Message de l'auteur :

Pour tous ceux et celles qui lisaient ma fic Lorsque pour le pire nous abandonnons le meilleur, lisez bien la notice suivante : Quelqu'un s'est plaint de cette fic, relatant qu'il y avait un abus. Ceci dit, la fic fut retirée du site, elle est maintenant disponible sur le site , par contre aucun système n'est disponible pour vous avertir lorsque la mise à jour est effectuée, si vous voulez en être avisé, il vous faudra me le laisser savoir et me donner votre adresse email afin que je vous rajoute à ma liste de diffusion, ainsi vous serez au courant immédiatement lorsqu'un nouveau chapitre sera mis sur internet. J'ai tenté d'envoyer une pétition sur le site, plusieurs personnes se disaient choquée11aZAzs de la réaction de la personne, mais à mon avis il faut la respecter, je ne lui en veux pas. Si vous voulez revoir cette fic sur le site, il faudrait envoyer, vous aussi un email au site pour vous plaindre… Voilà, je suis désolée des troubles causés par cette situation. Aussi, notez bien, qu'au autre avis retirera mon compte sur le site. Si cela survenait, je voulais vous remercier de tout votre support et je tenais à vous laisser savoir que les fics seraient disponibles sur la même adresse au cas où une autre situation similaire se reproduirait. Sincèrement, je vous remercie, cela me touche. Pour tous ceux et celles qui lisent Nouvelle Famille, Nouvelle peur, des dessins de mon cru sont disponibles sur le site mentionné ci-haut. Ces dessins représentent les personnages que j'ai inventés dans cette fic, soit, Océanne, Amélia, Antoine, Thierry, Mathilde, Alana et Gabriel. Merci à vous tous. Pour tous ceux et celles qui lisent ma fic Le talisman, la suite arrivera d'ici quelques heures, je n'avais pas de droit d'éditer avant aujourd'hui. Je suis encore une fois, désolée. De j'ai attrapé une de ces laryngites d'enfer, j'ai perdu la voix, je suis malade depuis le 22 décembre, alors j'ai pris du retard, en plus du retrait de ma fic qui ma beaucoup bouleversée, tout cela pour dire que le retard j'en suis désolée ! ;) Bon, pour tous ceux et celles qui lisent cette fic, Les ailes brisées, je voulais m'excuser de ne pas avoir mis la traduction sur le site dans les délais que j'avais mentionnés, soit 1 à 2 jours, le site, suite au retrait de ma fic Lorsque pour le pire nous abandonnons le meilleur, a bloqué mon compte pour une semaine. Je suis sincèrement désolée de vous avoir fait attendre.

Harry ouvrit lentement ses yeux.

Rapidement, la lumière rayonnante du soleil empli son champ de vision. Harry en vint même plisser les yeux.

Tout semblait différent. La forêt, la Terre, elle-même…est-ce qu'un débordement de magie en était responsable ? Au moment où Harry allait regarder par la fenêtre, il remarqua que tout semblait tellement « heureux ». Heureux qu'une nouvelle journée venait de naître, heureux que le tapis de neige blanche recouvrait l'ensemble du paysage. La nature avait ses cycles. Les plantes ne souffrent pas de la neige ; c'était un clame qui réconfortant de la lutte que nous menons tous pour devenir meilleur que ses pairs.

Étrage4.

Harry changea doucement de position, se sentant inconfortable avec le sentiment qui l'envahissait. Cela n'avait rien de l'optimisme ou de la joie…il se sentait calme et pittoresque, comme un sol qui aurait passer des heures au soleil. Il se sentait attache à même la Terre.

Est-ce qu'un explosion magique avait eu lieu ? C'était la seule manière que Harry pouvait concevoir autant de bonheur émaner d'un si petit carré de terre accessible par sa fenêtre.

Harry se leva et s'étira. En plaçant ses mains sur le rebord de la fenêtre, il s'attarda au paysage ensoleillé. Il y avait tellement trop de chose à regarder.

Il entendit les bruit de pas résonner dans les escaliers. Malgré cela, il ne tourna pas sa tête. Laissez Rogue venir de lui-même. Laissez-le constater que je suis ici et en santé

Et bien? Toute trace de fièvre avait disparue. Harry toucha son front, haussa et ferma ses yeux, en laissant la lueur du soleil venir franchir la ligne rougeâtre qui était la seule chose visible derrière ses paupières fermées. La paix se ressentait en ce lieu; le calme total. C'était tout ce dont il avait besoin à ce moment. Il tenta de se soustraire, lentement, à la tension qui pesait sur ses épaules, sentant ses muscles de son cou et ses épaules s'étirer. Cette sensation n'avait rien d'agréable, mais au moins elle différait du stress.

− Et bien! Et bien, s'exclama une voix derrière lui.

Harry ne répondit pas à la remarque. Il se sentait trop bien.

− Faites confiance à Harry Potter pour tout évaluer lorsqu'il est sur le point de sortir de l'infirmerie.

− La fièvre a disparue. La nausée est disparue. Les malaises sont disparus. Pourquoi voudrais-je rester?

− Parce que parfois les virus peuvent demeurer dans le corps sans que des symptômes ne soient visibles.

− Je ne crois pas que c'était un virus.

− Vraiment, dit Rogue la voix remplie de mépris.

− Professeur, dit Harry délicatement, en retenant de justesse les mots impolis qui se démenaient dans sa bouche pour sortir. Est-ce que vous vous souvenez des moments qui suivaient les leçons d'Occlumencie? À chaque fois j'en revenais, je me sentais légèrement malade. J'imagine que mon corps ne réagit pas très bien aux attaques mentales..

C'était probablement sa phrase la plus longue depuis longtemps. Harry ne dit rien d'autre. La balle était maintenant dans le camp de Rogue.

Harry pouvait sentir le dédain brûler derrière son dos, mais il ne se permit même pas de bouger ne serait-ce d'un centimètre de la bordure de la fenêtre. Il avait parlé d'un ton ennuyé, d'une voix J'ai-tellement-mieux-à-faire, et avec un langage réduit et formel Maintenant, c'était autour de Rogue.

Harry fixait résolument l'extérieur. La neige avait recommencé à tomber, une neige légère où les flocons tourbillonnaient en un ballet magique.

− En êtes-vous persuadé?

Harry y pensant quelques secondes.

− Oui, dit-il simplement.

Il s'éloigna de la fenêtre, contourna Rogue en se dirigeant vers sa malle pour y trouver des vêtements propres.

− Quelle heure est-il?

− Huit heures trente.

Il imagina facilement l'image de Rogue arquant son sourcil et il se permit un léger sourire au moment où il tournait son cou pour saisir l'expression que faisait l'homme.

Le regard de Harry s'arrêta à la pile de cadeaux, il décida qu'ils pouvaient l'attendre. En choisissant des vêtements propres de sa malle, il attendit que Rogue soit sortit de la pièce pour se changer. En déposant sa cape sur ses épaules, il mit le pied dans le monde extérieur.

Le paysage ressemblait à un énorme gâteau blanc de Noël.

La neige tombait en poudrerie, scintillante et craquant sous le poids des pieds. Les arbres, qui avaient déjà parus sombre et menaçants, portaient maintenant de petites étoiles blanches qui leur donnaient une apparence cosmique attrayante. Les montagnes avaient dorénavant tous leurs flans couverts de neige et non seulement leurs sommets. Le château, lui-même, ressemblait à une construction de Lego étonnement féerique.

Le vent n'avait pas cessé de rager et cela ne plaisait guère à Harry. Cela laissait à l'atmosphère une humeur malsaine, au paysage un aspect typique d'une carte de Noël et à l'air une qualité étrangement morbide. Étonnement, peu de sons brisaient l'air, quelques oiseaux claironnaient et peu d'animaux faisaient sentir leur présence. Harry n'aimait pas cela. Le bonheur qui emplissait l'air semblait légèrement teinté. On aurait dit qu'il y avait absence de…solennité.

La tranquillité. Regardecequejevaisfaire.

Harry retourna à l'intérieur. L'air froid lui avait remis les idées en place. Il se dirigea vers la Salle Commune.

Harry déposa sa cape et entreprit d'attraper le cadeau qui était le plus près de lui. Il était pour lui et portait la signature débraillée de Ron. Le présent était légèrement gros et vraiment lourd.

N'ouvre pas cela si des gens se trouvent près de toi, disait l'étiquette. Ce produit n'est pas encore sur le marché. Fred et George te font dire bonjour

Harry ouvrit doucement le papier avec un tisonnier servant pour le feu. Il y trouva une boîte de bois faite à la main. Il ouvrit le couvercle avec précaution, le referma encore plus lentement et plaça la boîte avec douceur sur le sol en face de lui. Seigneur, cette boîte avait probablement suffisamment d'explosifs, de matériels de farces et d'attrapes pour faire exploser jusqu'à les fondations de Poudlard.

Il regarda le cadeau suivant. Il venait d'Hermione. Sa pesanteur ne trompait pas. La forme représentait bel et bien un livre. Tout cela ne laissait pas tellement de place au doute…

Il enleva lentement le papier et découvrit un livre la couverture uniforme. En ouvrant la première page ses yeux se figèrent.

Comment devenir un Animagus, disait-il. Harry ferma la couverture et le déposa directement à côté du présent de Ron. Est-ce que tous ces présents allaient être illégaux?

Bien sûr que non. Celui de Mme Weasley contenait un chandail noir avec un éclair blanc au bas de la manche gauche ainsi qu'un morceau de tarte maison. Harry sourit et passa le chandail par-dessus sa tête, en sentant l'électricité statique faire lever ses cheveux encore plus qu'habituellement.

Le cadeau de Hagrid fut un gâteau dur comme du roc et un cartable confectionné avec un matériel à la fois étrange, flexible et d'un bleu métallique. Harry le toucha précautionneusement. Lorsqu'il constata qu'il ne mordait pas, ne bougeait pas, ne le frappait pas ou ne tentait pas de toute autre manière de lui retirer un membre, Harry entame une enquête sécuritaire. Il y avait une note qui l'accompagnait dans le sac.

Harry

Ce cartable est fait de peau de Dragon Suédois à museau court (race qui s'est éteinte il y a longtemps de cela), à laquelle fut ajoutée de la poudre de plumes d'Augury. Cela signifie qu'il devrait être protéger contre l'acide, le feu, l'eau et l'encre. J'ai cru que tu en aurais peut-être de besoin pour ta septième année!

Hagrid

Harry était impressionné. Ses gants en peau de dragon avaient été très onéreux. Combien cela avait-il pu coûter?

La seule autre explication logique était que Hagrid connaissait la localisation de l'endroit où les Museaux-courts étaient décédés et…et bien, c'était tout de même possible. À l'occasion, l'école avait besoin de matériel fait à base de dragons.

Harry sourit et mit ses cadeaux de côté. Il y en avait encore quelques uns restant, parmi lesquels quelques uns contenaient les habituelles confiseries de ses camarades de classe.

Harry regarda à nouveau vers la pile de présents et remarqua quelque chose qu'il n'avait pas remarqué.

C'était une enveloppe moldue blanche. Surpris, il l'ouvrit avec son index et en sorti la lettre de papier blanc qui avait été pilée en trois.

Garçon,

Tu a intérêt à demeurer à cette école de monstres ce Noël. Nous ne voulons pas t'avoir chez nous, pas maintenant, jamais en fait. Si c'est monstres ne te protégeaient pas, tu serais expulsé de notre demeure dès l'instant. Nous voulons que tu demeures hors de nos vies le plus longtemps possible. Nous avons eu une visite d'un des tiens il y a quelque jour et nous n'avons jamais été aussi embarrassé. Ceci est entièrement de ta faute, garçon et tu as intérêt à le reconnaître. Dit à ton espère ce rester loin de ma famille et de ma maison. Je n'ai rien à faire et détrac-chose ou de Voldimort. Reste loin.

Harry fixa la lettre en état de choc durant de nombreuses secondes. Les insultes mesquines qui avaient été écrites, surprirent Harry. Il n'avait pas prévu d'avoir des nouvelles des Dursley. Normalement, cela lui aurait passé dix pieds par-dessus la tête, mais le fait qu'elles avaient été envoyées à Noël…et la haine dissimulée dans les propos était non dissimulable. C'était méchant et prédestiné à être cruel à travers chaque mot et chaque phrase.

Harry demeura impassible et redoubla sa prise sur la lettre. Il ramena ses genoux près de son torse et fixa aussi durement que possible à l'extérieur de la fenêtre. Cela le faisait sentir encore plus mal, alors il décida de fixer le mur qui lui faisait face, en respirant calmement.

Des larmes brouillaient sa vision et il cala son visage sur ses genoux, tentant de regagner un peu de contrôle.

Une boule le serra à la gorge et il la reconnu. C'était une si vieeeeeeelllllle amie. Il l'avait ressentie quelques fois auparavant.

Personne ne veut de moi, se dit-il. Je suis juste une distraction. Tout ce que je dois faire c'est de tuer Voldemort, après je n'existerai plus. Mon utilité n'est même pas d'être seulement un être humain. Tout le monde a le droit de choisir son propre destin, ou d'autres en prennent soin pour eux. Moi, je dois commettre un meurtre de sang froid afin de sauver des millions de personnes de part le monde. Lorsque j'aurai accompli, ou échoué, cela, plus rien ne me restera.

À travers cela, Harry se permis de sourire brièvement. Il devenait un adolescent rebel. On mon Dieu!

Il leva sa tête légèrement et se concentra.

…Bloque tous tes souvenirs, bloque les émotions dans une petite boîte et serre-la loin…assure-toi qu'il n'y aura jamais accès…cela peut attendre, IL dirige ses émotions, pas autrement, il est faible, il ne met pas son cœur à l'ouvrage comme l'avait dit si souvent Rogue…

Harry secoua sa tête pour mettre ses idées en ordre, se sentant déjà mieux. Il poussa indifféremment la lettre à ses côtés et fixa les escaliers. Rogue les descendait, absorbé par une longue lettre.

Rogue en termina la lecture et regarda suspicieusement les parcelles d'une vert vivifiant près de l'arbre.

− Ils ne s'ouvriront pas d'eux-mêmes, ironisa Harry, se sentant un peu comme Drago Malefoy. Je dirais que Mme Weasley à renoncer à l'habituel chandail dans votre cas.

Les yeux de Rogue se déposèrent avec dédain sur celui que portait Harry. Il n'était pas aussi noueux qu'habituellement, mais il avait tout de même des traits relatifs aux Weasley dans chaque maille.

Harry regarda de façon pointilleuse vers le colis, puis retourna aux yeux de Rogue.

La pensée envahi son esprit aussi calmement que possible.

Rogue n'était pas habitué à recevoir des présents.

Harry ne fit pas d'autres mouvements pour démontrer sa surprise. Maître dans l'art d'acter, tout comme l,était Rogue, Harry reconnu une touche de malaise dans les manières de Rogue, dans la manière qu'il retira lentement le papier d'emballage et dans la manière qu'il le laissa tomber au sol.

Il y avait un manteau d'un somptueux matériel noir. Harry releva ses sourcils, il était extrêmement impressionné.

Le manteau était simple, sans décorations, ce qui était assez inhabituel pour ce type de vêtement. Il semblait assez lourd et il vit, lorsque Rogue se leva pour l'essayer qu'il était fait d'un tissu soyeux.

− Je suis impressionné, dit honnêtement Harry, vous savez que vous n'êtes pas un vrai membre de l'Ordre jusqu'au jour où Mme Weasley vous envoie une cadeau de Noël.

Rogue lança un regard dangereux à Harry, laissant ce dernier se demander si ce qu'il venait de dire était mal. Il avait pensé à voix haute.

− Je n'ai pas demandé de commentaires, dit Rogue sèchement, enlevant le manteau.

Harry se permis de sourire, alors qu'il ramassait encore une fois sa lettre. S'approchant du feu, il allait la jeter dedans, lorsque…

Pop.

Dobby se jeta devant Harry.

− Joyeux Noël, monsieur! Joyeux Noël!

Harry recula sur le sol, cherchant son souffle, alors que l'elfe l'enserrait fermement autour du cou et puis le relâcha. Harry s'assit et risqua un regard vers Rogue qui avait un simple sourcil relevé.

Harry fouilla dans sa malle et en sortit trois cadeaux.

− Ron, moi et Hermione.

Les yeux de Dobby se remplirent de larmes et il fit, à son tour, apparaître un emballage soigneusement emballé. Harry l'ouvrit douteusement et y trouva une paire de gants; un rouge et un noir. Harry les mit pour le bonheur de Dobby et l'elfe de maison fondit en un sourire merveilleux.

− Dobby doit retourner à la cuisine, monsieur, fit l'elfe, Joyeux Noël Harry Potter!

− Ils sont merveilleux, Dobby et umm, Joyeux Noël.

Dobby disparu dans un craquement.

Harry se leva, secoua ses vêtements, enleva les gants et les lança dans sa malle.

Rogue le fixait encore.

− Longue histoire, murmura Harry en tournant au rouge.

− Évidemment.

Harry se retourna. Il entendit le son du papier être enlevé et puis un silence vide. Harry relit la lettre des Durlsey. Étrangement, elle le blessait plus à présent. Il avait laissé la douleur et la colère dans une boîte devant lui, et la boîte demeurerait loin de lui. C'était quelque chose de contrôlable. Il était sous contrôle.

Ses yeux parcoururent la lettre. Elle semblait davantage ridicule, plus stupide que venimeuse, maintenant.

Des bruissements se faisaient encore entendre, mais Harry ne risqua pas de regarder en haut des escaliers. Son silence allait le trahir, bien sûr, mais…il s'en balançait.

Seigneur, c'était tout de même Noël.

Merci à Onarluca, aliNoU, Misspotter95, AD, jenni944, Elmire, Thealie, Lunenoire et Shiny-misS pour les reviews du chapitre 19