se moquant de lui-même,
avec un petit sourire en coin.
"Je ne peux rien dire," dit Dean, avec un rictus. "Ma cousine moldue a
une petite amie. Mais elle est bisexuelle, donc, je ne sais pas pour
combien de temps, elle va rester avec Marylane." Il haussa des épaules,
montrant que ce n'était pas de ses affaires ce que pouvait bien faire
sa cousine.
"..." Seamus écrivait sur son tableau avec la craie magique que lui
avait offerte professeur MacGonagall. En tapant deux fois sur le
tableau, les écrits s'effaceront d'eux-même. Dean se pencha sur le côté.
"Cela ne lui fait ni chaud ni froid, tant qu'il ne tape pas dans l'oeil
d'aucun mec," pouffa le noir, en passant rapidement son bras autour de
son cou. "Mon vieux, tu ne savais pas ? Ces cinq années comme meilleurs
amis, c'était ma manière de me rapprocher de toi pour t'avoir dans
mon... Ouch !... Ha ! Ha ! Okay ! je ne faisais que plaisanter, tu le
sais très bien. Merde ! T'étais pas obligé de me frapper aussi fort,"
geignit le jeune homme, se massant les côtes avec un large sourire tout
de même.
"Je suis désolé," dit Neville sortant de son mutisme.
"Euh !" fit Harry, en regardant derrière lui, personne. "De quoi tu parles, Nev ?"
"Pour Malfoy..."
"Je ne vois toujours pas de quoi tu parles, Longbottom," grincha Draco qui se refusait toujours à lui jeter un coup d'oeil.
"Oh ! Neville, tu as vraiment le don," dit Ron, en tournant des yeux.
"On l'a dit , ce n'est de la faute de personne. Et c'est pas comme si
Malfoy était attiré par toi avant, tu n'y es pour rien. Et il faudrait
éviter de trop te coller. On ne voudrait pas pour Malfoy plus
d'embarras qu'il n'en a déjà," sourit le rouquin, ne cillant pas devant
le coup d'oeil dudit serpentard.
Harry poussa un soupir en se levant. Il n'avait plus faim de toute façon. Il allait faire ses devoirs. Il paraîtrait que cette année serait infernale avec leur OWL. Il jeta un coup d'oeil à Hermione qui faisait de l'origami avec une feuille de parchemin qu'elle avait sorti de la poche de sa robe. Il espérait que pour elle, les professeurs puissent faire une exception. Mais s'ils devaient faire une exception pour elle, ils devraient peut-être pénaliser Gregory et Vincent. «Méchante circonstance ! Si on ne trouve pas comment nous aider, nous sommes foutus. Merci, Seigneur que Rita Skeeter est sous la menace de Hermione, sinon... Hun ! Mais et demain ? Je suppose que les Weasley voudront me voir, je ne pourrais y échapper. Je porterai une des robes de Gregory, elle réussira à tout cacher...» se dit désespérément Harry, en refermant la porte de leur dortoire provisoire.
"Albus et que faisons-nous si Nathrach fait son apparition ?" demanda Minerva, en se frottant le cou avec irritation.
"Qui
est-ce ?" demanda Remus, sans trop d'intérêt. Il était assis à côté du
professeur de transfiguration au bureau du directeur. Ils attendaient
la venue des parents des élèves d'ici peu.
"C'est le père de Severus," dit Albus, les yeux n'ayant pas retrouver leur pétillant depuis l'accident.
"Son vieux est toujours en vie ?" demanda Sirius, tentant de ne pas
faire transparaître la haine qu'il avait pour le feu maître de potion
dans sa voix devant Dumbledore. "Et pourquoi est-ce que l'on devrait
faire quoi que ce soit ? Vous lui donnez la version des enfants et il
devra accepter la disparition de son fils."
"Vous ne le connaissez pas, alors pas du tout. Il voudra sûrement
porter des accusations contre l'école. Pourtant, ce n'est pas comme
s'il tenait tant que cela à son fils," dit Minerva avec une moue,
dégoûtée.
"Pff..."
"Ne dis rien, Siri. Ne dis rien."
"Je crois que..."
"Directeur ?" C'était le professeur Flitwick, enfin sa tête dans la
cheminée. Il venait avertir Dumbledore de l'arrivée des parents. Ils
étaient presque tous venus en même temps. "Les parents sont arrivés.
Nosie leur a dit de tout de suite monter à votre tour, ils seront là
d'ici peu."
"Merci, Filius !"
"Seigneur ! J'ai eu un arrêt cardiaque," marmonna Remus, en passant la
main sur la fourrure lustrée de son ami. "Tu n'es sûr nul part, vieux.
Est-ce que je dois partir, directeur ? Je ne crois pas qu'un loup-garou
arrangerait les choses. Pas après le combat que vous avez dû mener pour
mon retour..." marmonna le brun, secouant la tête de consternation au
souvenir de ce qui s'était passé au ministère pour son emploiement à
Hogwarts.
"Non. Ils vont devoir s'y faire. Mais descendons. Il n'y aura pas assez de place ici. Nous devrons les mener à leurs enfants."
Albus se leva, laissant passer Minerva, Remus et Sirius, avant de les suivre. Ils arrivèrent en bas de la tour pour tomber nez-à-nez avec un Lucius Malfoy se retenant à peine de jeter un mauvais sort aux moldus qui osaient se montrer entre les murs d'Hogwarts. Albus l'interrompit et demanda aux parents qui se turent à leur vu de le suivre. Ils pourraient voir leurs enfants.
Les Granger se rapprochèrent des Weasley le plus qu'ils pouvaient se permettre. Après les regards que leur ont jeté les familles des serpentards, ils n'avaient pas du tout envie d'être proche d'eux. Surtout, qu'ils savaient la réputation des descendants de la maison du serpent de leur fille. En pensant à Hermione, Cassidy se mit à trembler légèrement, elle avait tellement peur de ce qu'elle allait voir. Réarranger par magie ses dents de devant, c'était une chose, mais le monde que leur enfant avait décidé de connaître était dangereux. Pourquoi est-ce que Albus ne leur avait pas dit ce qui était arrivé à leurs enfants dans la lettre qu'il leur avait envoyé, aussi ?
"Nous y voilà," dit Albus en s'arrêtant devant la porte et se
tournant vers avec une mine calme et posée. "Rien de vraiment fâcheux
ne leur ait arrivé, comme vous allez le voir."
"Ouvrez cette porte Dumbledore que je puisse en juger par moi-même," grinça hautainement Lucius Malfoy.
Albus ne réagit aucunement à cela et poussa la porte.
Narcissa Malfoy, Dawnika Waylon Zabini, Molly Weasley, Cassidy Crispin Granger, May Parkynson, Jamie Finnigan et Fola Thomas renversèrent presque les hommes qui les accompagnaient pour entrer les premières dans la salle et voir leurs enfants.
Harry, Millicent, Pansy, Neville Vincent, Gregory, Ron, Dean et Seamus avaient rapproché leur pupitre pour pouvoir étudier ensemble pour leur cours d'histoire avec les notes de Blaise. Ce dernier était assis avec Draco et Hermione pour leur cours d'arithmancie, les deux garçons essayaient d'expliquer les nouvelles notions qu'ils avaient apprises hier à la jeune fille qui devenait de plus en plus perdue. Pansy ne voulait pas les aider à accomplir ce qui semblait devenir l'impossible avec la gryffondor Ils levèrent tous la tête pour voir entrer en trombe plusieurs femmes hystériques.
"Draco !" cria Narcissa, d'une voix aigüe, en courant à ses
côtés et le serrant fermement dans ses bras. Le garçon était toujours
assis et avait la tête contre la poitrine de sa mère. Il essayait de la
repousser sous les rires essoufflés et pleurés de Blaise.
"Blaise, chéri ! Oh, Salazar ! Tu vas bien ? Non !... Pourquoi
pleures-tu ? As-tu mal quelque part ? Qui te fait souffrir, mon bébé
?..." s'écria Dawnika précipitemment, ne le laissant pas le temps de
respirer et de lui répondre.
"Neville," commença Aeldra Athelward, qui s'était faufilée dans la
salle après ces furies. Elle se pencha sur son petit-fils et l'observa
sévèrement. "Comment te sens-tu ? Que t'arrive-t-il ?"
"Rien, grand-mère. Je vais bien," fit tout bas le blond avec un petit sourire nerveux sur les lèvres.
"Hermione !"
"M'man ! Ne t'inquiètes pas, je vais comme sur des roulettes," s'écria Hermione avec un petit sourire, le pouce levé.
"Hermione !... Hum !" fit avec horreur Cassidy, en regardant sa fille
avec soupçon. Elle se tourna plutôt vers Ron qui était approché de sa
mère.
"Ronald Weasley, tu vas t'expliquer tout de suite ! Qu'est-ce qui s'est passé ?"
"Mais, j'ai rien fa..."
"Aaaaahhhhh ! ARTHUR !" tona Molly, avec rage. Elle se tourna plutôt vers Hermione et Cassidy qui regardait Ron avec terreur.
"Mais, m'man !" s'écria Ron, fâché. "On a juste échangé de voix, je suis Ron."
"Pansy Parkynson, réveille-toi quand je te parle ! Je t'interdis de
faire comme ton père, tu vas m'écouter, ma... Pansy ?" grincha May
Groove.
"Madame," dit Vincent, en se mettant debout. "Votre fille n'a rien de
plus étrange que nous autres. Elle vient seulement de perdre
connaissance et... Merci Po..."
Avant de pouvoir finir, May Groove Parkynson, Puck Parkynson, Lucius Malfoy, Samuel Crabbe, Robert Goyle, Aimery Bulstrode et Albern Zabini avaient tiré leur baguette magique de divers endroit et la pointaient dans la direction de Harry qui avait sorti la sienne pour réveiller Pansy. Les adolescents se redressèrent rapidement pour entourer Harry et le protéger de leur corps de leurs parents. Les autres adultes poussèrent des cris pour empêcher les serpentards de faire quelque chose de drastique. Remus et Minerva étaient de ceux qui criaient, baguettes sorties aussi, pour empêcher une catastrophe.
"ON SE CALME IMMÉDIATEMENT !" dit Albus avec le sonorus,
faisant sursauter tout le monde. Personne ne baissa leur arme, mais
tout le monde tendait l'oreille. "Monsieur Potter, rangez votre
baguette, je vais la réveiller. Assoyez-vous les enfants ! Et tous les
autres, reculez." Tout le monde s'exécuta lentement, mais sans qu'aucun
sort ne soit cité. "Bien, enervate !"
"..."
"Pssshhh !" siffla, ennuyée, Pansy, en frottant ses yeux du dos de la
main. "Merci, directeur !... Euh ! Qu'est-ce qui se passe ?" Personne
ne lui répondit, pendant un long moment. Mais Harry explosa de colère.
"J'allais te réveiller quand ces imbéciles ont tenté de me jeter un
mauvais sort !" cria-t-il, le coeur au bord des lèvres, de nervosité et
de soulagement.
"Quoi ? C'est absurde ! Mes parents n'auraient... Personne ne vous
avait dit que je ne pouvais être réveiller qu'avec ce sort lorsque je
m'endors soudainement ?"
"Ce fut une erreur de ma part. Je m'en excuse !" dit Albus dans la
direction des adultes qui étaient cette fois-ci sidérés par le soutien
physique et moral qu'avaient prodigué tous les enfants à Harry.
"Dumbledore, je crois que maintenant des explications seraient dûes,"
dit Lucius, le visage impassible, rangeant sa baguette dans sa longue
canne, avec nonchalence. "Et est-ce que mes sens me tromperaient-je ?
Ce sont bien des... Est-ce une poitrine plus développée que
d'ordinaire, monsieur Potter ?"
Harry ne fit qu'une grimace effronté à l'aristocrate qui avait un sourire en coin. Le noiraud se retint de ne pas croiser les bras sur la poitrine et il se retenait plus difficilement d'offrir son majeur à l'ancien serpentard.
"Blaise, sale pleurnichard ! Arrête ces larmes ridicules, tout
de suite," persiffla Albern avec dégoût, regardant son fils de haut.
Blaise ne fit que rouler des yeux."Déjôlé -snif !- Je ne peux m'en
empêcher... -snif- Tout comme Pansy ne peut s'empêcher de tomber dans
les pommes pratiquemment toutes... 'scusé !" s'interrompit-il en se
mouchant. «Tiens ? Je n'avais pas besoin de me moucher avant ! Bah !
Mon père me mets dans tout mes éats, comme d'habitude...» "De tomber
dans les pommes toutes les trentes minutes... C'est mon anomalie, comme
on l'appelle."
"Vraiment !" dénigra Albern qui ne se préoccupa pas de la main de sa
femme posée sur son bras en signe d'avertissement. "Il aurait fallu un
accident de potion pour montrer au monde entier ton vrai caractère de
soupe-au-lait ?"
«Mais pour qui il se prend ?... Okay, pour son père, mais Blaise va pas
se laisser manger la laine sur le dos comme cela devant tout ce monde
?» se dit Harry, en lui jetant un coup d'oeil. Il haussa un sourcil, en
se tournant complètement, en voyant que le serpentard n'allait rien
dire. Harry grinça des dents, il ouvrit, finalement, la bouche pour
insulter Zabini père, mais se fit dammer le pion par Dean.
"Excusez-moi, mon vieux !"
"Pardonne-toi ?" siffla Albern devant l'insolent.
"Mais pour qui vous vous prenez ? Votre fils aurait pu se faire tuer
dans cet accident et vous ne trouvez qu'à l'insulter et le rabaisser ?"
continua le noir, en se levant cette fois, le regard jetant des éclairs.
"Dean !" fit Fola, en lui mettant la main sur le bras.
"Mais le type est un trou-d'cul, m'man !"
"Ouais !" firent les autres en même temps, Seamus, ne pouvant que
secouer la tête et Blaise ne faisant que rouler des yeux, cachant son
sourire derrière son sixième mouchoire depuis l'arrivée des parents.
Les adultes, mêmes les professeurs, ouvrirent grands les yeux devant
cette preuve de solidarité.
Lucius fronça tout de suite des sourcils, il jeta un regard colérique dans la direction d'Albern qui voulait exploser. L'homme se calma tout de suite devant le regard froid de son ami et pinça des lèvres attendant ce qu'allait dire le blond.
"Dumbledore, je dois porter des accusations pour négligence criminelle !"
"QUOI !"
"Silence,
vous autres !" siffla-t-il dans la direction des enfants qui s'étaient
tous levés comme un seul homme. "Severus Snape est mort et mon fils a
quelque chose qui cloche chez lui s'il est de conivence avec des
gryffondors. Je ne sais pas ce que le ministre Fudge vous a dit, mais
vous n'allez pas vous en tirer de cette... Rassied-toi, Draco !"
"Non ! S'il y a quelqu'un à accuser, c'est bien moi."
"Draco !" s'écria Lucius et Narcissa, se rendant compte avec mystification que les enfants avaient fait de même.
"Ce n'est pas de ta faute," pouffa Hermione.
"C'était un accident, vieux !" murmura audiblement Blaise.
"Quand est-ce que l'on va réussir à te renter cela dans la tête ?" demanda exaspéré Harry.
"Ouais !"
"Bon, les enfants, calmez-vous. Monsieur Malfoy, comme l'a dit si bien
vos camarades, personne ne vous accuse de quoi que ce soit. Donc, comme
j'allais le dire avant que monsieur Zabini ne s'attaque à son fils..."
Mais avant qu'Albus puisse dire quoi que ce soit, la porte s'ouvrit à nouveau, laissant passer Nosie Vector et trois hommes derrière, elle. Minerva ne fit que se taper le cou et se gratter le plus discrètement possible maintenant que tout le monde s'était tourné pour faire face à l'arrivée des Snape.
"Albus Dumbledore, personne n'accuse le jeune Malfoy, mais moi si ! Vous-avez-tué-mon-fils !" cingla le plus vieux.
Les narines de Lucius s'entrouvrirent de rage, ses yeux lancèrent des éclairs, il ne remarqua pas tout de suite, les enfants se redresser et se remettre à crier. Il ne s'occupa pas de sa femme qui poussait des vagissement stridents de rage. Il ne faisait que tuer des yeux Nathrach et Heolstor Snape.
Chapitre Snape
Rikiki
Severus regardait son père avec horreur. Il n'arrivait pas à croire que le salaud faisait une entrée aussi remarquer pour accuser de meurtre le fils d'une connaissance, tandis que l'homme ne ressentait que de la haine pour lui. Il renifla de dégoût.
Il fit une grimace en essayant de monter plus haut que sa position accrochée. Il passa le bras droit sur son front en sueur. Il attrapa un morceau de peau et retira la dague pour l'enfoncer à nouveau pour se hisser. Il siffla entre ses dents jaunes en retirant rapidement la dague et se laissant glisser, le coeur au bord des lèvres. Avec un sursaut, il réussit à accrocher la dague au haut col de la robe noire de Minerva.
Hier, l'animagus était venue se recueillir à l'endroit où il avait eu son accident. Il avait été surpris de la voir, mais tellement heureux. Il avait sauté sur la chaussure et s'était accroché comme un damné avec sa dague enfoncée dans le cuir de la bottine. Il avait tout lâché lorsqu'ils étaient arrivés dans l'appartement de la vieille dame. Il avait gémit à cause des bleus qu'ils s'étaient procurés lors de sa descente et à cause de ce qu'il vit en regardant autour de lui. C'était trop grand et ses narines reniflaient l'odeur de nourriture. Et. Il. Avait. Faim.
«Comment je fais ? Je dois monter sur cette table et... Pourquoi ? Je ne suis pas athlète... mais j'ai trop faim, si je reste sans manger, je vais tomber... Mmmm !... Je risque de tomber si je fais un mauvais pas, par contre... Bon quand il faut y aller, faut y aller !» se dit avec faiblesse Severus.
Il s'approcha du bureau et enfonça sa dague magique, qui avait rapetissé avec lui, dans le bois de la table de Minerva. Elle s'enfonça comme dans du beurre. Il fit deux entailles parallèles l'une à quelque distance de l'autre, assez profonde pour y mettre ses pieds et une autre en hauteur pour s'y accrocher. Il continua ainsi pendant encore deux, trois heures. Il fit une grimace en arrivant à l'horizontal, nageant dans sa sueur, bave au menton de rage et de faim. Il continua à quatre pattes, glissant et finissant par ramper jusqu'au rebord de l'assiette. Il regarda autour de lui et vit Minerva, assise à son bureau devant la cheminée en train de noter des devoirs. L'assiette était froide et il ne restait que des miettes, mais avec sa taille, c'était le paradis.
Il dormit sur la table même. L'elfe de maison qui vint nettoyer l'appartement de Minerva pendant qu'elle était sous la douche ne le vit pas. Il se réveilla le lendemain, s'étira et craqua les muscles de son cou. Il avait le corps raidi, il avait mal partout, mais il avait le ventre plein. Il avait gardé des morceaux de son énorme festin dans une de ses poches vides.
Il se mit debout et regarda autour de lui. Minerva dormait toujours. Il décida qu'il venait de trouver son moyen de transport. Il fallait qu'il trouve le moyen de se retrouver sur elle et dès qu'il serait en présence d'Albus, il se jeterait sur le vieux. Il aurait plus de chance d'être sauvé avec lui. Il ne s'était pas douté qu'il allait être couvert de bleus (ou d'indigo pour le nombre de bleus qu'il avait déjà) que les muscles de ses bras le feraient souffrir pour encore des jours, à monter, à descendre, à grimper, à glisser sur les vêtements de la vieille dame. Et ses jointures semblaient à jamais fixer dans une seule position, comme s'il ne lâcherait jamais sa dague magique. Il devait avoir des ampoules sur la paume de ses mains. Et cela n'était que cinq heures après son réveil. Il devait absolument trouver Albus et retrouver sa taille, il ne pourrait supporter cela pour une journée de plus.
Lorsqu'il s'était retrouvé dans le bureau d'Albus, il s'était préparé à descendre de sa monture pour aller rejoindre le vieux sorcier, mais les parents étaient arrivés. Il s'était retrouvé devant les enfants et pour la première fois depuis des jours, il les voyait. Il remarqua qu'aucun d'eux ne semblaient autant affecter que lui. Il maudis les cieux, levant le poing et faillit tomber de son perchoir lorsque tout le monde commença à se crier après.
Quelle ne fut pas sa surprise en remarquant le front uni des affligés. Il trouve cela encore plus surprenant que sa taille de microbe. Des serpentards... «Non. Ce groupe de serpentards et ce groupe de gryffondors qui se montrent solidaire les uns aux autres... Il fallait bien un stupide accident pour qu'une telle impossibilité arrive...» s'était dit avec amertume le miniaturisé professeur, avant que son père et son demi-frère ne se pointe.
Notes de l'auteure : Non, je ne suis pas morte, mais mon ordi a failli l'être. Il faut vraiment que je retourne au crayon et papier... Ça fait réellement suer lorsqu'on a rien sous la main pour continuer une histoire, c'est bien beau la mémoire... Mais enfin, le docteur donne à mon ordi encore quelque mois, dois commencer à économiser, maintenant.
Bon, fini les plaintes. Je dois répondre à ces commentaires. J'adore ça. J'en ai plus que je l'aurais cru. Je croyais réellement que cette histoire ne saurait attirer autant d'attention. Ben, ceux qui pense voir la solution au bout du chemin pour tout... Juste dire que j'ai fini les plans de chaque chapitre de l'histoire et me semble que je l'arrête au chap. 22. Des questions se posent, alors... Allez-vous me suivre jusque là ? Est-ce que je garderai la touche d'humour dans lequel plane l'histoire jusqu'au bout ? Une seule réponse : on verra cela à la fin, mmm ?
Réponses
HPF ORG
asuka snape : Merci ! J'trouve que je me suis bien débrouillée avec les anomalies, mais 'faut dire que j'ai un fond bizarre... ou que je lis trop. Merci, voilà la suite !
lilie evans : Merci ! J't'embrasse en retour ! Pour Neville et Snape... Qu'est-ce qui te fait dire pareille chose ?(j'suis scandalisée, là) Vous savez parfaitement que je ne peux dévoiler des parties de mon histoire de cette manière... Bah ! Continue de lire et... on verra...
lea black : Merci ! Je suis désolée pour la lenteur de mes mises à jour. Pour l'anomalie de Harry, c'est que j'ai toujours voulu voir un homme dans mes chaussures au moment de la phase. Je vais me marrer pour la suite ! Ne plains pas Severus trop vite, comme tu le verras pour le chapitre suivant, il va... s'amuser.
Doïna : Merci ! Vive le velcro ! Continue à t'accrocher.
Pour le couple Draco/Neville, c'est qu'avant je ne faisais que lire
Draco/Harry et je me suis tannée. Je m'amuse avec Draco/Neville parce
que Neville est tout ce que déteste Draco(gryffondor, nulle en magie,
mou comme ça se peut pas, fond trop bon...) et après avoir lu le tome
cinq, il fallait que je continue dans cette voie du slash ! Pour les
noms en anglais... Je suis coupable de lecture de potterfiction qu'en
anglais, je suis à genoux, veuillez me pardonner, mais je ne peux m'en
empêcher. C'est en lisant des fanfics' en anglais que j'ai amélioré mon
anglais, en plus, c'est un très bon exercice.
Moi, maltraiter ton
Severus ! Jamais de la vie... Je te contacte tout de suite après avoir
posté le chapitre ! Et pour mon pseudo, j'ai pris Ayla du personnage
principale de J. Auel. Je l'adore cette p'tite bonne femme. Merci,
encore pour la review !
Ehwinn : Merci ! Originale, je crois. Mais j'ai une vive imagination, faut dire ! T'inquiète, moi aussi j'aime l'aventure de Severus en parallèle. Essayons de voir si l'une d'entre vous pourrez voir le lien entre les titres des chapitres de Snape. Voilà la suite et le chapitre 5 ne prendra pas plus de temps que celui-là, enfin... Merci, encore !
FFN NET
lumina : Hey ! J'viens de remarquer que je t'avais oubliée le précédent chapitre, désolée ! Merci d'avoir pris le temps de m'écrire. J'espère que tu continues à la lire ma 'fic.
Elrith : Merci ! Tu l'as eu la suite ! Je ne sais même pas si je dois catégoriser les réactions de DRaco comme de la jalousie d'homme Cro-Magnon ou de l'obsession maladive. Je verrai cela dans le chapitre 6. Combien de temps va tenir Sev ? Il faut dire qu'il a la couenne dure, il faut pour être mangemort, paraît. Alors, ne t'inquiète pas, je n'ai pas l'intention de le faire trop longtemps souffrir.
mafalda : Merci ! Pour l'inhabituel, je voulais faire changement des dix milles Draco/Harry, Remus/Sirius. Et j'espère que tu sauras te rappeler d'au moins le nom de l'histoire(ce qui ne me semble pas si dure), si tu ne te souviens pas de mon pseudo. Bonne recherche !
Xyrae : Merci ! Allez, fais attention, je ne voudrais pas que tu aies des indigestions... Quant à Drago/Neville, ça ira, tant que l'on ne juge pas une fic' complète pour un couple, j'déteste quand les gens font cela. J'en ai lu de toutes les couleurs(rolls eyes !) Harry en période de règle est inévitable, ça je peux le dire ! Changement de sexe pour un homme, il faut absolument(à mon avis) qu'il passe par là. Le faire souffrir comme je souffre et... Huh-hum ! Désolée, je me laisse emporter... Ne t'inquiète donc pas pour Severus, il aura beaucoup de bleus et de crampes, mais ne mourra pas. Il me le faut pour rendre Remus heureux. Merci, pour le commentaire. Au prochain chap, alors !
Ilsie : Merci ! Voici la suite, je ne te ferai pas attendre trop longtemps pour le chap 5, si tu me suis toujours. Pour les couples anormaux, "Welcome in to my world !"
Ready : Merci ! Harry/Blaise ? Mais sans les dires de
JK, tout le monde se battait pour savoir de quel sexe, il était. Je
serais tombée des nues s'il s'était avéré femelle. Un personnage pas
développé de JK est une mine d'or pour moi car je peux faire ce que je
veux de lui sans que personne puisse dire qu'il est OOC. C'est pour
cela que Blaise sera toujours dans mes fics comme meilleur pote de
Drake. Jusqu'à ce que Rowling décide de faire quelque chose avec lui,
il lui reste deux tomes pour cela (croise les doigts pour qu'elle ne
fasse rien avec Blaise)
Je ne me considère pas quelqu'un de comique, j'ai juste un très grand
sens de l'humour. On m'a toujours dit que j'étais sarcastique, cynique
et sèche. Merci, alors ! S'il te plaît, tu vas me faire rougir !(tu
peux continuer à déclarer ton amour, par contre). J'espère que vous
êtes pas trop essouflés ? Je fais vite pour le cinq, alors. Faudrait
pas que vous tombiez dans les pommes ! Merci, encore, chère !
