Le huitième sanctuaire

Chapitre 2: Légendes et enlèvement

La scène se déroule toujours dans le village boreallis

Daniel et Jack continuaient leur activité favorite : la dispute, sous le regard décontenancé de Teal'c et les yeux pleins de malice de Sam !

Mais cette dernière reprit vite le fil de la conversation, qu'il l'intéressait fortement. De plus elle avait quelque chose à rajouter, quelque chose qui lui tenait profondément à cœur :

Sam : mais tout comme chez nous, les femmes ne sont ni esclaves, ni soumises et elles n'ont pas à se cacher, d'après ce que j'ai pu voir et comprendre !

Artelis : en effet…Sam…mais vous devez savoir que cela est ressent, et que ce changement a été brutal est incompris par certains ! En réalité cela fait à peine 15 youvis qu'elles ont ces droits ! Je m'étais juré de les libérer quand je monterai sur le trône et que je gouvernerai ce village ! Malheureusement tous ne sont pas du même avis que moi et mon fils ne supporte pas cette égalité entre lui et « n'importe quelle » femme. Pour lui les femmes sont inférieures aux homes et doivent les servir, et en tant que futur chef il est craint et en profite pour faire ce qu'il veut des femmes !

Sam pensante : « Mais il se prend pour qui ce barbare, si je l'avais là, devant moi il passerait un sal quart d'heure ! En plus il n'a pas de chance il est tombé sur la fervente protectrice de la cause des femmes ! Non allez, Sam, on se calme, tu fais comme si Artelis n'avait rien dit ! » Puis chuchotant sans s'en rendre compte : « et s'il me cherche l'autre je vais lui faire comprendre le fond de ma pensée ! »

Elle se mit à rire, ce qui n'échappa pas à son supérieur.

Jack l'entendant : Carter ?

Sam s'apercevant de ce qu'elle venait de dire : OH…excusez-moi !

Artelis, s'étant retourné pour discuter avec une jeune fille depuis quelques minutes, n'avait pas assisté au monologue de Sam. Malgré cela cette dernière se senti gênée voyant que son colonel, lui, n'avait rien loupé. Le colonel se pencha vers elle et lui chuchota :

Jack : dites-moi carter, je suppose que vous étiez en train d'établir un plan pour montrer à ce guignol de fils de chef que les femmes valent plus que ça ?

Le major sourit et avant qu'elle ne puisse répondre, son supérieur se mit à rire, ce qui n'était pas dans ses habitudes, et s'exclama :

Jack : qu'est ce qu'il me tarde de vous voir lui mettre une raclée ! Vous êtes très sexy lorsque vous vous mettez en colère et plus encore quand votre adversaire est un homme !

Alors que Sam saisit le sens des paroles de Jack, celui-ci la regarda avec un sourire coquin puis commença à s'en aller. Comme ils étaient face à face Jack passa devant Sam pour s'en aller et en profita ! Au moment où il la croisa dans sa trajectoire, il ralentit légèrement et en passant à sa hauteur, lui frôla l'épaule ! A ce contact Sam se retourna, le regardant s'éloigner. Elle aimait lorsqu'il se moquait d'elle, généralement elle lui faisait son plus beau sourire et c'était elle qui tournait les talons et s'en allait pendant que, lui, la regarder ! Mais là ils avaient échangé leurs rôles, et Sam ne voulait pas que cela se passe comme ça, sans qu'elle ait le dernier mot ! Et pour ne pas perdre la face devant son colonel et ne pas lui montrer l'effet de ses dires sur elle, Sam s'adressa à son supérieur qui, donc, lui tournait le dos !

Sam : si c'est votre manière de me faire vos excuses, mon colonel, sachez que je les accepte, mais c'est bien parce que c'est vous !

Jack se retourna, étonné les paroles de son second. Elle avait beaucoup d'audace et elle savait pertinemment qu'aucun rapport ne ferait mention de telles paroles ! En moins d'une minute elle avait réussi, non seulement à avoir le dernier mot, mais aussi à lui ôter toute l'assurance qu'il avait acquéri l'instant d'avant ! Cette femme était décidément aussi coriace et têtue que lui ! Sam de son côté lui fit son plus beau sourire, et comme à son habitude, se retourna et se dirigea vers Artelis qui les attendait.

Sans s'en rendre compte, ces deux là avaient oublié leur période de froid et s'étaient immédiatement rapprochés !

Daniel et Teal'c, pour une fois n'avaient rien entendu des échanges vocaux de nos deux militaires. Ils avaient continué leur inspection d'un autre monument.

Sg1 était finalement réunie devant le chef du village.

Artelis : bien…où en étions-nous ? Ca y est, je me souviens, les femmes ! Pour tout vous dire, je les trouve intelligentes et plus malines que les hommes et elles apportent beaucoup au village depuis qu'elles ont leurs mots à dire ! Mais même si elles sont libres elles ont voulu maintenir toutes les coutumes de l'ancienne époque, dont la Taïla. C'est une fête qui se déroule le soir du 18èm voyssis de chaque youvis, ce que vous appelez des « années » d'après Daniel. D'ailleurs la prochaine va se passer demain soir.

Pendant que Daniel discutait avec le chef, Jack ne put s'empêcher de s'approcher de Sam pour, une fois de plus solliciter son aide ! Mais il fit cela de sorte que se soit elle qui l'aide et non lui qui lui demande son aide ! (Malin le colonel !)

Jack semblant s'adresser à tous : j'ai encore rien compris ! Est-ce que quelqu'un m'aimerait assez pour m'expliquer leurs unités !

Et tombant dans ce piège plein de malice :

Sam : et bien pour faire simple, ce qu'ils appellent un voyssis est ce que nous avons coutume de nommer un mois. De même un youvis correspondrait à une année. Mais c'est bien plus compliqué parce qu'ici le soleil a un cycle plus long que sur Terre. Pour être précise, il tourne deux fois plus lentement que chez nous. Ce qui revient à dire qu'un voyssis vaut réellement 2 mois et un youvis vaut 2 ans.

Soudain l'astrophysicienne releva la tête et regarda son colonel. Elle fut toute chamboulait, et devint aussi rouge qu'une tomate, lorsqu'elle se rendit compte du piège que lui avait tendu Jack, et surtout qu'elle était tombée les deux pieds dedans ! Lui souriait bêtement en rêvassant, heureux que son plan ait marché, que Sam soit tombée dedans, et que celle-ci soit, à présent, « désarmée » face à lui. Jack pensait s'être venger de son second et arborait désormais un sourire vainqueur. Mais Sam n'avait pas jeté l'éponge (non pas bob, oups !). Le colonel lui demanda innocemment :

Jack : sinon, que disiez-vous major ?

Sam sentit là, l'occasion de prendre sa revanche. Une fois de plus son supérieur s'était perdu dans ses pensées et ne l'avait pas écoutait !

Sam : comment ? Vous n'avez toujours rien écouté, pas étonnant que vous ne compreniez rien ! Puisque c'est comme ça, et pour venger les milliers de personnes que vous n'avez jamais déniées écouter, je ne répèterai aucune syllabe de ce que j'ai dit 3 minutes plutôt !

Sam frôlait l'insubordination mais elle savait pertinemment que SON colonel ne lui ferrait pas de rapport, rien que le fait qu'il soit obliger de TOUT retranscrire l'en empêcherait ! Elle avait raison et comme pour lui prouver, Jack lui fit un sourire en coin montrant ainsi qu'une fois de plus elle avait eu le dernier mot et l'avait battu à son propre jeu !

Après cette petite activité fort divertissante, tous les deux se concentrèrent sur ce que demandait Daniel !

Daniel : Mais malgré tout je n'ai pas saisi en quoi consiste cette « Taïla » ?

Artelis : nous faisons un grand feu de bois vert, qui symbolise l'unité du peuple, et les femmes dansent, seules puis en couple avec un homme, dans la fumée. Heureusement les brindilles utilisées pour ce feu ont la particularité de faire de la fumée non toxique et de couleur bleutée ! Puis les hommes portent les femmes jusqu'à leur tante, quand la fête est terminée bien entendu ! C'est à cet instant que la femme décide si l'homme peut rester et passer la nuit avec elle ou, s'il la laisse et rentre seul dans sa propre tante !

Sam outrée : pardon ? J'ai peur de comprendre, en réalité ces femmes, que vous dites libres, ne sont là que pour exalter les envies et les fantasmes des hommes ! Puis pour que ces messieurs soient contents elles se donnent à eux sans broncher en bonnes servantes qu'elles sont ! C'est écœurant et moi qui pensais que votre peuple était différent des autres et qui vous étiez un homme en avance sur votre temps !

Puis avec un sourire ironique elle continua sans laisser à Artelis ou même à Jack le moyen de la résonner ou de l'arrêter : je me trompais, en réalité vous les exhibez et elles sont presque traitées comme des filles de joie ! C'est pitoyable et personnellement…..

Artelis : NON !

Sam fut aussitôt sorti de ses pensées et leva brusquement la tête. Ses yeux, malgré sa colère étaient toujours aussi éveillés et avaient toujours cette couleur magnifique qu'est le bleu ! Artelis, bien qu'il fut déstabilisé par ce spectacle d'une beauté rare, n'en laissa rien paraître et continua son exclamation ! Jack, quant à lui, était toujours aussi émerveillé par les yeux de son second si bien qu'il ne la lâchait plus du regard !

Artelis : arrêtez par pitié ! Vous me faite plus de mal avec ces paroles que milles flèches tirées à bout portant ! Je vous en pris, ne tirez pas de conclusions aussi rapidement ! Laissez moi vous expliquer pas mal de choses qui pourraient bien changer radicalement votre point de vue ! Nos femmes sont belle et bien libres ! C'est juste qu'elles sont très fières d'imiter les agissements de la déesse protectrice de notre village ! En effet, elles ont le choix, ce qui n'est pas rien quand on repense à toutes ces années de servitude et de soumission ! Ce sont elles les reines de la soirée, ce sont elles qui décident ! De plus, si je peux me permettre, danser coller-serrer avec l'homme qu'elles aiment ne les dérangent pas trop ! Car là aussi ce sont elles qui décident de tout et choisissent !

Daniel qui avait suivi la conversation ne put s'empêcher d'intervenir.

Daniel : cette déesse dont vous parlait, c'est celle dont parlent les fresques du temple ? Si je ne me trompe pas elle se nommait…Sajanitha !

Artelis : vous êtes dans le vrai Daniel, elle était, d 'après nos ancêtres, aussi vive que le vent des plaines et aussi maligne que le loup de la montagne ! Elle avait deux signes distinctifs : ses cheveux couleur or ne poussaient pas et restaient à la hauteur de ses oreilles, tel un homme. Aussi ses yeux avaient la couleur du lagon qui borde notre village ! Elle est la déesse toute puissante et elle contrôlait tous les éléments !

Daniel : elle devait être très belle.

Artelis : sûrement, je n'en sais rien, c'est ce qu'en disent les écrits des ancêtres !

Daniel : si vous permettez mon audace, je suis assez étonné de vous entendre parler de votre déesse au passé. Généralement les personnes qui croient en un dieu parlent de lui au présent ne serai ce que pour prouver qu'ils ont encore la foi et qu'ils attendent son retour !

Artelis : pour vous dire la vérité, il existe une prophétie qui annonce le retour de notre déesse le jour ou le pouvoir vacillera ! Mais personnellement je pense que ce sont les hommes qui étaient au pouvoir qui ont écrit cela afin qu'ils puissent continuer à dominer les femmes !

Bien maintenant que vous en savez suffisamment sur nous, j'aimerai finir rapidement la visite. En effet la nuit risque de tomber dans deux de vos heures, aussi il nous faut nous dépêcher. De plus je dois réunir le conseil qui décidera de la danse principale de la Taïla !

Les explorateurs intergalactiques continuaient leur promenade. Ils passèrent devant le temple dont avait parlé Daniel puis traversèrent un attroupement de villageois. Aussitôt, tous s'inclinèrent devant SG1 ! Daniel se tourna alors vers Artelis pour qu'il fasse quelque chose.

Artelis au peuple : mes amis, relevez-vous, ils ne sont pas ceux que nous attendions. Ils sont nos « frères » éloignés. J'avais tort ! Ils sont sages et comme moi ils croient en l'égalité entre l'homme et la femme ! Ainsi mes amis, ils désirent être appelés Daniel, Sam, Jack et Teal'c, et que vous restiez debout à leur passage ! (Puis fier, il cria) NOUS SOMMES EGAUX !

Les gens et surtout les femmes applaudirent, mais ne se levèrent pas. Ce ne fut qu'au bout de dix minutes que les premiers téméraires se risquèrent à se lever. Les autres, par la suite, voyant que rien ne se passer, décidèrent à leur tour de se redresser.

Artelis à SG1 : il faut les comprendre, c'est à cause de ces vieilles prophéties qui sont encrées dans la tête de mon peuple ! Ce sont nos croyances, on ne peut pas passer outre et les oublier en si peu de temps !

Teal'c : c'est la deuxième fois que vous parlait de ces prophéties, j'ai peur de ne pas comprendre toute l'importance d'une telle croyance ! Il me semble aussi qu'il serait judicieux que vous approfondissiez vos explications à propos des prophéties ! Ainsi nous pourrions éviter d'agir sans penser aux conséquences !

Artelis : je crois en effet que se serait une bonne idée, et puis il me reste un peu de temps avant la réunion du conseil ! Allons donc sous ma tante et ensuite vous pourrez vous reposer jusqu'à demain dans vos tantes respectives que j'ai fait monter pour que vous soyez plus à votre aise !

Ainsi SG1 et le chef du village se dirigèrent vers la tante de ce dernier. Une fois confortablement installés, Artelis commença son inventaire des prophéties qui régissaient la vie de ses sujets et la sienne par la même occasion !

Artelis : en fait ce n'est pas si compliqué ! Notre village a une déesse, et une seule, qui est donc Sajanitha ! Ensuite il y a quatre prophéties et huit sanctuaires cachés !

Daniel : oh, c'est vraiment intéressant, vous ne trouvez pas Jack ?

Jack comme à son habitude : si, si bien sur Daniel ! Et je sens que nous n'allons pas tarder à payer le prix de notre visite !

Daniel : ben voyons, pour une fois que nous ne tombons pas sur des Goa'uld, il faut que vous dramatisiez ! Ces gens sont vraiment très gentils et civilisés ! Je ne vois pas en quoi…

Jack : c'est justement CELA le problème ! A chaque fois c'est la même chose et on finit toujours emprisonnés ou je ne sais quoi d'au…

Sam : MESSIEURS, je crois qu'Artelis aimerai finir ce que NOUS lui avons demandé de continuer !

Jack d'un air boudeur : ouais, ouais allez-y !

Artelis : bien je disais donc, chaque sanctuaire fut construit par les ancêtres dans des lieux en rapport avec les éléments ! Pour être plus précis, il existe 4 sanctuaires mineurs dédiés à la nature, à la terre, à la pierre et à la foudre ! Puis 3 un peu plus importants consacrés à l'eau, le feu et l'air ! Vous souvenez-vous de ce que je vous avais dit sur notre déesse ?

Sam : qu'elle contrôlait tous les éléments !

Artelis : c'est cela même. Et bien le huitième sanctuaire est le plus important de tous et il a été bâti pour honorer Sajanitha ! Malheureusement tous les sanctuaires ont été découverts grâce aux écrits des ancêtres mais ce dernier sanctuaire reste un vrai mystère ! En effet il n'est mentionné dans aucun de nos textes et personne ne connaît son emplacement !

Daniel : c'est vraiment dommage, une perte pareille ! Mais si je traduis toutes les inscriptions que j'ai découvertes dans le temple, je pourrais peut être apprendre quelque chose sur ce sanctuaire !

Jack : on ne s'emballe pas Daniel ! Il faudra demander l'accord du général pour rester un peu plus longtemps !

Artelis : pour finir, les prophéties parlent essentiellement de notre déesse : Une dit qu'à sa mort Sajanitha rassemblera tous ses pouvoirs pour renaître ! La deuxième est celle que je vous ai conté cette après-midi sur son retour. La troisième par contre dit que si un jour notre déesse unique venait à s'associer avec un humain alors l'enfant qui découlera de cette union serai l'héritier des pouvoirs de sa mère ! Ensuite la quatrième prophétie, ayant un rapport éloigné avec Sajanitha, prévoie l'arrivée de 3 saints qui seraient distingués par un symbole commun. Ils apporteraient la paix au sein du pouvoir du village et dévoileraient l'emplacement du huitième sanctuaire !

Jack : toujours ce huitième sanctuaire !

Artelis : bon et bien maintenant que vous savez tous, je vais vous laisser aller vous coucher pour être en forme pour la Taïla de demain ! Quant à moi j'ai un conseil à présider ! Bonne nuit !

SG1 : Merci à vous aussi !

Une fois artelis sorti de la tante, Sam alla se coucher, non sans un « bonne nuit » à ses partenaires ! Teal'c la suivit peu de temps après ! Il ne restait plus que le colonel et l'archéologue ! Soudain, Daniel se retourna vers Jack, avec un regard suppliant !

Jack : je n'aime pas quand vous me regardez de cette façon, ça tourne toujours mal par la suite ! Qu'est ce que vous voulez ENCORE !

Daniel : et bien j'aimerai aller demander un délai de plus pour rester ici quelque temps et étudier ces fresques ! Mais je voudrai aller le demander tout de suite au général !

Jack : il en est hors de questions, j'ai des congés à prendre et puis…

Daniel et Jack se trouvaient sur le chemin qui menait à la porte des étoiles. Jack avait cédé devant la détermination de l'archéologue !

Jack : vous savez Daniel je ne veux pas vous faire de peine mais j'ai bien peur que le général ne refuse de nous laisser en plan dans ce trou perdu de la galaxie !

…. : accepté !

Daniel : merci général ! Nous serons donc de retour dans 4 jours au plus tard !

Jack pour lui-même : mais c'est pas vrai !

Puis tous deux rentrèrent au village pour pratiquer la même activité que les deux autres membres de SG1, à savoir dormir

Pendant la nuit :

Tout était calme, seul le bruit de l'eau coassante du lagon, claquant sur les rochers rythmait doucement et régulièrement le repos de la nuit. Les quelques conifères aux alentours plissaient élégamment au toucher du vent, leurs écorces craquant et grinçant selon l'inclinaison qu'adoptait l'arbre. On ne distinguait rien dans cette nuit, juste quelques détails que permettait la lumière émanant des étoiles.

Puis une ombre se faufila à travers les herbes hautes. Impossible de savoir si elle était animale ou seulement l'union de plusieurs autres ombres. Zigzaguant agilement entre les sapins, elle restait muette, ne dérangeant aucunement la quiétude de la nuit. On pouvait maintenant s'apercevoir que cette ombre, en plus de se mouvoir, avançait en direction du village endormi. Une autre ombre la suivie, puis une autre et encore une.

Maintenant au nombre de quatre, elles avançaient silencieusement vers le village Boreallis, s'accroupissant au moindre bruit. Le groupe se dirigea au Nord du village. Là une dizaine de tantes se profilaient devant nos ombres.

On entendit des bruits étouffés, un craquement, quelque chose avait du tomber ou être casser. Un murmure puis, …plus rien. Les ombres s'enfoncèrent dans la forêt et disparurent comme elles étaient venues, se mêlant à la nuit en se fondant au gré des arbres !

A SUIVRE dans…euh…et ben j'ai pas encore trouvé le titre ! lol !

Voilà j'espère que ça vous a plu ou du moins pas trop déçu !

J'accepte toute critique constructive !

Juste un bémol pour les fautes d'orthographes, pitié, oubliez-les !

Atomic cam's