Les Liseuses
Oiych ! Ca fait un bail que j'ai pas updaté ! Tapez pas, tapez pas ! Quoi « on est pas content » ? Bon, bon….et ben voilà le chapitre neuf, c'est bon ? Nan, toujours pas ? Raaah, jamais content ! Et bin je mets le chapitre dix ! Et, vi, c'est le dernier chapitre...hey, je m'en tape que vous « en voulez plus sinon on te décalque » ! C'est pas la menace qui va me faire avancer !...heu, si vous pouviez lâcher cette batte de baseball……D'ACCORD ! Voici l'épilogue ! Avec ça, franchement !
Reviews :
Lady Killer : Et oui, comme tu as pu le remarquer, l'histoire entre Kiseki et Arashi est très serieuse ! J'avais vraiment besoin du chapitre huit pour mettre les choses au point. Ils s'aiment. Comme Kyo aime Yuya, comme Kyoshiro est fou de Sakuya et comme Akira aime Tokito (ou du moins ici). Je voulais bien faire prendre conscience que le monde n'est pas tout blanc ou tout noir, ils avaient des raisons solides de faire ça, et, même si leurs méthodes sont discutables…c'est pour ça que j'ai maintenant un peu de mal à les détester tout à fait. Là, tu as la fin, j'espère qu'elle répond à toutes tes questions, mais dans le cas contraire, n'hésite pas ! Et Akira-chou est puceau, je le maintiens !
Master of Mad : Et oui, les hommes sont tous les mêmes….m'enfin. Voici toute un tripotée de chapitres à dévorer, bon appétit ! Quant à la force de Yuya, mhhh….mystère et boule de gomme…qui sait si un jour ou l'autre, désoeuvrée, je ne ferais pas une suite ?
Radiklement : Mouis, on m'a dit que les souvenirs étaient flous, mais, pour ma défense, je dirais que c'est fait pour, Yuya non plus ne comprend pas bien. Et pis des loups affamés ça peut être très dangereux. Je vois mon frère, ayant rien mangé pendant deux heures, il est effrayant, alors, des loups… frissonne. Ca s'arrange pour Yuya….heu…quoique….
NyuNyu: outré comment ça, "Yohko de mes deux que j'ai pas"? Mugen est mon perso cheri ! Je t'interdis ! lol ! Doucement, sinon la petite cuiller de la mort va venir pour toi !
Rhea-Silvia-chan: MERCI! Enfin une personne sensée, ici! Remets donc NyuNyu dans le droit chemin, te plait. Et trois chapitres pour le prix d'un, que demander de mieux, hein ?
Beverly : Ayé, le voilà, le Kyo/Yuya. Et si vous êtes sages, je vous ferais un beau lemon. Mon tout premier !
Kali : Mais de rien, c'est un plaisir ! Et c'est la fin, snirf.
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Chapitre neuf: « Prélude à la bataille ».
Sa
main portait les coups.
Sa voix prononçait les mots.
Et
ses larmes ne voulaient pas couler.
Kiseki grimaça en sentant sa migraine s'amplifier. Et être entourée par une dizaine de servante piaillante et gloussante n'arrangeait rien.
-Silence, ordonna t-elle d'une voix polaire.
Le mutisme s'abattit dans la chambre comme une chape de plomb en été. Les domestiques rentrèrent la tête dans leurs épaules et s'affairèrent dans le silence le plus complet à leurs tâches. Chacune épiait du coin de l'œil l'attitude de la Liseuse, attentive au moindre changement d'humeur. Sa grandeur sérénissime Kiseki-sama n'avait jamais été connue pour sa mansuétude et sa clémence à l'égard du petit personnel.
-Eh bien, que ce passe t-il, ici? Il y a eu un mort? plaisanta Arashi en pénétrant dans la chambre de sa bien-aimée.
-Arashi! s'exclama avec une joie aussi soudaine que vive, sautant du lit sur lequel elle était assise et se suspendant sans complexes au cou de son amant.
-Hep, doucement, l'avertit-il en riant, la décrochant à regret, l'autre petit diablotin ne m'a pas loupé! Je suis couvert de plaies.
Alors que les servantes s'éclipsaient le plus discrètement possible par les portes dérobées prévues à cet effet, Kiseki poussait délicatement Arashi sur le futon.
-Vraiment? Ronronna t-elle, aguichante. Montres-moi ça….
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la première pensée qui percuta l'esprit de Kyo lorsqu'il reprit conscience, c'était qu'il avait l'impression qu'un troupeau d'hippopotame avait confondu son crâne avec une piste de danse. La deuxième, qu'il avait mal partout. La troisième, qu'il bouffait de la terre.
Il toussa faiblement, recrachant ce qu'il avait dans la bouche. Le bras musclé de Bontenmaru se chargea de le remettre sur pied en deux temps, trois mouvements.
-Allez, debout la belle au bois dormant! chantonna t-il en lui donnant une forte tape dans le dos qui l'étouffa à moitié.
-Si Kyo est la belle, toi tu es la bête, Bontenmaru, marmonna Akira assez bas pour ne pas être entendu, tandis que Kyo recrachait ses poumons.
L'aveugle venait lui aussi, et comme la plupart des personnes présentes, de se réveiller. Les gardes avaient profité de leur état de faiblesse pour les assommer et les jeter en prison. Il refréna l'envie aiguë de frotter son postérieur endolori en se levant. La geôle était sombre, puante, en terre battue, et de lourds barreaux en acier en protégeaient l'accès. Ou la sortie, dans le cas présent. Bontenmaru avait beau déployer toute sa puissance dessus, ils ne pliaient pas.
-Mais qu'est-ce qu'on fout en taule, geinrent Tigre rouge et Mugen en un parfait accord, des spirales à la place des yeux, d'une façon cartoonesque.
Le Yohko se massa l'arrête du nez, les sourcils froncés, et sauta bientôt sur ses pieds, remarquant à peine qu'il avait dormi vautré sur Sasuke.
-Et oui, l'avantage certain d'être un Bakemono, on récupère bien plus vite que les ningen! déclara t-il joyeusement sous le regard incrédule et/ou fatigué de l'assemblée.
Shinrei soupira et se retint de crier quand une de ses côtes vint le chatouiller désagréablement. Mais il allait falloir supporter la douleur puisque Akari s'était vu privé de son bâton en même temps que leurs armes. Mal e point, il tenta de ne rien en laisser paraître, mais Hotaru, plus près de lui, avait décelé l'infime crispemment de sa mâchoire.
-Il faut soigner tout le monde, fit-il calmement.
-'fectivement, acquiesça Yukimura. Commençons par faire des bandages, pour le moment.
Alors que chacun déchirait un morceau de son vêtement, déjà sévèrement élimés pour certains, afin de fabriquer des bandes, seul Mugen ne bougea pas.
-Toi aussi, gamin, glissa Bontenmaru au Nibi.
-J'suis pas un gamin, ronchonna t-il en croisant les bras. Et j'ai pas envie d'abîmer mes fringues.
-Kami-sama! Un deuxième Akari! S'écria le colosse, levant les bras au ciel.
-Hey! se récria le concerné. Est-ce que je parle de ta petite saucisse, moi!
De mauvaise grâce, et sous l'œil insistant de Kyo, Mugen s'exécuta finalement. Il arracha un pan du bas de son kimono. Quelque chose parut faire "tilt" dans son crâne et il s'agenouilla à côté de Sasuke pour le soigner, soudainement bien plus content, loupant l'expression mi-amusée, mi-suspicieuse de Yukimura.
-Je suppose qu'on est là pour un sacré moment, avança Okuni, épongeant adroitement le sang de l'une des blessures de Kyo avec un bout de tissu. On a donc tout le temps pour une belle histoire. N'est-ce pas, Mugen?
-Hein? Fit celui-ci, relevant brusquement la tête, perdu dans ses pensées. Ha, l'histoire des Liseuses. Vous voulez que je vous raconte ce que j'en sais?
-Vas-y, l'encouragea platement Hotaru.
-Très bien. Il était une fois…..
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-Hop! hop! hop! Un moment, coupa Tigre en agitant l'unique main qu'il n'avait de pas pansée. Si je résume bien, les Liseuses sont trois Bakemono super balèzes qui ont utilisé une technique secrète pour….
-Transférer leur âme dans le corps d'une personne tous les cent ans, compléta Akari.
-Pas juste l'âme, corrigea Mugen d'un ton professoral. L'âme ET l'esprit. L'esprit est ce qui permet à l'âme de contrôler le corps. Sans leur esprit, elles ne seraient pas capables de faire bouger le corps de leur hôte.
-Mais alors pourquoi elles ne l'utilisent pas directement, au lieu d'attendre aussi longtemps pour en prendre possession? Demanda Shinrei, à qui des aspects de la chose échappaient.
-On parle de Bakemono surpuissants, là. Balancer une âme aussi forte dans un corps de ningen, c'est pas évident. Il faut une accommodation…d'après ce que j'ai entendu dire….
-Hmmm, fit-il, pas totalement convaincu.
-Tsukiyo est une Yohko, qu'est-ce que tu sais sur elle? questionna Akira, le visage fermé.
-Ce que tout le monde en sait, je pense. C'est une Kyubi. Ha, si, et elle aime pas les ninja.
-Ha bon? S'étonna Sasuke.
-Une broutille avec eux, il semblerait. Je crois que son dernier hôte en était un et qu'il avait été scellé pour empêcher la possession.
-On peut faire ça? demanda Kyo, intéressé.
-Mouis, c'est possible…
-Mais? Fit Bontenmaru, qui attendait la suite avec appréhension.
-Il faut un sorcier très puissant. Et je doute qu'on arrive à convaincre le Grand Prêtre local. Même avec des…arguments frappants.
-……d'accord…et puis ça lui ferra bouger son cul, à celui-là, murmura Kyo pour lui-même. Allez, on avisera après avoir trouvé le moyen de sortir de là.
-Et on fait comment, monsieur-j'ai-réponse-à-tout-Kyo? On claque des doigts et la clé apparaît comme par magie? Ironisa Bontenmaru avec un sourire désabusé.
-C'est pas d'la magie, mais on à la clé, si vous voulez, annonça joyeusement une voix, de l'autre côté des barreaux.
Keito faisait tournoyer l'anneau de fer, auquel était reliée la clé, autour de son index brandi. Kinuito se montra à son tour, frottant ses mains d'un air victorieux.
-Qui êtes-vous et comment êtes-vous parvenues jusqu'ici? Des gardes étaient postés partout, se méfia Akira qui savait que la générosité pouvait cacher des choses.
-Aucun homme ne résiste à ma grande technique "Destruction définitive de la capacité de reproduction", déclara Keito fière d'elle.
Les mâles présents frissonnèrent instinctivement à l'évocation du supplice. Ils en arrivaient presque à plaindre des gardes…
-Et nous sommes des servantes rattachées à Dame Kiseki. On vient vous sortir de là, conclu Kinuito en chippant la clé des mains de sa petite sœur.
-Vous trahissez votre maîtresse? Fit Shinrei, sa conscience de la loyauté le démangeant douloureusement.
-Ouais, et alors, ça t'défrise, tête de balais? Lança Keito en croisant les bras, défiant du regard Shinrei, outré. Votre amie a été super sympa avec nous alors que Kiseki a toujours été une sale garce! Je vois pas pourquoi on se casserait les..mptffmm?
Kinuito avait vivement collé la paume de sa main contre la bouche de Keito pour l'empêcher de continuer, les sourcils froncés et les lèvres pincées. Elle ajouta une mandale pour ponctuer le tout, et fit tourner la clé dans la serrure, libérant le groupe. Sans prévenir et avec un "frangine Keito !" plus qu'enthousiaste, Mugen, tel une sangsue, accapara les jambes de la plus jeune des jumelles, refusant par la suite de lâcher prise.
-T'es là, toi!
-Viiiii! sourit-il.
-Keito sort de temps en temps pour aller chercher des baies dans la forêt. Mugen et elle se sont mutuellement adoptées, expliqua Kinuito, fatiguée au reste de l'équipe.
-On sait d'où vient son langage désastreux maintenant, chuchota Tigre à Okuni, du même avis.
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Les combattants avaient récupéré leurs armes un peu plus loin, castagnant joyeusement de l'Avatar, ceux-ci débarquant comme s'il en pleuvait. Une fois le ménage accompli, Kinuito et Keito les accompagnèrent jusqu'à la sortie du souterrain.
-On peut pas dire que vous fassiez dans la dentelle, commenta distraitement Keito en observant le couloir repeint en rouge.
-Il vous faudra gravir l'escalier qui mène aux caves, l'étage supérieur, puis trouver le passage qui conduit aux jardins, les traverser et vous diriger en direction de l'aile gauche du palais. Là-bas, vous trouverez une porte destinée aux serviteurs. Elle n'est jamais gardée, assura l'aînée des deux filles.
-Rappelez-nous pourquoi vous devez nous priver de votre agréable compagnie, charmantes demoiselles, fit Yukimura, séducteur.
-On va profiter de la pagaille monstre que vous allez mettre pour libérer le plus de prisonniers, dit immédiatement Keito.
Sa sœur opina du chef.
-Courageuses mais pas téméraires, songea Kyo, flegmatique.
-Mugen, tu restes avec nous? Demanda Keito au bakemono, lorsqu'ils furent un peu plus éloignés du centre des discutions.
Le Nibi, indécis, se mordilla la lèvre. Kinuito et Keito était ce qui ressemblait le plus à de la famille pour lui. D'un autre côté, s'il restait avec elles…Le visage fin du Yohko, commun à une grande partie de ses congénères mâles et femelles, se fit décidé et il secoua négativement la tête.
-Non, je pars avec eux.
Désappointée, Keito fixa Mugen du regard. Elle sembla néanmoins déceler quelque chose dans les yeux du Yohko et sa mine maussade se métamorphosa en un sourire rayonnant. Elle rit et lui administra une légère tape sur le haut du crâne.
-Allez, vas-y! Fonces, ma puce!
-Je supporte pas quand tu m'appelle comme ça, bougonna le Yohko.
-C'est pour ça que je le fais, voyons.
Se regroupant, les ronin et associés se retournèrent à moitié pour saluer de la main les deux jeunes femmes, au fur à mesure de leur progression dans l'escalier.
-Je crois que le mignon aux cheveux brun court a deviné pour Mugen…, débuta Kinuito, pensivement, tout en agitant la main pour dire au revoir au groupe.
-Faut dire que c'est pas un modèle de discrétion, fit sa sœur en haussant imperceptiblement sa sœur.
-J'ai jamais su pourquoi ça lui plaisait de le cacher…
-Moi non plus. Je cherche même pas, tu vois.
-…
-…
-…
-Tu crois qu'ils vont y arriver? Demanda finalement Keito en tournant la tête vers sa jumelle.
-Il faudrait un miracle…. Continues à sourire, ils nous regardent toujours, dit Kinuito.
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Un gémissement de plaisir précédé d'un gloussement résonna dans la chambre de Kiseki.
-Plus bas. Arashi…plus bas…plus b…
-Votre seigneurie Aozora! s'écria un soldat désigné par ses camarades pour venir annoncer la mauvaise nouvelle, en déboulant dans la pièce sans prévenir.
-QUOI! vociféra le gardien céleste de Kiseki, furieux d'avoir été interrompu dans un tel moment, sortant la tête de dessous les draps, les cheveux ébouriffés.
Se rendant compte de la situation, terrifié d'avoir mis son supérieur en colère et d'avoir fait la boulette du siècle, le soldat pivota pour se mettre dos au couple, regarda ses pieds et baragouina des propos incompréhensibles.
-Si tu ne sais plus te servir de ta langue, tu ne verras pas d'objections à ce que je te la fasse arracher et cautériser au fer rouge, soldat, fit le brun, froidement.
-Pas de sang dans la chambre, chaton, marmonna Kiseki en se redressant.
-C'est…c'est la bande d'Onime-no-Kyo….ils nous créent des…difficultés.
-Et bien créez-lui en a votre tour, grogna Arashi en repartant sous les draps.
-Heu…oui, mon seigneur. Votre grandeur sérénissime.
Il s'inclina profondément, et partit en courrant, heureux d'avoir eu la vie sauve.
Pour revenir une minute plus tard, prêt à éclater en sanglots hystériques, convaincu de l'imminence de son exécution.
-Je suis désolé, monseigneur, on a pas pu les arrêter. Ils sont dans le corridor principal et viennent par ici.
-HO B DE F M DE C! jura copieusement Arashi en hurlant.
-Arashi! Enfin!
Le soldat se carapata, jurant qu'on ne le prendrait plus à faire les boucs émissaires pour les copains. Le samurai, fulminant, quitta le lit, attrapa un hakama au vol et entreprit de se frusquer en trois secondes top-chrono. Kiseki, remontant le drap sur ses épaules soupira lourdement, une adorable moue enfantine sur le visage.
-Et dire qu'on allait juste commencer la quatrième fois…
Arashi se pencha vers elle et lui déposa un baiser papillon à la commissure des lèvres.
-Je me débarrasse définitivement de ces gêneurs et je suis à toi. Que dis-tu d'un dîner à Edo, ce soir?
-Je dis que c'est une idée fabuleuse, sourit Kiseki à travers les traits de Yuya
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Arashi regarda alternativement le tas que formait des troupes battues et ses adversaires. S'il repoussait le dîner au lendemain, est-ce que Kiseki lui en voudrait?… Probablement…Pourquoi Chokkan et Heiwa n'étaient jamais là quand on avait besoin d'eux?
-Troisième round, phacochère à face de bouffon, lança Tigre, un sourire de psychotique en pleine crise de délire, sur le visage.
Hokurakushimon ruisselait de sang, à l'instar des autres lames et des poings de Bontenmaru. Akari se convint mentalement que baver sur les pectoraux d'Arashi, dévoilés par son manque de vêtement, serait du plus mauvais effet.
-Quelle folle élégance, rit Yukimura, cultivant son image de plaisantin inoffensif.
- Navré, cher ami, vous me voyez sortir d'une séance très…sportive, rétorqua Arashi alors que Kyo se crispait au sous-entendu. Au moins, si je peux admettre que tu ais une qualité c'est bien ton bon goût, Kyo…Yuya était une très, trèèès jolie fille…mais c'est vrai que tu n'a pas eu le temps d'en…profiter vraiment.
La provocation eut l'effet escompté. Kyo se jeta avec violence sur la personne qu'il haïssait le plus au monde. Leurs lames se heurtèrent bruyamment, se faisant écho à la rage qui envahissait leur cœur. Geshi, Tsukiyo, Chokkan et Heiwa apparurent au détour du couloir. Les autres se préparèrent pour l'affrontement.
Ce serait le dernier.
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Annonce !
Une fanfic de plus en français pour le monde de sdk ! Ou
plutôt un one-shot !
-suite au chapitre dix-
Pour le vocabulaire oublié (par moi) ou étrange (pour vous) :
Sanbi:
Yohko à trois queues
Tengu: Bakemono à forme de
corbeau
Tanuki: Même chose pour les blaireaux...et oui, on
sait tous que Sakuya et la reine des blaireaux...
naginata: C'est une lance ,
