Cap ou pas Cap ?
Je vous préviens cette histoire est inspirée du chef d'oeuvre Jeux d'enfants avec Marion Cotillard, sorti en 2002 .
hs: superbe film ! A louer d'urgence !
Il n'y a pas grand chose qui m'appartient, à part certains personnages, et encore ...
Ceci est une réédition. Oui, cette histoire je l'ai postée il y a… longtemps. Un petit moment. Et je l'avais oubliée. Je voyais pourtant qu'elle plaisait, c'est vrai, j'aurai du la continuer pour les personnes qui la lisaient, bon sans avoir des milliards de lecteurs, je m'appelle pas Rowling nan plus, mais plus j'y pensais plus ça me lassait, l'histoire ne me plaisait plus. Et là, l'idée se remet à germer dans mon esprit. « Et pourquoi ne pas tout recommencer ? » Tout réécrire, pour m'amuser et peut être vous faire plaisir aussi, qui sait ? Ainsi, je relève le défi. Je réécris tout. Pour vous. Et pour moi même. Avec plus de vécu et plus d'aisance à l'écrit qu'avant. En espérant que cette histoire vous plaise toujours. Enormes bisous. Votre-ombre.
Chapitre 1 : Introduction
Deux enfants, Lily Evans et James Potter, se connaissaient depuis leur naissance, leurs parents étant voisins. Ils pratiquaient tous deux le célèbre jeu « Cap ou pas cap ? », comme tous les enfants de leur âge . Mais eux, c'en était obsédant, à longueurs de journées; pour le meilleur et pour le pire ! Du plus innocent des défis aux plus tordues mesquineries, ils en avaient de l'imagination pour deux bambins qu'on imaginait innocents…
Agés de six ans, il entrèrent à l'école primaire moldue de leur quartier… Tout le temps fourrés ensemble, à faire les quatre cent coups, aussi liés que les doigts de la main. Leurs professeurs les disent « turbulents », mais encore, à cet âge là, ce n'est pas grand chose. Loin d'imaginer qu'ils doivent s'inquiéter, leurs parents ne font pas attention. Après tout, ce ne sont que des enfants, ils ne font que jouer, ce n'est pas dangereux et, comme tous les enfants, ils se lasseront dés qu'ils verront une nouvelle poupée, ou se disputeront et toutes ces histoires seraient terminées. Mais… Une année scolaire passait et les choses ne s'arrangeaient pas, au contraire, elles s'envenimaient. Une décision fut précise, la plus intelligente qu'il soit pour les parents mais pas vraiment la plus agréables pour les deux amis, James et Lily seraient séparés. Chacun dans un milieu différent, vivant très loin l'un de l'autre, avec pour seul consigne de ne pas chercher à se contacter, et oublier, oublier toutes ces histoires, ce stupide jeu qui pourrait devenir dangereux. Lily Evans et toute sa famille partirent vivre en France, tandis que James Potter et toute sa famille restèrent en Angleterre, à Londres, dans la maison familiale. Les parents imaginaient qu'ainsi tous leurs soucis prendraient fin. Ils se trompaient. Mais cela, il fallait être devin pour le savoir…
Lily Evans . Souvenirs .
La famille de Lily l'attendait dans la voiture familiale .
Elle, elle se tenait devant son meilleur ami, James Potter, qui la serra dans ses bras . Elle essuya ses larmes et il la regarda dans les yeux, amusé .
- Cap ou pas Cap de me retrouver avant dix ans ? lui avait il fait
Elle avait éclaté de rire puis avait répondu
- Cap !
Et ils s'étaient ainsi séparés . Elle, partant dans sa voiture, et lui, restant debout, figé, la regardant s'éloigner . Ils savaient qu'ils allaient être séparés pendant un moment .
Mais, au fond d'eux mêmes, ils savaient qu'il se retrouveraient un jour; et même si cela devait durer des années, ils attendraient . Un défi était lancé, et c'est comme ça, le jeu est sacré, infiniment long, mais jamais ô grand jamais on ne peut y échapper. C'était une magie perpétuelle, qu'on ne peut vraiment expliquer. Cette impression de pouvoir toucher le ciel, que tout est possible puisque l'on n'a pas encore cette désillusion qui vient avec le temps, en grandissant. Cette magie que seules quelques personnes arrivent à garder en eux qui mène enfin à ces rêves d'enfants qui n'ont pas de limites comme on a maintenant. C'était le jeu. Ils allaient se revoir.
Ils avaient raison, puisqu'ils se revirent neuf ans plus tard ...