Je sais, j'ai mis assez longtemps à poster cette suite, plus longtemps que prévu, mais il est aussi 3 fois plus long que les autres... Et c'est le dernier! Voilà pourquoi je voulais le terminer et qu'il est si long...

Bon ben reviews à la fin (si vous ne le savez pas c'est que vous débarquez sans avoir lu les autres chaps alors rdv au début ), note d'explication (qui servira aussi de résumé) au début en italique et... Bonne lecture!


Bon alors, déjà, les noms, paroles et actions en italique c'est ceux des doubles. Les doubles d'Hermione et Draco qui sont apparut en se disputant. Mais comme c'étaient des doubles et pas les vrais personnages, le sort d'Hermione a traversé Hermione et Draco pour toucher Draco qui est lui aussi un double (et donc se ramasse les sorts lancés par le double d'Hermione, c'est biscornu, je sais).Mais le sortrateparce que Hermione ne voulait pas vraiment le lancer et qu'elle n'a pas la force de tuer quelqu'un,elle craque un peu parce qu'elle réalise qu'elle aurait jamais dû lancer et elle s'enfuit en s'envolant. Pendant ce temps, Draco a disparu aussi. Etaient ils un rêve, un mirage, une hallucination, étaient ils bien réels? Ce monde dans lequel ils sont est il réel? Ben ça je dis pas ' vous verrez!

Ensuite, encore plus difficile à comprendre (faudra que je me relise d'ailleurs parce que je suis sûre que comme il était presque 1h du mat j'ai dit n'importe quoi, j'ai toujours une inspiration dingue la nuit, dingue au sens propre XD) Hermione et Draco sortent leurs ailes et commençent à baigner dans un bonheur parfait. C'est Draco qui réalise le premier qu'il y a quelque chose de louche et que ces ailes commençent à les droguer, si l'on peut dire, et qu'ils ne sont plus lucides. Avec un énorme effort de volonté, il replie ses ailes et aide Hermione à faire de même pour la libérer de cette cage de bonheur dans laquelle elle était.

Une fois remis de leurs émotions, Draco et Hermione recommencèrent à marcher. Au bout d'un court – mais qui parut très long – moment de silence, ils se mirent à discuter avec animation de leur aventure.

« En tout cas, merci de m'avoir sorti de ce drôle d'état… Comment tu as fait ? »

« Aucune idée. »

« Pratique… » commenta la jeune fille avec un sourire mi-figue mi-raisin

Son expression inquiéta Draco, mais il ne dit rien.

« Au fait, d'où est ce qu'on sort ces ailes ? » demanda t'il pour changer de sujet

« Aucune idée. »

« Pratique » imita t'il « C'est quand même toi qui a trouvé cette potion »

« Non, c'est Ginny. »

Agacé, il fit un geste de la main, comme pour dire « c'est ce que je pensais ». Hermione sourit, amusée.

« Tu déteste toujours autant avoir tort. »

« Ça t'étonne ? »

« Non. C'est bien toi. »

Elle eut un vrai sourire, cette fois, et les kilomètres suivants se déroulèrent dans une indicible bonne humeur.

« Comme on se retrouve… »

Les deux adolescents stoppèrent net mais mirent longtemps à comprendre ce qui se passait. C'était pourtant si simple… On ne rencontre pas tout les jours des hommes d'un mètre quatre-vingt, avec un long catogan blond et des yeux gris métal.

« Père… » fit Draco, atterré

« Oui mon fils ? » répondit Lucius avec un sourire sadique qui donna aux deux autres une profonde envie de vomir

'Partirencourant partirencourant partirencourant…' répétait en boucle l'esprit de Draco qui, comme chacun le sait, n'est pas à serpentard pour rien.

Il se ressaisit en sentant la main d'Hermione se crisper sur son poignet. Celle-ci était en pleine analyse de la situation avec danger et tutti quanti.

'Est-ce qu'on meurt en vrai s'il nous tue ?'

Elle préféra ne pas prendre le risque et serra le poignet de Draco en attendant que Lucius attaque. Mais le jeune homme ne l'entendait pas de cette oreille.

« La meilleure défense… » glissa t'il à son amie

Rapide comme l'éclair, il se précipita sur son père et lui donna un coup de poing au visage, espérant de tout sont cœur le mettre tout de suite hors service. Si ils devaient combattre, leurs chances étaient réduites.

« C'est l'attaque ! » hurla t'il

Lucius chancela à peine tandis qu'une perle de sang coulait de sa bouche. Il planta ses yeux dans ceux de son fils. Regard gris bleu dans regard gris bleu. S'affrontant. Virant à l'acier. Force. Colère. Luttant pour arracher à l'autre un frémissement. Personne ne bougea.

« Tu me le paiera, mon fils. » murmure la voix glaciale

Et soudain son épée fendit l'air. La lame d'argent virevoltait et la main blanche du mangemort maniait avec habileté la poignée de jade et d'émeraude. Cette épée aux couleurs des serpentards allait se teinter d'une des couleurs des gryffondors : le rouge sang.

Draco évita avec une souplesse sidérante le coup de son père et se prépara au revers. Mais ce n'est pas vers lui que la lame se dirigea. Dans une traînée d'argent, elle s'avança vers Hermione. Celle-ci esquissa juste à temps un geste de défense et au lieu de la fendre en deux, l'épée s'enfonça dans son bras, percutant l'os avec un bruit écœurant, lui arrachant un cri de douleur.

Lucius brandit à nouveau son épée pour achever la jeune fille, mais la lame s'arrêta dans une étincelle d'argent, percutant une autre lame tenue par Draco. Elle était entièrement blanche, pas du blanc inquiétant et incertain que cet étrange voyage lui avait fait découvrir, pas ce blanc qui teinte les hallucinations. Pas le blanc des cellules dans les asiles. Non, vraiment, pas ce blanc là. Un blanc pur et fort, qui allait vaincre. Poussant un cri de guerre, Draco se jeta sur son père.

Draco avait quelques fois fait de l'escrime et s'était montré assez doué, mais là ce n'était pas la même chose. Ils allaient vite, très vite, paraient et repassaient à l'attaque à une vitesse fulgurante. Ils faisaient entièrement confiance à leur instinct et ils ne réfléchissaient pas. Surtout pas. Si l'un d'eux l'avait fait, il aurait été réduit en charpie.

Le jeune homme se battait avec rage. Toute la haine et la rancœur, tout les coups reçus qu'il n'avait pas pu rendre, il les jetait dans la bataille. Puissamment. Pour la première fois, le Dragon en lui se réveillait. Et se rebellai. Il combattait avec acharnement mais bientôt, il commença à faiblir sous les coups de son père. Jamais il n'aurait cru qu'il puisse être un si redoutable escrimeur. Lentement mais sûrement, la flamme ardente du Dragon se mit à refroidir.

Il ferma les yeux – se disant qu'au point où il en était, de toute façon, le combat allait trop vite pour qu'il puisse voir – se concentra et failli se prendre un coup d'épée dans l'épaule. Il rouvrit les yeux et se résigna à se débrouiller seul. Pourtant, alors qu'il avait arrêté d'espérer, il sentit une chaleur bienvenue s'infiltrer dans son esprit. Il sourit. Le Phénix avait peut-être le bras en sang, mais le phénix l'aidait. Et en l'occurrence le Phénix, perdu sous une cascade de cheveux bruns, avait fermé ses paupières sur ses yeux marron. Pour aider le Dragon à vaincre.

Etrange spectacle que ce petit garçon combattant avec son reflet. Etrange spectacle que ces deux hommes si semblables se livrant bataille. Etrange spectacle que cette rébellion silencieuse, dans le sang et les larmes. Toute rébellion est meurtrière, pour le corps où l'esprit. Sa crise d'adolescence, le jeune homme le faisait à cet instant, exalté, combattant enfin contre ses chaînes.

Et les brisant.

La tête de Lucius s'envola dans une giclée de sang. Le visage de glace se teinta d'effroi, de surprise et presque de respect. Presque.

« Ainsi, mon fils, tu m'a battu… »

Et la tête, vision d'horreur, se mit à rire, rire, rire, et cracha une dernière parole avant de disparaître.

« Tu n'en as fini avec moi que dans ce monde là, Draco, pas dans les autres ! »

Les deux adolescents restèrent là, interdits. Puis le Dragon se précipita vers son Phénix.

Hermione était très faible. Son bras gauche fendu jusqu'à l'os laissait s'échapper un flot de sang. Son visage était pale, crispé par la souffrance, mais elle était par-dessus tout fatiguée, tout comme Draco d'ailleurs, puisqu'elle lui avait donné sa force.

Il voulut arracher un bout de sa tunique pour faire un bandage à sa bien aimée mais elle lui fit signe de prendre un morceau de sa propre manche. Après tout, dans l'état où était son bras, elle n'avait plus besoin de manche, dit-elle en riant avec les yeux.

Une fois les blessures pansées, Draco prit Hermione dans ses bras et la berça doucement. Il s'endormi peu avant elle, sur le tapis de mousse de la forêt, sous un arbre protecteur, près de l'ombre malveillante du cadavre de Lucius.

Quelques heures plus tard, lorsqu'ils se réveillèrent, ce même cadavre avait disparu. Ils le remarquèrent mais ne s'en inquiétèrent pas vraiment : il y avait tellement de choses étranges par ici ! Et puis de vivre dans le monde de la magie, on finit par se blaser…

Hermione se remit debout. Elle semblait allait mieux et tendit son bras valide à Draco. Celui-ci remarqua cependant qu'elle tenait son autre bras en retrait et qu'il était couvert de sang séché.

Ils se remirent donc en route, vers un but inconnu, toujours dans la direction que leur indiquait leur intuition.

Comme si quelque chose les avait guidé.

Quelque chose. Peut-être le même quelque chose qui leur créait des problèmes. Le jeune homme avait bien envie de mettre son poing dans la tête de ce générateur de danger. Mais il ne pouvait pas, évidemment. Etait ce le créateur de la potion qui dirigeait tout ? Et, au fait, qui l'avait créée ? Il avait la tête pleine de questions mais n'ose pas en poser une seule.

Enfin si, mais pas dans ce registre là.

« Tu crois que mon père est mort dans la réalité ? » demanda t'il

'Ce serait bien' songea Hermione

« Je pense que non » répondit elle

« Ce serait bien » reprit il en écho à la pensée de son amie

« Qu'il ne soit pas mort ? »

« Qu'il soit mort… »

« Draco, c'est ton père ! » dit Hermione en forçant l'indignation dans sa voix

« Je ne le considère plus comme tel. »

Il lui prit le poignet et l'attira vers lui.

« Je devais tuer Harry Potter. J'y arrivais remarquablement bien jusqu'à ce que tu arrives (il fit un geste pour la faire taire) et quand tu es arrivée, ça a changé. Il y avait quelque chose qui m'empêchait de te faire plus de mal que ce je te faisais habituellement, qui m'empêchait de te blesser autrement que mentalement – je sais que c'est déjà beaucoup, je suis désolé – je n'aurais pas pu te tuer toi. »

« Tu n'aurais pu tuer personne Draco. » répondit Hermione doucement

« C'est faux ! J'aurais pu, regarde ce que j'ai fait à Potter, et... »

« Tu ne l'as pas tué. »

« Et une petite fille que j'ai blessée gravement, elle aurait pu mourir. »

« Et mon père… »

« Oui, Draco. Tu as tué ton père. »

« J'en ai enfin fini avec ce foutu complexe d'Oedipe ! Je devais tuer mon père, c'est fait ! »

« Il reviendra, Draco, il n'est mort que dans ce monde. »

Il s'arrêta net. Puis se souvint, las, des paroles de Lucius. Ils continuèrent, lentement et en silence, leur chemin ; leurs yeux n'étaient pas loin des larmes, sans vraiment de raison. Juste une lassitude de cette aventure qu'était leur vie.

Ils ne s'aperçurent que tard que le paysage changeait. Les arbres avaient disparus, une mousse vert clair tapissait le sol et le ciel était multicolore, comme un merveilleux crépuscule. Soudainement, Draco s'assit, entraînant Hermione à terre.

« Qu'est ce que tu fais ? » demanda t'elle, légèrement paniquée à l'idée d'un nouveau maléfice

« Calme toi… C'est juste le paysage… Il est beau, non ? »

Avec le bout de l'épée, qu'il avait gardée, il commença à tracer des petites boucles dans la mousse. Puis, tout aussi soudainement, il se leva.

« Allez, si on veut sauver Potter, on devrait y aller tout de suite… »

« La prochaine fois que tu sauves quelqu'un, appelle le par son prénom, ce sera plus pratique ! »

Un merveilleux sourire se forma sur le visage de Draco, un sourire qu'il ne pouvait montrer qu'à elle seule : un sourire heureux et confiant. Jamais il n'aurait pensé qu'il serait confiant, un jour. Et pourtant… Il était là. Pour la confiance d'une fille…

Au loin, ils commençaient à apercevoir un poteau, un haut poteau de bois brun. Leur but, soufflait l'instinct étrange qui les guidait.

Mais avant qu'ils ne disent quoi que ce soit sur ce but plutôt haut, il y eu une lumière blanche. Le genre de mauvaise lumière blanche qui annonce une apparition. Hermione fit signe à Draco de reculer.

« Cette apparition là est pour moi »

Une femme d'une quarantaine d'année, au chignon brun sévère et aux yeux bleus perçants la toisait. Et Hermione connaissait très bien cette femme.

« Maman… »

« Hermione, tu as fini tes exercices de mathématiques ? »

« Oui maman… » fit elle avec une intonation – involontaire – de petite fille

« Viens, que je t'en donnes d'autres »

Elle sortit, de la poche de la blouse de dentiste qu'elle portait, un stylo, et commença à écrire des opérations sur un papier. Elle le tendit à Hermione.

« N'oublie pas que tu dois être la meilleure de la classe, ma chérie, tu dois tous les écraser. »

Draco comprit soudain les bonnes notes d'Hermione. Si elle avait été élevée dans cet esprit…

Quand à Hermione, l'attitude de sa mère, la même scène après des années, lui fit horreur. Elle sentit une révolte gronder dans son cœur.

« Non maman. »

Elle l'avait dit. Jane Granger se raidit. C'était la première fois qu'elle voyait cette lueur de défi dans les yeux de sa fille.

« Hermione… » dit elle doucement.

« Non. »

« Hermione ! » gronda t'elle

« Non maman ! Je veux réussir, mais j'en ai assez d'écraser les autres, assez ! »

« Hermione, tu dois être la meilleure pour réussir, tu dois écraser tout ces petits… »

« Je veux bien être la meilleure mais pas mépriser les autres ! » hurla la jeune fille, hors d'elle

Sa réaction impressionna Draco. Elle avait raison, merveilleusement raison.

« Mais ma chérie, les autres sont… »

« Eux maman. Les autres sont aussi eux que nous sommes nous. Il y en a des bons, et des méchants, et des méchants qui deviennent gentils et le monde est en nuances de gris… »

Elle se faisait poète mais sa voix était brisée. Sa mère lui jeta un dernier regard avant de s'éloigner à pas lent, puis de disparaître pas magie.

« Peut-être ma fille… Oui, peut-être. »

La fille en question se laissa tomber dans les bras de son prince charmant. Il voyait bien que cet affrontement, court et inoffensif, l'avait fatiguée moralement. Malgré tout, elle déclara :

« Ce n'était pas si difficile ne fait »

Mais son esprit était ailleurs, et ils restèrent un petit moment assis, enlacés, Draco caressant les cheveux de sa princesse, en silence.

Puis la princesse se releva.

« Allons y. Qui sait ce qui nous attend encore ? »

Il se leva à son tour.

« J'ai ma petite idée. »

Elle le dévora du regard et l'encouragea à poursuivre tandis qu'ils recommençaient à marcher.

« Voyons un ordre logique. On s'est vus nous, en pleine dispute, on a vu mon père, on a vu ta mère… On a donc vu notre problème, notre fantôme, si l'on peut dire, on a vu le mien, le tien et à mon avis il nous reste… »

« Celui d'Harry » termina Hermione, tout à coup très pâle.

« Celui de la personne à sauver, en effet. »

Ils marchèrent en silence, en espérant que le plus gros problème d'Harry soit un détraqueur. Ils furent assez étonnés d'arriver au poteau brun sans embûches.

« Regarde, au sommet ! » dit tout à coup Hermione

En haut, tout en haut du poteau brillait une petite statuette d'or, si haute qu'ils ne pouvaient pas bien la voir.

« Il faudrait grimper. »

« On ne pourra pas. »

Ils réfléchirent.

Longtemps.

Puis ils trouvèrent.

« L'abattre ! » lança soudain Hermione

« Hein ? »

« Il faut abattre ce pilier, le couper comme on coupe un arbre, pour récupérer la statuette ! »

Elle posa sa main sur le poteau pour en apprécier la solidité, et puis soudain…

Une lumière blanche.

'Cette saleté de lumière blanche de nid à problèmes de merde !' songea Draco

Il apparut. Lui. Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom, Tom Jedusor, Momor (dixit Harry à la soirée du nouvel an en sixième année, après une douzaine d'alcools variés) bref : Voldemort.

« James Potter… »

Draco, instinctivement, se plaça devant Hermione pour la protéger.

« Voilà si longtemps que j'attends ce moment… »

Hermione comprit en un éclair, mais trop tard. Car un autre éclair fendit l'air. Un éclair vert qui alla se ficher dans la poitrine de Draco, avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit. De toute façon, il n'aurait rien pu faire, rien. James Potter n'avait rien pu faire et Draco était l'acteur qui le jouait, dans la scène reconstituée du « fantôme » de Harry.

Hermione sentit son cœur se fendre.

Voldemort pointa son doigt vers le berceau qui était apparue derrière elle.

« Donne moi l'enfant. »

« Non ! »

« Si… » siffla t'il

« Non. » fit-elle, désespérée

« Avada Kedavra ! »

Le sort toucha Hermione au moment où elle attrapait le bébé, dans le berceau. Un tout petit bébé, un tout petit… Harry. En or.

Elle mourut et revint dans son monde en même temps.

Dans sa tête pleine de douleur, une pensée s'éclaira. Trois mots.

« J'ai réussi. »


Voilà, rendez vous bientôt pour l'épilogue, il devrait vraiment pas tarder car il sera court. Et maintenant les...

Ryry Aime Ron (le scoop du siècle, caaaaaaaaalme Liz...) (ben moi j'aime pas Ron) (il a mauvais gout Harry):

Love-pingo: Voilà, note d'explication du chapitre 15 en ligne depuis un p'tit moment déjà ça a été un peu compliqué à écrire mais pas trop, parce qu'il était 1h du mat et Liz à 1h du mat... C'est la cata . En tout cas merci de ton indulgence, bisous et peut-être à bientôt! (revieeeeeeeeeews XD)

'tite mione: La suite est là... Et longue en plus, pour une fois

Prunelle2005: Merci -

Rose Halliwell: Hé, génial, j'ai une lectrice qui as compris je suis contente . Sinon, je suis toujours tes fics, même si j'ai pas toujours le temps de laisser une review (méchante liz, méchante... promis, j'en laisse une la prochaine fois )

draco-tu-es-a-moi: regard terrifié Oui, chef, bien chef, d'a...d'accord monsieur...

Bisous tout le monde et je le redit... A bientôt!