Bon on a toujours vu les choses du point de vue des gentils, voyons un peu du côté des méchants… mdr
mot de l'auteur: pardonnez moi! T-T
C'était un desert de pierres des plus hostiles. Rien ne bougeait, tout était sans vie. Ce desert particulier avait été abandonné par la flore et la faune qui l'habitait en temps normal. Dénuées de tout, ces étendues de pierres grises n'offraient plus rien. Là où d'habitude on ne voyait qu'un horizon plat et livide se dressait désormais une tour de métal. Elle paraît très abîmée et vieille mais elle tient seule dans les airs. Malgré des températures mortellement élevées, ses parois avaient l'air aussi froides que l'eau d'un puit très profond. Le contraste si évident ne pouvait cependant pas s'appliquer ici; car la tour comme ces vastes sols rocailleux inspiraient à leur seule vue la même chose : la mort, la mort lente et silencieuse d'un assoiffé comme la mort lente et douloureuse d'un des nombreux "invités" de cette tour de glace.
Fière, droite et moqueuse, la tour noire surveillait son royaume composé de serviteurs et d'esclaves. Une aura particulière était émise par cette cruelle géante. Une aura dont seuls ceux qui en sont prisoniers peuvent désormais reconnaitre, car comme une habille araignée, la victime ne se rend compte de son erreur qu'une fois à portée de pattes.
Aux pieds de cette dame de fer s'activaient des milliers d'abeilles. Toutes avaient une mission, un but, un ordre. Elles s'affairaient à agrandir ce royaume, cette ruche.
Un reflet sur une vitre. Des bruits de pas approchants du bord. Une petite main se posant brièvement sur cette vitre d'une teinte verdâtre, seul observatoire du monde externe. Une satisfaction extrême pouvait se lire sur les lèvres encore rosées de la personne contemplant son essaim en plein labeur.
Son essaim, car elle en était la reine. Tous suivaient ses ordres à la lettre, tous l'adoraient et la craignaient. Elle s'apprêtait à renouveler un pan de l'histoire de cette planète. Mais cette fois il n'y aura personne pour l'empêcher de s'accomplir, elle y veillerait personnellement.
Elle continua encore un moment à observer ses pantins suivre chacune de ses paroles. Elle aimait ses marionnettes, elles l'amusaient, elles lui étaient très utiles mais elles étaient surtout jetables et remplaçable avec une telle facilité que s'en était risible.
Des marionnettes, elle en avait plus que necessaire. Comme hypnotisées, elles réagissaient au moindre de ses gestes, certaines conditionnées et d'autres humbles et soumises. Son sourire encore pendu à ses lèvres, elle colla sa joue chaude contre la vitre humide de son bureau, sa suite. Elle fit pivoter sa tête de telle sorte à avoir son front contre la vitre au lieu de la joue.
Cette fraîcheur était des plus exquise. Elle la savoura encore quelques minutes tout en posant à nouveau son regard noisette sur le chantier plus bas. Ses abeilles s'affairaient à la tâche, toutes lui appartenaient, toutes mourraient pour elle, pour sa gloire. Tous ces pantins étaient parfaits, pensa-t-elle.
Elle cessa de sourire et parut ennuyée, tous ces pantins étaient parfaits sauf un. Seule une personne lui échappait encore parmi ces fourmis sans cervelle qui lui servaient de subalternes. Un seul de ses précieux pantins ne se laissait pas manipuler. Ce pantin là ne lui était pas fidèle. C'était celui qui l'avait enfin éveillée. Celui grâce à qui tout cela avait été possible. Elle le haïssait plus que tout. Avoir une dette de cette taille envers un simple humain, un répugnant SeeD qui plus est, lui était devenu presque insupportable. Elle le savait, et l'avait su des les premières secondes de son reveil. Ce SeeD lui causerait des problèmes. Elle detestait les SeeD plus que tout au monde. Ils pouvaient bien fêter leur victoire éphémère sur ses consoeurs encore quelque temps.
Elle haussa les épaules et éclata d'un rire sonore. Peu importe cette marionnette défectueuse. Peu importe le fait que secrètement cette marionnette agisse pour le compte d'une autre faction maléfique.
Les SeeD seront pour elle les premières victimes de ses plans. Elle vengerait tous ses prédécesseurs de ces pseudos héros. Elle ramènera ce qui devra être ramené et elle instaurera une nouvelle ère de peur et de souffrance.
L'avènement des sorcières était proche. Elle tourna les talons et retourna d'un pas gracieux à ses occupations.
Elle avait des objectifs, et les premiers n'étaient pas encore tout à fait en place. Elle devait tout organiser, ne surtout rien déléguer à son pantin malade. Elle le surveillait de près tout en feignant de ne rien savoir.
Qu'ils en profitent ces sous-êtres tant qu'ils le peuvent encore. Continua-t-elle de penser.
Elle sourit à nouveau, une lueur de satisfaction dans les yeux.
Qu'ils en profitent tous, même son pantin défectueux. Ce SeeD immonde traître parmis les traîtres. Elle savait pertinemment qu'il n'était pas vraiment un pantin arrogant et défectueux, elle savait qu'il était en fait un pantin des plus parfait.
Il était parfait.
Mais il n'était pas son pantin à ELLE.
Ce SeeD l'avait réveillée, il l'avait aidé à organiser son retour. Il ne faisait pas cela pour la gloire, il ne faisait pas cela pour être aimé d'elle. Non, il était différent de ses petites abeilles en contre bas. Il n'était pas une abeille. Il n'appartenait pas à sa ruche qu'il jugeait trop petite sans avoir jamais prononcé un mot à son encontre.
Pour tous les autres, il était son bras droit, fidèle et cruel. Pour elle, il n'était que l'espion d'un être bien plus grand, plus ambitieux. Elle pouvait aussi dire sans se tromper qu'il ne savait pas qui il servait réellement. Il croit en servir un autre, mais lui aussi se fait manipuler.
Non, elle était persuadée que le véritable responsable de son réveil ne se salirait jamais les yeux avec ce genre de marionnette de seconde zone.
A la différence qu'elle savait tout cela et pas lui. Cette différence là était cruciale, elle lui servira bientôt à tout régler définitivement. Elle, reine parmis les humains, ces êtres faibles, saura quoi faire le moment venu, elle saura accueillir celui qui veut créer le Chaos et la perte de son royaume sur le point de naître.
Elle éclata d'un rire sonore et se recula d'un pas nonchalant pour faire face aux trois hommes arrivés à ce moment-là dans son entre. C'était l'heure des mises à jours et ordres journaliers qu'elle seule pouvait donner.
Personne ne devait prendre d'initiatives, c'était la seule rêgle qu'elle avait imposé à ses partisants. Et cette seule rêgle suffisait à présent.
Plus bas, au milieu de ce centre d'activités qu'était le camp des rebelles, une silhouette marchait d'un pas assuré vers ce qui était depuis quelques temps son logis.
Seifer se fraya un chemin au travers des différentes tentes et barraques montées depuis quelques mois déjà. Le camps semblait toujours être en activité, il y avait toujours des dizaines de rebelles occupés à quelque chose. Celui avait d'abord énormement dérangé Seifer au départ. Tout ce monde l'empêcherait d'enquêter à sa guise. Mais ce qui au départ s'était avéré être un handicap était en fait un gros avantage. En effet personne ne ferait attention à un homme seul rôdant dans le camp si c'était à peu près ce que tout le monde faisait au tour à tour.
Il s'était fait un nom. Pas le sien, certes mais heureusement il était encore le seul à le savoir. Malgrès le fouillis apparent de cette base secrète, les rebelles avaient mis en place un système hiérarchique très simple. Dans ce système se différenciaient deux catégories: les volontaires et les conscrits.
Chaque volontaire se voyait attribué de deux ou trois conscrits. Les conscrits étaient pour la plupart de jeunes hommes capturés lors des différents attentats effectués. Là où l'on pouvait reconnaitre la nature sauvage de cette organisation était la gestion de ses jeunes hommes : les volontaires appelés "Reals" avaient la charge des conscrits, ils avaient un droit de vie et de mort sur leurs "Linges" et personne n'avait rien à y redire. La hiérarchie, qui a un sens de l'humour assez restreint d'après Seifer, leur avait demandé de garder leur Linge "propre".
C'était la seule restriction. Quand ils disaient propres, ils entendaient bien sûr par là, sans soupçons. Si un conscrit était surpris à désobéir ou questionner les ordres, il devait être "nettoyé". La manière importait peu. Les pauvres jeunes hommes finissaient généralement torturés pour le plus grand plaisir des Reals.
Seifer frissona à l'idée d'appartenir à un tel groupe.
'C'est pour Linoa.' Se répêtait-il à chaque fois qu'il assistait à de telles pratiques.
'Mais maintenant, pour qui le fais tu?' Se demanda-t-il doucement.
A cet instant, il repensa aux paroles de Strife.
'Je le fais pour la planète...' Il sourit, et finit par éclater de rire. Ses propres paroles le faisant rire.
'Ah la la, Strife... Regarde ce que tu me fais dire.' Pensa-t-il.
Il résuma son tour dans le camp pour retrouver sa tente. Il inspira un grand coup avant d'afficher un visage impassible et entra.
Une fois à l'intérieur, toute activité sessa. Les deux hommes installés là se levèrent à sa vue et se mirent au garde-à-vous. Il agita la main d'un air agacé leur autorisant à reprendre ce qu'ils faisaient.
Le plus âgé des deux se rallongea sur sa couchette et se rendormit. Le second par contre s'assit très nerveusement sur la sienne et fixa Seifer d'un regard terrorisé.
Seifer déjà sur les nerfs réagit assez brusquement à se regard insistant.
'Quoi?' Le fusillant du regard.
Le jeune garçon nommé Eric baissa les yeux et balbutia des excuses.
Seifer tanta de recouvrer son calme et s'assit sur son lit. Il enleva ses bottes et se releva pour se changer. Et comme à chaque fois qu'il faisait ça, Eric se retourna à quelque occupation qui le ferait sortir de la tente très vite.
Seifer savait pertinemment la raison pour laquelle il se sauvait à chacune de ses séances de nu. Tous les 'linges' évitent de se retrouver dans ce genre de situation. Le nombre de viols était alarmant. Et presque aucun des les conscrits n'y avaient échapés.
Seifer se rebiffa et s'affala sur son lit une fois en boxers.
'Je ne suis pas un pervers ni un pédophile...' Se dit-il en ronchonnant.
'Non, t'es un Real c'est pire.'
Seifer lança un regard noir à l'autre conscrit répondant au doux nom de Rahfis. Ce conscrit là avait échapé de peu à la mort. Il avait été confié à Seifer dès son arrivée pour le tester. Rahfis ne voulait pas se soumettre et se débatait bien. Il fallait le "dompter".
Seifer ne sachant pas quoi faire devant une telle furie se défendit d'abord sans trop forcer. Puis voyant là une occasion en or pour faire ses preuves et lever les doutes sur lui, il corrigea un peu plus que prévu cette tête de mule.
Un autre Real allait l'achever quand il intervint en sa faveur pour se l'approprier.
Après quelques jours de bagarres, attentats sur sa personne et corrections pas trop sévères, il finit par calmer Rahfis qui appris quant à lui à connaître ce blond à la mine grincheuse.
Seifer claqua la langue et répondit sans trop de conviction : 'J'aurai dû te laisser mourir là bas.'
'C'est ça, et moi j'aurai dû mettre une vipère dans tes draps Mikaal.'
Personne n'aimait voir un Real se faire manquer de respect par un conscrit. C'etait la raison pour laquelle ces querelles presques fraternelles restaient un petit secret entre eux. Ils ne s'adressaient que très rarement la parole lorsqu'ils n'étaient pas seuls. Eric n'était pas une exception. Il était trop sincère pour savoir jouer la comédie, alors Seifer et Rahfis ne firent rien pour le mettre à l'aise.
Seifer n'aimait pas ça, mais que pouvait-il y faire? Rien.
Seifer balança un magasine à la figure de Rahfis et se releva.
'Oh, merci.' 'Tu vas où?'
'Prendre une douche et l'air, ça pue ici.'
Sur ces paroles Eric qui venait juste d'entrer s'excusa de nouveau.
Seifer haussa un sourcil et sortit de la tente avant de tuer quelqu'un.
'T'es pas obligé de t'excuser tout le temps tu sais.'
'Pardon...'
Rahfis soupira et reprit : 'Je sais que tu fais tout ça pour qu'il ne s'énerve pas contre toi mais là tu fais tout le contraire.'
Devant la mine perdue du garçon d'à peine 17 ans il élabora un peu son argumentation.
'Mikaal, ça lui tape sur les nerfs quand tu lui montres que t'as peur de lui. Essaie d'être un peu plus relax.'
'Mwé, je serai un peu plus relax quand je serai sain et sauf chez moi.'
Rahfis secoua la tête en désespoir et se ralongea. Il ouvrit son magasine et s'employa à ignorer le jeunnot pendant ses heures de repos.
La douche en question était située juste derrière la tente. Chaque tente possédait une douche individuelle. Ce n'était qu'une installation rudimentaire, mais elle était suffisante pour remplir sa fonction. Seifer soupira est entra sous le jet d'eau froide.
Une fois propre et rafraîchit, il rentra de nouveau dans la tente tout en ignorant ses deux subordonnés. Il s'assit et commença à réfléchir à sa prochiane étape. Il devait maintenant faciliter la tâche de ses nouveaux partenaires dans l'accomplissement de leur mission. Se repérer dans la base était simple, il avait passé plusieurs semaines déjà à s'y "promener". Le plus dur allait être de trouver où s'était établie la sorcière.
La chose étrange qui gênait Seifer était le manque de communication avec les supérieurs. Il savait qu'ils collaboraient avec la Shinra, il savait même que Lunatic Pandora avait été volée. Il ne s'en était pas préoccupé au départ parce qu'il pensait que c'était juste une fascécie de leur chef qui voulait avoir un symbole de lutte contre l'ordre établi, un symbole de pouvoir absolu. Mais une chose était claire à présent, les simples rebelles ne sont pas au courant pour la sorcière.
Il soupira une fois encore et examina ses protégés. Il allait devoir leur demander de l'aide. Il ne pouvait pas continuer à fouiner comme ça sans complices.
'J'aurai dû accepter l'offre de Strife.' Pensa-t-il. 'Au moins avec lui j'aurai su à quoi m'en tenir...'
Il se leva et rabattit l'entrée de la tente pour la fermer. Rahfis leva un sourcil inquisiteur mais ne dit rien, Eric leva la tête et attendit la suite. Seifer se posa une fois de plus la question. Etait-il certain de vouloir mettre ces deux là dans la confidence ? Il les fixa tour à tour et finit par se raviser.
'Eric, va donc faire un tour.'
Eric parut surpris par la demande mais n'en demanda pas plus pour sortir à toute vitesse.
'Oh ! Et apporte moi de quoi manger aussi j'ai faim.'
'Oui monsieur !'
Une fois Eric sorti, Seifer s'assit sur sa couchette. Il regarda Rahfis qui le dévisageait d'un air étonné.Seifer ne chercha même pas à s'expliquer et commença directement ses négociations.
'Il faut qu'on parle. J'ai un service à te demander.' Il scruta le visage de Rahfis à la recherche de quelque chose qu'il sembla avoir trouvé au bout de quelques secondes. Il se dirigea vers lui et s'accroupit devant lui. Son regard était des plus sérieux et le silence qui s'était installé était désagréable. Du moins pour Rahfis qui n'avait plus l'habitude de voir Mikaal aussi sérieux depuis l'époque des corrections à répétition. Il avala nerveusement et répondit d'un ton leger en essayant de ne pas montrer sa nervosité.
'Un service ?'
Seifer acquiesça lentement et continua à le fixer avec son regard inquiétant.
'C'est plus qu'un service. Es-tu prêt à tout risquer pour venir avec moi ?' Demanda-t-il après s'être assuré que personne ne les écoutait dehors et qu'il n'élevait pas trop la voix.
Rahfis étudia à son tour son Real. Il se demanda tout un tas de choses, aller avec lui ? Où ça ? Pourquoi ? Mais surtout était-ce réel ? N'était-ce pas là un piège pour tester sa fidélité ou pour vérifier son niveau de "propreté" ? Voyant sa réticence et surtout ses interrogations Seifer le rassura.
'Du calme... Ce n'est pas une question piège, je peux te jurer que je suis on ne peut plus sérieux.' Il laissa un instant de silence passer afin de bien laisser à Rahfis le temps de réfléchir à ce qu'il venait de dire et reprit :
'Alors ? Tu es avec moi ?'
Rahfis lui demanda d'une voix tremblante.
'Avec toi ? Pour se tirer de là ?' Dit-il en montrant la tente de la main sans quitter le blond des yeux.
L'ancien chevalier de la sorcière lui répondit alors sèchement.
'Non.' Puis il sourit.
'Pour les virer de là.' Sa voix était douce mais portait en elle une résolution que Rahfis ne lui connaissait pas. Il lui répondit alors sans hésiter :
'Et comment !' Il était surexcité mais terrifié à la fois, il n'avait pas ressentit autant de sentiments contradictoires de toute sa vie. Il voulait partir, leur faire payer ces mois de misère, leur cruauté, il voulait rentrer chez lui, il voulait faire comme si rien de tout ceci n'était arrivé, mais une chose était sûre : Il voulait leur faire regretter le jour où ils ont décidé de s'en prendre à lui. Il revint à lui et pu constater que Mikaal s'était relaxé, il souriait lui aussi et avait l'air plus soulagé que jamais. Il comprit alors une chose, Mikaal n'était pas là pour être un Real. Il s'en rendit compte maintenant qu'il lui avait clairement demander de trahir, mais cela avait été si évident dans ses actions et ses manières. Aucun autre Real n'était comme lui, aucun d'entre eux n'avait jamais fait quoique ce soit pour leur "linge", seul Mikaal l'avait fait, seul Mikaal avait risqué sa peau pour les protéger des autres Reals dans ces moments d'éagrement où ils semblaient oublier les rêgles des Reals qui leur interdisait d'intervenir dans les affaires des autres, ou d'abîmer les linges qui ne leur appartenaient pas.
Il plaça sa main devant ses yeux et sourit bêtement. Le soulagement d'être enfin libre mentalement mais aussi physiquement était surréel. Des larmes s'écoulèrent de sous sa main et ses épaules tremblaient de façon manifeste. Il ne vit pas Seifer prendre une grande inspiration et essayer de se recomposer. Il attendit encore quelques minutes avant de reprendre la parole, la voix un peu rauque à cause des larmes.
'Bon, quel est le plan ? Et pourquoi tu ne veux pas en parler avec Eric ?'
'Le plan est simple, on continue à faire comme si de rien n'était et on s'informe. Il faut avoir le plus de renseignements sur Linoa, et surtout sur ceux qui tirent les ficèles derrière tout ça.'
Rahfis l'arrêta alors : 'Linoa ? La Linoa ? Elle est ici ?'
Seifer ne pu retenir un sourire. 'Oui. Et elle est devenue dangereuse. Son éveil lui a été fatal.'
'Whoa...'
Seifer continua à lui expliquer son plan sans lui parler à aucun moment de Strife ni de Squall. Le moment venu il lui en parlerait mais pas dans l'immédiat. C'était trop risqué, s'ils étaient découverts il ne fallait surtout pas compromettre les autres qui auraient encore leurs chances.
' Et pour ce qui est d'Eric... Il n'est pas assez solide pour résister à tout ça. On le sortira d'ici avec les autres quand tout sera fini.'
'Okay.'
Bon je sais que ce chapitre s'est fait attendre très très trèèèèèès longtemps mais c'est ça quand on a plus l'envie. J'avais perdu le chapitre au cours d'un malheureux reformatage et j'ai été frappée d'une flemme aigue pour le réécrire. Et puis j'avoue que ce chapitre ne servait que de transition et d'intro du clan adverse (même si l'intro était loin d'être complète...) Mais je vous promet que ça ne se reproduira plus ;; si vous êtes encore là, lol. Bon a plous!
