The One I Love.
Disclaimer : Tout est à J.K Rowling, etc.
Les Bla-bla de Xérès : Mes chapitres sont décidément de plus en plus longs mais je ne pense pas que ça vous déplaise. Alors, les enfants, que pensez vous de la tournure que prennent les choses ? Hermione survivra-t-elle aux attaques de son amoureux transi ? (Toutes les lectrices espèrent que non … lol ). Répondra-t-elle à ses avances ? A suivre … maintenant !
Bonne lecture à tous !
Réponses aux reviews :
Ayuluna : Ben oui, mais il faut se rendre à l'évidence : LA VIOLENCE CONJUGALE EXISTE ! Lol. Bisous !
Poupoux : Donc si je saisis bien, si ton mec ressemble à Drake, tu le laisserais te frapper sans rien dire ? … C'est ton choix ! Lol. Bisous !
Kathy Magda : Un risque est un risque. Un point c'est tout. Je n'en dirai pas plus là-dessus… Lol. La suite !
Feylie : Quoi tousse ? Tu nous la joues à la Professeur Ombrage ? (hum hum) Lol. En tous cas, j'ai adoré ta déscription du Hermionus Grangerus. J'ai eu beau chercher cet animal bizarre dans les « Animaux Fantastiques », de Newt Scamander, je ne l'ai pas trouvé ! Lol. Pour la suite … c'est bientôt. Il faut faire preuve de patience et il faut être gentil avec moi … sinon … il se pourrait que j'oubliâsse tout bêtement de poster la suite … Qu'est ce que ça serait dommage, hein ? Lol. Kiss.
ElavielTini : Ben, faut bien un moment où tout se raccorde et s'explique. Mais pour ce qui est du HP/RW … C'était la partie « humour » et non pas la partie « Je-gerbe-partout-tellement-je-prends-ce-truc-au-sérieux ». Lol. La suite ! Biz.
Aminteitha : Ta définition du pire m'intéresse beaucoup, tu sais ? Hmmm … je vais étudier la question… Gnark gnark gnark…
Loli : Mais oui, mais oui, tu l'auras ta scène ! Lol. En tous cas, j'assume mon sadisme à 300 et même, je le revendique ! Lol. Kiz !
Athena : KWA ? Mais … mais … mais… Sévychouuuu ! Pauvre Sévychouuu ! T'as tué délibérément mon Sévychou d'amour ! Il est sexy Sévychou, tu l'as tuéééé ! Il est pas méssaaaant ! Et ben pour la peine, lorsque tu te noiras dans le lac, je dirais aux êtres de l'eau et au calamar géant de te faire souffrir longtemps et de t'attacher à un poteau ! Na ! Lol. Bisous quand même !
Estelle01 : Voici la suite, bisous !
Nymphadora Burd : Je coupe mes chapitres où je veux … (chantonne). Mais Sévychou EST prétentieux ! Jusqu'au bout de ses cheveux gras ! Justement, je trouve que J.K Rowling ne définit pas assez ce qu'il pense, ça serait beaucoup plus tripant. Genre les vieilles remarques sur les activités de Potter, sa manie de toujours se fourrer dans le pétrin. Vu par Rogue, ça pourrait triper complètement ! Lol. Bisous !
Beverly : Oooooh ma Beverly ! Tu pars loin de moi ! Snif. Sache que je penserai à toi … à chaque chapitre que je publierai en ton absence …. Lol. Bonne vacances ! Bisous pleins !
Cocotte : Ah ah ? Je suis curieuse de savoir ce que tu ferais, ma chère ? Lol. Voici la suite !
Melle Scarlett : Du sadisme ? Où ça ? Quand ? Quoi ? Lol. Sachez, chers lecteurs, que j'ai rarement pitié … lol. La suite !
Daru : Contente que ça te plaise ! Mais c'est pas fini, laisse l'effet se faire … Bisous !
Ipikou : Franchement c'est trop drôle de tous vous voir vous exciter à faire des prédictions sur la suite … car de toutes façons, JE NE DIS RIEN ! Lol. Bisous !
Sarah Malfoy : Comment j'ose ? Ben c'est tout simple. Il arrive un moment où je décide d'arrêter mon chapitre. J'enregistre … et je poste ! Lol. En tous cas j'ai beaucoup ri en lisant toutes tes reviews. Oh j'adore … puis j'aime pas … puis oh la la c'est génial ! Lol. Nan c'est bien, ça change des reviews classiques ! Lol. Gros bisous et à bientôt !
Chapitre 10 : Vertiges de l'amour …
Draco tint pendant près d'un mois sans parler à Hermione. Jusqu'au jour où il péta les plombs.
Draco la prit dans ses bras et elle gémit doucement. Malgré tout, elle se laissa entraîner pour la troisième fois cette nuit là dans une étreinte charnelle torride. Ses gémissements le rendaient fou. Il ne pouvait déjà plus s'en passer. Déjà, il se mouvait en elle, et elle accordait ses mouvements de hanches aux siens. Draco accéléra la cadence. Il voulait l'entendre hurler son nom dans la jouissance, lui montrer qu'elle lui appartenait entièrement, qu'elle n'était plus que son esclave de la nuit, prête à assouvir le moindre de ses désirs. Le cerveau de Draco ne contrôlait plus ses mains. Elles exploraient pour la énième fois le corps de la Gryffondor, griffant le dos, empoignant les hanches, caressant les seins et les cheveux. Mais soudain, Hermione se redressa et fixa Draco dans les yeux. Draco fut horrifié de constater qu'elle parlait avec la voix de Pansy Parkinson.
« Draco, c'est l'heure de se lever ! »
Draco Malfoy ouvrit les yeux, arraché brusquement à son rêve. Hébété, il posa les yeux sur la garce qui venait de le réveiller.
« Pa … Parkinson ? Mais … qu'est ce que tu fais là ? », balbutia-t-il.
« Draco, il est huit heures vingt. Le premier cours commence dans dix minutes. »
« Merde … », jura Draco en s'extirpant de son lit tout en essayant de garder les images de son rêve en mémoire.
« Tu rêvais de quoi au juste ? », demanda innocemment Pansy en regardant Draco avec un sourire narquois.
« Pourquoi ? », répliqua Draco depuis la salle de bain.
« T'as une gaule phénoménale, si tu veux savoir … »
Draco baissa fébrilement les yeux sur son boxer noir, son seul vêtement, et constata avec horreur qu'il moulait à la perfection son érection. Il sortit en trombe de la salle de bain pour expliquer à Pansy une version plus scientifique du pourquoi il bandait … mais Pansy était déjà partie.
« Et merde … »
…
Lorsqu'il arriva en Métamorphose, premier cours de ce mardi matin, tous les Serpentards déjà présents l'accueillirent avec un sourire narquois.
« Alors, Malfoy … », s'écriait Blaise Zabini, son meilleur ami, « On invite même plus les copains quand on veut se faire un petit plaisir en solitaire ? »
« Hé, Draco ! », hurlait Millicent Bulstrode. « Ne rêvais-tu pas à tout hasard d'une certaine Gryffondor Je-Sais-Tout ? » Puis, elle se mit à gémir bruyamment. « Oh oui, Hermione, prend la bien dans ta bouche ! »
Les Serpentards explosèrent en rires gras, et Draco détourna le regard pour voir Hermione qui le fusillait du regard depuis l'autre bout du couloir.
Merlin … Je suis mort …
…
A la pause déjeuner, Draco avait suivi Hermione dans un des couloirs.
« Hermione, je t'assure que je n'y suis pour rien … Mais écoute moi, bordel ! Arrête au moins de marcher quand je te parle ! »
« Tu n'es qu'un sale con, Malfoy, et je préfère ne pas continuer à parler sinon je crois bien que mes paroles risqueraient de te choquer … »
« Hermione … j'y suis pour rien, moi, si Pansy m'a réveillé brusquement et puis je …
« La ferme, Malfoy. »
La seconde d'après, Hermione poussa un cri de douleur. Malfoy l'avait projetée contre le mur adjacent et lui empêchait désormais toute sortie.
« Je te préviens, Malfoy, si tu me frappes de nouveau, je vais tout raconter à Dumbledore. »
Draco ne répondit pas. Il s'approcha un peu plus d'Hermione et posa une de ses mains sur sa poitrine tandis que l'autre lui enserrait le dos.
« Je t'interdis de me toucher, espèce de … »
Elle n'eut même pas le temps de finir sa phrase. Draco prit possession de ses lèvres et y mêla les siennes avec passion. Hermione avait cessé de se débattre sous le coup de la surprise et Draco en profita pour la serrer plus fort contre lui. Il tenta d'approfondir le baiser mais Hermione reprit ses esprits. Elle détourna la tête, arrachant ses lèvres à celles de Draco, lequel ne s'arrêta pas pour autant. Le visage de Draco s'abaissa en direction du cou de la Gryffondor et y déposa de légers baisers sur chaque centimètre de peau.
Le parfum qui émanait du Serpentard était enivrant et Hermione sentait sa résistance s'amenuiser au fur et à mesure que la douce fragrance l'enveloppait. Elle ferma les yeux, se laissant aller au rythme des baisers de Malfoy.
« Je t'aime, Hermione. »
Hermione ouvrit soudain les yeux tous grands. Elle sursauta, provoquant un mouvement de surprise de la part de Draco. Celui-ci la regarda, pas sûr de comprendre ce qui était en train de se passer. Profitant de l'effet de surprise, Hermione le repoussa de toutes ses forces et parvint à se dégager.
« Non, tu ne m'aimes pas, Malfoy. Tu es incapable d'aimer qui que ce soit à part toi-même. »
Et sous le regard dégoûté de Malfoy, elle réajusta sa veste et reprit son chemin.
« Alors comme ça, tu viens de passer on va dire une bonne paire de minutes à m'embrasser sans te poser plus de questions ? Et merde, Granger, tu es une salope, voilà ce que tu es ! », cria Draco dans son dos.
Mais elle ne se retourna pas.
…
Le lendemain, le programme était uniquement constitué d'un double cours de potions. Hermione, accompagnée de Harry et de Ron qui avaient chacun la main dans la poche arrière du pantalon de l'autre, se plaça le plus loin possible de Draco mais fit une erreur, une seule erreur. Celle de se placer dans son champ de vision.
Cette fois ci, le cours fut réservé à la préparation d'une potion narcotique réservée à l'usage médical, pour soigner les grands blessés. L'odeur même était envoûtante. Elle emplissait les poumons, le cerveau, les membres et bientôt tout le corps se retrouvait assaillit d'une languissante torpeur. Hermione, dans un délire semi comateux s'amusait, tout en faisant sa potion, à faire des grimaces à tort et à travers. Draco agissait à gestes lents, tel un zombie et même Rogue semblait en manque de sommeil, ce qui permettait à Ron et Harry de se rouler des pelles tranquillement au fond de la classe, sous le regard dégoûté de Pansy Parkinson, dont les pupilles (précisons-le) étaient fortement dilatées.
Et personne, dans le désordre général, ne vit que Draco avait prélevé un peu de sa potion pour mettre la fiole désormais pleine dans son sac.
…
Lorsque Hermione quitta la salle commune de Gryffondor pour se diriger vers le couloir des Préfets, elle ne s'étonna pas de voir Draco Malfoy en faction devant la porte de sa propre chambre.
« S'il te plaît, Malfoy, je ne suis pas d'humeur à entendre tes jérémiades ce soir. Alors, tu es gentil, tu vas miauler ailleurs. »
Pour toute réponse, Draco sourit d'une manière horripilante et décolla ses épaules du mur sur lequel il s'était appuyé.
« C'est ton jour de chance, Granger, je ne suis pas venu pour me plaindre cette fois-ci. Il est fini le temps où je me rabaissais à te prier de sortir avec moi. »
« Oh vraiment ? », répliqua Hermione du tac au tac. « Alors que fais tu encore là ? »
« Laisse moi donc finir, Chérie, sinon je vais être obligé de devenir méchant. »
Il s'approcha d'elle, tel un félin et prit son visage entre ses mains.
« Et il serait regrettable d'abîmer un si joli minois, n'est ce pas Hermione ? »
« Qu'est ce que tu veux, Malfoy ? », cracha-t-elle, en essayant de dissimuler la peur qui menaçait d'apparaître sur ledit minois.
« Toi … », souffla-t-il.
« Crèves, Malfoy ! », dit-elle en le repoussant.
Mais elle ne fut pas assez rapide. Malfoy pressa ses lèvres contre celles d'Hermione et introduisit sa langue dans sa bouche presque aussitôt. La Gryffondor sentit un petit objet rond glisser de la bouche de Malfoy jusque dans la sienne. Sitôt fait, celui-ci se dégagea et tint fermement la bouche d'Hermione fermée.
« Croque ! », lui dit-il méchamment.
Comme elle ne s'exécutait pas, il la secoua puis la regarda dans les yeux. Il sut à cet instant-là qu'elle avait comprit ce qu'il y avait dans la capsule.
« J'ai dit, croque, putain ! »
Hermione était en position de soumission et elle le savait. Elle s'exécuta.
Une larme roula sur sa joue lorsqu'elle se sentit sombrer.
…
Hermione se réveilla au milieu d'un désordre innommable, chaos de vêtements, de bris de verre et de tiroirs descellés de leur meuble. Elle prit peur et chercha Draco des yeux. Elle était seule dans la chambre aux couleurs vert et argent. Elle baissa les yeux et vit qu'elle était encore à moitié habillée. Il ne m'aurait pas touchée ? Sans faire de bruit, elle se leva et récupéra sa veste et son chemisier. La jupe était restée sur sa propriétaire. Elle tourna la tête en direction de la salle de bains et après quelques pas, elle se trouva devant la porte. Elle tourna la poignée.
Draco était bien là mais il dormait. Il avait l'air si paisible et si angélique lorsqu'il était assoupi. Hermione se prit à penser qu'il n'avait pas eu le courage de la toucher alors qu'elle était inconsciente.
Alors, ça veut jouer les gros bras, hein ?
Hermione soupira et tourna les talons, bien décidée à retourner dans sa chambre.
« Tu repars déjà ? »
Merde, il s'est réveillé.
Hermione se retourna vers Malfoy qui s'était relevé du carrelage et qui la regardait à présent en se massant le dos.
« Merlin, ce que ces carrelages sont inconfortables. »
Il avait voulu rendre l'atmosphère plus légère, mais ce fut un échec cuisant. Hermione n'esquissa pas le moindre sourire.
« Pourquoi tu fais ça ? », dit-elle sèchement.
Draco ne répondit pas de suite. Parce que je t'aime, c'est ça que tu devrais répondre, allez mon vieux, un petit effort et tu y es presque. Tu es quoi, un Malfoy ou une femmelette ?, pensait-il tandis que Hermione l'observait.
« Parce que je … j'ai été stupide. »
Elle s'engagea vers la porte de la chambre mais Draco fut le plus rapide et s'interposa.
« Hermione … je t'en prie, reste et écoute moi. »
Hermione le fixa avec agacement.
(Hermione) Il est vraiment immonde. Non, mais il se prend pour qui ?
(Draco) Ca y est je le sens, elle va rester …
« Je ne sais pas … », répondit-elle soudain. Puis son regard se posa sur les iris de glace de Draco et elle soupira. « D'accord … Mais juste le temps que tu m'expliques … »
« Il n'y a rien à expliquer … juste que cette potion était une énorme erreur et à la fois une bénédiction. »
« Tu trouves que l'idée de me tuer est une bénédiction ? Merci, je retiens … »
« Non », protesta Draco. « Ce n'est pas ce que je veux dire. Peut être que je n'aurai jamais du la boire, mais d'un autre côté, grâce à elle, je me suis déclaré et … »
Hermione haussa les sourcils. « Et ? Qu'est ce que ça change d'après toi ? »
« Tout. »
Hermione secoua la tête. « Arrête ton char, Malfoy … Ca ne sert à rien. On perd du temps. Je me tire. »
La Gryffondor se leva et sortit, sans même que Draco aie tenté de l'en empêcher.
…
Mais quel con, mais quel con, mais quel con ! Merlin, expliquez moi pourquoi je l'ai laissée partir ! Pourquoi est ce que je n'ai l'ai pas enlacée tendrement au lieu de lui faire bouffer ce narco de mes deux ? Maintenant, elle va me prendre pour un malade, si ce n'est pas déjà le cas… Et merde, quand est ce qu'elle comprendra que je fais tout ça parce que je l'aime ? C'est évident pourtant ! Bon, que faire ? Je vais frapper à sa porte et tout lui dire ? Ou j'attends que l'incident se tasse ? D'un autre côté, si je vais la voir maintenant, elle risquerait d'être fâchée … et puis si elle se fâche, je vais encore la taper, et là ça va commencer à se voir… pff … bon allez, j'y vais ! Non, je n'y vais pas. Et puis merde, je vais me coucher.
Draco s'allongea donc dans son lit, en proie à un véritable dilemme. Deux solutions se présentaient à lui. Soit il se laissait souffrir, soit il devait faire quelque chose qui pousserait Hermione à s'attacher à lui. Ce ne fut que tard dans la nuit que le cerveau de Draco Malfoy se mit en mode « veille prolongée » après avoir opté pour la deuxième solution.
…
« Hey, Drake ! Debout, mec ! Allez, debout ! »
Draco ouvrit péniblement les yeux, pour se retrouver nez à nez avec Blaise Zabini qui le regardait en souriant.
« Le cours de Métamorphose commence dans cinq minutes ! »
Draco se leva en trombe et attrapa ses vêtements dans son armoire… et son regard croisa la pendule sur la cheminée.
« Zabini … », grogna-t-il en reposant sa robe dans la penderie. « Tu n'es qu'un admirable con ! Il est à peine huit heures. »
Son meilleur ami s'esclaffa et dit : « En fait, c'était juste pour voir si t'aurais encore la gaule ce matin … »
Draco enfila sa robe de sorcier en grognant. Non mais, il croit quoi celui-là ? Que je ne fais que penser à cette idiote de Granger ? Bon, ok, je ne fais QUE penser à cette idiote de Granger … et alors ? Ce n'est pas un drame. En fait, si. Bref …pensons à autre chose, pensons à autre chose … … … … … (cerveau vide).
Malheur …
…
Heureusement pour lui, Draco trouva un sujet de préoccupation plus que prenant quelques heures plus tard …
« Alors, Drake, prêt pour le match de Quidditch ? », minauda Millicent Bulstrode en posant son cou de taureau sur l'épaule gauche de Draco.
Il y eut un silence gênant pendant lequel tous les Serpentards se mirent à fixer Draco avec intérêt, lequel souriait bêtement en se demandant de quoi elle parlait.
« Le … le match de Quidditch ? B… bien sûr ! Mais ne vous en faites pas, je vais m'entraîner dur pendant les quelques semaines qui restent à Potter pour faire sa star … »
Blaise Zabini croisa les mains sous son menton et fixa Draco d'un air profondément blasé.
« Le match est après-demain, Drake… »
L'Attrapeur des Serpentards sentit soudain tout le poids du monde peser sur ses épaules … et sourit de nouveau bêtement. Il ne s'était pas entraîné depuis … depuis …depuis la tentative d'Hermione d'apprendre à voler. Ce qui faisait … Draco ne voulait même pas savoir combien de temps.
« Oh c'est vrai … par mal foy (mauvais jeu de mot) j'avais oublié … hé hé hé … mais ne vous en faites pas, c'est du tout cuit ! Potter n'a qu'à bien se tenir … »
Soupir général à la table des Serpentards.
« Y'a pas à dire », déclarait quelques instants plus tard Blaise Zabini à Pansy Parkinson, « le Quidditch, c'est vraiment une question de mental … »
Draco soupira lui aussi. Il allait encore se faire écraser par Potter … cette tarlouze de Potter…
… … … Mais oui ! Elle est là la solution ! « Le Quidditch, ce n'est qu'une question de mental ! » OOOOH ! Merci, Zab' ! Merci !
Bon, je sais, c'est dégueulasse de finir comme ça … même si pour l'instant l'action, ce n'est pas trop ça, mais bon la fin approche ! Donc voila, faut bien combler ….. Le manque d'inspiration !
En tous cas j'espère que ça continue à vous plaire alors à bientôt à tous mes lecteurs et lectrices adorés et bienvenue aux nouveaux !
Bizzzzzzzoooooooouuuuuuuux !
Xérès !
