Alias

Alleluia

Auteur : Dinou

Email : dinou149wanadoo.fr

Genre : romance, humour

Résumé : la fin du cauchemar

Saison : comme d'hab, saison 3

Disclaimer : les personnages de la série « Alias » ne m'appartiennent pas, je ne touche pas d'argent à l'écriture de cette histoire, je ne le fais que pour me divertir et divertir les fans de la série.

Dédicace : je dédie cette ff à Vicky, Mizuki, Carter 1979 , Astéries, Tyto27, nemesis, Cris, MA, Callie, enfin pour résumer à tous les membres de la SADUED, aux membres du forum « Imagine la porte des étoiles », mais aussi aux lecteurs de « » ainsi qu'aux membres du forum sur Largo Winch « le bunker ».

NE PAS PUBLIER SANS MON AUTORISATION SVP !

Une semaine s'était écoulée depuis l'enlèvement de Jack Junior et Irina. Ces derniers étaient totalement remis. Il leur fallu une semaine de plus pour mettre au point le plan parfait pour détruire le Covenant une fois pour toute. Néanmoins il fallait encore le localiser, et ça demandait beaucoup de travail à de nombreux agents.

Toutefois, Vaughn avait pris le temps d'enterrer Lauren comme il se doit. Pour les proches et les amis de Lauren, cette dernière était morte lors d'une mission qu'elle effectuait pour la CIA, jamais personne de la CIA n'irait dire qu'elles avaient été les véritables agissements de la jeune femme. Même Sydney était d'accord pour admettre que la mort avait fauché la jeune femme trop tôt, mais elle avait choisi le mauvais camp dans cette guerre avec le Covenant.

Pendant tout ce temps, Marshall et Weiss avaient fait des recherches partout dans le monde pour avoir de nouvelles informations sur le Covenant. Ils avaient fait appel à de nombreux contacts d'Irina que cette dernière avait contacté pour les aider. Jack veillait à ce que tout se passe le mieux possible et surtout, il voulait faire en sorte de ne plus exposé le plus jeune membre de sa famille. A même pas un an, il avait été traqué, pris en otage, et dieu seul sait ce qui pouvait bien l'attendre dans les jours avenirs. Mais pour le moment il avait écarté ce genre de pensées négatives, il s'inquièterait de ça une fois le Covenant hors courses à jamais.

Alors que tous travaillaient à la localisation du Covenant, Irina entra dans les bureaux de la CIA avec un air triomphant sur le visage. Jack alla à sa rencontre.

J : « Qu'est ce que tu as trouvé ? » lui demanda t-il sentant les bonnes nouvelles arrivées.

I : « Je sais où se trouve le Covenant. » dit elle tout simplement.

Après cette déclaration sur un air détaché, un grand silence se fit dans les bureaux. A part quelques téléphones on n'entendait rien. Plus aucun mot ne fut échangé pendant quelques instants, le temps pour tous d'enregistrer ce que venait de dire Irina. Quand enfin l'information sembla être assimilée, Sydney prit la parole.

S : « Tu es sûre de toi maman ? » demanda t-elle anxieuse, de peur que ce ne soit encore qu'une fausse piste qui les ferait tomber dans un piège grossier.

I : « Sûre et certaine. »

V : « Comment avez vous fait ? »

I : « J'ai des alliés au sein même du Covenant qui y sont entrés pour le détruire. »

D : « Alors où se trouve le Covenant ? »

I : « En France. »

J : « Tu sais où ? »

I : « Evidemment Jack ! Je ne suis pas une débutante ! » dit elle irritée par ce manque de confiance. « A Paris… Ils ont bon goût, c'est une ville superbe ! »

D : « Bien, nous allons contacter les services secrets français. »

W : « Pourquoi faire ? »

D : « Pour graisser les rouages. » dit il tout simplement.

S : « Comment ça ? »

J : « Le covenant est sur notre territoire depuis le début. C'est à nous que revient le droit de l'arrêter. En contactant les services secrets français, nous faisons en sorte de nous assurer leur aide et en plus nous évitons des problèmes pour une histoire de juridiction. »

V : « Je vois. »

I : « Tu penses à tout je vois, comme toujours… » dit elle en lui prenant la main délicatement.

S : « Quand partons nous ? » demanda t-elle rapidement.

J : « Bientôt. Préparez vous à partir tous dès que possible. »

M : « Même moi ? » demanda t-il. « Non parce que j'ai des responsabilités ici avec le bébé… » commença Marshall avant de s'embrouiller dans ses propres explications.

S : « Ne vous inquiétez pas Marshall, vous restez ici je crois. »

J : « En effet. Vous nous servirez de lien avec le satellite pendant l'opération. »

M : « Merci. » dit il rassuré de ne pas à avoir à se trouver sur le terrain.

I : « Alors en route. » dit elle en souriant.

J « Irina, tu ne viens pas. » dit il catégorique.
Jack alors se tourna vers les autres pour continuer à donner des ordres. Mais avant que Jack n'aie eut le temps de dire quoi que ce soit d'autre, Irina le prit par le bras et le força à se retourner pour lui faire face. Elle planta son regard dans celui de Jack attendant des explications, mais il ne semblait pas décider à les lui donner facilement, alors elle se décida à prendre la parole.

I : « Quoi ? Comment ça je ne viens pas ? » dit elle en s'énervant.

J : « Tu n'es pas encore totalement remise Irina, ça pourrait être dangereux pour toi. » dit il en lui prenant la main espérant ainsi la calmer et éviter la scène de ménage en plein milieu des bureaux.
Mais Irina retira immédiatement sa main, et reprit la dispute comme si de rien n'était.

I : « Jack je ne suis pas en porcelaine ! J'ai survécu à pire et tu le sais parfaitement ! Tu crois que j'étais moins en danger quand j'ai mis les enfants au monde, alors qu'on peut mourir à tout instant lors de ces foutus accouchements ? Ou quand tes gentils camarades de la CIA m'ont torturés il y a dix ans ? » demanda t-elle avec hargne.

Jack voyait le regard d'Irina lui lancer des éclairs, si elle avait eut des mitraillettes à la place des yeux, elle l'aurait tué sur place.
Jack se rendit alors compte que tous avaient les yeux braqués sur eux. Le même silence s'était fait comme quand elle avait annoncé où se trouvait le Covenant. Alors il prit Irina par le bras et la conduisit jusqu'à son bureau pour qu'ils finissent cette conversation en privé.

S : « Bon le spectacle est fini ! Tout le monde au boulot ! » dit elle d'un ton ferme.
Alors le bruit repartit au sein de cette cellule de la CIA et tous reprirent leurs activités
V : « Tu crois que ton père va survivre ? » demanda t-il un sourire aux lèvres.

S : « C'est une bonne question. Depuis que maman et Junior sont rentrés, il ne les lâche plus. C'est à peine s'ils peuvent aller dans le jardin quand il est là. »

V : « Mon dieu ! Ca va donner ! »

Puis, ils partirent se préparer.

Dans le bureau de Jack, ce n'était pas la rigolade. Bien au contraire, Irina avait bien l'attention de les accompagner : elle tenait à être là quand ceux qui ont transformé sa vie en enfer tomberont.

J : « Je sais parfaitement que tu as déjà vécu pire que ça. » dit il une fois qu'il eut fermé les stores de son bureau.

I : « Alors pourquoi réagis tu ainsi ? Qu'est ce que tu cherche à prouver ? Et surtout à qui ? »

J : « Je ne cherche rien à prouver à personne. »

I : « Après ce qu'ils m'ont fait j'ai le droit d'y aller ! »

J : « Je sais mais… »

Jack s'arrêta un instant : comment lui avouer des peurs que lui même refusait d'admettre ?

I : « Explique toi ! Tu vas me rendre folle. »

J : « Je ne veux pas te perdre. » dit il tout bas.
Irina se calma instantanément.

I : « Chéri… »

J : « Je ne veux plus prendre le risque de t'exposer, ça suffit. »

I : « Tu ne me perdras pas à cause du Covenant. »

J : « Ca a bien failli. »

I : « Seulement failli chéri. Je suis là, nos enfants sont en parfaite santé. »

J : « Justement, les enfants sont trop exposés. Je dois emmener Sydney, je n'ai pas le choix, mais il reste Jack. »

I : « Nous pouvons trouver quelqu'un pour s'en occuper au sein même des bureaux de la CIA. »

J : « Tu sais bien que je n'ai confiance qu'en peu de gens pour s'occuper du bébé. Je préfère ce soit toi qui soit auprès de lui. Tu pourras le protéger… Irina, s'il te plaît, ne viens pas… » dit il comme une prière.

Irina se plongea dans le regard de Jack.
I : « Bien, je reste ici, mais tu me tiens au courant de tout ce qui se passe. Je vais aller chercher ton fils et nous allons rester ici tout le temps de l'opération. Niveau protection c'est le mieux, comme ça s'ils viennent à la maison, à part de l'air ils n'attraperont pas grand chose. »

J : « Merci. » dit il en prenant Irina dans ses bras et en l'embrassant.

Irina ne se fit pas prier pour répondre à ce baiser. Les baisers devenaient passionnés et les mains commençaient à se balader. Alors Jack fit reculer Irina jusqu'à son bureau et la fit asseoir dessus. Cette dernière semblait ravie de ce qui se passait. Alors que leurs mains s'égaraient sous leurs vêtements, la porte du bureau de Jack s'ouvrit…

: « Est-ce que… Oh s'il vous plaît ! Trouvez vous un chambre ! »

Jack et Irina arrêtèrent net ce qu'ils faisaient et se tournèrent vers la porte pour voir leur fille sortir pour rejoindre Vaughn.

Ils se sourirent.

J : « Ce n'est pas vraiment l'endroit pour ça. » dit il en s'écartant d'Irina pour remettre un peu d'ordre dans sa tenue.

I : « Pourquoi dis tu ça ? C'est plutôt excitant je dois dire. » dit elle en attrapant Jack par la ceinture pour le ramener vers elles.

J : « Tu n'as pas tort mais pour le moment je crois que nous avons d'autres priorités. »

I : « Nous reprendront ça quand tu rentreras. » dit elle en déposant un tendre baiser avant de descendre du bureau de Jack et à son tour, de remettre dans l'ordre dans ses vêtements.

Irina partit des bureaux, accompagnée de Jack, pour aller chercher le rejeton du clan Bristow qu'ils avaient laissé avec la femme de Marshall le matin même. Ils passèrent devant Sydneu, et Irina fit clin d'œil à sa fille et partit avec Jack.

V : « Qu'est ce qui s'est passé dans le bureau ? »

S : « Mes parents sont aussi excités que des adolescents je te jure ! »

V : « Oh… » dit il imaginant la scène à laquelle avait du assister Sydney.

Deux heures plus tard, toute l'équipe était prête à partir pour la France. Le matériel était prêt et tout le monde avait été briefé. L'ambiance au sein de cette partie de la CIA était lourde et tout le monde savait l'importance de cette mission.

Irina était là, elle tenait sa fille dans ses bras, lui faisant mille recommandations pour qu'il ne lui arrive rien.
S : « Ca va aller maman. Ne t'en fais pas. » dit elle alors espérant calmer sa mère.
Jack arriva alors, voyant bien qu'Irina ne lâcherait pas Sydney. Depuis son retour auprès d'eux Irina avait abandonné son self contrôle et se laissait facilement aller à ses émotions. Mais ce n'était vraiment pas le moment.

Jack dégagea Sydney de l'étreinte de sa mère et lui dit de rejoindre le reste de l'équipe qui se préparait à partir.

J : « Tout va bien se passer je te le promets. »

I : « Revenez entiers tous les deux. C'est tout ce que je souhaite. »

Jack embrassa Irina à la vue de tous. Certains sourirent et d'autres poussèrent des sifflements et applaudirent le couple.

J : « Vous n'avez pas assez de travail ? Si vous voulez je peux vous en donner plus ce n'est pas un problème. » leur dit il en leur jetant un regard noir.
Le silence se fit dans la seconde et tous firent mine de travailler, ne voulant pas s'attirer les foudres de Jack.

I : « Quelle autorité. » dit elle avec un sourire.

J : « Des années pour en arriver là. »
Jack se tourna ensuite vers son fils.

J : « Fais attention à ta mère, je te la confie. »

Le bébé, qui était gentiment posé dans un siège pour bébé sur le bureau de Sydney, regarda son père et lui sourit tout en battant des jambes et des bras.

I : « Je croyais que c'était moi qui devait veiller sur lui ? » dit elle avec un léger sourire.

J : « Ah bon ? » dit il mine de rien en prenant ses affaires.
Après un dernier baiser, il partit rejoindre les autres et ces derniers prirent la route de l'aéroport où plusieurs avions attendaient tous les agents pour la France.

La dizaine d'heures de vol ne fit qu'accentuer le stress de tous les agents.

Jack, quant à lui, restait dans un coin et fixait la photo que Vaughn avait prise peu de temps avant avec toute sa famille. Il espérait pouvoir vivre d'autres moments comme ça avec sa famille…

Sydney discutait avec Vaughn et Weiss, ils riaient ensemble, apparemment ils essayaient de se détendre.

Quand ils furent arrivés sur le sol français, il n'y avait plus un seul rire ni un sourire sur tous les visages. Le sérieux semblait être le maître mot. Ils prenaient leurs places les uns après les autres, suivant le plan pré-établi par Jack.

Ils se rendirent dans un immeuble en plein centre de ma capitale. Ils investirent les lieux bien vite. Malgré toutes les précautions qu'ils avaient pris pour ne pas informer trop tôt le Covenant de leur présence, ils furent accueillis par des salves d'armes automatiques.
s : « Papa, on se fait canarder de partout. »

J : « Il faut tenir les positions. Il est absolument hors de questions qu'ils s'en sortent. »

Les balles fusaient dans tous les sens. Tous les agents devaient faire face à plusieurs membres du Covenant en même temps. Il semble que le Covenant ait doublé voir triplé le nombre de gardes dans le bâtiment. Mais ça n'arrêtait pas pour autant les agents de la CIA tous avides de vengeance. Tous ceux présents avaient une dent contre le Covenant qui leur avait enlevé un proche, un collègue, une ami… Ils étaient prêts à prendre tous les risques pour les arrêter. Cette frappe pour eux était l'attaque finale contre le Covenant ! Ils donnaient tous ce qu'ils avaient en eux pour les abattre. Mais parfois c'était eux qui se faisaient touchés. Malgré le nombre grandissant de morts du côté des méchants, une liste de blessés commençait à se faire du côté des gentils. Et parfois ces blessés devenaient des morts faute de soins médicaux urgents. Ces premiers blessés et les premiers morts ne firent que grandir la fureur des membres de la CIA qui ainsi voulaient venger les leurs.

La CIA prit de l'avance, forçant le Covenant à reculer. Sydney et son équipe avançaient. Ils savaient que près d'eux se tenaient les chefs du Covenant, enfin elle allait pouvoir se venger de ceux qui ne trouvaient rien de mieux à faire que de lui pourrir la vie à cause d'un gars de la renaissance qui s'était amusé à proférer quelques prophéties.

Vaughn regardait Sydney évolué tout en surveillant ses arrières. Il voyait en elle cette rage de vaincre. Pur lui elle se vengeait à travers le Covenant de tous ceux qui avaient détruits sa vie pendant toutes ces années : le KGB qui lui avait enlevé sa mère, le SD-6 qui lui avait pris Danny et Will, qui lui devait se terrer pour ne pas se faire tuer, et enfin le Covenant qui lui avait pris deux ans de sa vie, sa meilleure amie, et qui était une menace constante pour sa famille. Il la comprenait mais avait peur que ses émotions face à tout ça ne lui fasse commettre une erreur. Mais elle semblait tenir bon, mettant à terre par belle ou avec des coups tous ceux qui osaient se mettre en travers de son chemin.

W : « Elle a mangé quoi au petit dèj ? » demanda t-il envoyant Terminator-Syd déblayer le passage devant.

V : « Je ne sais pas, mais va falloir qu'on s'y mette ! »

W : « Ouais ! Plutôt efficace ! » dit il alors qu'il abattait un homme du Covenant.

Lorsqu'ils arrivèrent enfin devant une grande porte ils savaient que le moment de vérité était venue.
Ils firent exploser la porte et les chefs du Covenant furent mis à jour. Mais ils ne semblaient pas vouloir se rendre, loin de là. Ils défendaient bec et ongle pour ne pas finir entre les mains de la CIA. Mais bientôt leur nombre fut bien inférieur à ceux des membres de la CIA qui lui grandissait de minute en minute. Ils n'avaient plus le choix : certains se laissaient abattre alors que d'autres se rendaient.
Quelques minutes plus tard, la zone était pacifiée.

Sydney se trouvait au centre de la pièce et regardait partout autour d'elle ne semblant pas croire qu'enfin c'était fini.

V : « Syd ? Ca va ? » demanda t-il en rejoignant la femme de ses rêves.

S : « C'est fini ? » demanda t-elle comme si elle sortait de transe.

V : « Oui c'est fini. »

Alors Sydney laissa tomber son arme à ses pieds. Elle semblait totalement vidée. C'était comme si elle se réveillait. Puis elle se laissa tomber au sol, retenue par Vaughn. Ce dernier la prit dans ses bras et la serra fort contre lui.

V : « c'est fini Syd. On va vire tranquille maintenant. »

Il sentit alors des gouttes d'eau contre son torse. Il comprit alors que Sydney relâchait la pression en pleurant et qu'enfin elle se rendait compte de ce qui s'était passé et de ce que ça impliquait : elle était libre…

Alors que Sydney pleurait toujours dans les bras de Vaughn, Jack entra. Il les vit enlacer. Sa fille s'accrochait à Vaughn comme à une bouée de sauvetage.
Vaughn s'éloigna de quelques centimètres de Sydney, essuya ses larmes avec son pouce et l'embrassa d'abord avec doucement puis avec fièvre. Puis ils s'éloignèrent l'un de l'autre se sourirent, tout en restant front contre front.

J : « Vous n'avez rien ? » demanda t-il faisait mine d'arriver.

S : « Non papa ça va. » dit elle en lui souriant.

J : « Venez avec moi on a encore des choses à faire. »

Ca faisait une heure qu'ils faisaient le ménage et récupéraient le matériel quand Weiss arriva avec un téléphone dans la main qu'il tendit à Jack.

W : « C'est pour vous… » dit il en lui tendant le téléphone, puis il ajouta « Bonne chance, vous allez en avoir besoin. »

Puis il partit rejoindre Vaughn et Sydney.

J : « Bristow. » dit il se demandant ce que voulait dire Weiss.

: « Je sais comment tu t'appelle espèce d'idiot ! » lui dit une vois particulièrement en colère à l'autre bout du téléphone.

J : « Irina… »

I : « Je peux savoir ce que tu attendais pour m'appeler ? »

J : « Mais… »

I : « Ca fait plus d'une heure que tout est terminé, et encore je l'apprends par Marshall… »

J : « Non mais je… »

I : « Est ce que tu as la moindre idée du sang d'encre que je me suis faite pour toi et Syd ? »

J : « Mais je n'ai pas eut le temps ! »

I : « Pas eut le temps ? »

Mauvais argument se dit Jack et là Irina commença à s'énerver en russe et le pauvre Jack dut subir les foudres de la mère de ses enfants.

Quand Weiss arriva Vaughn et Sydney, ces derniers observaient Jack.

V : « Qui est ce au téléphone ? »

W : « Irina. »

S : « Qu'est ce qui se passe ? »

W : « Je crois qu'elle était passable en colère que ton père ne l'aie pas appelé pour la rassurer. »

V : « Le pauvre… »

S : « Il arrive même pas à dire un mot ! » dit elle avec un sourire qu'elle essayait difficilement de dissimuler à son père qui la regardait espérant qu'elle viendrait prendre le téléphone et calmer sa mère.

W : « Je c rois que ton père va devenir un proche du canapé du salon ! »

Ils rirent tous trois face à la mine déconfite du pauvre Jack.

Alors qu'ils étaient dans l'avion du retour, et Jack toujours au téléphone en train de faire envoyer valser par sa chère et tendre moitié, Vaughn prit Sydney à part dans un coin de l'avion.

S : « Qu'est ce qu'il y a ? » demanda t-elle intriguée par le comportement de Vaughn.

V : « Que dirais tu de prendre quelques jours de repos rien que toi et moi ? »

S : « Pour aller où ? »

V : « Et si nous allions enfin à Santa Barbara ? Qu'est ce que tu en penses ? »

S : « Tu crois ? La dernière fois on est pas aller bien loin ! »

V : « Justement… juste toi… moi… la plage et l'océan à perte de vue… libre de faire ce qu'on veut… quand on veut… Alors ? »

Sydney ne dit rien et lui sauta au cou en l'embrassant fougueusement.

A suivre…

Alleluia ! c'est vraiment le cas de le dire ! je vous dis pas comme j'ai galéré avec celle là ! obligée de m'arrêter à cause des cours, et avant que l'inspiration ne se pointe de nouveau, il m'a fallu être patiente ! bon pour la prochaine partie, promis je ne mettrais pas es mois à l'écrire !

Dinou