NA : Voici enfin le chapitre 10 première partie… Je précise également que je viens de créer mon site web et que d'autres auteurs peuvent venir y publier leurs fics !
Allez voir dans ma bio pour plus d'infos sur mes autres fics et pour le site…
Je vous attends avec impatience !
Bonne lecture
Chapitre 10 :
A Poudlard, personne n'avait encore bougé depuis le départ de Duo. Albus Dumbledore fut le premier à reprendre ses esprits.
-Il n'a tout de même pas dit que Harry a été enlevé ? Demanda-t-il à sa collègue.
Minerva McGonagall regarda le directeur.
-Je crois bien que oui, Répondit la pauvre directrice adjointe sous le choc.
Le vieil homme repris la parole.
-Je demanderai à tous les préfets de ramener leurs condisciples dans leurs dortoirs respectifs. Je veux une réunion des professeurs dans mon bureau immédiatement quant à Mr Malefoy, j'aimerais qu'il assiste à la réunion et me dise ce qu'il sait.
Drago Malefoy, avachi et tremblant encore de peur, hocha la tête en signe d'acquiescement. Après un quart d'heure pour que le blond reprenne ses esprits et que tous les professeurs se soient retrouvés dans le bureau de Dumbledore, une discussion inquiète fut engagée.
-Albus, la puissance de ce garçon est immense, S'exclama Minerva.
-Vous rigolez Minerva. Elle n'est pas seulement immense, elle est effrayante, Reprit le petit professeur d'enchantements.
-Moi personnellement, ce qui m'étonne c'est que Mr Malefoy, ici présent n'a pas fait un arrêt cardiaque, Répondit Mme Bibine, et Severus, je vous ai trouvé très serein.
-Vous voulez que je vous dise l'état dans lequel j'étais, Xiomara ? Je ne suis pas quelqu'un que l'on effraie facilement mais là j'était prêt à partir à 300km de ce gamin, Répondit Rogue.
Toutes les personnes présentent dans le bureau regardèrent le maître des potions avec des yeux ronds.
-Vous plaisantez, Severus ? Demanda McGonagall.
-Pas du tout. Vous avez tous senti cette puissance gigantesque mais elle n'était pas seulement gigantesque, elle était également glaciale et meurtrière. J'ai dû faire appel à tout mon self-contrôle pour ne pas trembler et encore je n'ai pas totalement réussi.
-Ce garçon est étrange… Murmura Albus Dumbledore, Mr Malefoy, qu'avait prévu Voldemort ?
-Mon père m'a dit qu'ils avaient doublés les attaques pour que Potter culpabilise et qu'un mangemort devait l'enlever quand il serait près des protections de l'école. Je crois qu'après cela, Voldemort va "s'amuser" avec lui avant de le tuer.
-Oh mon Dieu ! S'exclama la directrice des Griffondors.
-Severus, réunissez les autres. Mr Malefoy, allez dans votre dortoir.
Drago Malefoy sortit du bureau et le maître des potions lança une poignée de poudre de cheminette dans le feu avant de prononcer "Le Terrier" et de passer sa tête dans l'âtre de la cheminée.
-Molly ?
Molly Weasley lâcha sa baguette de peur, n'ayant pas entendue Rogue arriver.
-Severus ! Cela ne se fait pas d'effrayer les gens comme ça.
-Désolé, Albus aimerais réunir l'ensemble de l'Ordre de toute urgence. Vous pouvez prévenir tout le monde ?
-Bien sûr, mais qu'est-ce qu'il y a ?
-…Harry a été enlevé par Lucius et on pense que Voldemort se trouve au manoir Malefoy avec lui et Potter.
-Mon Dieu ! J'appelle les autres immédiatement ! Au revoir, Severus.
-Au revoir, Molly.
Et la tête de Rogue disparut de l'âtre. Mme Weasley s'attela à la tâche d'avertir tous les membres de l'Ordre du Phénix.
Ce fut un quart d'heure plus tard que tous les membres de l'ordre secret de Dumbledore furent dans le bureau de celui-ci.
Une réunion extraordinaire débuta alors avec comme sujet principal : l'enlèvement d'Harry.
Pendant ce temps, Lucius Malefoy se "défoulait" sur le Survivant. Une grande flaque de sang se trouvait sous le jeune garçon dût à ses nombreuses blessures sanglantes. Le survivant subissait Doloris sur Doloris et Crucifix sur Crucifix. Ses forces l'abandonnaient petit à petit et sa vie s'échappait de ses nombreuses plaies.
Voldemort s'était installé dans un magnifique fauteuil en velours vert et se délectait du "spectacle" qu'offrait le malheureux adolescent.
-Alors Harry ? Ca va ? Tu n'as pas mal, j'espère ? Ce serait dommage, Ricana Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom.
Harry releva la tête et lui lança un regard noir, n'ayant plus assez de force pour lui crier dessus. Voldemort rit et fit signe à Lucius de continuer.
Dans la nuit noire, une silhouette ailée se dessinait petit à petit, s'approchant d'un immense manoir en pierre grise. La créature se posa sur la pelouse et replia ses immenses ailes de cuir noir. Duo descendit du dos du sombral et regarda le manoir.
-Reste là, je reviens. Si j'ai besoin de ton aide, je siffle et tu viens ok ? Souffla l'américain à la créature de mort.
Celle-ci poussa un étrange hennissement en signe d'acquiescement. Le natté se dirigea alors vers les grandes portes de la bâtisse et les poussa d'un geste.
Il pénétra dans le manoir et la première chose qu'il vit fut un immense escalier menant à l'étage. Une grande porte sur la gauche devait être celle de la salle à manger et une porte plus petite à droite devait conduire aux cachots d'après Duo.
Il ouvrit la porte de droite et une sorte d'alarme se déclencha alors dans sa tête comme pour l'avertir d'un danger ou d'un problème. Il pressa le pas et courut à travers les longs corridors de pierres froides.
« Tiens bon Harry, j'arrive ! »
Ledit Harry se trouvait aux portes de la Mort. Il fallait croire que Voldemort voulait le tuer lentement ou le faire agoniser. Le Seigneur des Ténèbres se leva de son siège et ordonna à son serviteur d'arrêter la torture.
Duo, lui, courait et venait d'arriver dans les cachots. Il commença à ouvrir toutes les portes pour trouver son aimé.
Voldemort s'approcha lentement de son prisonnier passant devant son serviteur sans le voir.
-Tu vois Potter, j'ai gagné et toi tu as perdu. Tu as voulu jouer et le jeu s'est retourné contre toi. Adieu, murmura le Mage Noir à l'oreille du Survivant, Crucifix !
Harry n'avait plus la force de crier, il sentit sa fin arriver et il pensa une dernière fois à Duo avant de rendre son dernier soupir.
Fin chapitre 10 première partie
Petite rewiew… même pour me crier dessus que vous êtes pas contents
